mercredi 31 août 2011

Des gloss presque brillants

Même si je déteste les gloss, en été, surtout à la plage, je me laisse tenter. Vu la chaleur, je préfère ne pas me balader avec des rouges à lèvres dans mon sac, en général, ils n’apprécient pas trop, certains même ne s’en remettant pas. Au moins, les gloss ne fondent pas. Vu ma détestation, je veille quand même à ne pas choisir n’importe quoi : il faut absolument qu’ils ne collent pas et qu’ils ne soient pas gluants. Et surtout que je ne les sente pas sur les lèvres. Ok, les cheveux qui se collent sur les lèvres, je peux faire avec, mais la sensation poisseuse, je ne peux pas. J’ai jeté mon dévolu sur les trois gloss Glam Shine reçus de la collection estivale de L’Oréal Paris : un bleu, un jaune et un rouge.

Bien évidemment, j’ai commencé par tester le bleu, le Glam Shine Fresh 600 Aqua Curaçao, qui m’intriguait. Bizarrement, ça a un peu été la couleur de l’été pour les gloss. On en a vu un chez Paul & Joe, Yves Saint Laurent, L’Oréal donc et j’en oublie sûrement. Evidemment, ça ne fait pas bleu sur les lèvres. Une bouche de Schtroumpf non merci. En fait, ça fait juste des reflets glacés/mouillés. Là, ça donne une couleur froide, transparente, qu’on ne voit pas vraiment. Pas de quoi casser des briques en somme. C’est glossy quoi. Faut dire que c’est le moins bleu de tous les gloss de cette teinte sortis cette saison.

(avec et sans flash)


En fait, mon préféré c’est le rouge, le Glam Shine Reflexion 181 Sheer Grenadine. C’est celui dont on voit le plus la couleur. Il a un côté sirop et fonce légèrement les lèvres pour un effet bonne mine assez joli. Il me ferait presque repasser dans le clan des gloss.


Le jaune, Glam Shine Fresh 601 Aqua Lemon Tonic, lui donne des reflets soleil aux lèvres donc je suis moins fan. Ca me va moins bien au teint. Mais c’est sûrement dû à ma blancheur et sur des peaux plus bronzées cette teinte ensoleillée doit être plus sympa. Sur moi, ça fait ressortir un côté malade, genre j'ai la jaunisse.


Mais j’ai quand même été agréablement surprise par ces gloss, pas du tout désagréables à utiliser. Le dernier que j’avais appliqué (je ne me souviens plus de quelle marque) m’avait presque dégoûté à vie et depuis je donnais tous mes gloss à mes copines. Là, je vais peut-être garder le rouge. On les sent quand même mais ils ne collent presque pas. L’embout est pas mal aussi, il facilite l’application. Bon, ok, aucun risque que je repasse dans le camp des gloss, mais en avoir un dans sa trousse de make-up, pourquoi pas, ça peut servir. Par contre, je crois que c’était des éditions limitées et je ne suis pas sûre qu’ils soient encore dispo.

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mardi 30 août 2011

Je garde ou je jette ? Bilan d'août (ou plutôt des vacances)

Ca ne se voyait pas mais, en rentrant de vacances, ma valise était un peu plus légère. Enfin surtout mon vanity (ou plutôt mes vanity), ayant laissé de nombreux produits sur le carreau. Je n’ai jamais fini autant de cosmétiques en un mois ou plutôt 3 semaines même. Bon faut dire que j’étais aidée, on était plusieurs à les utiliser. Ce « je garde, je jette » du mois est donc tout particulièrement riche. Sans compter les produits finis avant de partir. Mais j’ai préféré rester dans une thématique soleil et ne vous parler que des cadavres des vacances, les autres je vous en parlerais le mois prochain.
On est donc plus dans un bilan beauté des vacances que du mois d’août. Mais avec huit produits sur le grill, on ne va pas se plaindre, c’est nettement plus que ma moyenne de 6 habituelle. Alors ces victimes estivales, je les rachète ou pas ?

Lait Protecteur Hydratation Glacée, Icy Protection, SPF 20, L’Oréal Paris
OUI
Je vous avais déjà parlé de cette crème solaire qui m’avait accompagnée lors de vacances ensoleillée en avril. A l’époque, j’avais été séduite. Je l’ai de nouveau emportée pour protéger ma peau lors des quelques jours de plage pendant ce mois d’août. Et mon opinion n’a pas varié d’un iota : je l’aime toujours autant. Ok, sur moi, il n’y a absolument pas la sensation glacée promise. Donc j’aurais pu la prendre en grippe à cause de cette affirmation pseudo mensongère. Mais comme elle sent tellement bon, est aussi agréable à appliquer et ne colle pas au-delà du raisonnable (juste un chouïa et encore, ça dépend de la zone, de la chaleur, de la quantité appliquée), elle est rapidement devenue ma chouchoute. Moi qui jusqu’ici était plus dans les marques un peu glamour de parfumeries/pharmacies dans le choix de mes crèmes solaires, elle m’a fait totalement retourner ma veste.

Lait Solaire Corps Soleil Divin SPF 20, Caudalie
NON
Déjà parce que je préfère la L’Oréal Paris, cosmétiquement parlant mais aussi au niveau du rapport qualité/quantité/prix. Mais aussi parce qu’elle s’est dégradée rapidement. Après ouverture, elle est censée se conserver 9 mois. Déjà c’est moins que la moyenne habituelle mais limite comme c’est une crème solaire et que c’est de toute façon un produit qui ne passe pas l’année, c’est pas grave. Le truc c’est qu’elle les a même pas tenu ces 9 mois (même pas 6 d’ailleurs). La texture a changé hyper rapidement, devenant plus liquide qu’elle n’était à l’origine et de couleur bizarre (presque bicolore même). Alors, certes, elle m’a quand même bien protégée mais je trouve ça bof. Ca veut dire qu’elle ne peut pas te resservir si tu pars une semaine au soleil en août puis en décembre par exemple. Nul.

Baume Réparateur après-soleil à l’aloès, Clinique
OUI
Alors je le dis tout de go, ce soin n’a rien d’exceptionnel. Contrairement à d’autres après-soleil qu’on pourrait qualifier de plus glamour ou attractifs, il ne crépite pas, ne constelle pas le corps de paillettes ou n’a pas un parfum de vahiné. Mais il fait parfaitement son job et le fait bien et c’est l’essentiel. Il hydrate et nourrit les peaux asséchées par le soleil et leur apporte même une petite baisse de température avec une texture fraîche (je me demande s’il n’y a pas du menthol dedans. J’ai l’impression de le sentir dans son parfum plutôt neutre).
C’est d’ailleurs le fait qu’il soit juste basique qui le rend si séduisant. Des fois tu veux juste que le boulot soit fait, point, pas besoin d’artifice. Et justement parce qu’il n’en fait pas trop ça fait aussi de lui un soin mixte qui peut totalement être utilisé par nos hommes (alors que le soin pailleté, je ne sais pas mais j’ai des doutes ;)). Une bonne façon d’alléger la valise.

Soin Après-Soleil Réparateur Visage et Décolleté, Clarins
NSPP
Soit Ne Se Prononce Pas. En fait, j’ai un problème avec les après-soleil visage, disons un problème mathématique qui ne se pose pas avec les après-soleil corps. Si tu regardes bien, un flacon d’après-soleil visage contient de 30 à 50 ml de produit, comme une crème visage normale quoi. Or moi, il me faut en moyenne 6 mois pour finir une crème visage (et encore). Le truc, c’est que de l’après-soleil tu n’en mets en général qu’un mois par an (et encore si t’as de la chance), deux si tu pousses et que t’en mets aussi en dehors des vacances et limite quand t’en as même pas besoin (oui, quand t’es parisienne ton visage vois rarement deux mois de soleil). Donc logiquement impossible de terminer le flacon. Mais moi j’aime pas jeter un flacon quand il n’est pas terminé (surtout s’il en reste plus de la moitié). Donc celui-ci je l’ai réutilisé d’une année sur l’autre. Et même en le partageant avec ma sœur, il ne voulait pas se finir. Et puis au bout d’un moment il a un peu perdu de ses qualités cosmétiques forcément, il hydratait moins bien. Là, j’en ai eu marre et je me suis tartinée le corps pour enfin en venir à bout. D’où mon interrogation : ok, utiliser un après soleil visage ça se tient mais est-ce vraiment indispensable car vive le gâchis. A moins qu’ils fassent des flacons plus petits (genre 10 ml). Je n’ai donc rien contre ce produit qui la première année faisait très bien son job (hydratait bien mais ne laissait pas la peau grasse, parfait quand on veut se remaquiller après. N’a également pas de paillettes, pas forcément nécessaires quand tu vas te coucher après). Je me demande juste si c’est utile.

Tan Enhancher Intensive Anti-Aging, Oenobiol
OUI
Difficile de juger de l’efficacité des gélules solaires. J’avais d’ailleurs longtemps arrêté d’en prendre après un petit accident où j’étais devenue orange. Mais en avril, je crois que j’ai fait une allergie au soleil car le haut de mon corps s’était recouvert de milliers de petits boutons qui grattaient bien sa mère. N’ayant pas envie de revivre l’expérience, je me suis dit qu’il fallait cette fois que je prépare bien ma peau au soleil avec notamment des gélules. Et cette fois j’ai choisi une marque de confiance selon moi. N’ayant pas viré carotte et ne m’étant pas recouverte de boutons, je dirais qu’elles ont parfaitement fait le job. Ai-je pour autant plus bronzé ? Difficile à dire. Je n’ai pas une peau qui bronze facilement et là j’ai un joli hâle qui me va. Alors je suis nulle pour juger des ingrédients des compléments alimentaires (c’est pour ça que je préfère ne pas en prendre) mais parfois ils sont quand même indispensable finalement.

Hâlé Simple 24h/24 Corps, Sampar
OUI et NON
Je suis assez partagée sur ce soin. Il est censé stimuler la mélanine et donc faire apparaître un hâle progressivement. Parfait pour les nulles de l’autobronzant. Mais sur moi, ça n’a pas du tout marché. Par contre, une fois un peu bronzée, il était parfait pour sublimer le hâle et le faire durer beaucoup plus longtemps. Et il hydrate parfaitement la peau. Le hic, c’est qu’il coûte un peu la peau des fesses et faire durer le hâle c’est plus du confort que de l’indispensable. Alors donner un bras pour un produit finalement pas essentiel, je sais pas, une partie de moi n’est pas d’accord. Alors même s’il hydrate très bien, ça fait aussi un peu cher pour un hydratant. Mais si on a un bon budget pourquoi pas.

Lingettes Démaquillantes Vitaminées Essentiels, Garnier
OUI et NON
Décidément, je suis très indéterminée ce mois-ci. En fait, objectivement, ces lingettes sont très bien… pour des lingettes. Elles démaquillent plutôt bien (pour des lingettes) sans trop irriter la peau. Pour le maquillage waterproof, elles marchent sur quelques trucs mais pas tout. Bon, là, le paquet était ouvert depuis quelques temps donc elles avaient un peu séché et étaient moins efficaces. Le truc c’est que c’est des lingettes démaquillantes. Et si ça a été pendant longtemps mon moyen de démaquillage de prédilection, plus le temps passe, moins j’aime. J’ai l’impression de ne pas être propre après, j’ai la peau qui colle et je ne rêve que de me passer le visage au savon. Alors oui c’est pratique quand on n’a pas d’eau à proximité ou pour une toilette rapide mais j’ai de plus en plus de mal.

Pâte Délice Exfoliante et Drainante Amande, L’Occitane en Provence
OUI et NON
Oui, je sais, j’abuse. Là encore mitigée : en soi le produit est bon mais… Bon, déjà, éclaircissons un point : pour moi, il s’agit d’un gommage d’été. Si le critère était gommage corps normal, ma réponse à la question « je rachète ? » serait non. Car c’est un exfoliant assez léger et les éclats d’amande qui servent à gommer se sentent moyennement voire parfois pas. Et tu sais que j’aime les gommages qui déchirent. Sauf l’été où je laisse ma peau un peu au repos (mais où j’exfolie quand même sinon vive les poils incarnés). Donc il est parfait pour cette période avec sa formule plutôt douce et puis il sent divinement bon. Le truc c’est qu’il est un peu cher finalement comparé à d’autres gommages tout aussi top. Donc là encore tout dépend du budget finalement. Si t’as envie de te faire plaisir OUI, si non, il y a aussi de super produits ailleurs à petit prix.

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lundi 29 août 2011

J'ai enfin vu la vie en rose de la manucure : un vernis qui a résisté à la chaleur

Ca y est, les vacances sont finies. Je suis de retour sous la pseudo grisaille parisienne. Je vous ai un peu abandonné la semaine dernière mais j’avais plus d’accès à internet. Et puis j’étais à la plage, too busy à bronzer, j’avoue que mon esprit a rapidement vogué ailleurs. Pourtant les notes étaient écrites en plus. Mais entre paresser sur le sable et chercher au hasard un cybercafé, la paresseuse a vite choisi ;) Mais elles ne sont pas perdues. Je vais profiter de ces derniers jours du mois d’août pour faire un retour sur mes beauty vacances. Et ça commence par du vernis forcément (j’ai été très occupée des ongles).
Enfin, j’ai trouvé un vernis qui tenait plus de 2/3 jours sous cette chaleur. Il était temps ! C’est bien sympa de changer de couleur d’ongles toutes les 30 secondes mais quand c’est quelqu’un d’autre qui te fait ta manucure. Là, la paresseuse que je suis commençait à fatiguer. Ce petit répit de 6 jours a été le bienvenu ! Oui, six jours ! Même par temps normal ça relève quasi du miracle. Surtout que je lui inflige un traitement de choc : vaisselle deux fois par jours (j’ai jamais vu autant d’évier de ma vie, je sens que de retour à Paris je vais arrêter de manger pour ne plus jamais avoir affaire à une assiette sale), sans compter les autres trempages, la crème solaire aussi (qui n’est pas vraiment la copine des vernis)… Eh bien, même comme ça, il a tenu bon.

Pourtant, a priori il n’a rien de différent des vernis posés jusqu’ici : c’est aussi un OPI, le Pink Flamenco de la collection España. Avec ses vernis transparents, la collection estivale de la marque ne me bottait pas des masses. J’avais envie d’un vernis qui tape un peu plus. Je suis donc allée piocher dans une ancienne gamme ce rose vitaminé mais pas non plus flashy Barbie. La couleur est super et même si c’était un vernis d’automne, je trouve qu’il est parfait pour l’été. D’ailleurs de tous les vernis testés depuis le début du mois (et il y en a eu), c’est ma teinte préférée. Et en plus, il est facile à vivre. Que demander de plus.

Niveau application, pas de prise de tête non plus. On peut avoir une opacité parfaite au bout de la première couche si on s’y prend bien mais j’ai préféré en mettre deux tout de même. Il sèche aussi hyper rapidement. Je n’ai pas mis de top coat cette fois car je soupçonne que c’est peut-être lui qui ruine mes manucures (que ce soit les bulles ou le séchage qui prend une éternité) et même comme ça sa tenue est top (c’est même peut-être pour ça que sa tenue est top). Au bout de 6 jours, j’avais seulement trois ongles un peu abîmés. J’aurais d’ailleurs pu le faire durer plus longtemps mais fallait que je me refasse les ongles des pieds donc il a un peu été une victime collatérale.

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dimanche 21 août 2011

Un maquillage électrique avec l'eyeliner bleu So'Bio Etic

Comme vous le savez, je ne suis pas très cosmétique bio. J’utilise quelques soins mais parce qu’ils sont bien pas parce qu’ils sont bio. Mais pour le maquillage, jusqu’ici j’étais totalement réticente. Déjà, je trouvais les couleurs la plupart du temps soporifiques et puis j’avais testé un truc un jour et même si la teinte était sympa, elle n’était pas du tout pigmentée. Donc, je préférais rester sur mon make-up classique. Et puis cet été, So’Bio Etic a sorti un eyeliner bleu électrique et là je me suis dit qu’il fallait absolument que je vois ça (impossible de résister à l’appel du bleu). Alors, même si je trouve que les eyeliners de couleur ne me vont pas, j’ai profité des vacances pour oser un maquillage bleu encore plus voyant que d’habitude.
Je me suis demandée avec quoi l’associer et puis finalement, j’ai opté pour un total look bleu : le liner Bleu Electric donc, la palette Ombres Lumières Ondine N°5 d’Yves Saint Laurent (ma préférée) et le crayon 24/7 Deviant d’Urban Decay (que j’ai oublié de prendre en photo). Alors autant je trouve que le noir, le Zero, n’a aucun intérêt, autant celui-ci (ainsi que de nombreuses autres couleurs) est superbe. Avec tout ce bleu, j’ai décidé de faire dans la simplicité. Même si c’est la teinte que j’aime le moins dans la palette, j’ai opté pour le bleu clair (celui au centre) de la palette YSL que j’ai posé en aplat sur la paupière mobile. Puis j’ai fait un trait de liner électrique au ras des cils supérieurs et posé le crayon Deviant dans la muqueuse (bon, la photo a été prise en fin de journée donc il n’en reste plus trop) et au ras des cils inférieurs.

Le résultat est vraiment flashy ! Bizarrement encore plus voyant que quand je pose du bleu ou du turquoise en aplat. Il faut dire que même la teinte claire d’Yves Saint Laurent est hyper pigmentée (ce qui est plutôt rare pour les fards clairs). En plus, j’avais posé la Primer Potion Sin en dessous ce qui a encore décuplé son côté irisé. Le Deviant est également totalement vibrant (mais ça je le savais, il m’accompagne depuis quelques étés). Mais la couleur de l’eyeliner n’a pas à rougir non plus niveau flashy. Il porte bien son nom. Ca c’est de l’électrique ! Même si c’était hyper tape à l’œil, j’ai trouvé que ça passait bien. Mais je pense que c’est parce que c’est les vacances et qu’il fait super beau, donc j’ose plus et j’assume aussi plus. A Paris et dans la vie quotidienne, j’aurais peut-être un peu plus de mal.



(en haut avec flash, en bas sans flash)



Mais même si j’aime bien la couleur de ce liner, je ne suis pas sûre qu’il soit fait pour moi. Son pinceau et sa texture ne sont pas adaptés à une handicapée du liner comme moi. C’est simple, je n’arrive à faire des traits corrects qu’avec des feutres à la pointe bien dure ou au pinceau (question d’habitude), avec tout le reste à cause de ma main tremblotante, je me plante et ça devient une vraie galère. Et justement, celui-ci, la pointe n’est pas du tout dure, c’est un pinceau et j’ai eu bien du mal à le maîtriser. Il est trop mou, ça partait dans tous les sens, ça a été une plaie pour faire un trait à peu près fin et droit. En plus, la texture est hyper liquide et donc quand tu sors le pinceau il est gorgé de bleu, beaucoup trop, ça a tendance à faire une grosse tache à l’endroit où tu le poses en premier. Il faut donc essorer le pinceau comme avec un vernis mais pas trop quand même sinon il faudra reprendre de la matière. J’avoue n’avoir jamais eu affaire à une texture aussi liquide et ce n’est pas pratique. Surtout qu’elle ne sèche pas tout de suite une fois posée, forcément, donc faut attendre un peu yeux fermés pour que ça sèche sinon ça fait des transferts ou des gros pâtés et il faut tout recommencer. On voit d’ailleurs sur l’une des paupières que je me suis plantée. Conclusion : la couleur est top mais il faudrait quand même un peu bosser sur la texture, surtout pour les nulles comme moi.

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jeudi 18 août 2011

Mon vernis voit rouge à cause de la chaleur

Mes vernis ne tenant pas sous cette chaleur accablante (36° quand même aujourd’hui. J’ai voulu fuir Paris pour le soleil, je suis servie), c’est la valse des couleurs et vous avez droit à une batterie de tests. Tant mieux, je rattrape un peu mon retard sur un stock à tester conséquent. Après deux oranges, j’avais envie de revenir à quelque chose de plus classique et plus féminin car je devais assister à un baptême (donc le flashy aurait été un peu malvenu). Comme mon sac à main avait du rouge, j’ai bien évidemment assorti mon vernis. J’ai opté pour le vernis Revlon Red de Revlon, lui aussi reçu lors du déjeuner découverte de la boutique Amazon Beauté (comme la jolie palette gris/verte testée il n’y a pas longtemps). Celui-ci appartient à la ligne classique.
Niveau couleur, c’est un très beau rouge, très glamour et classe, qui va sans conteste rejoindre ma collection de rouges. Je pense qu’en hiver, je le porterais souvent. Pour l’été, à part pour les grandes occasions où il est parfait, j’ai quand même envie de choses plus pétantes. Mais c’est un classique. Pour l’application, il est aussi très bien. A une couche, on peut avoir une opacité parfaite. Mais moi je préfère toujours mettre une première couche hyper fine et que la couleur prenne vraiment à la deuxième. En revanche, la chaleur a encore fait des siennes (c’est une malédiction, et je ne comprends toujours pas pourquoi je n’ai des problèmes que sur les mains que ce soit sur la tenue ou la texture, sur les pieds niet). Le dernier OPI était devenu pâteux et manquait donc de brillance. Pour éviter ça, cette fois j’ai décidé de remettre du top coat. Eh bien, ça a fait des bulles. M’énerve ! Et ça a mis hyper longtemps à vraiment sécher. C’était sec mais pas vraiment, ça n’était pas complètement dur donc plus fragile. Résultat, le premier accroc est apparu rapidement. Mais depuis qu’il a durci (genre un jour plus tard), ça va mieux.

En gros, vu les effets secondaires dus à la chaleur, la valse des vernis va continuer de plus belle. Mais comment elles font dans les pays chauds pour avoir une manucure impec ? Pourtant, je fais tout bien comme il faut : je l’applique le soir, à l’intérieur (parce que dehors sous le soleil, c’est la cata assurée). Mais même comme ça, ça ne passe pas. Grrrrrrr…

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mercredi 17 août 2011

Un maquillage du regard pour les jours de canicule

Bon, faut que je t’avoue quelque chose : quand il fait très très chaud, je fais des infidélités au bleu et au turquoise. En fait, par peur du coulage dû à la transpiration (oui, je sue des paupières, je suis une espèce un peu particulière), je préfère m’orienter vers des teintes avec lesquelles ça ne se verra pas. Mais pas nude rose ou beige pour autant, nan, c’est trop chiant pour moi, je ne change pas non plus totalement de personnalité. Non, plutôt du doré, du bronze ou du cuivré et des teintes sable/terre. Ca tombe bien, j’ai emporté avec moi l’Ombre Stellaire Mono Golf Leaf de Thierry Mugler, de l’or pur. Je l’avais en stock depuis longtemps sans jamais y avoir touché mais avoir les Ombres Stellaire Sparkling en main m’a donné envie de m’en servir enfin.
Comme je n’allais pas non plus l’utiliser seule (le regard trop nu même par 40°, c’est no way pour moi), je l’ai mariée avec l’Aqua Liner n°6 de Make Up For Ever, un bleu marine diamant (c’est-à-dire légèrement pailleté/irisé). C’est vrai, cette chaleur de malade, c’est l’occasion parfaite pour les mettre à l’épreuve. Et autant sur Paris, le liner coloré ce n’est pas trop mon truc, là c’est les vacances, on peut se lâcher. J’ai donc fait au plus simple : ombre dorée sur la paupière mobile et trait de liner au ras des cils supérieurs. Je trouvais le ras des cils inférieurs un peu nu, ça me faisait bizarre (question d’habitude), donc j’ai voulu rajouter un trait de liner mais j’y suis pas arrivée, j’ai donc fait un truc un peu flou un peu baveux (et pas forcément judicieux). Mais bon, ça passe quand même et le résultat est plutôt pas mal finalement. Le liner de couleur bleu foncé, c’est plutôt bien non ? Ca change ?






Pour ce qui est de la tenue de l’Aqua Liner, sur moi, c’est pas trop ça. J’ai pris les photos à la fin de la journée et il s’était beaucoup estompé. Le trait était un peu passé, j’ai dû en remettre pour que ce soit bien pigmenté pour les photos (mais on voit quand même sur un œil que l’intensité s’est affadie). En fait, je trouve qu’il faut repasser plusieurs fois sur son trait pour avoir une teinte bien pigmentée, sinon elle reste quand même transparente, c’est dommage. Surtout que vu ma dextérité, je n’aime pas trop repasser justement, c’est des risques en plus de se rater. Même si là je suis plutôt fière de mon trait. Car j’ai un peu du mal à maîtriser la pointe de ces liners (je sais, je suis bien la seule). Je n’y suis pas habituée. J’y arrive mieux pas exemple avec un pinceau. Après, pour l’intensité, je me demande aussi si ce n’est pas parce que j’oublie de mélanger une fois sur deux avant de l’appliquer donc les pigments ne prennent pas sur le pinceau et restent au fond du tube (il y a bien écrit agiter avant utilisation mais sur mes autres liners, j’ai pas à le faire, et là encore la force de l’habitude fait que j’oublie très souvent). Mais j’ai quand même remarqué que l’intensité et la tenue dépendait des teintes. J’en ai emporté d’autres avec moi, je continuerais donc mes tests pour voir.






Pour ce qui est de l’Ombre Stellaire, la couleur est vraiment intense, très belle, mais la texture est bizarre. C’est un fard donc tu t’attends à une texture compacte mais quand tu trempes ton pinceau dedans ça s’effrite. En fait, elle porte bien son nom Gold Leaf, il y a effectivement un côté feuille d’or dans la texture. Donc il faut presque l’utiliser comme si c’était un pigment : t’en prends petit à petit et tu tapotes zone par zone sur la paupière mais tu ne balayes pas (mais moi j’aime bien balayer quand je suis pressée). Alors, vu la texture, je m’attendais à un truc un peu fade mais en fait non, c’est bien super intense, c’est juste la technique d’application qui est légèrement différente. Finalement, c’est donc un peu anecdotique. Après, je préfère quand même les Sparkling black et leurs reflets déments, celle-ci est un peu plus classique (mais bizarrement coûte plus cher).

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mardi 16 août 2011

Road Trip aux Etats-Unis avec les vernis OPI

Flash news pour toutes les OPI maniaques comme moi, la collection automnale de la marque est sortie depuis début août. Pour celles qui ont raté le coche (mais je vous connais, ça m’étonnerait), elle s’appelle Touring America et est inspirée d’un road trip aux Etats-Unis. Je vous en parle même si on est encore en plein été car même si elle est majoritairement composée de teintes foncées, il y a aussi trois vernis aux couleurs estivales que j’avais envie d’étrenner maintenant. Les OPI ça réveille l’impatiente qui est en moi. J’avais déjà craqué pour le « I Eat mainly Lobster » un super corail et j’ai emporté avec moi en vacances « Are We There Yet ? »
C’est un joli orange pas trop flashy et comme son copain corail légèrement pailleté (mais ça ne se voit presque qu’au soleil). Il est sympa pour l’été. Pour l’hiver, j’ai un peu plus de doute. En revanche, il ne casse pas non plus la baraque. En orange, chez OPI, je préfère de loin « A Good Man-Darin is Hard To Find » de la collection printemps je crois de l’année dernière. Il est un peu plus foncé et pepsy.

Bon, faut dire que celui-là aussi a été mal servi. On le sait les vernis n’aiment pas trop l’été et la chaleur et là il en a pour son argent, pas loin de 35°. Donc à l’application, on a vu mieux (il s’est fait un peu gluant). Pourtant, j’étais à l’intérieur (mais pas bien éclairée, ça n’aide pas à voir ce qu’on fait). Le séchage et la tenue ont aussi été un peu perturbés. Il n’est pas totalement dur et est déjà abîmé au bout de quelques jours. Mais je sais que ça ne vient pas de lui mais des conditions climatiques. Celui que je portais avant ayant eu un pareil sort funeste. Ce qui est bizarre, c’est que sur les pieds je n’ai pas ce problème. Une autre étrangeté du monde de la beauté. Heureusement, j’ai emporté mon stock de vernis parce que je crois que je vais changer souvent pendant ces vacances. Le seul hic, c’est que ça va être dur de juger leur vraie tenue et facilité d’application. Mais avec le soleil, au moins, on voit bien la vraie couleur.

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dimanche 14 août 2011

Un petit beauty trip avec Alice au pays des palettes



Lectriçounette, je te préviens, je pense que ce que tu vas bientôt lite, tu ne vas pas t’en remettre. Faut dire que ça paraît totalement fou. Enfin pas pour un esprit lambda. Mais pour le cerveau d’une beauty addict, c’est totalement incompréhensible. Et pourtant, je l’ai fait. Quoi ? Eh bien, figures-toi que même si ça fait plus d’un an que j’avais la sublime palette de fards à paupières Alice au Pays des Merveilles d’Urban Decay en ma possession, je ne l’avais jamais utilisée jusqu’ici. Je t’avais dit que c’était totalement dément. Je l’ai pourtant sortie à plusieurs reprises, prête à m’en servir mais à chaque fois je l’ai reposée avant d’y tremper mes pinceaux. Soit parce que je ne savais pas que faire devant tout ces fards, mon manque d’imagination me faisant reculer, soit parce que son format extra large était vraiment pas pratique pour me maquiller dans ma salle de bains.
Et puis là, je me suis dit au diable ! Il était temps d’étrenner cette merveille. Pour cette première, je me suis forcément tournée vers le turquoise. C’est un peu la star de cette palette faut dire puisque c’est lui qui a eu l’honneur d’être renommé Alice. Je vous entends déjà dire : « ah, si c’est un maquillage turquoise on va encore avoir droit à un monochrome et à de l’aplat ! ». Eh bien, que nenni mauvaises langues ;). A palette exceptionnelle, j’ai décidé d’innover un peu (mais pas trop quand même. C’est l’été mais je ne voulais pas pour autant virer perroquet). Je l’ai donc marié avec le fard Jabberwocky, tout en bas à droite, un noir pailleté. J’ai également utilisé les deux crayons fournis avec la palette, Zero, le noir, et Flipside, le vert turquoise (le turquoise turquoise, un peu plus bleu donc, s’appelle lui Electric si ma mémoire est bonne).



J’ai d’abord appliqué le turquoise sur toute la paupière mobile puis le noir en outer V (en gros dans le coin externe) puis je l’ai remonté un peu dans le coin. J’ai blendé et flouté mais me suis un peu loupé sur le coup. J’avoue que comme j’étais pressée, je l’ai un peu vite fait et donc pas bien fait. M’enfin de loin, ça passait. J’ai ensuite posé le crayon Flipside au ras des cils inférieurs et le zéro au ras des cils supérieurs et dans la waterline. Bon, comme d’habitude, autant sur la paupière, les crayons sont vraiment top, autant sur la muqueuse, chez moi ça le fait pas. Faut que j’en remette vingt fois pour vraiment la noircir et ça ne tient pas longtemps. De toute façon, vous le savez qu’en crayon noir waterproof, je préfère mille fois le Clubbing de Bourjois, bien meilleur à mon goût (en tout cas sur moi). En revanche, le flipside, je ne l’avais pas encore, mais il est sublime, je l’adore. Il n’est pas tout à fait de la même couleur que mon fard à paupière chouchou qui porte le même nom mais il est quand même très beau.

Pour ce qui est des fards en eux-mêmes, je n’ai qu’un mot à dire : waouh ! Bizarrement, ça faisait un bout de temps que je n’utilisais plus de fards Urban Decay (quelle erreur !). Pas parce que j’avais été déçue, c’était juste le fruit du hasard. Et j’avais oublié à quel point, ils étaient de super qualité. Cette pigmentation, c’est un truc de ouf ! Ca m’a même surprise pour te dire ! Je ne m’y attendais tellement plus que j’ai mis bien trop de fard sur le pinceau les premières fois. Et une fois sur l’œil, cette couleur et cette luminosité ! En voyant ça, on comprend tout d’un coup pourquoi toutes les beauty addicts sont toutes émoustillées dès que la marque sort une palette et se battent pour l’avoir. Et le combat va continuer avec la prochaine sortie de la palette Year Anniversary. Moi, en attendant, je vais profiter un peu plus de celle-ci qui a encore beaucoup de choses à m’offrir.

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jeudi 11 août 2011

Coup de coeur pour la Crème Pulpe Mains Castanha de Natura

Dans mon sac de beauty addict, on trouve toujours un baume pour les lèvres et une crème pour les mains. Même si je ne les utilise pas forcément tous les jours, j’aime avoir ces deux produits de secours au cas où. Le baume, il peut même m’arriver d’en avoir plusieurs, en bonne accro. Pour la crème, je suis plus pointilleuse. Je n’en ai toujours qu’une seule et il faut que ce soit un mini format. Il faut dire que je transporte en général ma maison dans mon sac, il est donc déjà bien assez lourd comme ça. Jusqu’ici, c’était la mini Crème Main Karité de L’Occitane qui m’accompagnait mais elle a rendu l’âme le mois dernier. Il fallait donc lui trouver une remplaçante. J’avais bien la Crème Pulpe Mains Ekos Cacau de Natura ouverte mais son maxi format n’était pas forcément pratique à transporter. C’est ma crème chouchoute à la maison mais pour l’extérieur, elle est trop lourde.
Et puis pour fêter les vacances, j’ai reçu un petit kit de 3 crèmes pour les mains Natura Brasil, de 3 senteurs différentes (hum, seraient-ils devins chez Natura ? En tout cas, merci, ça tombait justement à pic). La logique aurait voulu que j’adopte immédiatement le parfum Cacau. Mais non. En fait, même si j’adore cette senteur, je trouve qu’elle est plutôt faite pour l’hiver car elle est un peu capiteuse et enveloppante. Là, j’avais envie de quelque chose de plus léger. J’ai donc voulu tenter la Castanha et, bonne pioche, ça a été le coup de foudre au premier reniflage. C’est un peu plus doux et léger que le cacau, parfait pour l’été. Natura décrit son parfum comme un mélange d’amande et de biscuit cuit. Plutôt appétissant. Bon, moi je ne sens pas ça, mais je suis un peu nulle pour décrypter les odeurs. J’ai l’impression qu’il y a comme un fond de noisette mais va savoir ! Tout ce que je peux te dire c’est que j’aime. Niveau qualité, cette crème ne m’a pas déçue non plus : comme sa grande sœur elle laisse mes mains douces et nourries (et qui sentent bon) et elle pénètre super rapidement. Tu te doutes donc que je l’ai rapidement adoptée et qu’elle ne quitte désormais plus mon sac.

Le seul bémol, c’est que cette version petit format n’est plus en vente actuellement. Ce kit de 3 crèmes mains était en effet une édition limitée de noël dernier et n’existe donc plus, en tout cas sur le site. C’est bien dommage car non seulement ces miniatures sont vraiment pratiques mais les deux autres parfums, dont le cacao, sont top aussi. Ca permettait ainsi de varier les plaisirs (en gros, un peu comme avec L’Occitane, il faut faire le plein à noël). Mais heureusement, elle existe toujours en format normal (et très généreux) parfait pour notre table de chevet. Or pour moi, jusqu’ici, les Natura sont sans conteste parmi les meilleures crèmes mains que j’ai jamais testé : parfum, hydratation et vitesse de pénétration, elles ont tout bon. Et je précise quand même pour celles qui douteraient : non, il n’y a pas de favoritisme parce que c’est un cadeau. C’est parce qu’elles ont fait leurs preuves que je les aime, point. Enfin, j’ai précisé mais je pense que vous le saviez déjà maintenant que ça n’entrait pas en ligne de compte.

Et vous, c’est quoi votre crème pour les mains favorite ?


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mercredi 10 août 2011

Vernis : une orange douce amère

Je crois qu’ils ne sont plus en vente (ça m’apprendre à m’y prendre toujours avec trois trains de retard) mais comme j’étais dedans je continue mon exploration des vernis de la collection Jardin des Nymphes d’Yves Rocher avec le deuxième mini pouce en ma possession. Cette fois, on quitte le vert abysse pour une teinte beaucoup plus estivale : Orangé doux.
Comme son frère, il a aussi un pinceau miniature ce qui rend l’application périlleuse mais faisable quand on a pris le coup. Franchement, j’ai eu moins de mal avec lui qu’avec certains vernis taille normal et qui m’ont donné du fil à retordre ces derniers temps. Ici, à deux couches tu as une vraie opacité et uniforme (apparemment, c’est beaucoup demander de nos jours). En revanche, sur la tenue, lui non plus c’est pas trop ça. Peut-être est-ce parce que je ne mets pas de top coat en ce moment. Et c’est vrai que ménage pré-vacances + valises, c’est un cocktail violent pour les ongles mais quand même : au bout d’un jour, il est déjà usé aux extrémités sur certains doigts.


Alors certes la couleur est jolie : un orange acidulé pas trop flashy et donc portable par toutes. Mais contrairement au vert, je trouve qu’elle n’est pas assez originale pour rattraper ses faiblesses. Donc, à mon sens ce n’est pas un indispensable. Sympa mais sans plus.

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mardi 9 août 2011

Vacances oblige, mon make-up se met aussi au vert

Il y a quelques temps, je vous montrais un maquillage dans les tons gris (comme les jours de pluie du mois de juillet) fait avec la palette ColorStay Steel Impressions de Revlon. Composée de quatre teintes : un blanc, deux gris et un vert, j’avais alors mis les gris à l’honneur pour aller avec la météo et mon humeur. Mais le vert m’intriguait. C’est vrai, au début, on se demande un peu ce qu’il vient faire là. Mais en fait, c’est lui qui fait tout le sel de cette palette. C’est vrai, des gris, il y en a partout mais gris + vert, c’est plus rare.
Cette fois, j’ai donc voulu faire un maquillage qui mette en avant ce vert profond. Mais je n’ai pas utilisé les quatre teintes comme la dernière fois, juste trois, c’est déjà pas mal. Et comme toujours, j’ai fait dans la simplicité. J’ai d’abord posé le vert sur toute la paupière mobile puis j’ai intensifié le coin externe de l’œil avec le fard gris foncé que j’ai un peu fait remonter dans le creux (d’ailleurs comme d’habitude, plus d’un côté que de l’autre. Je crois que je n’arriverais jamais à une parfaite symétrie). J’ai fait un retour au ras de cil inférieur avec le vert et déposé une touche de blanc dans le coin interne pour illuminer. Bien sûr, j’ai terminé par mon trait de liner habituel et du khôl dans la muqueuse (je n’arrive pas à faire sans).



(en haut avec flash, en bas sans flash)



Comme lors de ma première utilisation, je suis très satisfaite de ces ombres. Elles s’appliquent avec une facilité déconcertante, pas besoin d’en remettre 10 couches, et sont tout aussi aisées à travailler. Le tout avec peu de chutes. C’est de la très bonne qualité. Egalement séduite par le vert qui est très beau et qui à mon avis le sera encore plus avec une base noire en dessous. Peut-être un prochain make-up très bientôt ? Ce quatuor a en effet fait le voyage des vacances avec moi.
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