lundi 31 mai 2010

Un adorable sèche-cheveux Corioliss au look rétro

La semaine dernière, j’ai reçu un mini et adorable cadeau pour la Fête des Mères et j’ai totalement craqué. Non, je ne vous ai pas caché des choses, je n’ai pas dissimulé des bouts de choux dans mes tiroirs à make-up. Et alors ! Pourquoi il n’y aurait que les mamans à avoir le droit à des cadeaux. Quelle discrimination ! Moi aussi je veux être gâtée. C’est comme dans cet épisode de Sex & The City où Carrie se rend compte qu’elle a offert plein de cadeaux de mariage mais qu’elle n’a jamais rien eu en retour car elle n’est pas mariée et n’aura sûrement jamais rien non plus puisqu’elle n’envisage pas de le faire. Donc elle exige à une copine un cadeau pour célébrer son célibat. Bah moi, j’ai eu un cadeau pour célébrer ma non maternité. C’est comme ça !



Et quel cadeau me demanderez-vous ? Eh bien regardez-moi cet adorable mini sèche-cheveux aux motifs fleuris. Il est vraiment trop craquant ! C’est une édition limitée dans la ligne Mini Vintage de Corioliss (www.corioliss-france.fr). J’adore. Bon, il est quand même à 45 € mais il est so cute. C’est vraiment du snobisme. Bien sûr, il existe des appareils moins chers et plus puissants mais ils sont nettement moins mignons. Je l’ai pris en photo dans ma main pour que vous puissiez évaluer sa taille. Côté performance, forcément comme il est tout petit, il ne faut pas s’attendre à la puissance séchante et l’efficacité d’un appareil normal. Mais il a tout de même deux vitesses et il fait son job, lentement mais sûrement. Pour un brushing, il sera peut-être juste mais pour les cheveux bouclés, il peut être pas mal. Moi, par exemple, j’ai un sèche-cheveux pro et le souffle est tellement puissant que ça me détend mes ondulations. Résultat, au lieu d’avoir des jolies boucles, j’ai le cheveu mousseux. Et puis moins puissant et moins chaud, cela veut aussi dire qu’il abîme moins la fibre capillaire.





Dans sa mini pochette, il est également pratique pour emporter en voyage. En général, dans les hôtels il y a déjà des sèche-cheveux, mais si tu pars au camping ou dans une maison, ça peut être pratique. Et sa petite taille évitera de surcharger la valise. Moi, si j’emmène le mien, le vrai, + mes produits de beauté, j’ai à peine la place d’emporter mes culottes. Il peut donc être le compagnon idéal de notre été, surtout qu’en plus, avec la chaleur, les cheveux sèchent deux fois plus vite. J’avoue que sur ce coup-là, je suis hyper partiale car il m’a totalement conquise avec son look girly et rétro.

dimanche 30 mai 2010

Jambes blanches : l'alternative à l'autobronzant

Je suis une nulle de l’application d’autobronzant. J’ai presque tout essayé – gel, brume, lingette, crème – je me retrouve toujours avec l’effet zèbre, même en utilisant un lait progressif. Je connais les instructions pour une application réussie (gommage et hydratation avant, étalage précautionneux après, attendre que ça sèche sans bouger) mais je n’ai pas la patience. En général, je croise les jambes juste après, d’où les tâches. En plus, je déteste l’odeur. Donc j’ai fini par laisser tomber. Et pour camoufler mes jambes cachet d’aspirine, j’ai trouvé une autre façon de tricher. Les soins colorants qui parte sous la douche.

C’est vraiment la solution alternative idéale. Ca fonce la peau plus ou moins légèrement. Comme ils sont colorés, ils sont faciles à doser et à étaler pour éviter les tâches. En général, il existe des versions pour peaux claires et foncées pour être sûre d’avoir la bonne teinte. Certains sont pour le visage et le corps, d’autres sont spécifiques à chaque zone. Moi, j’opte pour les versions corps puisque mon problème ce sont surtout mes jambes blanches. Pour le visage, été comme hiver, je suis incapable de mettre de côté mon fond de teint. Et surtout, si tu te trompes et que tu te retrouves avec des rayures sur les jambes, ce n’est pas un casse-tête comme avec l’autobronzant, où tu dois gommer comme une folle et attendre deux/trois jours pour pouvoir remontrer ta peau. Là, tu passes juste un gant de toilette humide avec du savon et ça part. Pareil, le soir, tu prends ta douche et tu redeviens blanche comme neige. Ce qui veut aussi dire que tu dois recommencer l’opération le lendemain mais moi ça ne me gêne pas. Je trouve que je suis plus libre comme ça. J’en mets vraiment quand je veux.

Même s’il s’est remis à pleuvoir sur Paris depuis quelques jours, en début de semaine dernière, j’avais ressorti mes compagnons estivaux. J’en ai trois car chacun a un fini différent (de haut en bas sur les photos de mon cuissot) : le Fluide bronze Goddess d’Estée Lauder, le fond de teint Glam Bronze et le gel teinté Sublime Bronze de L’Oréal. Je les ai depuis l’année dernière donc je ne suis pas sûre qu’ils existent encore tous. Je crois que le Estée Lauder était une édition limitée mais je vous en parle quand même parce que c’est mon chouchou. J’ai des doutes aussi sur le Glam Bronze. Mais il doit y en avoir d’en d’autres marques. Je vais mener l’enquête.

Je voulais vous faire des photos avant/après avec une demi-jambe maquillée et l’autre pas mais ça ne rendait pas bien. Avec la luminosité pourrie ici (il fait quasi nuit chez moi) on ne voyait aucune différence. Donc je vous mets des swatchs avec le produit juste posé pour voir la texture et la couleur et un peu étalé (mais pas totalement) pour vous faire une idée de la teinte obtenue.

Donc mon chouchou c’est le Fluide soleil teinté Bronze Goddess d’Estée Lauder. Comme son nom l’indique, c’est un fluide, mais il est tout de même assez consistant. Il est marron moyen, ce qui permet de bien voir où tu l’appliques. Il est assez facile à étaler même s’il faut y aller rapidement quand même. Mieux vaut ne pas attendre que ça sèche sinon c’est un peu galère. J’aime le fait qu’il soit coloré car j’ai tendance à oublier des zones et là ça me permet de bien estomper pour ne pas qu’il y ait des démarcations. Ca ferait vraiment tâche ! Côté résultat, ça laisse la jambe plus bronzée mais également avec un fini irisé (il contient des micro-paillettes). Comme ma peau n’est jamais vraiment noire, j’en mets donc même au cœur de l’été pour son côté embellisseur. Normalement, il peut également être utilisé sur le visage. Comme je n’en mets que sur les jambes et pour les grandes occasions, ce petit flacon m’est fidèle depuis deux ans (date limite de péremption d’ailleurs. Il faut donc je le finisse cet été).

Comme en ville, ce n’est pas toujours facile d’assumer les paillettes et le côté irisé (surtout au boulot), j’alterne avec le Fond de teint spray Spécial Jambes Glam Bronze de L’Oréal Paris. Lui, il est mat et, quand tu l’étales bien, il est indétectable. On ne voit pas que tu as quelque chose sur les jambes, elles sont juste plus bronzées. C’est une brume donc elle est assez facile à appliquer. Tu la tiens à 15/20 cm de la peau et tu pschitte. Une fois pour un résultat naturel (voire quasi invisible), plusieurs fois pour un hâle qui se voit. Après, moi j’estompe quand même avec les mains pour éviter traces et démarcations. Une fois appliqué, il fusionne avec la peau donc il n’y a pas de transfert sur les vêtements ou les meubles où on poserait nos fesses. Manquerait plus qu’on laisse une trace marron partout où on s’asseoit.

Malheureusement, je crois que ce produit n’existe plus et qu’il a été remplacé l’année dernière par le Gel teinté : Effet Bronzé Spécial Jambes Sublime Bronze One Day, toujours de L’Oréal. Je ne préfère rien affirmer car depuis l’arrivée des beaux jours, je n’ai pas encore mis les pieds au rayon cosmétique des grandes surfaces. En tout cas, c’est un bon substitut. C’est un gel teinté très fluide et facile à appliquer qui colore les jambes pour la journée. Il ne contient pas d’autobronzant (comme les deux autres produits d’ailleurs). Le léger hâle est obtenu grâce à du caramel et des colorants légers. On en applique plus ou mois selon le degré de bronzage que l’on veut obtenir. Côté fini, on est entre le Estée Lauder et l’autre L’Oréal. Lui a des nacres dorées dans la formule donc on obtient un résultat légèrement satiné mais il n’y a pas de paillettes.

Pour moi, ces soins colorants pour la journée sont vraiment la solution idéale pour produire un faux hâle. Pourquoi se prendre la tête avec un autobronzant ! Et puis, comme il n’y a pas de DHA, ils n’ont pas cette odeur beurk typiques des autobronzants. Petits conseils tout de même : on étale bien sinon on n’échappe pas aux tâches. Moi, mon talon d’Achille, c’est la cheville car il y a plein de bosses et de creux et comme je n’en mets pas sur les pieds, si je ne fais pas attention, il y a démarcation. Attention aux genoux aussi. Et puis, on se lave les mains après. Bon, il n’y a pas de minute buttoir comme avec l’autobronzant. Si tu le fais dix minutes plus tard, ce n’est pas grave, ça partira quand même. C’est juste crado.

vendredi 28 mai 2010

Mon premier cours de boxe m'a mise KO

Deux jours plus tard, la beauty paresseuse est toujours KO, percluse de courbatures et marchant comme un canard. Ce cours de boxe a laissé des traces. C’est que je ne suis pas vraiment du genre sportive, plutôt allergique même à toute activité physique. Mais ma mission de la semaine pour le boulot était de tester un cours de boxe, nouveau sport trendy chez les femmes. L’idée de rejouer Million Dollar Baby m’angoissait légèrement mais quand faut y aller, faut y aller. N’ayant pas de tenue de sport (bah oui, pourquoi faire puisque je n’en fais jamais), j’ai recyclé deux vieux chiffons qui pouvaient faire l’affaire, remis la main sur mes baskets de la fac et me voilà partie pour un cours collectif de boxe thaï (contrairement à la boxe anglaise où tu n’utilises que tes poings, là tu donnes aussi des coups de pieds). J’ai opté pour la version collective en me disant que si je n’arrivais pas à suivre, je pourrais toujours me cacher au fond de la salle derrière les autres participants. Et puis, j’avais trop peur d’être ridicule en « face to face » avec un coach.

On commence par l’échauffement avec la corde à sauter. Bon, moi je suis déjà morte mais je fais semblant pour l’honneur. Ensuite flexion, extension où tu dois te jeter au sol au signal puis te relever tout de suite. Là, je commence à simuler, j’avoue parce que si je me couche par terre, c’est sûr, je ne me relève pas : le poids de la gravité. Donc, j’ai un peu honte mais tout le monde étant à fond dans son exercice, j’en profite pour juste m’accroupir.

Après l’échauffement, on enfile les gants et on enchaîne des mouvements (coups de poings et coups de pieds) avec une ou un partenaire. On te frappe sur les gants puis c’est à toi de frapper l’autre. C’est encore un entraînement, donc ce ne sont pas de vrais coups. Ca rassure (mon nez est assez tordu comme ça, je ne voudrais pas qu’il se retrouve avec une deuxième bosse). Je me retrouve face à une journaliste reporter de guerre hyper sympa (alors là déjà je suis vraiment impressionnée, c’est quand même pas rien comme métier). C’est une habituée du cours, elle m’explique les mouvements, me décortique tout, me corrige quand je fais mal un truc (ce qui arrivait souvent) et surtout me rappelle de ne jamais baisser ma garde (parce qu’elle, elle se l’est pris un jour le coup de poing dans la figure). Je me suis aussi retrouvée face à un mâle. C’était plutôt cocasse : comme je n’ai aucune force dans les bras, je ne le frappais pas vraiment, il n’y avait pas d’impact. C’était ridicule mais ce n’était pas grave. Parce que l’ambiance était très bon enfant.

On est ensuite passés au vrai combat, moi toujours avec ma reporter de guerre. Pour moi, c’était le must du cours même si on a un pincement au cœur par peur d’être mise KO. C’est aussi la partie la plus difficile et la plus fatigante. J’étais d’ailleurs au bord de la crise cardiaque. Car c’est très demandeur, le physique et le mental étant tous les deux sollicités. Tu dois être constamment en mouvement, frapper ton adversaire mais également éviter et contrer ses coups. Et pendant ce temps-là, tu dois te concentrer pour ne pas baisser ta garde, réfléchir à où tu vas frapper et deviner la stratégie de l’adversaire. Ca ne dure pas longtemps, une petite dizaine de minutes, mais tu finis sur les rotules. Et justement, ce n’est pas fini. Après tu enchaînes sur une série d’exercices mixant coups portés sur des sacs et mouvements de gainage.

Parce que je ne m’étais pas assez illustrée jusqu’ici (c’est ironique), j’ai une nouvelle fois fait des miennes. T’ai-je déjà dit que j’étais légèrement tête de linotte avec des symptômes d’
Alzheimer précoce ? En gros, j’oublie tout, tout le temps. Donc aussitôt les dix exercices expliqués par le prof, aussitôt oubliés par moi. Ca nous a voulu quelques mini fous rires entre lui et moi puisqu’il devait venir me les réexpliquer à chaque fois, moi perplexe devant mon sac. En même temps, je crois qu’il avait commencé à cerner la bête : entre le « je ne fais jamais de sport », « je n’ai pas de force dans les bras », « je n’ai pas de force dans les jambes », « j’y arrive mieux avec l’autre main », « je ne lève pas la jambe très haut », je lui ai sorti un paquet d’excuses à deux balles. Ca faisait un peu retour au lycée. Mais il a tout pris avec le sourire.


Et puis, c’est à ce moment-là que je me suis aperçue dans le miroir de la salle : j’avais le visage tout rouge, l’horreur ! J’avais bien mis du fond de teint et du mascara avant mais ça n’avait pas servi à grand-chose (j’avais pas osé le fard à paupière, même si j’avais longtemps hésité à mettre un aqua cream, heureusement d’ailleurs j’aurais été vraiment ridicule sur le coup). Mais bon, là, en sueur, je me suis mise à rêver d’une douche et d’un bon make-up. J’avoue ça m’a un peu déconcentrée jusqu’à la fin de la séance. On devrait bannir les miroirs des salles de sport : on est vraiment trop moches quand on est en sueur. On ne devrait pas avoir à affronter cette image de nous alors qu’on souffre déjà le martyre.

A ce stade, j’étais vraiment morte mais ce n’était pas encore terminé. On sort les tapis et le prof nous annonce une série de pompes rapides. C’est là que j’ai déclaré forfait : les pompes, je n’y suis jamais arrivé. Mes bras tout flasques sont incapables de soulever mon corps. Gros sourire du mâle qui s’échine à côté de moi et regard rieur du prof quand il remarque aussi. Bon, c’est vrai que ma position de simulation n’était pas la meilleure. Cette dernière petite séance de torture laisse ensuite place aux étirements. Et voilà, j’ai survécu à mon premier cours de boxe ! Je m’applaudis moi-même intérieurement.

Le bilan ? Totalement positif. Quand, au début du cours, le prof a annoncé qu’on était partis pour une heure et quart, j’ai cru mourir. Je me suis dit que je ne survivrais pas. Et puis finalement, quand le cours s’est achevé, je me suis dit « déjà ?», limite j’en demandais encore (limite, hein). En fait, on ne voit absolument pas le temps passer car on enchaîne les exercices (certaines séquences durent une minute, d’autres 10 mais pas plus). On ne s’ennuie donc jamais. En plus, entre les exercices, on a le temps de reprendre son souffle. Et puis, le prof, qui je le répète est vraiment vraiment très sympa (ça m’a marqué), adapte les exercices à chacun, ne t’engueule pas quand tu traînes, prend le temps de t’expliquer et pour les exercices à deux, il veille à te mettre avec quelqu’un de pas trop fort. En plus, comme c’est un groupe avec des gens de tout niveaux, tu ne te sens pas la nulle parmi les nulles. D’ailleurs, le groupe en lui-même était vraiment bien, sympa eux aussi. J’avais un peu peur à cause de la présence de garçons. La dernière fois que j’ai fait une activité physique avec une bande de mecs dans les parages, ils se sont rapidement moqués de nous (alors qu’on n’avait même pas commencé à s’activer). Mais là, ce n’était pas ce genre de bourrins. Non, ça rigole avec toi quand tu rames, parce qu’eux peuvent ramer aussi, ça t’aide (il y en a même un qui m’a gentiment donné ses protège tibias), ça papote. C’est cool quoi.

Donc, même si je ne suis pas sûre de recommencer l’expérience (on ne se refait pas, je suis une non sportive convaincue), j’ai été vraiment séduite par l’expérience. En plus, ce genre de boxe, où tu utilises mains et pieds, permet de travailler et de muscler l’ensemble du corps (abdos compris). Le lendemain, j’avais d’ailleurs mal partout, et plus particulièrement aux jambes, ce qui peut paraître paradoxal. Aujourd’hui encore, je marche comme un canard. Mais je me suis bien marrée, c’est tout ce qui compte.

jeudi 27 mai 2010

Revue du Soin Après-Soleil Eau Thermale Saint-Gervais Mont Blanc

Ma journée à Roland Garros m’a laissé quelques souvenirs douloureux. Même si j’avais pris avec moi une crème solaire, je n’ai pas échappé aux coups de soleil. En général, je me protège méthodiquement mais, même comme ça, il n’y a pas un été sans que j’en récolte quelques uns. Il y a l’inévitable au cuir chevelu, ceux sur les parties du corps que je n’arrive pas à atteindre quand je me crème seule (l’année dernière, j’avais deux boules rouges dans le dos là où mes doigts n’arrivaient pas) et puis les zones qu’ont oublie. Là, c’est mes avant-bras et mes cuisses qui ont pris. En fait, le temps que je crème le reste du corps, le soleil avait déjà fait son sale travail.

Heureusement, le hasard fait bien les choses. Il y a une semaine, on me proposait de tester la gamme solaire l’Eau Thermale Saint-Gervais Mont Blanc. Une marque que je connaissais de nom mais que je n’avais jamais utilisée. Je me suis donc dis que c’était l’occasion de découvrir les produits et de changer un peu des marques vers lesquelles je me tourne en général pour les produits solaires. On m’a ainsi gentiment envoyé le soin après-soleil. Il ne pouvait pas mieux tomber. J’ai donc pu le tester en conditions réelles. Voici ma revue :

Le produit : Soin Essentiel Après-soleil, Eau Thermale Saint-Gervais Montblanc. 150 ml, 16 €.

Ce qu’en dit la marque : Il « hydrate et ressource l’épiderme après toute exposition solaire. Il apaise les sensations d’inconfort et contribue à réparer les peaux les plus sensibles ».

La composition : de l’eau thermale de Saint-Gervais-les-bains, très minéralisée et riche en oligo-éléments pour une action apaisante et réparatrice, un agent dermo-calmant, de la glycérine végétale et des actifs nutritifs et relipidants.

La texture : C’est un lait fluide de couleur blanche assez facile à appliquer.

La pénétration du produit : plutôt rapide quand on en met la juste dose. Je précise car la première fois, je n’y étais pas allée de main morte donc forcément ça collait un peu.

Le parfum :
attention, là c’est totalement subjectif. Que ce soit en parfum ou en soin, je déteste les odeurs fleuries, quand ça sent l’herbe et la verdure (je suis une vraie citadine qui trouve que la campagne ça pue). Ca me pique le nez. Et là, justement, à l’application, la fragrance est plutôt fleurie. Moi, je préfère les odeurs gourmandes. Donc, sur le coup, je me suis dit « mouais, ça le fait pas trop » parce que, au final, on a quand même envie de sentir sur soi une odeur que l’on aime. Et puis, après quelques minutes, les notes de tête fleuries se sont évaporées pour laisser place à une fragrance assez agréable, plus douce et plus estivale. Ouf, je peux me renifler tranquille.

L’action : Côté hydratation, c’est plutôt pas mal. Je ne pèle pas comme ça m’était arrivé l’année dernière et ma peau est bien élastique. Pour le côté apaisant et réparateur, j’ai été assez surprise. En général, j’utilise un produit spécifique sur les coups de soleil mais, là, je voulais faire le test jusqu’au bout pour voir la réelle efficacité du produit même si j’avais peur que ça ne calme pas la sensation de brûlure (qu’est-ce que je ne suis pas prête à faire pour vous !) J’ai appliqué le lait le soir (sur peau propre bien sûr) et le lendemain, même si la peau était toujours rouge, la sensation d’échauffement et de picotement avait, elle, disparue. Donc, je suis plutôt satisfaite de l’action calmante et apaisante.

Le lait peut également être appliqué sur le visage. Ce que j’ai fait. Mais là, je suis moins convaincue. En fait, je préfère utiliser des après-soleil (et des solaires aussi d’ailleurs) spécifiques pour cette zone. Certains corps gras ou huiles parfaites pour le corps ne sont en effet pas géniales pour le visage, surtout si on a une peau à tendance grasse. C’est mon côté obsessionnelle/parano/pointilleuse. Il me faut un soin à la formule mais aussi à la texture dédiée. Comme je me maquille souvent après le retour de plage pour ressortir le soir, il me faut un produit qui apaise, oui, mais qui pénètre également très rapidement sans laisser de film gras, sinon le make-up n’accroche pas et on brille. Il m’est d’ailleurs arrivé d’utiliser juste un sérum. Là, sur mon visage, ce soin ne pénètre pas assez rapidement à mon goût. Comme je suis allée me coucher après, ça ne m’a pas dérangée sur le moment. Mais je sais que cet été, je m’en servirai uniquement sur le corps.


Conclusion : J’ai été plutôt satisfaite. Il fait très bien son boulot. Il hydrate parfaitement et apaise vraiment (ce qui n’est pas le cas de tous les après soleil, je sais c’est un comble). Je trouve aussi que le rapport qualité/prix/contenance est plutôt raisonnable (dans la moyenne de ce qu’on trouve en pharmacie non ?). Et puis c’est sympa de changer et de découvrir de nouvelles marques. Si vous voulez en savoir plus sur la marque, ils ont un site internet.

Cette revue vous a plu ? Comme je n’en fais presque jamais, j’aimerai bien avoir votre avis. Ca vous intéresserait que j’en fasse un peu plus ? C’est vrai que je ne songe pas forcément à vous présenter mes coups de cœur ou les produits que je teste sous cette forme. Vous préférez mes blablas habituels ou un truc plus carré comme ça ?

mercredi 26 mai 2010

Dans les coulisses du Moulin Rouge grâce à MUFE

La beauty paresseuse a testé un cours de boxe aujourd’hui. Vous pensez bien que la flemmarde que je suis adhère à une religion dont le premier commandement est « de sport tu ne feras point ». Mais bon quand il faut, il faut (je vous en reparlerai lorsque les courbatures ne se feront plus sentir). Tout ça pour dire que je suis fourbue (surtout après tous les efforts déjà fournis hier) et que j’ai du mal à aligner trois mots. Donc voici une note tout en images.

Hier, avant Roland donc, j’ai eu la chance de pouvoir visiter les coulisses du Moulin Rouge grâce à Make Up For Ever qui y faisait la présentation de ses nouveautés maquillage (très belles nouveautés, le lieu n’ayant pas été choisi au hasard, mais pareil, je vous en reparlerai en tant voulu. Suspense insoutenable, je sais). J’ai donc fait un tour derrière le rideau avec notamment La Journaliste (blogueuse et journaliste). A la base, c’était une visite guidée, mais comme deux ados, on a passé notre temps à papoter et rigoler comme des gamines donc je ne peux pas vraiment vous commenter les photos. Je sais, on est de très mauvais élèves. On a d’ailleurs fuit avant la fin. C’est que la petite balle jaune m’attendait moa. J’étais tellement pressée que je n’ai même pas pris le temps de photographier la façade. Mais je trouvais quand même sympa de vous faire partager l’expérience.














Sur ce, je m’en retourne zieuter la petite balle jaune. Mais à la télé cette fois… Après tout ce sport, j’ai bien mérité de regarder les autres souffrir.

mardi 25 mai 2010

Spécial Roland Garros : des ongles terre battue

Petit passage rapide et tardif parce que j'ai passé la journée à Roland Garros. et pour l'occasion, j'ai assorti mon vernis à la terre battue avec le orange foncée A Good Man-Darin is Hard to Find de la collection Hong Kong de OPI.



Beauty addict jusqu'au bout des ongles. Au passage, il est plutôt pas mal. Avec le rouge vitaminé Red is my Fortune Cookie, c'est mon préféré dans cette collection.

lundi 24 mai 2010

Les soins pailletés pour le corps : mes chouchous

Enfin, le soleil est de retour. Je ne sais pas vous mais moi, j’ai ressorti les robes légères, les jupettes et les minis shorts. Ca fait du bien. Il y a quand même un hic : la jambe blanchâtre comme du plâtre, ce n’est pas hyper sexy. Vous me direz, il y a toujours l’autobronzant ? Très peu pour moi. Je trouve que ça pue et quel que soit le produit choisi, chez moi c’est toujours l’effet zèbre. Mais je ne sors pas jambes nues pour autant. J’aime bien me glitteriser. What ? Ben, je suis un peu une adepte de la paillette sur les jambes en été. Oui, même en ville. En revanche, je circonscris ça au bas du corps et je ne paillette pas les bras et le décolleté (sauf grandes occasions). Point trop n’en faut. Je ne voudrais pas tomber dans le bling bling et la pétassitude. Et pour me glitteriser le corps, j’ai quatre petits chouchous : une huile, un gel, un lait et un fluide (les swatchs ci-dessous). Ils sont plus ou moins pailletés. Je les alterne donc selon la situation (du plus discret au plus tape-à-l’œil) et mes envies.

Donc, de gauche à droite, nous avons :

1- La star : l’Huile Prodigieuse Or de Nuxe. C’est le produit culte par excellence. Je l’adore. C’est une huile sèche multifonctions qui peut aussi bien être utilisée sur les cheveux, sur le visage et le corps. Son parfum est juste sublime : entre fleur de tiaré et monoï. Ca sent l’été, le soleil, la plage, les vacances. Un délice. Elle laisse un voile irisé sur la peau et des paillettes dorées de taille moyenne (elles se voient bien que l’on soit à l’ombre ou au soleil. Petite précision pour la comparaison avec les autres produits). C’est une huile, donc, même si elle est sèche, le film gras reste présent un certain temps, même si c’est moins gras et pas collant comme avec une huile normale. En plus de ses propriétés cosmétiques, c’est également un véritable soin aux propriétés hydratantes, nourrissantes, réparatrices et adoucissantes grâce à une formule associant six huiles végétales et de la vitamine E (et des nacres pour le fini satiné).
Moi, je l’utilise plus sur le corps, beaucoup les soirs d’été quand je sors. J’ai l’impression d’être une disco queen. Je m’en étais aspergée la chevelure un soir parce que j’avais la paresse de me laver les cheveux après une journée à la plage. Je m’étais dit que ça camouflerait mes cheveux sales. Mais j’ai pas été satisfaite du résultat. Forcément, comme c’est de l’huile, je les trouvais encore plus gras. Il faut dire que je n’y étais pas allée de main morte. Mais au moins, ils ont été bien hydratés et moins secs après le lavage le lendemain.

2- le Soin étincelant post-épilatoire de Sothys. Ce gel pailleté est censé illuminer les jambes et ralentir la repousse du poil. Au début, c’est pour cette deuxième action qu’il avait rejoint mes placards beauté. Mais finalement, je n’ai pas eu la discipline pour l’appliquer tous les jours (seul moyen de ralentir effectivement la repousse du poil). Et puis mes poils sont tellement bioniques (après une épilation à la cire, ils commencent à repousser dans la semaine) que je n’y ai finalement jamais cru. Donc, aujourd’hui, je m’en sers plus pour le côté illuminateur car il laisse un voile de paillettes dorées bien visible sur les jambes. Comme c’est un gel, il y a un côté frais à l’application assez agréable par fortes chaleurs. Il pénètre également assez rapidement. Le bémol : son parfum. Il ne sent pas mauvais mais pas bon non plus.

3- Mon deuxième gros coup de cœur après l’huile prodigieuse : le Body Gloss d’Hawaiian Tropic. Cette marque de solaires culte chez les surfeurs américains a débarqué chez nous l’année dernière et j’ai eu le coup de foudre pour ce gloss pour le corps qui sent divinement bon la noix de coco. Quand j’en mets, j’ai l’impression d’être une gourmandise qui n’attend que d’être croquée. Moi qui ne mets pas de parfum parce que je ne le sens pas, c’est devenu mon parfum d’été. Et avec lui, je sens trop bon. Ne vous moquez pas mais il m’arrive de me renifler. C’est un tel délice. Et puis, comme l’huile prodigieuse, c’est un parfum de soleil et de vacances. Je l’aime aussi beaucoup car il est plutôt discret côté résultat. Ce lait hydratant laisse un léger voile satiné sur la peau. Au début, quand je l’ai appliqué chez moi, j’étais perplexe parce que je ne voyais pas de différence avec mes jambes sans. En fait, cela se révèle au soleil : il est constellé de mini paillettes argentées. Il est donc idéal pour porter en ville ou le too much n’est pas forcément bien vu. Le plus vraiment plus : son prix. Je ne me souviens plus exactement mais je sais qu’il n’est vraiment pas cher, surtout comparé aux autres. Je pense que ça doit tourner autour de 10/15 €, sachant qu’il est vendu en grande surface. Pour la contenance (200 ml) et la qualité de ce lait, je trouve que c’est quasi donné.

4- Et last but not least : le Glow to Wear de Givenchy. Ce Voile Satiné pour le corps était sorti en même temps que la collection de maquillage de l’été dernier. Mon côté snob a forcément craqué. Même si ce fluide est teinté, il ne colore absolument pas la peau. Donc aucune crainte de se retrouver avec des tâches. Il laisse juste sur la peau des milliers de micro-paillettes pour un fini satiné. Côté parfum, on est plutôt dans le fleuri.

Et vous, vous aimez briller de mille feux ? Et si oui, vous utilisez quoi ? On ne sait jamais, si je dois rajouter des choses à ma collection.

dimanche 23 mai 2010

Nouveaux tests avec les Ombres Stretch de Bourjois

Ca m’a turlupiné toute la semaine. Dimanche dernier, je vous parlais des Ombres Stretch de Bourjois que je trouvais vraiment top mais plusieurs d’entre vous m’avaient répondu qu’elles avaient été super déçues. Après mon post, j’avais également vu sur le net des avis négatifs, surtout sur le fard noir. Moi, mon bleu élasthanne, je le trouve vraiment génial. J’avais également testé le noir, il y a longtemps, mais il ne m’avait pas laissé de mauvais souvenirs. Comme je ne voulais pas vous conseiller n’importe quoi, je me suis rafraîchi la mémoire en testant les autres teintes à ma disposition. Comme je suis monomaniaque, je les avais mises de côté sans raison, il était donc tant de leur donner une deuxième chance.

J’avais du noir, du blanc, du vert et du violet : je m’en suis donc servie pour faire deux maquillages. J’ai travaillé sur une base à paupières normale : les fards y adhèrent bien même si ce n’est pas la rolls des bases. Evidemment, si on les applique sur paupière nue, ils n’accrochent pas très bien et pas uniformément. Mais sur ma paupière, c’est le cas de tous les fards. Au contraire, si on les applique sur la Primer Potion d’Urban Decay, ils fusionnent bien avec la paupière et la couleur est encore plus éclatante. Je me suis remaquillée avec mon bleu élasthanne avec la PP Sin cette semaine et ça faisait vraiment péter la couleur.

Petite précision tout de même : si lui ne fait pas de chutes, les autres en font par contre. Mais ce n’est rien comparé à certains Givenchy, Dior, Mugler ou même YSL testés dernièrement ou là je devais carrément refaire le teint. Peut-être le fait qu’ils aient été peu voire pas utilisés joue-t-il dans la quantité de chutes. J’ai également poussé le vice jusqu’à utiliser les mini pinceaux fournis dans les boîtiers et ce n’était absolument pas catastrophique. Pour dépanner, c’est bien plus pratique qu’un embout mousse. Pour l’estompage et le floutage, j’ai quand même pris mes pinceaux. J’ai testé avec les minis mais c’était un peu n’importe quoi.

Pour mon premier maquillage en noir et blanc, j’ai opté pour quelque chose de basique : le noir dans le coin externe de l’œil et le blanc dans le coin interne, sur la paupière mobile et au ras des cils inférieurs. J’ai également blendé le tout sur la paupière supérieure fixe avec le blanc. J’ai utilisé les teintes 01 Intense Black et 02 maxi blanc. Et c’est là, en fait, que je mettrais un bémol. Dans cette ligne, les teintes annoncées ne sont pas forcément celles obtenues. Ainsi, pour moi, le bleu élasthanne est plus un vert profond. Et le blanc, vous êtes d’accord avec moi, c’est plus du crème voire du jaune doré. C’est vrai que si on suit son nom « maxi blanc », il y a de quoi être déçue. J’avais également lu sur certains blogs des critiques sur le noir qui n’était pas assez noir. Effectivement, quand tu l’estompes, il devient un peu un gris très très foncé ou un noir pas très fort. Mais moi, ça me convient. Je n’aime pas le noir trop noir en ombre, je trouve que ça fait gothique sur moi. C’est d’ailleurs pour ça que je l’avais mis de côté, je le trouvais trop foncé. Mais dans l’ensemble, je trouve ça pas mal.




Pour le deuxième make-up, j’ai donc utilisé les couleurs vertes et violettes : le vert foncé 11 infinite green, le vert clair 05 vert étirable et le 07 violet profond. L’association est un peu improbable, je l’admets, mais je suis d’humeur aventureuse en ce moment. Enfin pseudo aventureuse puisque je ne sors pas avec ces tests et, avec celui-ci, pas sûr que je le ferais. C’est assez particulier. Cette fois, j’ai voulu changer un peu de ma technique habituelle. J’ai donc appliqué le violet au centre de la paupière mobile et le vert foncé en halo tout autour (coin interne, externe et pli de la paupière). Enfin, j’ai blendé avec le vert clair sur la paupière supérieure fixe. Au ras des cils inférieurs, j’ai une nouvelle fois entouré le violet par le vert foncé. Le résultat est assez coloré et très perroquet. Mais côté qualité des ombres, je suis assez satisfaite, elles sont quand même très pigmentées. Et j’ai eu un véritable coup de foudre pour le infinite green. Je ne comprends pas comment j’ai pu le mettre de côté si longtemps.



Après ces multiples tests, je garde donc ma bonne opinion sur ces ombres. Si tu les appliques sur une base, elles accrochent bien et les couleurs sont quand même éclatantes et plutôt bien pigmentées. Bien sûr, il faut remettre quelques coups de pinceaux pour avoir une bonne couleur mais c’est le cas pour la majorité des fards même les meilleurs. Je n’ai également eu aucun problème à les travailler, mais bon, j’ai fais des choses assez simples. Le mini pinceau fourni peut également être pratique pour dépanner. En fait, le seul bémol c’est la différence parfois entre le nom du fard et la couleur obtenue. Mais j’ai été tellement déçue par des fards de grandes marques qui coûtent un bras ces derniers temps que ce petit fard à 10 € ne peut que recevoir mon approbation. Après tout est peut être une question de paupière.

samedi 22 mai 2010

Petit concours chez Les Créas de Mandy : de mignons bijoux fantaisie

Petit passage rapide en ce samedi ensoleillé pour vous dire que Mandy, du blog Les Petites Créas de Mandy, organise un concours jusqu’au 1er juin pour gagner un des bijoux qu’elle crée. Je n’avais jamais participé à un concours sur la blogosphère jusqu’ici, parce que je ne suis pas quelqu’un de chanceuse et également par pure paresse. Mais je vous ai déjà parlé de mon amour pour les bijoux fantaisies. Et bien là, je n’ai pas pu résister. Ses créations sont trop adorables. J’ai eu du mal à choisir d’ailleurs, tellement je trouvais tout mignon (oui car tu peux gagner le bijou de ton choix, merveille). Et puis finalement, j’ai cédé à l’appel du donught.


Pour participer, c’est par là : http://mespetitesventes.over-blog.com

vendredi 21 mai 2010

Maquillage avec la palette Summer en Love d'Urban Decay

Comme l’année dernière, Urban Decay lance une mini palette pour célébrer l’été. Après Get Baked, voici Summer of Love et son look très psychédélique. Elle contient quatre fards à paupières - Flash, Maui Wowie, Chopper et Smog -, un crayon Glide-on pencil 24/7 Bourbon (marron) et une mini Primer Potion Sin. Elle fonctionne comme celle de l’année dernière : il y a une ombre « flashy » et les trois autres sont dans les tons bronze/doré/marron. Mais ce ne sont pas les mêmes que dans Get Baked, contrairement au crayon qui était déjà un Bourbon.
Hier, je me sentais d’humeur testeuse donc j’ai essayé d’imaginer des maquillages qui utiliseraient les quatre ombres et le crayon (soyons fous). Petite précision : je n’ai pas utilisé la PP en base mais une base normale qui en général fait l’affaire. Les fards accrochent très bien dessus même si, après, ils n’ont pas la même durée de vie qu’avec la UD. Mais comme c’était juste un test, je me suis dit pourquoi gaspiller ma si précieuse base.
J’ai d’abord voulu mettre le violet à l’honneur. J’ai donc appliqué l’ombre sur l’ensemble de la paupière mobile. J’ai ensuite fait un retour, toujours avec le violet, sur la paupière inférieure. Première mini surprise, elle n’est pas si flashy, contrairement à ce que son nom « flash » pourrais laisser penser. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est du pastel mais j’ai connu plus pigmenté. J’étais d’ailleurs assez surprise. Je ne m’attendais pas à ça venant d’Urban Decay. Après, je vous l’accorde, en habituée des couleurs forte, j’ai un seuil de « flashytude » plus élevé que le commun des mortels.



J’ai continué en appliquant le marron Smog (à gauche) dans le pli de la paupière. Puis, j’ai mis le bronze-cuivré Chopper (troisième en partant de la gauche) dans le coin interne de l’œil pour illuminer le regard. Et parce que je suis une rebelle, pour la touche lumière sous l’arcade, j’ai cette fois choisi le doré Maui Wowie. Là, surprise encore : vu que c’est le plus clair, je me suis dit que je pouvais prendre pas mal de matière sans risque (il en avait fallu pour avoir une bonne couleur avec les autres). En fait, c’est la teinte qui accroche le plus. Je me suis donc retrouvée avec une arcade un peu trop illuminée. Cette teinte est également parsemée de grosses paillettes qui prennent leurs aises à l’application. J’en avais partout : dans le sourcil, sous et autour de l’œil, sur la pommette… Et elles ne sont pas commodes, même après le démaquillage certaines s’accrochaient toujours. Enfin, j’ai terminé par un trait de crayon Bourbon au ras des cils supérieurs. Dans la waterline aussi mais ça ne se voit pas, les crayons UD ne marquant pas dans mes muqueuses (les MUFE non plus d’ailleurs). J'ai aussi mis du mascara violet pour jouer le jeu jusqu'au bout (le Phenomen'Eyes Purple Impressions de Givenchy)




Au vu du résultat, j’étais pas hyper satisfaite. Je me suis donc dit que pour mon deuxième essai, je mettrai plutôt les bronzes en valeur.



Comme je trouvais que sur ma base classique, les fards n’accrochaient pas, j’ai peinturluré ma paupière avec le crayon Bourbon. Allons-y pour une base grasse même si je ne voulais pas faire un charbonneux. Et c’est vrai que quand j’ai appliqué le chopper (cuivré) sur ma paupière mobile, la couleur a pris plus facilement. J’ai utilisé le smog (marron) en « eyeliner » et fait un trait au ras des cils supérieurs. Là, je me suis dit : que faire du violet ? J’ai commencé par faire juste un trait au ras des cils inférieurs. Je voulais m’arrêter là et puis j’ai été prise d’un coup de folie et j’ai fini par en mettre également dans le pli de la paupière. Et puis, j’ai rejoint les deux traits sur le coin externe de l’œil pour que ça dessine bien une forme en amande. Touche finale : le doré Maui Wowie dans le coin interne et sous l’arcade en touche lumière.


Sur le coup, j’étais toujours pas convaincue. Je télécharge donc les photos sur mon ordi et là, c’est le choc, ça va pas du tout. Je pensais avoir bien estompé les couleurs entre elles et flouté les contours mais en fait pas du tout. Note à moi-même : ne pas partir dans des maquillages compliqués quand je ne porte pas mes lentilles. D’ailleurs, après cette expérience, je tiens à exprimer mon admiration aux vraies bigleuses porteuses de lunettes. J’ai quand même repris mes pinceaux pour blender et smudger tout ça. Ouais, je me la pète, je parle technique. Bon, en fait, j’ai tout piqué mme-beauté.




Je vous mets les photos avec et sans flash car je trouve que sans, les couleurs sont plus fades que dans la réalitévmais qu'avec elles sont plus lumineuses. c'est un entre-deux.



Une fois estompé, j’ai trouvé ça un peu mieux. Mais je me demande si j’y suis pas allée un peu trop fort cette fois. Car finalement, là, surtout sur un œil, tu vois pas vraiment qu’il y a quatre couleurs. Donc tout ce travail pour avoir au final un résultat proche de mon mono habituel, la beauty paresseuse s’interroge et n’est pas sûre de recommencer. On ne se refait pas !




Bon, là on voit quand même la différence. D'ailleurs c'est pas mal non ? Ou je devrais remettre mes lentilles immédiatement ? J'ai cadré les photos large pour que vous puissiez voir les chutes de paillettes et leur grosseur.



Conclusion : déjà, je pense que la raison pour laquelle ça ne m’emballe pas, c’est que je ne suis pas fan, à la base, de ce genre de couleur. Le violet, vous le savez, ce n’est pas trop mon truc. Et je trouve que les marrons/bronzes ne mettent pas mon œil en valeur. Ca m’éteint le regard ou plutôt ça me l’efface. Peut-être suis-je trop habituée au bleu fashy qui fait vraiment claquer mes yeux et, en comparaison, tout me semble fade.

Je pense également que je préférais la palette de l’année dernière (petites photos pour celles qui ne se souviennent pas). Il faut dire que le fard star était Flipside, un fard que j’aimeeeeeeeeeeeeeeuh beaucoup beaucoup. Petite minute nostalgie : c’était mon premier fard UD mais aussi mon premier fard flashy. C’est lui qui m’a fait basculer du côté obscur de la force.

En tout cas, si vous avez vous aussi la palette (qui est à 24 €) ou les fards indépendamment, j’aimerai bien voir vos propositions. Je suis sûre que vous aurez plus d’imagination que moi.