mercredi 30 octobre 2013

Comment j'ai apprivoisé les rouges à lèvres foncés avec le crayon Hyde Park de Nars


Cette saison, les lèvres dark sont une nouvelle fois à l’honneur. On ne va pas prétendre que c’est révolutionnaire et une tendance jamais vue car depuis plusieurs années, les rouges à lèvres foncés reviennent sur le devant de la scène chaque automne. C’est ainsi, la planète beauté n’est qu’un éternel recommencement, surtout au rayon maquillage : pastel au printemps, fluo et teintes terre en été, or et paillettes pendant les fêtes, smoky eye coloré à la rentrée. Et donc rouge à lèvres sombre à l’automne. Une tendance qui me laisse perplexe à tous les coups. Elle envahit d’abord les podiums des défilés automne-hiver. Forcément, les marques suivent et les collections d’automne mettent en avant des rouges à lèvres prune, aubergine, raisin, lie de vin…

Attention, en remettant le bouchon à ne pas écraser la mine comme je l'ai fait :/

Evidemment, comme on a trouvé ça superbe sur les mannequins, ceux des podiums et ceux des visuels photo des collections, on est tentée de céder à la tendance. C’est si élégant, si chic. On en a tout de suite envie. Sauf que c’est un peu plus compliqué que ça. Oui, c’est beau. En photo. Ou sur des mannequins d’à peine 20 ans qui ont le teint frais comme la rosée du matin. Sur une fille normale, qui a souvent des cernes, le visage fatigué et la mine grise, c’est plus compliqué. D’ailleurs, quand tu interroges un maquilleur pro, ils regardent en général tous la tendance des lèvres dark d’un mauvais œil. Au fil des années, ils ont d’ailleurs été nombreux à me la déconseiller, à moi mais aussi à la plupart des femmes. Trop difficiles à porter, les couleurs sombres n’embellissent pas forcément. Un rouge à lèvres doit donner de l’éclat au visage, illuminer le teint. Là, elles auraient plutôt tendance à plomber, en plus de durcir les traits.



En tout cas, de mon côté, je m’étais fait ma propre opinion : les lèvres dark, ce n’était pas pour moi. Ca me donne un côté hyper sérieuse voire méchante que moi la rigolote je n’assume pas. Mon visage parait plus dur. Je préfère des teintes pepsy qui illuminent. En plus, comme j’ai les cheveux assez foncés, il y a un côté Morticia qui ne me plait pas non plus. Certes, je le concède sans problème : oui, les teintes foncées sont belles. Et un beau prune ou lie de vin peut être superbe, chic, sophistiqué et ultra féminin. Ce sont des teintes très femme fatale (beauté vénéneuse même). Il y a aussi un petit côté rétro qui en temps normal ne me déplairait pas. Mais elles ont un côté sombre qui ne colle pas avec ma personnalité. Pourtant, l’année dernière, j’ai essayé d’apprivoiser la tendance avec plusieurs nouveautés de l’époque. En vain. J’en étais finalement arrivée à la conclusion que ce n’était définitivement pas pour moi. 

Avec flash

Et puis dernièrement, surprise, désormais, quand j’opte pour un maquillage des lèvres intense, je délaisse mon rouge tant aimé pour des teintes foncées. Je ne me l’explique toujours pas. Enfin si, quand même un peu. Je pense que ma nouvelle coupe de cheveux joue un peu. Avant, ma longue crinière accentuait forcément le côté gothique du rouge à lèvres foncé. Avec une coupe au carré, je trouve que ça fait tout de suite moins Morticia. J’ai l’impression qu’avec les cheveux courts, les lèvres dark passent mieux. Sans cette touffe de cheveux foncés qui encadre mon visage au teint assez pale, c’est moins caricatural, plus léger. C’est plus vraiment gothique chic, c’est juste chic. Peut-être aussi que j’assume plus. A force de revoir la tendance tous les automnes et de trouver ça beau sur d’autres personnes, j’ai fini par m’y habituer. J’ai aussi envie de trouver ça beau sur moi et je veux en profiter. Bien sûr, je suis toujours consciente que les prune, lie de vin, aubergine, ne sont pas des teintes qui illuminent le visage. Mais elles donnent un style et il n’est finalement pas si mal.


Cette nouvelle acceptation vient aussi beaucoup du rouge à lèvres. Je pense avoir trouvé le bon. Pour moi. Oui, parce qu’on parle de la tendance des lèvres dark mais ça veut un peu dire tout et n’importe quoi. Les rouges à lèvres foncés peuvent être lie de vin, raisins, bruns, voire noirs. Le prune étant tout de même la teinte la plus tendance. Mais bon, il existe pas mal de nuances et, pour apprivoiser ce maquillage, il faut tout simplement bien choisir la sienne. Pas si facile tout compte fait. Mais j’ai finalement trouvé ma perle, il s’agit du Satin Lip Pencil en teinte Hyde Park de Nars et il est superbe. Il m’a d’ailleurs valu quelques compliments. Je vous avais parlé de cette nouvelle gamme de crayon jumbo pour les lèvres de Nars il y a quelques mois, à leur sortie. Des couleurs somptueuses et ultra pigmentées dans une formule crémeuse qui glisse parfaitement sur les lèvres et est très confortable.  Lors du lancement de la gamme, j’avais déjà eu des coups de cœur pour les superbes Luxembourg et Jardin des Plantes. Cette fois, j’ai été cherché mon bonheur du côté de Londres.


A vrai dire, la première fois que j’ai testé la teinte, je la voyais rose profond. Ah, moi et ma vision aléatoire des couleurs (d’ailleurs sur les photos, il ressort aussi un peu rose non ? Mais en fait, c’est bien un prune). C’est donc sur un malentendu que je m’y suis risquée, sinon avec mon refus total des teintes foncées, je n’aurais même pas envisagé de l’essayer. Et finalement, je ne regrette pas. Si, au final, c’est bien un prune, c’est un très beau prune et qui me va plutôt bien je trouve. Peut-être parce que même s’il est bien foncé et dans les tons violets/pourpres, il tire tout de même vers le rose. Finalement, c’est peut-être plus un mûre écrasée même. Tu peux l’apprivoiser en le tapotant juste sur les lèvres pour avoir une impression de couleur (il tirera alors plus vers le rose foncé, le baie). C’est ce que je faisais parfois au début. Mais maintenant que j’ai enfin accepté la tendance des lèvres dark, j’ose la version intense sans problème en l’appliquant (très facilement) directement avec la mine. Voire même en accumulant les couches. Quitte à y aller, autant ne pas le faire à moitié. Sachant que plus tu accumules, plus la couleur se construit et s’affirme et plus il devient prune foncé.

Mais ça ne me dérange plus. Je me suis réconcilié avec la tendance de la bouche dark et j’ai donc (qui l’eût cru ?) adopté les rouges à lèvres foncés. Ou plutôt, j’ai adopté ce rouge à lèvres foncé.

Et n'oubliez pas que vous pouvez tenter de gagner une palette Fade To Black de Smashbox tout en m'aidant à remporter un séjour à Los Angeles en votant pour mon maquillage : c'est PAR ICI.

lundi 28 octobre 2013

J'ai testé une séance de Lipomodelage à l'Endermospa LPG


Tu connais mon obsession pour mon double menton. Et si, pendant longtemps, je m’étais résolu à vivre avec, plus ça va et plus je me dis qu’il faut vraiment que je fasse quelque chose. Parce que la situation ne risque pas de s’améliorer toute seule. Au contraire. Avec l’âge, et la perte de fermeté qui va avec, les contours du visage deviennent en effet de plus en plus flous. Damn. Je n’en suis pas non plus à envisager la liposuccion du menton comme me l’avait suggéré un coiffeur lors d’une journée presse mais je considère d’autres possibilités. Les crèmes raffermissantes d’abord. J’ai commencé mais bon pour l’instant aucun changement à signaler.


Et puis l’autre jour, on m’a proposé de tester une séance de Lipomodelage à l’Endermospa LPG Paris VIII. Pour moi, le Cellu M6 (le nom de la machine, le Lipomodelage étant le nom du soin) était avant tout un appareil minceur capable de dégommer notre cellulite et de raffermir notre peau. Mais utilisé sur le visage (avec des têtes différentes bien évidemment), il se transforme en soin anti-âge. L’Endermolift – la technique pour le visage – permet de raffermir la peau, de lui redonner du volume et de la souplesse, de redessiner les contours du visage et de booster l’éclat du teint. La mécano-stimulation LPG peut cibler des problématiques générales (le teint terne, la  perte de fermeté) ou des zones particulière : poches et cernes ou ce fameux double menton par exemple.


Bon, n’étant pas à une contradiction près, j’ai finalement décidé de tester un lipomodelage pour le corps et n’ai pas ciblé mon goitre. Pour avoir un véritable résultat, il faut en effet une dizaine de séance. On commence à voir des différences après la cinquième mais selon les résultats que l’on veut obtenir, il en faut parfois 15 ou 20. Etant partie pour une séance découverte et non une cure, j’ai donc demandé conseil à l’experte thérapeute du centre de Paris 8 au moment de ma prise de rendez-vous. Que choisir ? Si j’avais un évènement spécial ce soir-là, elle me conseillait un lipomodelage visage car il y aurait déjà un petit coup de boost sur l’éclat du teint. Mais vu que le soir j’avais plutôt un cours de sport, une séance pour le corps était plus indiquée car combiner Cellu M6 et sport permet de booster les effets de la cure.


Le jour dit, je me suis rendue à l’Endermospa LPG Paris 8, un espace spa de luxe situé rue du Colisée, derrière les Champs-Elysées. En fait, si de nombreux instituts proposent des soins de Lipomodelage, LPG est la maison mère du Cellu M6. Les Endermospa sont, eux ,les centres haut de gamme de la marque dans lesquels ses spécialistes prodiguent les soins minceur et anti-âge avec le Cellu M6 : Lipomodelages et Endermolift.  Pour avoir les meilleurs soins et la meilleure prise en charge, autant aller à la source. L’Endermospa du 8ème arrondissement possède ainsi les machines dernière génération et les thérapeutes expertes qui y pratiquent sont aussi forcément mieux formées aux différentes techniques et aux manipulations de l’appareil.  Vraiment spécialisées, les thérapeutes du centre peuvent mieux conseiller et définir un programme sur-mesure adapté à nos besoins, selon notre morphologie ou notre type de peau. Le premier jour de la cure, tu fais en effet un bilan avec une des professionnelles LPG pour définir les parties du corps que tu veux cibler et les résultats que tu veux obtenir. On prend tes mesures, on te pose des questions et, en fonction, on va établir le nombre de séances qu’il faudra pour atteindre l’objectif fixé.


Après le bilan personnalisé, la séance commence par une application d’un soin exfoliant sur les zones du corps qui vont être traitées. On enfile ensuite une combinaison blanche (pour des questions d’hygiène, la machine ne passe pas sur peau nue) puis on s’allonge sur la table pour le soin. On avait décidé de cibler les cuisses et la culotte de cheval bien évidemment, le ventre et les bras aussi. La thérapeute passe avec la tête du Cellu M6 sur les différentes zones définies, une première fois avec un palper-rouler assez soft puis avec une vitesse plus rapide. Là, le massage se fait plus vigoureux mais ça ne fait pas mal pour autant. La séance se termine par l’application d’un soin minceur LPG sur les zones ciblées. J’avoue que j’avais un peu peur que le palper-rouler mécanique soit un peu douloureux mais en fait pas du tout. J’ai même trouvé ça assez relaxant. Sur le ventre, on le sent plus mais sur les cuisses et la culotte de cheval, ça fait limite berceuse. Finalement, c’est presque aussi agréable qu’un massage du corps, moi je préfère même. On est moins dans le côté détente mais j'aime que ces manipulations servent à quelque chose. Elles ont un but, il y a une action précise, des résultats derrière. Ma thérapeute, très sympa au demeurant, a aussi profité de la séance de 35 minutes pour me donner des conseils pour potentialiser les résultats (quoi faire à côté, quand venir) tout en m'expliquant comment cela marchait et ce que je pouvais attendre d'une cure (peau raffermie, cellulite dégommée, perte de centimètres). Evidemment en une séance, je n’ai pas vu de résultat mais ça m’a permit de découvrir une méthode qui à tout pour plaire à la paresseuse que je suis.


Depuis quelques temps, je considère sérieusement me mettre au sport pour perdre les nombreux kilos pris ces dernières années et dont je n’arrive pas à me débarrasser. Parce que quand tu vieillis, non seulement tu grossis, mais ça devient également plus compliqué de perdre du poids. Alors forcément, je regarde aujourd’hui cette cure minceur LPG d’un autre œil, d’un bon œil. Sans compter l’option double menton qui me semble presque plus séduisante. Et vous, avez-vous envisagé vous lancer dans des séances de Lipomodelage ? Pour les Parisiennes qui aimeraient tenter l’aventure, je vous propose d’ailleurs de gagner 25% de réduction pour tout l’achat d’une cure de 10, 15 ou 20 séances à l’Endermospa Paris 8. Pour jouer, il suffit de me laisser un commentaire sous l’article. Vous avez jusque vendredi minuit. Je donnerais le nom de la gagnante samedi.


dimanche 27 octobre 2013

Un maquillage dramatique pour gagner un voyage à Los Angeles avec Smashbox


Je sais qu’on est dimanche, jour de repos, mais aujourd’hui je vais vous faire travailler un peu. En général, je ne participe pas aux concours : trop paresseuse et puis de toute façon je ne gagne jamais. Je n’aime pas trop non plus montrer ma trombine par ici. Ca me fait en effet bizarre de voir ma tête se balader dans le cyber espace. Mais cette fois j’ai fait une petite exception car il m’était impossible de refuser cette proposition. Smashbox m’a ainsi proposé de découvrir la collection automne de la marque Fade to Black et de tenter de gagner un séjour à Los Angeles. Tu penses bien que j’ai signé tout de suite. 


Ma mission : réaliser un maquillage avec la collection Fade To Black. Cette jolie collection en édition limitée sortie cet automne met en scène le noir, couleur tendance de la saison. J’avais bien évidemment repéré la collection avant cette proposition. Etant une fan de teintes foncées dès que la météo se gâte, elle m’avait tapé dans l’œil. Je l’ai donc découverte en vrai avec plaisir. La collection est composée de deux palettes de fards à paupières associant des teintes profondes à des couleurs plus neutres, de deux crayons ombres à paupières waterproof, un noir et un kaki doré, et de deux rouges à lèvres, un prune et un cognac. Pour faire mon maquillage, j’ai pu choisir un item dans chacune de ces catégories. 


J’ai d’abord opté pour la palette Fade In. Il y a plus de teintes foncées dans la Fade Out, l’autre palette qui est plutôt dans des tons violets/pourpres. La Fade In propose elle plus de teintes neutres voire claires. Mais elle offre aussi un superbe kaki et un noir pailleté qui ont fait pencher la balance. Côté crayon jumbo, j’ai préféré le Black Gold au Blackest Black pour sa jolie teinte dans les tons kakis. Enfin, j’ai choisi le rouge à lèvres Be Legendary Black Cherry plutôt que le Cognac. Etrangement, cette saison, les lèvres foncées ne me font plus si peur. Concours oblige, j’ai bien évidemment fait un maquillage un peu plus élaboré que mes traditionnels aplats de mono couleur. J’ai même osé pour l’occasion un maquillage un chouïa dramatique en accentuant regard ET lèvres. 


J’ai en effet associé une bouche cerise noire avec un maquillage du regard assez travaillé. J’ai d’abord posé le crayon Black Gold sur toute la paupière mobile. Par-dessus, au centre de la paupière, j’ai appliqué le fard kaki de la palette Fade In. J’ai ensuite déposé le noir légèrement pailleté en externe et dans le creux de la paupière en banane avant d’estomper les contours avec le doré de la palette, que j’ai également appliqué dans le coin interne du regard en touche lumière. La palette associe des fards mats et irisés mais je n’ai choisi que les trois irisés (mes préférés) pour ce maquillage. J’ai également utilisé le fard noir pour faire un trait discret au ras des cils supérieurs et je l’ai posé dans la waterline. Enfin, j’ai terminé en faisant un retour avec le crayon kaki doré au ras des cils inférieurs. Avec le flash, c’est son côté doré qui ressort mais en fait je le trouve plus kaki en vrai.


Un travail du regard un peu plus élaboré que mes maquillages habituels donc. Il faut dire qu’il y a à gagner un séjour de 4 jours à Los Angeles en tant que reporter officielle de Smashbox à l’occasion de l’ouverture des nouveaux studios photos de la marque. Avec un programme de rêve à la clé. Parce qu’un petit trip to LA n’est pas assez (enfin, moi, rien que ça je serais aux anges), la gagnante aura aussi droit à la découverte des nouveaux studios photo, une séance de maquillage avec un pro, un shooting, une soirée presse et des visites de Los Angeles et des environs. L’american dream quoi


Et c’est là que j’ai besoin de vous et de vos votes. J’ai donc fait mon petit maquillage qui est en ligne avec celui des autres participantes. Et la gagnante sera donc celle qui remportera le plus de votes. Donc à vous de votez sur la page Facebook de la marque, pour moi bien évidemment (merci, merci, merci). Vous pourrez bien évidemment découvrir ma trombine entière sur la page avec le maquillage complet. Et bonne nouvelle, les votantes pourront aussi gagner une palette Fade To Black. Et franchement, elles sont top (je vous reparlerais d’ailleurs des produits très bientôt car au-delà du jeu concours, je les ai totalement adoptés).

A vous de jouer : POUR VOTER, C’EST PAR LA. Il suffit de vous inscrire puis de cliquer sur ma petite tête. Et n'hésitez pas à faire voter les copines aussi :)

samedi 26 octobre 2013

La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram #26


J’ai de nouveau disparu cette semaine. J’essaie de retrouver la régularité perdue depuis l’été mais à chaque fois que je tiens le bon bout, le boulot (ou la vie) reprend le dessus. Cette semaine, j’ai de nouveau été enchaînée à mon ordi. Sauf jeudi, où je me suis accordée une petite pause. D’ailleurs mon résumé de la semaine de la Beauty Paresseuse est en fait un résumé du jeudi, c’est pour dire.


La journée a commencé tôt le matin, c’est-à-dire à midi pour moi (maudit soit mon cerveau qui ne se sent productif qu’après minuit en ce moment), avec un rendez-vous à l’endermospa LPG Paris 8 pour une séance de Cellu M6. Le but : faire la peau à ma cellulite, mon ventre de femme enceinte de trois/quatre mois (alors que je ne le suis pas) et mes bras/ailes de Batman. Oui, je te vends du glamour là je sais.


D’ailleurs, j’étais au top du glam pendant la séance avec mon petit collant blanc (qui est en fait une combinaison). Mais je t’en reparle bientôt.


Après ma petite séance de palper-rouler, j’ai filé au Centre Pompidou pour voir l’exposition sur Roy Lichtenstein. J’ai depuis longtemps une véritable fascination pour le pop art (enfin, certains artistes et certaines œuvres). Je vénère bien évidemment Andy Warhol et ses sérigraphies comme je l’avais mentionné l’année dernière lors de la collection spéciale de Nars. Je n’avais d’ailleurs pas manqué il y a quelques années la rétrospective sur ses œuvres au Grand Palais. Sublime. Forcément, quand j’ai vu que Roy s’exposait à Beaubourg, j’étais folle. Impossible de manquer ça. Et même si ça m’a pris un certain temps, j’y suis arrivée. La date de fin approchant, ça m’a motivée.


J’adore l’artiste avec, évidemment, une préférence pour ses tableaux détournant l’imagerie des bandes dessinées américaines de l’époque. C’est d’ailleurs pour ça qu’il est surtout connu même si son œuvre ne se limite pas du tout à ça. Cette expo permet ainsi de découvrir toutes l’étendue de son talent (il sculptait aussi) et l’évolution de son travail (si la culture populaire tient une grande place dans son travail, il n’a pas fait que du pop art). Et bien que j’ai apprécié de découvrir ces différentes facettes de l’artiste, c’est toujours ses scènes inspirées des comics que je préfère.


Mon préféré, je crois, est celui-ci. Parce que pour une fois, la femme est brune peut-être (il a en général un faible pour les blondes), parce que j’aime l’illustration, parce que le texte dans la bulle me fait sourire, mais aussi parce qu’il me rappelle de très bons souvenirs. J’avais complètement oublié mais ce tableau est apparemment au MoMA à New York, donc je l’avais déjà vu en vrai. Mais en fait, dans ma tête, je me souviens surtout que l’une des coloc’ de l’appart’ où nous vivions lorsque j’avais passé deux semaines là-bas (il y a bientôt deux ans, snif) en avait une reproduction sur la porte de sa chambre. Donc je voyais cette image tous les jours. Ainsi, ce tableau me fait à la fois sourire et m’emplit de nostalgie (tellement envie de retourner à New York).


Voir nombre de ses tableaux côte à côte m’a fait réaliser que Lichtenstein a un faible pour les femmes qui pleurent. Et si j’aime beaucoup l’illustration utilisée pour l’affiche de l’expo, celle-ci me touche aussi. Ce sont ces (grands) yeux je pense. Bref, une très belle expo que je vous recommande (elle se finit vers le 4 novembre donc si ça vous dit, courez-y vite).


Après ce début d’après-midi culturel, puisque j’étais dans le quartier, je suis allée faire un tour au nouveau Forever 21 qui vient d’ouvrir rue de Rivoli et qu’on attendait quand même depuis plus d’un an. En tout cas moi, j’attendais qu’il y en ait un qui ouvre à Paris depuis que la marque s’était installée à Vélizy. Là encore c’était séquence nostalgie pour moi. J’ai découvert Forever 21 lors de mon séjour à New York (décidément, c’était ma journée retour vers le passé). J’y avais alors fait une véritable razzia. J’aurais d’ailleurs pu encore plus dévaliser le magasin tellement je trouvais tout sympa, mais je n’avais plus de sous. J’avais donc hâte d’y aller. Mais j’ai été franchement déçue. A part au rayon bijou, qui lui vaut vraiment le coup avec beaucoup de choix pour des prix très raisonnables, ça ne vaut pas le détour je trouve. Les fringues sont bof (j’ai quand même acheté deux/trois petits trucs mais rien de fou) et les accessoires quasi inexistants. Moi qui avais le plein de headbands et de bonnets à New York pour des prix ridicules, là rien à me mettre sous la dent. Bref, mon addiction à H&M ne risque pas d’être remplacée.


Après cette journée bien remplie, je méritais bien d’aller m’effondrer sur mon canapé mater une bonne série. Mais non, j’avais rendez-vous à la salle de sport pour découvrir les compléments alimentaires Juvamine pour nous redonner de l’énergie (et j’en ai bien besoin en ce moment, je suis à plat, besoin de vacances). Pour l’occasion, j’étais invitée avec d’autres victimes innocentes à une séance de torture à L’Usine, le club de sport trendy de la capitale (parait même que c’est celui de Marc Jacobs). J’ai failli mourir sur mon vélo mais j’ai survécu (même si j’étais un peu dissipée pendant le cours, on ne se refait pas).


Enfin, on termine cette semaine instagramienne avec la traditionnelle photo de Paris. Cette fois, on s’arrête dans le 9ème arrondissement, entre Pigalle et le quartier des Grands magasins, devant la jolie église de la Sainte Trinité, by night.

lundi 21 octobre 2013

Peace & Love & OPI : le vernis scarabée tendance de l'automne pour une manucure waouh


Hier je vous parlais des collections printemps d’OPI. Mais le printemps est encore loin.  Même noël n’est pas encore là. Revenons donc à des vernis plus de saison avec la collection automne de la marque inspirée par San Francisco et surtout à la teinte Peace & Love & OPI, qui est un peu la teinte star des 15 vernis proposés. C’est en effet un vernis scarabée, l’une des tendances du moment, vernis qu’on a beaucoup comparé au For The Twill of It d’Essie, autre nouveauté qui buzze cet automne. 


J’avais rapidement évoqué ce Peace & Love & OPI  lorsque je vous ai présenté les swatchs de toutes les teintes de la collection. Mais j’avais bien évidemment envie de vraiment porter (sur tous les ongles c’est-à-dire) cette teinte dont tout le monde parlait. Je t’avoue que quand j’ai découvert cette collection au printemps dernier, il ne m’avait absolument pas tapé dans l’œil. Il faut dire que je n’aime pas vraiment les vernis métalliques à la base (oui, je ne suis pas vraiment dans le mood de la saison vu que c’est la big tendance du moment). J’ai donc d’abord été attirée par les rouges ou les liquid sand. Et puis en cherchant des infos sur les sites américains sur la nouvelle collection Essie, j’ai lu partout que le For The Twill était le soi-disant dupe de celui-ci. For The Twill que j’ai justement reçu quelques temps après et qui s’est avéré être une véritable beauté. Ca a évidemment attisé ma curiosité et j’ai regardé Peace & Love & OPI d’un nouvel œil.


Le vernis, souvent décrit comme un duochrome, est en fait pour moi un multichrome. La marque nous dit que sur une base grise, il révèle des reflets roses et verts. Une description qui s’applique aussi au Essie mais finalement, je trouve que c’est leur seul point commun. Certes, on est dans la même famille mais comme deux rouges sont dans la même famille, alors qu’un rouge sang et un rouge tomate sont en fait totalement différents. Je voulais d’ailleurs vous faire un article comparatif sur les deux pour faire un point sur leurs ressemblances et leurs différences, mais c’est mal parti. Pour que ce soit plus parlant, je m’étais même fait une manucure en mixant les deux sur la même main. Et clairement à l’œil nu, on voyait bien que ce n’était pas le même. Ils ont peut-être des reflets de la même couleur mais ils n’apparaissent pas au même moment. L’un est vert quand l’autre est violet. J’ai même gardé cette manucure bi goût toute la semaine car je trouvais ça vachement sympa. Avec juste deux vernis, on n’était en effet carrément pas dans le bicolore mais dans le multicolore car selon certaines luminosités et positions de la main, on pouvait avoir l’impression que tous les ongles étaient peints de teintes différentes. Sauf qu’en photo (en tout cas avec mon appareil), ben tout ressort gris. Rageant.


Car le problème avec ces vernis scarabée c’est qu’ils sont très compliqués à photographier. J’ai beau tourner mes mains dans tous les sens, les reflets sont très difficiles à attraper. Alors qu’en vrai, on le voit rarement gris, sur les photos, on pourrait croire qu’il n’est qu’acier. J’ai quand même réussi à shopper des nuances mais dites-vous qu’en vrai c’est mille fois plus visible et mille fois plus beau. Car en plus de ses reflets verts et violets, je lui trouve aussi des reflets roses et bleus. Et puis surtout, le plus de cette laque-ci, c’est que tu peux avoir plusieurs couleurs en même temps sur l’ongle. For The Twill changeait de couleur selon la luminosité et l’angle de l’ongle mais il était toujours d’une seule teinte. Sur celui-ci, on peut avoir un mini arc-en-ciel, le violet côtoyant le vert sur fond gris. Parfois, les couleurs s’installent en diagonale, parfois tu as comme un dégradé depuis la base de l’ongle (comme si tu l’avais fait à l’éponge mais non). Je regrette vraiment ne pas avoir réussi à saisir tout ça.


Parlons technique également. Je l’ai trouvé assez facile à appliquer. Il est parfaitement opaque en deux couches. Après, comme c’est un métallique, malheureusement, il faut tout de même faire attention sinon on voit trop les coups de pinceau. Ensuite, comme il a un fini un peu entre-deux (il manque de brillance, comme toute teinte métal), j’ai préféré appliquer un top coat par-dessus. Et puis ça booste sa tenue, qui est très bonne d’ailleurs. Je l’ai porté déjà à plusieurs reprises et il tient entre 5 jours et une semaine. Il ne fait pas d’accroc mais il commence à s’user au bout. Sinon, en milieu de semaine, je réapplique une couche de top coat pour rebooster sa brillance. Car ça fait pas hyper chic un métallique qui a vieilli. Mais bon, cette perte de glossy est le lot de tous les vernis. Et quoiqu’il en soit, je suis totalement séduite par cette superbe teinte. C’est top en fait les vernis scarabée. Le mauvais côté, c’est que ça développe chez moi une fascination : je ne peux m’empêcher de me regarder les ongles pour admirer la couleur qui change. Ca fait pas très « sérieuse ».

dimanche 20 octobre 2013

Collection Brazil et Gwen Stefani : les vernis à ongles OPI pour le printemps 2014


Cette fin de semaine sur Instagram, et donc hier dans mon résumé instagramien, je vous dévoilais un aperçu des prochaines collections de vernis à ongles OPI pour le printemps 2014. Je ne suis pas du genre à parler des produits qui vont sortir mille ans en avance comme vous le savez (car je déteste moi-même qu’on me parle d’une nouveauté pas encore dispo, parce que tu en as envie mais en fait elle est impossible à trouver puisque pas encore arrivée). Mais j’aime tellement OPI qu’il m’est impossible de me retenir de vous montrer un aperçu de ce que la marque nous prépare pour le début de la prochaine année. 


Surtout qu’OPI a choisi cette fois de s’envoler vers un pays qui me fait rêver donc je ne te raconte pas mon excitation. Le début de l’année sera riche pour la marque puisqu’elle nous a concocté deux jolies collections : l’une inspirée par le Brésil (joie et bonheur), l’autre imaginée avec la chanteuse Gwen Stefani. Ca mérite que je vous refasse mon mauvais jeu de mot instagramien : no doubt que ce sera un succès.


Comme chaque printemps et automne, la collection saisonnière d’OPI a été inspirée par un lieu sur la planète (si je puis dire). Si l’automne 2013 avait réinventé une ville – San Francisco – et si le printemps 2013 était dédié à un groupe de pays – l’Europe de l’Est avec Euro Centrale -, on revient à la marque de fabrique d’OPI cette fois-ci avec une collection inspirée par un pays. Et pas n’importe lequel, le Brésil ! Musique brésilienne qui tourne dans mon iPod, bracelets Hipanema aux poignets, images du pays qui tournent dans ma tête et cosmétiques locales qui s’installent dans ma salle de bains : je te l’ai souvent répété je pense, le Brésil est un de mes pays rêvés. Ca fait des années que je rêve d’y voyager et si cela ne s’est pas encore concrétisé, c’est un rêve que j’ai bien l’intention de réaliser.


Alors, forcément, quand j’ai su vers quel pays la marque avait choisi de s’envoler pour le printemps, j’étais super excitée. Et j’ai commencé à imaginer les futures couleurs de la collection : du jaune forcément (sinon, ce ne serait pas le Brasil), du vert aussi (pour la forêt et le drapeau) et surtout tout plein de couleurs flashy comme j’aime ! Et franchement, je n’ai pas été déçue. Le jaune est bien là. Ce ne sera pas je pense la teinte qui aura le plus de succès mais c’était un indispensable. Il y a aussi un vert et il est encore plus beau que ce que j’avais imaginé. Moi, forcément je voyais un vert classique comme celui du drapeau. Mais soyons honnête, un tel vert pour un vernis, c’est moche. Là, on a un superbe vert canard tout simplement à tomber. Beau dans le flacon et encore plus beau porté (c’est celui que porte le mannequin dans le visuel promo).


La collection est composée de 12 teintes, comme d’habitude. Il y a bien évidemment des flashy, parce que c’est le printemps et qu’on va de nouveau pouvoir se lâcher mais aussi parce que le Brésil. Ils sont superbes et ça va être dur de choisir. Mais il y a également des couleurs plus neutres, des taupes par exemple (pour la couleur de la terre ? de la peau bronzée ?). Ce ne sont pas forcément des teintes que j’imaginais quand on m’a dit Brazil mais finalement, elles ont aussi leur place. Car la collection sortira en février, encore en plein hiver. Et à cette période-là, on n’est pas souvent prête pour le flashy. Ces taupes/bruns seront alors parfaits.


La collection sera également composée de quatre liquid sand, cette texture effet sable, aux teintes flashy. Il va falloir oser et assumer. Ce ne sont pas forcément mes préférés même si j’ai un petit faible pour le turquoise rendu hyper lumineux par l’ajout de paillettes.


Comme toujours, la collection se déclinera en mini kits de quatre vernis : un composé de vernis classiques et un avec les quatre liquid sand (d’ailleurs j’ai l’impression que ces quatre-là ne seront vendus qu’en format mini dans le kit mais je n’en suis pas sûre, ma mémoire fait des siennes).


Mais cette collection n’est pas la seule nouveauté que nous réserve la marque. En janvier sortira également une collection élaborée avec Gwen Stefani : Gwen Stefani for OPI. Après Katy Perry, Serena Williams, Nicki Minaj ou Mariah Carey, OPI continue ses collaborations avec des stars. La collection sera composée de 7 vernis dont une teinte, Push and Shove, qui ne sera révélée que le jour du lancement de la collection. Même nous, n’avons pas eu la chance de la découvrir. Certaines trouveront peut-être les vernis un peu classiques au vu du look excentrique de la chanteuse de No Doubt (une adepte des ongles bariolés).

 

Selon moi, on y retrouve quand même ses caractéristiques principales : le rouge évidemment si emblématique de Gwen Stefani, le rose flashy aussi (elle en porte souvent sur les lèvres), des paillettes pour l’excentricité, du noir pour le côté classe. Enfin, petite nouveauté, pour l’occasion, OPI a créé un nouveau fini. A chaque collection dédiée à une star, la marque a désormais l’intention d’imaginer une nouvelle texture : après le liquid sand pour Mariah Carey, OPI inaugure le fini satin pour Gwen Stefani. C’est un fini satiné donc, entre brillant et mat, un mat lumineux on pourrait dire. Dans cette collection, il sera décliné sur deux couleurs : un noir et un doré. Et il se porte sans top coat bien évidemment.



J’ai eu l’occasion de me faire faire une manucure lors de la soirée de découverte de la collection et j’en ai bien évidemment profité pour découvrir ce nouveau fini. Je me suis fait poser le vernis 4 In the Morning, le noir satin. Il a l’air glossy quand tu l’appliques puis il se matifie en séchant. Mais il n’est pas complètement mat, il y a un petit côté brillant. Il est également constellé de micro nacres argentées qui ne se voient pas à l’œil nu mais qui sont bel et bien là. En tout cas, il est très beau et très chic. Même si forcément, et malheureusement, il ne tiendra pas autant qu’un vernis crémeux puisqu’il doit être porté sans top coat (mais bon, comme la tenue des vernis OPI est de toute façon supérieure, on s'y retrouve).


Pour épicer un peu la chose, j’ai fait poser le pailleté In True Stefani Fashion en accent nail sur l’annulaire. Il peut être porté seul mais comme tout vernis à paillettes sur base transparente, je trouve qu’il se révèle vraiment posé sur une autre couleur, foncée de préférence. Et ces paillettes argentées sont parfaites sur un vernis noir. Les paillettes de ce vernis sont très sympas. Elles sont de différentes tailles mais surtout elles sont holographiques. Selon la lumière, elles changeront de couleur. Elles seront simplement argentées ou révèleront des reflets bleus, vert, jaune ou rouge. On n’a posé qu’une seule couche, c’était bien suffisant, la couverture est top comme ça.


Et voilà pour les nouveautés OPI pour les printemps 2014. Les nailistas que nous sommes vont être gâtées car il y a de nombreuses pépites dans les nouvelles teintes de vernis que la marque a imaginées.