dimanche 31 mars 2013

Je garde, je jette : le bilan beauté de mars 2013


Que le temps file vite. Nous voilà déjà fin mars. Certes, il est difficile de croire que nous sommes déjà au printemps alors qu’on se les pèle limite plus qu’en plein cœur de l’hiver et pourtant… Bref, pendant que vous dévorez vos œufs de Pâques (et avant de passer aux blagues pas drôles du 1er avril), je vous propose de retrouver le bilan cosmétique du mois qui vient de s’achever.


Comme chaque fin de mois, faisons le point sur les produits de beauté terminés les 30 derniers jours. Une fois encore mars n’a pas fait exception et j’ai atteint ma moyenne de 7 cadavres. Bon, ok, une fois encore, j’ai un peu triché pour atteindre ces 7 victimes (en retrouvant un mort au combat depuis longtemps). Mais chut, ne le répétons pas et passons tout de suite aux choses sérieuses. Ces produits en question, je les garde ou je les jette. Ou plutôt je rachète ou pas ?


Lip Glow Dior Addict, Dior
OUI
Miracle, j’ai fini un produit de maquillage ! Double miracle, il s’agit même d’un rouge à lèvres ! Je crois que c’est le deuxième rouge à lèvres que je finis dans ma longue vie de beauty addict, c’est tout dire. Et le fait que j’en sois venue à bout est la preuve que j’aimais beaucoup ce produit finalement. Alors oui, je le rachèterais sans hésiter. Comme tu dois t’en douter, c’est un produit assez vieux (4/5 ans je dirais) mais il existe toujours, je ne dois donc pas être la seule fan. Ce Color Reviver Balm n’est pas un rouge à lèvres comme les autres. Le raisin est rose clair mais une fois appliqué la couleur change (je ne sais plus si c’est selon le pH ou la chaleur). Résultat : il est différent sur chaque femme. Sur moi, c’était un rose assez soutenu très sympa. Dont je ne me lassais pas, ainsi contrairement à la plupart de mes rouges à lèvres qui vont et viennent dans ma trousse de maquillage, celui-là ne l’a jamais quittée. Tu sais que j’aime les rouges à lèvres qui « s’adaptent », eh bien celui-ci fait partie de mes préférés.


Crème Lavante Mains Anti-Dessèchement Savon d’Alep & Miel d’Acacia, Ushuaïa
NON (quoique)
Je t’ai dis à plusieurs reprises que j’aimais beaucoup la gamme de savons pour les mains Ushuaïa. Et je confirme. Tu dois alors te dire : « euh mais elle perd la tête, si elle les aime tellement pourquoi ce non ». Tu t’en rappelles peut-être aussi je déteste le parfum du miel. Plus qu’une simple détestation, c’est presque viscéral, ça me provoque limite des hauts le cœur. Alors forcément, avec ce savon ça a été un peu compliqué. Enfin, surtout au début. Bizarrement, il ne laisse un fort parfum sur les mains que lors des premiers lavages. Après il se fait très discret (ça m’avait fait la même avec celui utilisé juste avant à la menthe). Heureusement finalement, j’ai ainsi pu l’utiliser sans rejet massif. Toutefois, je préfère tout de même me contenter des trois autres et laisser celui-ci de côté à l’avenir.


Douche Onctueuse Smoothie Care Lait, Cassis, Cranberry et Poudre d’Amande, Monsavon
OUI, si je pouvais
Il y a peu, en faisant du rangement, je suis tombée sur une boîte de vieux gels douche (moralité, ne jamais rien ranger sur le dessus d’une armoire au risque de l’oublier). J’ai quasi tout donné à ma sœur (à 4, ils descendent les gels douches beaucoup plus vite que moi qui en ai déjà une demi douzaine d’ouverts dans la salle de bains), sauf quelques-uns dont j’aimais particulièrement le parfum. Parmi les rares rescapés, celui-ci qui sent super bon. Une délicieuse odeur gourmande pas du tout chimique (comme j’aime quoi). Le hic, c’est que je crois qu’il n’est aujourd’hui plus en vente. Ce qui est bien dommage car c’était une jolie pépite. Du genre dont on ne se lasse pas.


Après-Shampooing Soin Intensif, Dove
OUI
Si tu es attentive à la rubrique « je garde, je jette », tu as peut-être remarqué que ce n’est pas la première fois qu’on retrouve cet après-shampooing par ici. Effectivement, j’en suis à mon 3ème flacon, ça en dit déjà beaucoup. Pas besoin donc de te faire un long discours sur pourquoi je l’aime. Sur mes cheveux difficiles, les après-shampooings Dove sont parmi les plus efficaces. Alors certes, ils contiennent du silicone mais au moins ils font le job (ce qui n’est pas le cas de ceux qui sont silicone free). Et après moult réflexions et crises de conscience, j’en suis arrivée à la conclusion que je préfère des silicones et garder mes cheveux que l’enfer du démêlage avec des produits sans.


Soin Crème Reconstituant Total Repair 5 Elsève, L’Oréal Paris
NON
Alors vu le nom du produit (il est écrit soin et non après-shampooing ou baume démêlant dessus), je ne sais pas s’il s’agit bien d’un vrai après-shampooing ou juste d’un soin rapide (sont pas clairs sur ce coup-là). Mais le flacon indiquant cheveux instantanément démêlés à l’arrière, je l’ai utilisé comme tel. Sauf que sur mes cheveux de l’enfer, l’instantané ne l’était pas tant que ça. Peut-être que s’ils avaient été plus courts et moins rebelles, ça aurait pu le faire. Mais en ce moment, ils sont particulièrement difficiles et infernaux. Je fais encore plus de noeuds que d’habitude, c’est pour dire (la preuve, je descends désormais deux flacons d’après-shampooings par mois, l’heure est grave). Trop de nœuds donc pour cet « après-shampooing ». Pour ce qui est du côté reconstituant de la formule, je ne pourrais te dire, difficile de juger en 15 jours et quelques shampooings.


Curl Curset Aqua-Mousse Dynamisante, L’Oréal Professionnel
NON
Je crois que je t’avais parlé de cette mousse pour les boucles, il y a pas mal de temps. Plus d’un an à mon avis car j’ai mis un bail à la finir. Il faut dire que je ne l’aimais pas du tout. Mes ondulations étant particulières (pas très prononcées et plutôt lâches), il est très difficile de trouver le bon produit pour elles. Ils faut qu’il soit assez fort sinon elles ne tiendront pas mais sans cartonner non plus. Bon point, cette mousse assez légère ne cartonnait effectivement pas. Mais elle n’était pas assez costaud pour mes ondulations. Résultat, au lieu d’avoir de jolies boucles rebondies, j’avais des vaguelettes qui ne ressemblaient pas à grand-chose. Après (si elle existe encore), elle pourra peut-être convenir à des cheveux vraiment bouclés qui n’ont pas besoin d’autant de fixation que moi.


Soin Milk Douceur Smooth Sensation, Nivea
OUI, s’il existe encore
Bon, j’ai un peu triché sur ce coup-là. En préparant ma valise pour Londres, j’ai ressorti ma trousse de beauté de voyage et j’ai retrouvé ce lait pour le corps que j’avais en fait terminé en Andalousie. J’avais complètement zappé et l’avais laissé dans mon vanity au lieu de le mettre dans ma boîte à produits terminés. Il n’était donc pas dans mon bilan de novembre ni dans ceux d’après. Je remets donc les compteurs à zéro aujourd’hui (me permettant ainsi d’atteindre mes 7 cadavres habituels). Pour ce qui est du produit, il s’agit d’un lait hydratant classique de chez Nivea. Il n’y a pas grand-chose à dire dessus, les laits corps de la marque étant très bien : ils pénètrent assez rapidement et laissent la peau douce et souple. Bon point : celui-ci sent particulièrement bon. Pas une odeur fantaisiste, un parfum de soin classique mais c’est bien aussi de temps en temps de revenir aux basiques. Et puis, ça permet de plaire à plus de monde.

Et voilà, c’en est fini pour le bilan cosmétique de ce mois de mars, assez mitigé finalement. Moi qui étais dans une série de bilans plutôt positifs ces derniers mois, le NON est de retour, même si ce ne sont pas non plus de grosses déceptions, juste des produits qui ne me conviennent pas. J’en garderais aussi la fierté d’avoir fini un rouge à lèvres. Ca ne risque pas de se reproduire de sitôt.

samedi 30 mars 2013

La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram et Facebook


Cette semaine, grosse révolution pour La Beauty Paresseuse : j’ai décidé d’enfin offrir au blog sa page Facebook (j’avais bien un compte avant mais je ne l’alimentais plus vraiment). Plus de trois ans après la naissance du blog, il était un peu temps d’entrer dans la modernité. Mais c’est tout moi ça, j’ai beau clamer que j’ai 21 ans (même si plus personne n’y croit, à raison) quand il s’agit des nouvelles technologies, j’en ai plutôt 90. Mon cerveau ne semble pas câblé pour les intégrer naturellement. N’empêche, comme j’étais lancée, je me suis aussi créé un compte sur Instagram. Je me suis dit que ces deux réseaux sociaux seraient un bon moyen pour rester connectée avec vous pendant mes deux jours à Londres mais aussi par la suite. Il y a en effet souvent des choses que j’ai envie de partager avec vous sur l’instant mais qui ne font ensuite plus sens plus tard ou ne méritent pas un article.

Les tea bags à l'image de la famille royale, j'adore, so chic.

Mais comme je débute, nous ne sommes pas encore beaucoup forcément. Je me suis donc dis que ce serait sympa de vous faire un petit résumé de ma semaine sur Facebook et Instagram. Ca pourrait même être notre rendez-vous du samedi, un casual Saturday en somme. Bon, alors forcément ce premier résumé est très londonien. Dans la vie de tous les jours, je n’ai pas encore tout le temps le réflexe du « partage » (en fait, je prends la photo mais j’oublie ensuite de la poster) mais je m’y mets petit à petit. Bref, c’est la phase de découverte. Sur Instagram, je découvre aussi les effets. J’ai d’ailleurs un peu tendance à abuser du flou artistique. Mais apparemment, ça se soigne.


Arrivée à King's Cross St Pancras à Londres. On est directement plongées dans le bain en entrant dans la boutique The Body Shop de la gare, la collection Leona Lewis que l'on vient découvrir (et qui sera lancée mi avril en France) vient en effet tout juste de sortir en Angleterre.


Arrivée à l'hôtel. On passe aux choses sérieuses avec la découverte de la collection et de la campagne Cruelty Free contre les tests sur les animaux dans l'industrie cosmétique.


Concert privé de Leona Lewis : Keep bleeding, keeeeeeeeeeeep bleeeeeeeeeeeeeeding love !


Dîner dans le quartier de Shoreditch, le it quartier londonien du moment, dans un mini restaurant caché dans l'arrière-salle d'une boutique de vêtements. So hype.


Dans le taxi (un black cab of course), au détour d'un pont, on tombe au loin sur Big Ben et le Palais de Westminster (Houses Of Parliament ou Chambres du Parlement). Cris d'hystérie. De nombreux voyages à Londres plus tard, ce bâtiment me fait toujours le même effet.


Rencontre avec Leona Lewis pour une interview en tête à tête. Angoisse puis joie (parce qu'elle est so nice et lovely donc le stress disparaît très rapidement).


Apparemment, quand t'es sur Instagram, impossible de manger sans photographier ton plat avant. Je fais donc ma blogueuse beauté lors d'une soirée de découverte des produits capillaires Klorane et immortalise mes jolies framboises.


Très jolie soirée d'ailleurs (je suis repartie avec des conseils pour essayer de dompter un peu mes cheveux qui s'emmêlent beaucoup trop et soigner mes pointes ultra-sèches, je vous tiens au courant). Le clou de la soirée : notre portrait par l'illustratrice Jeanne Gaullier, alias Calamity Jane. Je découvrais ce soir-là et je suis absolument fan. J'adore le mien mais ceux des copines sont tout aussi bien.

A la semaine prochaine pour un nouveau résumé Instagramien et Facebookien. Et en attendant, si vous voulez me suivre en direct, c'est par ici (faut que j'installe les boutons "réseaux sociaux" mais je n'ai pas encore trouvé comment, il faut me laisser le temps) :
Facebook : Journal d'une Beauty Paresseuse
Instagram : LABEAUTYPARESSEUSE

vendredi 29 mars 2013

D'Urban Outfitters à Primark, en passant par TopShop : Londres en mode shopping


Me voilà de retour après ces deux super journées à Londres (et une journée à dormir pour récupérer). C’était vraiment top, tellement que vous risquez d’en entendre beaucoup parler sur le blog. Mais aujourd’hui, je ne vais pas entrer dans le vif du sujet de cette immersion dans l’univers The BodyShop et de notre rencontre avec Leona Lewis. Il me faut encore un peu de temps pour me remettre de mes émotions. Alors en attendant, pour bien commencer ce week-end prolongé, je vous ai concocté un petit article sur mon shopping londonien.
 
  
Car bien évidemment, impossible pour la shopping addict que je suis d’aller à Londres sans faire une razzia dans les magasins. De toute façon, c’est un peu mon mode opératoire depuis quelques temps : si je n’achète quasi rien à Paris, je dévalise les magasins quand je voyage. New York, Andalousie, Londres, à chaque fois, j’en reviens avec des sacs pleins de nouvelles acquisitions. Et ce nouveau mini trip londonien n’a pas fait exception. Car nous avons eu la chance d’avoir quelques heures de libres dans l’après-midi du deuxième jour. J’ai donc forcément fini à Oxford Street. C’est un peu mon point de chute obligé à chaque fois que je traverse la Manche. Au début, j’avais tout de même hésité entre deux heures de shopping intensif et flâner dans les rues pour profiter de la ville. Mais il faisait malheureusement trop froid pour jouer les touristes. Par instinct de survie, j’ai donc cherché la chaleur des magasins.


D’ailleurs, je n’ai pas attendu notre temps libre pour m’y mettre. L’interview de Leona Lewis avait en effet lieu à Westfield, un des plus grands centres commerciaux d’Angleterre. Après ma rencontre avec la chanteuse, j’ai donc filé faire les boutiques en attendant que les copines aient fini. J’ai ciblé les boutiques de marque n’étant pas vendues en France. C’est ainsi que je me suis retrouvée chez Dorothy Perkins et que j’ai failli acheter un joli sac noir à franges… imaginé par les sœurs Kardashian. Quand je suis tombée sur le logo KK (pour Kim Kardashian ou même Khloé), je l’ai quand même reposé vite fait.


Finalement, j’ai trouvé mon bonheur dans une boutique qui je crois s’appelle Republic, en tout cas selon le sac. Je me promenais un peu au pif donc je n’ai pas forcément fait attention où j’entrais. En soi, les vêtements n’y sont pas forcément waouh, ils sont assez classiques. Les collections d’autres marques ont plus attiré mon œil mais au final elles n’ont pas provoqué d’achat.


Alors que chez Republic, j’ai trouvé une jolie petite robe de vieille (en revanche, sur l'étiquette, il y a écrit Glamourous, marque ou ligne ?). Je l’appelle gentiment comme ça parce que les motifs géométriques et aussi le noir et blanc ne font pas vraiment djeun’s. Mais en fait je l’aime beaucoup. Elle n’est pas trop habillée mais elle est quand même élégante. En plus, elle a la bonne longueur. Car je commence à me faire un peu vieille pour les robes courtes qui risquent de dévoiler ta culotte au moindre mouvement. Bref, c’est une robe pour une fille (ok, femme) de mon âge. Bon, là, sur un cintre, elle ne ressemble à rien donc vivement le soleil pour la version « portée ».


Nous avons ensuite filé sur Oxford Street et là mon premier arrêt a été non pas Topshop mais Urban Outfitters of course. J’adore cette enseigne. Bon, les prix sont un peu élevés mais j’y trouve toujours un ou deux petits trésors en solde. Il y a quelques années à Londres j’y avais dégotté un super sac (que j’avais malheureusement ruiné) et je porte sans arrêt les deux robes achetées dans celui de Washington.


Et cette fois n’a pas fait exception : je suis tombée sur un adorable petit sac vert à franges en daim (ou suédine). Il est trop beau et en plus il était en soldes. Alors même si à la base, je voulais un grand sac, tous les miens étant morts, et que dans celui-là, je mets à peine mon portefeuille, j’ai craqué.


En revanche, j’ai joué la voix de la raison pour la pas du tout Défraîchie Alphonse, qui m’avait rejoint pour ce shopping éclair. J’ai dû lui arracher une banane des mains avant qu’elle ne passe à la caisse. Ok, elle avait des franges et des clous mais quand même. (Je plaisante bien évidemment, Alphonse a une classe incroyable et si elle porte la banane avec grâce, c’est juste pour la photo.)


Bref, ça a été le début du grand n’importe quoi pour nous. On a ensuite filé à Topshop essayer des diadèmes (parce qu’on fait partie de la royauté blogosphérique, il nous fallait donc notre couronne ;)). Mais comme tu le sais, depuis la Révolution, l’aristocratie n’a plus un sou vaillant, alors, après avoir défailli devant les prix des accessoires, nous avons filé à l’anglaise. Eh oui, je n’ai rien acheté chez Topshop ! D’ailleurs, je ne comprends pas pourquoi, je continue à y aller à chacun de mes séjours à Londres car cette enseigne est quand même le truc le plus surfait de la planète fashion. Nan parce que c’est quand même affreusement cher pour ce que c’est : en gros pour de la qualité H&M, tu paies un bras. La moyenne des prix des accessoires tournait ainsi autour de 20/40 livres. Pour les bijoux fantaisie hein, pas pour les sacs. Non, les sacs, fallait taper encore plus haut (200 livres pour un sac qui m’avait tapé dans l’œil et que j’ai reposé aussitôt). Non, les 50 €, c’était pour un collier ou un bracelet. Bref, de l’abus. Et si je suis snob, je ne le suis pas au point de surpayer quelque chose juste parce que c’est in.


Nous avons donc filé fissa à Primark ou les prix sont beaucoup plus raisonnables. Ne vous y trompez pas, ça ne me dérange pas de payer quelque chose cher. Mes coups de cœur Castelbajac, je sors le chéquier sans une hésitation à chaque fois. Mais chez moi, certaines choses ont une durée de vie très limitée : les collants (je les troue, même ceux en laine, je suis une Mme catastrophe qui accroche son collant à tout ce qui est pointu), les bijoux (je les perds), les sacs (je les ruine en un rien de temps, tous, même ceux en cuir payés très cher donc je préfère désormais ne pas trop investir). Je me dis par conséquent que cela ne sers à rien d’y laisser un rein. Je shoppe malin quoi.


Primark par exemple, j’y allais d’abord pour faire une razzia sur le rayon collant. J’avais entendu dire qu’ils étaient hyper pas chers là-bas. Parce qu’à chaque fois, ça me fait mal de trouer le collant que j’ai payé 10 € chez H&M alors que je ne l’ai mis qu’une ou deux fois (sachant que 10 € ici c’est le petit prix, et ne me dites pas d’aller dans les plus chers pour avoir une meilleure qualité, je les troue aussi ceux-là, ça ne sert à rien à part perdre de l’argent). Bref, la rumeur disait vrai, j’ai donc blindé : les collants en voile sont à 3 livres les 3 (environ 5 €) et ceux en coton à 2 livres chaque. Je regrette presque de ne pas en avoir pris plus mais je n’étais pas sûre de ma taille, j’ai donc préféré être raisonnable.


Nous sommes ensuite tombées sur le rayon collants fantaisie et là j’ai craqué sur les classiques plumetis mais aussi sur le motif Mickey. Trop fun ! Je te l’accorde, il n’est pas forcément facile à porter mais impossible de lui résister. D’ailleurs, je suis dégoûtée car il y avait aussi un motif moustache mais il n’y avait plus ma taille. Snif. Bon, je ne sais pas s’ils sont très qualitatifs, le voile a l’air très fin (de toute façon, la plupart de mes collant en voile fin me font la journée pas plus) mais leur prix était assez raisonnable par rapport aux collants des autres enseignes alors je ne me suis pas privée.


En revanche, je n’ai pas trouvé de diadème mais j’ai craqué sur un bracelet fantaisie à 4 livres au lieu des 40 chez TopShop. C’est fou quand même cette différence de prix qui est limite choquante car les accessoires des deux chaînes sont en toc. Bon, peut-être chez Primark, le style est moins edgy mais il y a aussi des choses très moches chez TopShop. Après c’est aussi moins chic de dire que t’as acheté chez Primark mais je m’en fous, moi je suis très fière de mes bonnes affaires.


Typiquement, ce bracelet tel quel ne me plaisait pas entièrement. J’ai surtout flashé sur les deux petits bracelets turquoises, surtout celui avec les têtes de mort. Eh bien, à ce prix-là, je n’ai aucun regret de virer la moitié du truc pour ne garder que les bracelets que j’aime.


J’ai un truc d’ailleurs avec les têtes de morts car en passant par le rayon foulards, j’ai craqué sur une grande étole imprimée de crânes colorés type aztèque. J’adore. J’hésitais avec une autre où les crânes étaient plus classiques puis finalement j’ai opté pour celle-ci plus originale. Mais vu leur prix (4 livres donc dans les 7/8 €, je regrette presque de ne pas avoir pris les deux).


Bien sûr, peut-être que niveau qualité, ce ne sera pas forcément ça (je vous dirais), mais vu que j’ai tendance à perdre mes petits accessoires (je sème par exemple écharpes, gants et bonnets, je suis tête en l’air et chers ou pas, je les oublie souvent « quelque part », oui, je suis un boulet), encore une fois, ça ne sert à rien d’y mettre le prix.


Je me dirigeais donc toute contente vers la caisse avec mes trouvailles quand je suis tombée sur une housse de couette et ses taies d’oreiller imprimés moustache. Tu sais cette moustache que l’on voit partout et qui représente un peu le hipster. Depuis quelques temps, elle m’obsède un peu, j’ai envie d’un collier et d’une bague moustache. Alors forcément, impossible de résister, j’ai craqué. Rien que d’imaginer mon lit habillé de toutes ces moustaches, je suis en joie. Conclusion : je me suis bien fait plaisir et au final j’en ai eu pour seulement 35 livres (50 € environ). En gros, le prix d’un mini accessoire chez TopShop. J’étais encore plus happy happy. Alors autant pour les vêtements, je dis pas, autant pour les petites accessoires et tous les petits trucs fun, Primark vaut vraiment le détour. Ca permet de vraiment se faire plaisir pour pas cher. De ma razzia londonienne, c’est limite ce dont je suis le plus fière (à égalité avec mon sac Urban Outfitters que j’aime beaucoup aussi). Et encore, si j’avais eu plus de temps, je me serais encore plus lâchée. Ah vivement que Primark ouvre en France ! Apparemment, c’est pour bientôt. En attendant, ça donne une excuse pour retourner à Londres.

jeudi 28 mars 2013

Comme un parfum d'été avec Fleur de Figuier de Roger & Gallet et la Cologne de l'Herboriste de Bien-Etre


Je ne sais pas vous mais pour moi le parfum c’est souvent une histoire de senteurs doudous, dans lesquelles je me sens bien ou qui me rappellent de bons souvenirs. Et justement l’une des mini tendance parfum du printemps me ramène en enfance (il y a fort fort fort longtemps). Petite coïncidence, cette saison, la figue est à l’honneur chez Roger & Gallet et chez Bien-Etre. C’est amusant ce genre de hasards. Surtout que la figue n’est pas un ingrédient très exploité en parfumerie, contrairement à d’autres qui sont partout. Il est vrai quelques parfums lui sont dédiés dans la parfumerie de niche mais elle se fait plus rare dans les créations grand public. Bref, la figue me rappelle mes vacances d’enfance. Il y avait un figuier dans le jardin du voisin qui dépassait sur le nôtre. Alors, avec ma sœur et ma meilleure amie, on allait piquer des figues et on s’en servait pour « allaiter » nos poupées. Gné, tu dois te dire ? Je m’explique : quand t’arraches une figue de son arbre, il y a une ou deux petites gouttes de lait (ça s’appelle d’ailleurs du lait de figue) qui s’échappe du fruit. Alors on faisait biberonner des figues à nos poupées quand elles avaient faim.

 Mais la figue m’a toujours accompagnée lors de mes vacances en famille. Bien plus tard, à chaque fois que mes parents apercevaient des figuiers sur le bord de la route lors d’un road trip, ils nous faisaient arrêter la voiture pour qu’ils aillent se servir à la source (mais chuuuut, il ne faut pas le répéter, ni dire que c’était prémédité car ils avaient toujours un petit sac destiné à recueillir l’objet de leur délit avec eux). La figue est donc synonyme de souvenirs de vacances de jeunesse pour moi. Elle a un petit côté nostalgique mais ce fruit d’été m’évoque aussi le soleil. Et alors qu’on l’attend justement avec impatience ce maudit soleil (parce que là franchement, ce début de printemps ne nous gâte pas vraiment, j’ai froiiiiiiiiiiiiid), les deux nouveautés à la figue de Roger & Gallet et Bien-être sont une petite bouffée d’été bienvenue. Prêtes à embarquer pour un voyage sur les rives de la Méditerranée ?
La figue est à l’honneur dans la nouvelle Eau Fraîche Parfumée de Roger & Gallet. Amande Persane reste mon parfum préféré de la marque, mais cette nouveauté est une très jolie découverte. La figue y est travaillée de manière élégante et différente. Les quelques parfums à la figue sur le marché exploitent son côté vert (plutôt le figuier que la figue finalement). Francis Kurkdjian, le parfumeur qui a élaboré le jus (c’est d’ailleurs un peu THE parfumeur, il est ainsi à l’origine de nombreux parfums très connus, mon préféré étant Le Mâle de Jean Paul-Gaultier) a plutôt voulu explorer la facette gourmande et lactée du fruit (son côté juteux et le fameux lait de figue) mais aussi la fraîcheur de l’arbre. Le résultat est un sillage frais et un peu piquant au début puis qui s’arrondit avec le temps, devenant plus gourmand. Mais pas les notes gourmandes too much qui te retournent le cœur. On n’est pas dans le gourmand régréssif, le « bonbon », ça reste chic.


Pour celles qui sont un peu plus calées en parfum, la pyramide olfactive commence par des notes d’agrumes. Forcément. Vu que je déteste le citron, je ne suis jamais emballée par les notes de têtes, en plus, au final, elles sentent toutes pareilles. Mais justement, pas ici. Si on a les classiques mandarine et pamplemousse, ils sont travaillés avec des graines de carvi. Ce qui fait que le résultat (presque épicé) est totalement différent. Très bonne surprise. En notes de cœur, on a des feuilles de figuiers fraîches et vertes. Puis en fond, les muscs sont mariés au bois de cèdre pour apporter la touche gourmande presque sensuelle. Ce très joli floral fruité oscillant entre fraîcheur et gourmandise risque ainsi de séduire plus d’une femme. Bon point également pour le cultissime flacon Roger & Gallet qui s’est refait une beauté.


Cette figue, nous la retrouvons aussi dans la Cologne de l’Herboriste de Bien-Etre. L’année dernière, la marque avait relancé ses eaux de Cologne avec l’Eau des Familles qui avait connu un véritable succès. Cette année, la gamme s’agrandit avec cette eau fraîche aux vertus apaisantes. Elle a en effet été élaborée à partir d’une préparation de plantes aux pouvoirs bienfaisants. Cologne oblige, la figue est ici plus fraîche. Même si on est dans la même famille olfactive que le nouveau parfum Roger & Gallet, les sillages sont différents. D’ailleurs, ici, ce sont les bourgeons de figuier qui jouent les stars. Le jus est peut-être plus « simple » que la Fleur de Figuier de Roger & Gallet (avec une pyramide olfactive moins construite, enfin, c’est ce que je me dis car j’ai l’impression qu’il évolue moins, il reste fidèle tout du long à la première senteur) mais il sent très bon lui aussi. Après, je n’ai pas le geste Cologne (le splash d’eau avec les mains, cette Cologne comme beaucoup d’autres n’ayant pas de vaporisateur), cette eau n’est donc pas forcément faite pour moi. Mais si vous aimez la figue, elle vaut qu’on la découvre.

mercredi 27 mars 2013

Du plaisir d'afficher une bouche rouge éclatante, je ne m'en lasse pas


Je vous demande d’avance un peu d’indulgence car ces prochains temps vous allez voir beaucoup de rouges à lèvres par ici. Car après avoir été sevrée pendant trois semaines, j’ai décidé de rattraper le temps perdu et je ne mise que sur la bouche ces derniers temps. Tant pis pour tous les jolis fards à paupières bleus du printemps, en ce moment, j’ai envie de rouges à lèvres intenses. Et ça tombe bien car justement de jolies nouveautés viennent d’être lancées ou le seront bientôt.


Aujourd’hui, je vous laisse avec quelques photos d’un troisième Rougle Eclat de Clarins. Un très beau rouge cette fois, le Passion Red. La couleur est plus classique que le corail et l’aubergine testés avant lui mais elle est aussi plus élégante et facile à porter. En plus, c’est un vrai rouge donc je pense qu’il peut potentiellement aller à tout le monde. En tout cas l’adepte des rouges à lèvres rouge que je suis en est fan. C’est vraiment une très belle couleur. Il n’y a rien à ajouter finalement car je trouve qu’elle parle d’elle-même.



Sinon côté formule, cela se confirme, les Rouge Eclat sont vraiment confortables et agréables à porter. Comme l’aubergine, il est super crémeux, glisse bien sur les lèvres et se fait vite oublier une fois porté. On ne l’oublie toutefois pas trop hein, parce que c’est un rouge donc il faut quand même garder à l’esprit que nos lèvres sont habillées. Nan parce que sinon, tu te laisses un peu aller et hop c’est là qu’en général la couleur se rappelle à toi et que tu te paies la honte. (En fait, je sais pas toi, mais quand je porte du rouge à lèvres bien pigmenté, je change un peu mon comportement, j’évite les sandwichs et préfère ce qui se mange à la fourchette et si une paille passe par là, je saisis la perche, bref je me tiens mieux). On peut donc l’oublier mais on ne l’oublie pas. Parce que comme tout rouge à lèvres rouge, il fait un peu de transfert. Après, ce fut une très bonne surprise car si j’ai effectivement laissé de la couleur sur mon verre, je n’en ai eu ni sur les dents (ce qui tient du quasi miracle), ni sur le menton, ni sur les joues, ni tout autre endroit bizarre où j’ai l’habitude de m’en mettre.


Très bon point donc. Après, comme il est assez crémeux, j’ai la sensation qu’il tient peut-être moins longtemps mais il disparaît aussi de manière plus harmonieuse : il s’estompe en fait de partout en même temps et ne laisse pas les bordures hyper foncées alors qu’il n’y a plus rien au centre des lèvres. En tout cas selon mon expérience. Formule crémeuse aussi oblige, j’aurais peut-être dû faire mon contour avec un crayon avant car il a un peu filé dans les plis (ah, l’âge ! avant j’avais pas de pli !). Ca reste quand même assez léger. Ca se voit en gros plan mais à distance normale ça ne choque pas. Mais j’ai pas non plus beaucoup de plis. Pour celles qui ont pas mal de ridules sur le contour des lèvres, peut-être est-ce plus raisonnable d’utiliser un crayon avant (conseil ma foi valable avec tous les rouges pigmentés).

Cela reste toutefois un tout petit détail (surtout que ce petit filage est même peut-être dû à mon application un peu bancale ce jour-là, il y a des jours avec et des jours sans). Mais dans l’ensemble, plus je teste cette gamme, plus je trouve les Rouge Eclat top. La rouge à lèvres addict qui est en moi est séduite.

mardi 26 mars 2013

Vernis OPI Eurso Euro : c'est l'histoire d'un bleu qui ne voulait pas se laisser prendre en photo

Pour une beauty addict normale, un vernis à ongles est un vernis à ongles. Tu aimes sa couleur, tu le poses en t’appliquant (ou pas) et dès qu’il est écaillé, tu l’enlèves (ou pas). Pour une blogueuse, c’est un chouïa plus compliqué. Le vernis est aussi un futur sujet pour le blog. Quand on fait notre manucure, on s’applique bien évidemment pour que ce soit propre mais dans un coin de notre tête il y a aussi une petite voix qui crie : « attention, déborde pas, ça va se voir sur la photo et ça va pas faire sérieux, t’auras l’air finaude, toi la « pseudo » blogueuse beauté avec du vernis plein les cuticules ». Mais bon, j’ai beau me concentrer fort, tirer la langue et arrêter de respirer pendant la pose, ça ne change rien. Je suis toujours aussi nulle sur l’application du vernis. Les deux premiers doigts, ça va encore, mais ça part rapidement en vrille. Mais quand même, cette maudite photo ! Parfois, elle empêche carrément de profiter de sa manucure et te ferais presque vouer aux gémonies un vernis avec qui pourtant tout avait bien commencé. Prenons, ce beau bleu par exemple. Il s’agit du vernis qui me servait de base sur l’article à propos des nouveaux top coats L’Oréal Paris. Et bien nous avons une histoire un peu compliquée à cause de la pression de la photo pour le blog. Et peut-être aussi  du fait qu’il soit un peu maudit.

 Mais commençons depuis le début. Quand j’ai découvert la collection Euro Centrale d’OPi comme je vous l’ai déjà dit à plusieurs reprises, j’ai tout de suite flashé sur les 3 bleus. Enfin, surtout sur le OPI… Eurso Euro parce que ce bleu-là avait quelque chose de différent (le Can’t Find My Czechbook est aussi superbe mais je l’avais déjà porté au moment de la découverte de la collection donc forcément j’étais moins curieuse). Bref, après lui avoir tourné autour, je me suis enfin décidée à l’essayer. Pour le meilleur (sur la main droite) et pour le pire (sur la main gauche, celle que je prends en photo). En gros, sur ma main droite, il a tenu 4 jours (en s’usant un peu au bout mais il tenait encore la route) mais sur la main gauche, j’ai dû refaire ma manucure tous les soirs. Pour la photo. Et pas longtemps après, elle était de nouveau ruinée (avant justement de prendre ladite photo).


Pas par la faute du vernis hein. La première fois, j’ai laissé posé trop longtemps mon huile réparatrice pour cuticules juste après la pose alors que le vernis n’était en fait pas sec. Résultat : il est devenu tout mou. Premier accroc. Sur le coup, je l’ai refait le soir-même. Mais le lendemain, je trouvais que le bout des doigts n’était pas impeccable. De peur qu’il ne s’use trop rapidement avant que je puisse prendre les photos pour le blog (encore elles), j’ai posé vite fait du top coat dessus. Mais il est en train de rendre l’âme, il est épais et sèche hyper lentement. Trop lentement. Dès que j’ai recommencé mes activités ça a été la cata, le top coat avait rendu le vernis lui aussi gluant. Nouvel accroc avec plein d’accrocs justement. Impossible d’y couper, il a fallu que je la refasse. Le lendemain rebelote, je ne me souviens même plus pourquoi. Au 4ème jour et donc à ma 4ème manucure de la main gauche, je n’en pouvais plus.


Ce n’était toujours pas impeccable. Sur quelques doigts le vernis était usé au bout et sur d’autres le top coat avait fait des marques. Mais là, je n’en pouvais plus. Je ne concevais pas de refaire une énième fois la même manucure sur la même main. J’ai donc remis 2/3 couches de top coat pour essayer de camoufler le truc (ça n’a pas aidé, on voit bien l’épaisseur là, c’est encore plus moche) et j’ai pris ces satanées photos. Bref, ce n’est pas la manucure dont je suis la plus fière (surtout si tu rajoutes les bobos dus au rongeage de cuticules). Mais là, il en allait de ma santé mentale. Pourtant, ce n’est pas le premier vernis maudit que je n’arrive pas à prendre en photo (il y avait le bleu lagon qui ressortait toujours bleu ciel et le vert qui faisait des bulles à tous les coups), mais celui-ci m’a particulièrement donné du fil à retordre. Ce n’est pas de sa faute en plus, juste une mauvaise semaine.



Enfin, si, on retiendra qu’il s’use tout de même rapidement au bout donc un top coat est indispensable. Un top coat de qualité et pas en fin de vie, à appliquer le soir même dès la pause de la couleur. Sinon, le lendemain, il y aura déjà une petite usure. Sinon, il est assez facile à poser. Il est bien liquide mais parfaitement opaque à 2 couches. Après, pour la couleur, j’avoue qu’elle m’emballe moins en vrai finalement. Attention, je la trouve très jolie mais je m’attendais à un bleu un peu plus hors du commun. Tu sais que les bleus que j’aime, ils ont toujours un petit twist : ils sont Klein, canard, Majorelle, indigo, roi. Là, je le trouve un peu classique. Ca partait bien pourtant, on est presque dans le bleu un peu décalé mais il reste raisonnable. Mais je te l’accorde, comme cela il est plus facile à porter et à assumer. C’est juste moi qui comme tu le sais suis une extrémiste du bleu. Et puis peut-être cette mini déception est-elle aussi due à toutes ces mauvaises péripéties. Il nous faudrait une deuxième expérience plus positive pour voir si la réconciliation est possible.

lundi 25 mars 2013

London baby ! La Beauty Paresseuse se met à l’heure anglaise


Depuis que j’ai créé ce blog, il m’a apporté beaucoup de choses. Pouvoir m’exprimer librement sans contrainte sur le ton/les choses à dire et le nombre de mots pour le dire. Avoir trouvé des copines (il parait qu’il faut dire blogpines) mais aussi des lectrices aussi passionnées par la beauté que moi. Parce que finalement c’est quand même pas mal quand tu t’extasies sur ton 50è vernis rose qu’on te réponde « mais oui, il est trop beau » au lieu de « mais t’en as déjà 50 des roses, je ne vois pas l’intérêt ». Bref tout ça pour vous dire que même s’il demande beaucoup de travail, ce blog m’a apporté beaucoup. Et il continue d’ailleurs. Ainsi depuis la semaine dernière, je suis dans un état d’excitation pas possible. J’ai en effet eu la jolie surprise d’être invitée par The Body Shop à rencontrer Leona Lewis, leur nouvelle porte-parole/ambassadrice, mais aussi à découvrir sa collection exclusive de maquillage et de parfum pour la marque. Déjà, là, tu penses bien que j’étais tombée de mon canapé. Mais ce n’était pas fini. J’aurais également la chance d’assister au concert donné par la chanteuse pour célébrer cette collaboration. Et tout ça à Londres ! Bon, là, j’étais déjà sur le sol alors impossible de tomber plus bas, je me suis donc un peu roulée par terre de joie. London baby !

C’est toujours un plaisir de retourner à Londres. Je pense que je ne me lasserais jamais de cette ville car il y a toujours de nouvelles choses à découvrir. Mais là ça promet vraiment d’être fun. Je vous abandonne donc deux jours pour la bonne cause. Sans vraiment vous abandonner, je vous ai programmé deux petits articles mardi et mercredi, vous vous rendrez à peine compte que je suis partie (j’ai failli ne même pas vous le dire et faire un article « normal » aujourd’hui puis finalement j’avais trop envie de partager ça avec vous). Mais si je vous manque vraiment, je viens d’ouvrir un compte sur Instagram sous le pseudo LaBeautyParesseuse et j’ai aussi enfin lancé une page Facebook pour le blog :  https://www.facebook.com/labeautyparesseuse (désormais si tu like la beauty paresseuse tu peux taper dans ton clavier). Je viens de les créer donc pour l’instant, il n’y a rien dessus mais j’essaierais de les mettre à jour un peu pendant mon séjour que vous puissiez suivre mes aventures presque en direct.

Sinon si comme moi vous être fan de Leona Lewis (Keep bleeeeding, keeeeeeeeeeeeep bleeeeeeeeeeeeeeeding looooooooooooove…), sachez que le concert sera retransmis en streaming sur le net (vous pourrez peut-être m’apercevoir de loin). Toutes les infos sont apparemment sur la page Facebook de The BodyShop.

Sur ce, je vous laisse, il faut que j’aille faire mon sac et décider comment je vais me maquiller ces deux prochains jours.

Et pour info, les commentaires sont toujours modérés sur le blog, non par censure mais parce que je suis inondée de spams en anglais. Or j’ai découvert que je ne pouvais les valider depuis mon portable, ça ne fonctionne pas. Donc ne vous inquiétez pas si ceux de mardi et mercredi n’apparaissent pas. Je ne les ai pas fermés, il n’y a pas de bug et je ne les ai pas supprimés. Je les validerais à mon retour. Mais ne vous abstenez pas pour autant.