dimanche 28 juillet 2013

La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram #16


Après une petite semaine de pause (abrutie par la chaleur, je n’avais pas eu la force de dégainer mon portable et ç’avait été silence radio sur les réseaux sociaux), la semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram est de retour. Bon, ça n’a pas été ma semaine la plus prolifique, je n’ai pas été très bavarde, mais c’est les vacances, on y va doucement.


Cette semaine, ça a été un peu une histoire de pieds. Ils ont joué les mannequins et se sont affichés à plusieurs reprises. La première fois pour vous montrer ma tentative de manucure tendance. Les dieux de la beauté ont en effet décidé que le vernis blanc était de nouveau hype cet été, tout particulièrement sur les pieds. J’ai toujours eu du mal avec le vernis blanc car je trouve que ça fait vraiment tippex mais comme je suis une blogueuse dévouée à la cause, j’ai tout de même tenté. J’ai appliqué le Blanc d’Essie sur mes petons. Mais franchement, je ne suis pas sûre de valider. Sur d’autres, ça le fait peut-être, mais je crois que sur moi je n’aime pas. Sur les orteils, je préfère définitivement du rose, du orange ou du rouge. Je trouve ça plus glam, plus féminin. Le blanc ça m’a choqué. Après, c’est peut-être une question d’habitude. Ou peut-être est-ce aussi parce que ma pose n’est pas tout à fait parfaite. D’où le flou artistique. Mais il faut dire que le blanc est une plaie à appliquer. Je trouve ça vachement dur de faire une pose nickel avec.


Mes petons étaient de retour le lendemain. Tu remarqueras que j’avais changé de vernis pour un orange beaucoup plus sympathique, peut-être moins tendance mais plus estival. Tu remarqueras aussi ma magnifique robe H&M (je suis in love de sa couleur rose soutenu), toute trempée. C’est qu’en ce moment, à Paris, c’est le grand n’importe quoi. Tu te tapes la canicule avec des températures étouffantes quand tout d’un coup, pouf, le déluge s’abat sur toi. Et malheur si tu es dehors à ce moment-là. C’était mon cas et je me suis pris une vraie douche. Le temps d’arriver chez moi, j’avais la robe toute trempée, les cheveux aussi mouillés que quand je viens de les laver, sans parler de mes jolies sandales ruinées. Tu me diras, ça rafraîchit.



 Pour rendre hommage à mes jolies sandales noires H&M qui venaient de rendre l’âme, j’ai shoppé des petites nouvelles chez San Marina. Je les adore, je les trouve trop belles. Elles sont assez classes je trouve et puis je suis fan de l’imprimé qui fait un peu ethnique. Elles existaient aussi en noir mais en blanche (avec le liseré bleu et rouge), je les trouve plus sympas. En plus, elles ont un mini talon mais avec lequel j’arrive tout de même à marcher. C’est presque comme si j’étais à plat. Ok, c’est que 2 centimètres mais pour moi c’est déjà beaucoup. Bon, elles me font encore un peu mal, il faut qu’elles se fassent, mais j’en suis fan.


Vous commencez à avoir l’habitude, pas de semaine d’Instagram sans sa petite photo de Paris. Cette fois, je suis tombée en admiration devant cette ancienne horloge sur la façade d’un immeuble (entre Sentier et Réaumur Sébastopol). Ca donne vraiment du cachet à l’immeuble. C’est aussi pour ça que j’aime Paris, pour toutes les merveilles insoupçonnées qu’on peut découvrir à chaque coin de rue. 


Sans parler des immeubles hallucinants qui font rêver. Alors que j’étais posée dans un parc, je lève les yeux et tout d’un coup je remarque cet immeuble au-dessus des arbres avec des terrasses de fou, sans vis-à-vis, juste une vue sur le ciel. Le rêve d’habiter là. En été, ça doit être le pied !



Enfin, comme chaque semaine, chaleur oblige, j’y suis allée de ma petite glace. Cette fois, j’ai descendu un pot d’Häagen-Dazs, saveur vanille. Assez bonne mais un peu classique. Ca manquait de gros morceaux de cookies.

A la semaine prochaine pour un nouveau résumé Instagramien et Facebookien. Et si vous voulez me suivre en direct, c'est par ici :
Facebook : Journal d'une Beauty Paresseuse
Instagram : LABEAUTYPARESSEUSE   

vendredi 26 juillet 2013

Je dis oui au bain dissolvant Kiko


Comme je vous l’ai raconté dans ma dernière note, en ce moment, j’ai la manucure qui flanche. D’où la disparition du vernis de la semaine. Au début, juste après la pose, tout va bien, tout semble normal. RAS. Mais à chaque fois, la mauvaise surprise m’attend une fois le vernis vraiment sec. Tu me diras, désormais, ce n’est plus vraiment une surprise parce que ça me le fait à tous les coups, avec n’importe quel vernis. Ca bulle plus ou moins, ça devient épais, parfois ça ne sèche pas aussi et je me retrouve ou avec des marques ou avec une texture caoutchouteuse. Bref, c’est dégueu. Je pense que c’est la chaleur même si ça m’étonne tout de même un peu. En tout cas, quelle que soit la cause, parfois je dois refaire ma manucure chaque soir tellement c’est dégeu.


Pas top pour une paresseuse tu en conviendras. Alors au début, je retirais le vernis chaque soir avec le duo classique coton/dissolvant. Mais faut l’avouer, rapidement, ça m’a saoulé. Trop fatigant et trop long pour la paresseuse que je suis. Ca m’a finalement donné la motivation pour aller m’acheter le bain dissolvant qui était sur ma shopping liste depuis des mois. Mon bain dissolvant Sephora étant en effet mort : à chaque fois que je plongeais le doigt dedans, il en ressortait bleu et l’ongle plus cracra qu’avant. En fait si j’ai mis aussi longtemps à passer à l’acte (d’achat) c’est que j’hésitais. Avant, c’était facile de se décider, on n’avait pas le choix, c’était Sephora, point. Puis il y a eu Bourjois et là ça a été le début d’une déferlante. Résultat, je ne savais pas lequel choisir. Nocibé, Marionnaud ? Finalement, j’ai décidé d’innover et de me tourner vers Kiko.

Je me suis donc rendue en boutique shopper le Nail Polish Remover Fast & Easy (et un dissolvant classique aussi mais pas encore testé). Et je ne suis pas du tout déçue. J’aime son efficacité qui fait du bien quand tu dois refaire ta manucure tous les jours et que t’as pas envie que retirer ton vernis te prennent des plombes. Parce qu’avec mon dissolvant du moment, c’est le cas avec certaines teintes et faut bien le dire, c’est chiant. Là, avec toutes les couleurs testées, c’était nickel. Il laisse l’ongle tout propre, sans une trace, et sec (c’est-à-dire sans résidu huileux dessus pas sec/déshydraté). Bon, je n’ai pas testé avec les vernis à paillettes mais ça je ne le ferais plus, ça m’avait ruiné mon Sephora car les paillettes déchirent la mousse. 


Bref, trop contente de son efficacité. Est-il plus efficace que les autres bains dissolvants ? Je ne saurais dire, je ne pense pas forcément, ça doit être à peu près pareil. En revanche, il se distingue sur l’odeur je trouve. En tout cas comparé à mon Sephora (je ne me prononcerai pas sur les autres ne les ayant pas testés et ne me souvenant pas de leur parfum si un jour je les ai reniflés). Quand tu ouvres le pot et que tu mets le nez dedans, ça sent le dissolvant classique. Ca dépote quoi, normal. Mais étrangement, il y a aussi un autre parfum et c’est cette odeur là qui reste sur le doigt. Quand t’enlèves le doigt de dedans, il ne sent pas le dissolvant comme tu pourrais t’y attendre mais une odeur gourmande de fruits rouges je crois. J’adore. C’est super agréable. Même si c’est quand même un peu trompeur. Parce que normalement, après avoir retiré mon vernis, à cause de l’odeur, je file me laver les mains. Je fais tout le processus dans ma salle de bain d’ailleurs pour gagner du temps et pour pas que mon appart ne sente le dissolvant. Mais là entre le fait qu’il sente bon et la rapidité et praticité du truc, je me dissolve sans bouger de mon canapé.


Et après, le parfum ne me dérangeant pas, plus rien ne me force à me laver les mains, même si je devrais. Je reste donc vautrée sur mon canapé. Cool en principe. Moins cool quand tu te mets à te ronger les ongles et que tu te dis miam quel bon goût/bonne odeur ont mes ongles, qu’est-ce que ça peut bien être, avant de te rendre compte ben que c’est ton dissolvant. Un peu pouah quand même. Mais ça n’empêche que je valide totalement. Après la question qui fâche : abîme-t-il les ongles comme certains bains utilisés sur la longueur (forcément pour dissolver si vite, le produit doit être vachement plus costaud) ? Je n’ai pas l’impression mais je ne me prononcerais pas là-dessus. Déjà, parce que j’ai les ongles un peu forts, en tout cas pas trop fragiles, donc je ne suis pas forcément représentative. Ensuite parce que j’envisage toujours les bains comme des dissolvants d’appoint. Je ne les utilise pas tout le temps mais de façon occasionnelle, pour protéger mes ongles justement. Je continue à utiliser un produit classique moins corsé comme dissolvant principal. Mais n’empêche, ce petit bain dissolvant bien efficace et bien pratique à moins de 6 € (l’un des moins chers du marché je crois) me plait bien.

A noter tout de même : il contiendrait de l’acétone, ce qui ne plaira pas à certaines je pense. Bon, il n’est pas parfait quoi, si tu ne fais pas attention, le dissolvant gicle un peu par exemple quand t’enlèves le doigt (mais ça me le faisait aussi parfois avec le Sephora). Le packaging n’est pas non plus super évolué. Mais limite c’est un détail. Moi, comme dirait la grande philosophe Icona Pop : « I don’t care, I love it » ;)

mardi 23 juillet 2013

Gagnante du gel douche Monsavon + considérations estivales

Je ne sais pas vous mais en ce moment, je suis anesthésiée. Cette chaleur caniculaire a réduit mon cerveau en compote. D’ailleurs, pour être honnête, même avant qu’on dépasse les 30 degrés, j’étais kapout, bonne à rien. Paris, c’est beau sous le soleil mais seulement quand t’es dehors. A la maison, perso, je cuis. Tout le monde me trouve dingue quand je dis ça mais je préfère être dehors en plein cagnard qu’abritée chez moi, parce que je ne suis pas vraiment abritée mais dans un four. Et ouvrir les fenêtres en grand n’est pas la solution puisque mon vis-à-vis est comme souvent à Paris très proche. Bon, au début, je m’estimais heureuse car c’était des bureaux donc je pensais pouvoir ouvrir mes fenêtres tranquillou le soir et vivre ma vie. Et puis il y a quelques années, un jour où il faisait bien chaud et que j’étais donc en soutif culotte sur mon canap’, je me suis tournée vers la rue pour découvrir à une fenêtre de l’immeuble d’en face, le vigile qui me faisait coucou.


Le mec il avait pris mon salon pour Loft Story et il me regardait vivre. Le choc. Depuis, tu penses bien, c’est rideaux et fenêtres fermées. Surtout que l’autre jour en zyeutant pour voir si la voie était peut-être libre, j’ai remarqué qu’il était encore là. Bref, il n’a pas lâché sa télé perso. Il a juste changé de chaîne car ma voisine d’en bas aime bien avoir ses fenêtres grandes ouvertes. Fenêtre sur rue, ou le remake bon marché de Fenêtre sur cour d’Hitchcock. Bref, tout ça pour te dire que je ne suis jamais chez moi et rarement aussi devant mon ordi. Parce que ce machin chauffe un truc de malade et après je me mets à transpirer intérieurement de partout (étant une princesse, je ne transpire pas extérieurement of course). D’où ma relative absence pat ici depuis quelques temps. Non non, je ne suis pas partie en vacances, juste la chaleur m’a tuer (je précise faute d’orthographe voulue).

Donc je m’excuse d’avoir mis si longtemps à faire le tirage au sort suite au concours Monsavon. C’était au-dessus de mes forces. Mais enfin aujourd’hui, j’ai profité du petit orage providentiel qui a fait descendre quelque temps la température pour m’activer et désigner la gagnante du gel douche. Et notre gagnante est donc… Roulements de tambour :

Andara Violette ! 



Félicitations. Envoie-moi vite tes coordonnées par e-mail.

Sinon, je ne suis pas la seule à avoir trépassé sous la chaleur caniculaire, mes vernis aussi n’en peuvent plus. Ca fait un bout de temps que vous ne voyez pas de manucure de la semaine car mes manucures de la semaine sont toutes dégueulasses. Je devrais d’ailleurs plutôt les rebaptiser manucure du jour car je suis limite obligée d’en changer ou de la refaire tous les soirs : ça fait des bulles, c’est épais, c’est moche. Au début, je pensais que c’était le vernis, puis la base, puis le top coat, mais j’ai tout changé et le problème persiste. J’ai mis aussi mes produits au frigo mais ça n’a rien changé. Ca vous fait ça aussi ? Perso, c’est le premier été que ça me le fait. C’est pas comme si il avait jamais fait chaud avant en plus. Etrange.

Sur ce, je vous laisse. Je vais acheter un ventilo car là  c’est plus possible.

lundi 22 juillet 2013

Jolie découverte maquillage : la marque Astor et ses crayons jumbo pour les lèvres


L’autre jour, j’ouvre mes petits paquets et là je tombe sur des crayons de maquillage. Tu le sais désormais, c’est mon addiction du moment, donc en les voyant, je saute bien évidemment au plafond. J’ai beau en avoir déjà une collection bien fournie, je suis toujours contente d’agrandir la famille. Quand on aime, on n’en a jamais assez. Une fois l’excitation passée (avec le petit cri qui va bien avec), j’ai regardé ces crayons de plus près. Quelle nouvelle marque avait cédé à la tendance ? J’ai rapidement été intriguée car je ne reconnaissais pas les écritures, l’identité visuelle, le nom du produit non plus ne me disait rien. Et là, je lis en un peu plus gros « Astor ». Astor ? Qu’est-ce que c’est que ça ? Une marque ? Nouvelle ? Ancienne, étrangère, mais qui vient de débarquer en France ?


Très très intriguée, je suis allée tout de suite poser la question à mon ami Google. J’ai découvert qu’Astor était effectivement une marque étrangère, allemande pour être précise, qu’elle n’était pas du tout nouvelle et qu’elle avait même plus de 60 ans. Apparemment, elle a même son petit succès en Europe. Perso, j’avoue qu’avant de recevoir ces crayons, je n’en avais jamais entendu parler. Je ne pourrais donc te dire ce qu’elle vaut dans son ensemble. Alors que par exemple Essence, on en parle beaucoup plus et j’aurais su un peu plus à quoi j’avais affaire. Mais en même temps, la nouvelle star visage d’Astor, c’est Heidi Klum, donc je me dis qu’effectivement ça doit être un gros acteur du marché. Et depuis peu (même si on en a peu parlé dans la presse féminine), Astor est désormais disponible en France, dans des instituts de beauté notamment.


Mais revenons-en à nos crayons. Astor propose donc une mini ligne de crayons jumbo pour les lèvres : les Soft Sensation Lipcolor Butter. Ce sont des baumes lèvres teintés qui allient couleur intense, brillance, confort et action soin. La marque présente ce crayon à lèvres comme un tout en un : « aussi éclatant qu’un rouge à lèvres, aussi brillant qu’un gloss et aussi nourrissant qu’un baume ». Riche en pigments, il « hydrate, nourrit, lisse  et apaise ». La gamme est composée de quatre teintes (c’est tout, snif), quatre couleurs acidulées faites pour l’été. Yeah, sur les quatre j’en possède trois, un nude, un corail orangé et un rose plus intense. Ce qui est plutôt pas mal parce que ça m’a permis de me faire une vraie opinion, plus globale, en testant des teintes de couleur et d’intensité différentes. Mais aujourd’hui, je ne vais vous parler que de l’une d’entre elles (j’ai pas encore pu prendre en photos les autres, pas le temps, trop de soleil).

 

 J’ai donc en ma possession  008 Hug Me, un nude mais quand même intense, 011 Feeling Feline, un corail orangé, et 012 Unguilty Pleasure, un rose intense. C’est de lui qu’on va parler aujourd’hui. Enfin, concernant la couleur, car pour toutes les caractéristiques techniques, ça s’applique aussi un peu aux trois autres. Unguilty Pleasure est le plus intense des 3 (sachant que celui que je n’ai pas, Cheeky Cherry, est je crois encore plus intense). A noter toutefois, une fois sur les lèvres, il l’est forcément un peu moins que sur les swatchs. C’est logique que sur la peau du bras, qui est blanche, la couleur ressorte mieux que sur les lèvres naturellement déjà teintées. Toutefois, la couleur est quand même bien là une fois le crayon appliqué. Qu’on ne s’y trompe pas, il fait partie des crayons lèvres 2.0 qui ont ajouté une couleur couvrante au côté baume.


En fait, si on prend le Chubby Stick comme référence (parce que bon c’est la référence), je dirais que niveau fini, il est entre le Chubby classique et le Intense. La teinte est plus pigmentée que celle des Chubby classiques qui ne laissaient qu’un soupçon de couleur, un reflet, mais plus légère et transparente que celle des Chubby Intense. Ce crayon Astor colore bien les lèvres et est bien couvrant, mais c’est plus léger qu’avec un Chubby Intense qui se rapproche plus d’un rouge classique, il y a moins d’effet matière. Ca passe mieux en été finalement. Les lèvres sont bien colorées mais c’est plus naturel. Quant à la teinte elle-même, je la trouve très jolie. C’est un rose framboise ou plutôt mûres écrasées même. Il est intense et tire un peu vers le prune je dirais mais ça reste léger. Ca fait juste une bouche gourmande.


Pour ce qui est de la brillance, en revanche, je le trouve moins brillant qu’un gloss. C’est shiny mais pas hyper glossy. Après, moi, je préfère, j’aime les brillances discrètes, c’est plus frais. Et concernant le côté baume, il est effectivement très agréable à porter, très confortable. Côté technique : à noter, la mine biseautée. Au début, je la trouvais bizarre et je me disais que ça allait compliquer l’application par rapport aux mines classiques mais en fait pas du tout. Limite ça la facilite. Et autre bon point : ces crayons ne se taillent pas non plus, on tourne au bout pour faire sortir la mine. Bref, tu l’as compris, j’ai complètement adopté mes nouveaux joujous. Et je suis très contente qu’ils soient venus agrandir ma collection de crayons jumbos pour les lèvres. En plus, ils ont un petit parfum gourmand (vanillé) assez sympa. J’aime bien en tout cas (même si je pense que ça pourra en déranger certaines).


Le seul bémol, c’est que les écritures sur le crayon ont tendance à s’effacer. Ca ne fait pas longtemps que je l’ai et certaines lettres ont déjà disparu. Si tu grattes par exemple, ça part aussi. Donc le packaging vieillit. Alors que mes Clinique, j’ai beau les laisser traîner dans mon sac, ils sont toujours 100 % intacts. Après le prix n’est pas le même non plus. Les gros crayons Astor sont à moins de 11 € alors j’avoue j’ai tendance à passer outre le petit détail technique du packaging.

Sinon, vous, vous connaissiez la marque ?

jeudi 18 juillet 2013

Une bouche rouge néon : Gemey fait exploser la couleur avec ses rouges à lèvres Vivids


La semaine dernière, je vous parlais des rouges à lèvres Superstay de Gemey Maybelline. Mais ce n’est pas la seule nouveauté maquillage lèvres de la marque cette saison. Vous n’avez pas pu passer à côté car ils sont partout sur la planète beauté en ce moment mais Gemey a également enrichi sa célèbre gamme de rouges à lèvres Color Sensational avec une ligne, assez riche, de Vivids : c'est-à-dire de couleurs vives, très vives même. Très bonne nouvelle pour l’addict aux couleurs flashy que je suis, Gemey a décidé de dédier une mini gamme aux teintes néon avec des rouges à lèvres aux couleurs éclatantes grâce à des pigments vifs exclusifs. Des nouveautés parfaites pour l’été.


Bien évidemment, je ne pouvais pas passer à côté. Et face à toutes les superbes couleurs de la gamme, je me suis retrouvée comme une enfant dans un magasin de bonbons ne sachant quoi choisir. Avec tout de même un regret. En France, cette mini ligne, qui fait partie de la collection estivale de la marque nommée Urban Surf, est composée de seulement 7 teintes. Ok, 7 belles teintes ultra pigmentées mais seulement 7. Alors que j’ai l’impression qu’aux Etats-Unis, il y en a beaucoup plus. Ou qu’il y en a eu beaucoup plus à l’origine que les teintes finalement lancées (j’avais en effet découvert ces rouges il y a de longs mois en avant-première et j’ai eu quelques teintes dans ma besace qui je le découvre aujourd’hui n’existent pas en France, snif). Dommage car je ne dis jamais non au néon. 


Mais ouf, l’honneur est sauf, la première teinte testée a bien été lancée : il s’agit du Neon Red 916. Oui, j’ai fait ma petite joueuse là et j’ai commencé à découvrir cette gamme par la couleur la plus classique, un rouge (qui n’est en fait pas du tout classique). Quand j’ai commencé mes tests, l’été n’était pas encore arrivé et je ne me sentais pas de me lancer dans de vraies couleurs néon. Je me suis dit que je tremperais juste mon orteil dans la tendance en commençant par ce rouge. Mais en fait je me suis un peu fourvoyée car il est lui aussi bien électrique et sa teinte ne passe pas inaperçue. C’est en effet un rouge ultra pigmenté, mais qui tire nettement vers le orange. Et ça, ça claque. Au début, j’avoue, j’ai eu un peu de mal avec sa couleur, je trouvais que ce rouge orangé ne m’allait pas forcément bien. En fait, il n’allait surtout pas avec la météo du moment, grisâtre. Je l’ai ressorti dès que le soleil s’est installé et tout de suite, il allait parfaitement avec mon humeur.


J’ai donc finalement totalement adopté ce rouge orangé. Même si je ne suis pas tout à fait sûre qu’il aille à tout le monde. Certes, ça reste un rouge plus qu’un orange, surtout à l’ombre ou en intérieur, les reflets orangés explosant un peu plus au soleil. Toutefois, ces reflets justement feront qu’il ne conviendra pas forcément à toutes les carnations. Enfin, c’est ce que je me dis. A chacune après de se faire son opinion. Moi j’ai fini par m’y faire après des débuts difficiles. Et puis au moins ça change de mes rouges habituels. En plus, il a un côté plus estival. C’est très bien finalement. Parfois, je me dis qu’une bouche rouge classique en été, c’est peut-être un poil too much, surtout quand il fait très chaud. Là, son côté orangé le rend tout de suite plus portable sous le soleil. C'est une teinte moins femme fatale mais plus estivale.


Sinon, Gemey nous dit que ces rouges à lèvres offrent une sensation plus crémeuse grâce à leur formule incluant du nectar de miel nourrissant. Et c’est vrai qu’ils sont super onctueux et crémeux. Ils glissent bien sur les lèvres, un peu comme du beurre (attention d’ailleurs à ne pas trop glisser et déborder même si comme la texture est légère, elle est facile à reprendre). Ils sont aussi bien confortables à l’application et après. Tu sens d’ailleurs quand tu les portes ce côté crémeux. Par rapport au côté plus sec des Superstay par exemple, ont sent vraiment la différence. Après, évidemment, ça veut dire qu’en tenue ils sont un chouïa moins bien (difficile de tout avoir). Ils faudra faire des retouches durant la journée, voire en réappliquer après le repas. Mais ça reste totalement raisonnable. Encore une fois, tout va dépendre de ce qu’on fait. Un jour je l’ai gardé hyper longtemps et un autre que je buvais un verre en terrasse il est parti très rapidement. 


La couleur est intense au premier passage mais elle devient encore plus pigmentée si tu empiles les couches et moi j’aime empiler les couches comme tu le sais. Mais ce qui est bien, c’est que comme il est crémeux, cela n’a pas d’incidence, ça reste léger niveau matière sur les lèvres. Même si, il n’y a pas de miracle, il peut marquer les petites peaux (comme tout rouge à lèvres d’ailleurs). Le fini est satiné, légèrement brillant mais pas trop pour que cela reste frais mais chic. A noter : moi je l’ai porté sans crayon à lèvres – c’est plus frais - et je n’ai pas eu de problèmes, il n’a pas bavé. Mais je me demande si, à cause de sa texture bien crémeuse, quand on a des petites ridules sur le contour des lèvres, il ne va pas migrer dans les plis. Mieux vaut alors utiliser un crayon. Et pour finir, le gros plus : il sent super bon, un petit parfum vanillé hyper gourmand. Miam. Vous l’aurez compris, j’ai hâte de tester d’autres teintes.

mardi 16 juillet 2013

L'été, il n'y a pas que du fluo, il y a du pastel aussi avec Front Cover


En ce moment, vous l’aurez remarqué, je ne me foule pas trop pour mon maquillage quotidien. Si les produits changent, les couleurs restent les mêmes : bleu ou doré sur les paupières et rose, rouge voire orange sur les lèvres. Je suis en mode automatique, zéro réflexion, zéro imagination. Boring quoi. Heureusement, de temps en temps, j’arrive à me sortir de cette routine. L’autre jour par exemple, j’ai enfilé une robe longue violette. Et là je me suis dit que mes combos habituels - bleu sur les paupières + rose sur les lèvres ou doré sur les yeux et rouge sur la bouche – n’iraient pas du tout avec cette tenue. J’ai donc osé varier. Yeah miracle !


Bon, on ne s’enthousiasme pas trop car je n’ai pas non plus fait dans le très original. Pour aller avec ma robe violette, j’ai opté pour un fard à paupière violet. Eh oui. Alors je sais que certains considèrent ça un beauty faux pas d’assortir son maquillage à sa tenue mais moi j’aime bien, je le fais d’ailleurs régulièrement. Mon fard violet, je suis allée le chercher dans le kit Metallic Pastels de Front Cover. Je vous avais déjà présenté ce kit il y a peu car j’en avais testé le turquoise (évidemment) mais j’en étais restée là. J’avais donc envie de l’explorer un peu plus.


Comme je travaillais le matin ce jour-là, j’ai fait quelque chose d’assez simple et de violet. J’ai déposé le violet pastel Mystic Heather, un peu lilas/lavande, en aplat sur toute la paupière mobile. Comme toujours. C’est un fard cuit qui peut être utilisé sec ou humide pour plus d’intensité. Moi, je l’ai posé à sec, je trouve qu’il est déjà très bien comme ça. J’ai ensuite utilisé le fard sable Fuzzy Brown (tout en bas à gauche) dans le creux de la paupière pour estomper les contours. Je n’ai pas pris la partie dorée, juste le côté beige qui est tout de même un peu irisé. Les 5 fards à gauche sont des fards satinés au fini un peu irisé, leur texture est plus douce que les baked (et eux n’étant pas cuits, ils ne peuvent être utilisés que secs). Enfin, j’ai entouré mon regard de crayon noir sinon je trouvais que le maquillage manquait d’intensité.


Un maquillage pas compliqué, rapide mais sympa je trouve. Le fard est bien pigmenté, même pour un pastel. La teinte prend rapidement sur la paupière et se travaille facilement, ce qui fait que tu ne passes pas des heures à te maquiller, j’aime ça. Enfin, même si c’est une teinte claire, il a une tenue impec’ et ne perd pas d’intensité au cours de la journée. En somme, encore une fois, je suis convaincue par les fards Front Cover qui pour leur petit prix sont vraiment très bien et n’ont pas à rougir d’autres fards baked de marques plus haut de gamme. Et vous vous avez déjà testés les fards Front Cover ? Vous en pensez quoi ?

lundi 15 juillet 2013

Vernis The More The Merrier d'Essie : du vert pomme au bout des doigts ?


Quand j’ai vu les photos de la collection de vernis estivale d’Essie, j’ai tout de suite flashé sur le Naughty Nautical : un très beau vert tirant sur le lagon voire le turquoise. Définitivement l’une des teintes de l’été. Et puis un jour, miracle, il est arrivé jusqu’à moi. J’étais évidemment surexcitée et je n’ai pas tardé à l’essayer (même si vous ne l’avez pas vu par ici car je n’ai pas eu le temps de le prendre en photo). Mais contrairement à ce qu’on pourrait penser vu qu’on ne voit quasi que lui, il n’y a pas que le Naughty Nautical dans la collection estivale de la marque. On y trouve quatre autres très jolies couleurs et une cinquième qui il faut bien le dire me laisse un peu perplexe. C’est d’elle dont je vais vous parler aujourd’hui. J’ai l’esprit un peu contradictoire, je commence par vous parler de la teinte que j’aime le moins dans cette collection. The More The Merrier est un vert pomme assez déroutant.


Pourquoi déroutant ? Parce que c’est un vert pomme. Quelle couleur bizarre sur les ongles Ok, l’été, c’est la mode des teintes fluo et acidulées mais quand même. Moi, je trace la ligne à jaune et encore c’est tout de même très rare que j’en porte. Déjà il m’a fallu un temps fou pour trouver le bleu joli en vernis mais le vert j’ai encore du mal. Surtout le vert pomme. C’est marrant parce que ce vert pomme m’a ramené à l’été dernier. Il y avait eu à ce moment-là, une vaguelette de vernis dans cette nuance et je m’étais alors demandée si c’était vraiment tendance sur les ongles et si on aimait ou pas. A l’époque j’en avais testé trois, tous différents mais qui m’avaient tous laissée dubitative sur le moment. J’avais quand même fini par en conclure que cette teinte n’était pas pour moi et j’avais donné les trois vernis aux copines. Et voilà que le vernis vert pomme me revenait dessus comme un boomerang. J’ai retenté le coup, la nuance proposée par Essie étant un chouïa plus sympa que celles testées l’année dernière mais non décidément ça ne passe toujours pas.


C’est pas naturel comme couleur, pas féminin non plus. Ce n’est pas que la couleur est moche en soi, elle n’est juste pas jolie sur les ongles enfin sur mes ongles. Ou plutôt je n’aime pas. Car j’ai vu une copine aussi vernis addict que moi quand je le portais et elle a beaucoup aimé, elle a trouvé ça très estival. Je lui ai donc donné avec plaisir et elle était toute contente. Elle le trouvait parfait pour porter sur les pieds pendant ses futures vacances à la plage. Mais pour moi, pieds ou mains, c’est niet (comme quoi les goûts et les couleurs). Quand je le portais j’avais l’impression d’avoir un OVNI au bout des doigts… ou carrément un alien. J’aime les couleurs flashy pourtant tu le sais, mais j’aime quand elles sont féminines, qu’elles vont aussi avec le reste de ma tenue ou de mon maquillage. Le vert pomme en fait je ne trouve pas que ce soit une couleur glam. Et puis va assortir ça avec une tenue ou un maquillage. En plus, comme il pète bien, il se voit beaucoup et pendant ce temps-là, toi t’as l’impression de ne pas avoir de jolies mains. Ou alors tu ne le sors que le jour de la Saint Patrick.


Pour les détails techniques, c’est deux couches obligatoires, la texture étant spéciale et pas du tout uniforme à une couche (alors que je crois avoir la formule française). C’est un vernis crème mais un de ceux où la texture s’enlève si tu repasses par dessus (ils m’énervent ceux-là). Contrairement aux autres vernis de la collection, celui-ci n’est pas constellé de micro-paillettes. Concernant le séchage c’était correct même si ça a été rendu compliqué par la chaleur (le vernis n’aime pas la chaleur). Sinon pour la tenue, je ne saurais te dire parce que je ne l’ai pas gardé assez longtemps, je l’ai rapidement retiré pour retrouver mes roses et mes oranges. Mais je conseillerais tout de même de mettre un top coat. Sans, j’ai l’impression que les accrocs arrivaient assez vite.

dimanche 14 juillet 2013

La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram #15


Bon 14 juillet à toutes ! Bon, mon jour férié, je l’ai un peu pris hier en zappant le résumé de la semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram. C’est qu’il faisait tellement beau que j’ai filé dehors sans prendre le temps de me poser devant mon ordi. Tu me diras aujourd’hui aussi mais je comate et n’ai pas encore eu le courage de me lever pour aller comater dans un parc.


C’est que la semaine a été longue mais heureusement ensoleillée. J’ai passé six jours à bosser… et à manger des glaces, soleil oblige. Ce n’est pas raisonnable mais ça réconforte. En fait, par un jour de grande chaleur, j’ai fait l’erreur de passer au Monop et d’aller jusqu’au rayon frais (j’aime bien mettre ma tête dans le congel’ quand il faut trop chaud) et là, je suis tombée sur les glaces Ben & Jerry’s. J’étais cuite. 


Quoique j’ai quand même hésité avec les Häagen-Dazs qui m’avaient l’ait aussi plutôt pas mal. 


Mais comme je ne suis pas à une contradiction près, ce jour-là j’ai opté pour un classique Magnum. Moins trendy mais plus facile à manger. Oui, paresseuse même pour les glaces. 


En fait, ce n’était que reculer pour mieux sauter. Dès le lendemain (et le jour d’après), je craquais pour la Cookie Dough de Ben & Jerry’s en petit pot : de la glace à la vanille avec des gros morceaux de cookie dedans. Trop bon.


Et comme chaque semaine, pas de résumé instagramien sans une petite photo de Paris. Cette fois, petit-détour par les Champs-Elysées, pour dévaliser le rayon food de Marks & Spencers, avec un Arc de Triomphe sous le soleil prêt pour défilé du 14 juillet.


Sinon, la Parisienne que je suis a fini sa semaine en lointaine banlieue (si, si, c’est possible, ça m’arrive de temps en temps de traverser le périph’) pour assister à un joli spectacle, encore une fois sous le soleil : le lac du cygne.


A la semaine prochaine pour un nouveau résumé Instagramien et Facebookien. Et si vous voulez me suivre en direct, c'est par ici :
Facebook : Journal d'une Beauty Paresseuse
Instagram : LABEAUTYPARESSEUSE       

vendredi 12 juillet 2013

Les Superstay de Gemey : du rouge à lèvres qui tient 14 heures ?



On n’a jamais assez de rouge à lèvres rouges. Ou plutôt, je n’ai jamais assez de rouges. J’adore avoir la bouche rouge. Je trouve que ça donne tout de suite du style. Avec juste ce petit détail, tu es plus élégante. Enfin si tu évites le rouge à lèvres sur les dents (j’avoue, c’est mon point faible). Ce que j’aime dans le rouge aussi, c’est qu’il permet de faire plusieurs looks différents selon le reste du maquillage : femme fatale, rock’n’roll, pin up. Moi j’ai un petit faible pour la pin up rétro. A la Dita Von Teese bien évidemment. Tiens ça faisait longtemps tien que je n’avais pas parlé de ma « jumelle » (hum, hum, on y croit). Bref, tu le sais j’aime les bouches rouge. Résultat, à la maison, j’accumule les rouges à lèvres de cette couleur. Je sais ce n’est pas raisonnable. Déjà, je suis incapable de finir un basique rose alors un rouge ! Mais je continue à me laisser séduire.
 

Ma dernière trouvaille est le Superstay 14 Hr Lipstick de Gemey Maybelline, en teinte Ravishing Rouge. C’est presque une nouveauté, cette nouvelle gamme de Superstay étant sortie il y a deux/trois mois je crois. Vous l’aurez compris, ce sont des rouges à lèvres longue tenue (même si 14 heures ça semble un peu utopique mais faut le prendre comme les 48 heures d’un déo, c’est je pense juste censé dire que ça tient plus longtemps qu’un rouge normal). La marque décrit ces nouveautés comme des rouges à lèvres aux couleurs riches grâce à des pigments d’une intensité vibrante. Ils sont aussi censés avoir une texture ultra légère qui se fait oublier sur les lèvres pour un confort poids plume.

Pour la couleur, je ne peux que confirmer. Elle est ultra intense et super bien pigmentée comme j’aime. Elle est aussi parfaitement couvrante. Tu peux bien évidemment moduler le résultat et l’intensité en superposant les couches mais à une couche tu as déjà un très bon fini, juste un peu plus discret. Comme tu t’en doutes, moi je préfère empiler les couches pour que la couleur explose. Et justement parlons-en de la couleur. J’en suis fan. Comme son nom l’indique, elle est ravissante, superbe même. C’est un très beau rouge qui fait une super bouche. Le fini est entre le mat et le satiné, ce qui est plutôt pas mal finalement. C’est presque le meilleur compromis. Ca a l’élégance du mat, qui est plus chic que le satiné sur ce genre de couleur je trouve, tout en étant plus frais donc plus portable.



Concernant la texture en revanche, je ne suis pas tout à fait d’accord. Elle est assez sèche, en tout cas beaucoup moins crémeuse que mes rouges à lèvres classique. Ce qui fait que t’y perds un peu en confort. Tu le sens qu’en tu l’appliques (par exemple ça glisse moins bien qu’un rouge crémeux) et aussi quand tu le portes. En fait, j’aurais peut-être moins tilté dessus il y a quelques temps, parce que j’ai pas mal de rouges dans le même cas, c’est le lot de nombreuses couleurs pigmentées. Sauf que depuis, je suis devenue addict aux crayons à lèvres très colorés, tellement crémeux et confort que c’est presque comme si tu avais un nuage sur les lèvres (après le prix n’est pas non plus le même). Mais en même temps, bon point, j’ai l’impression qu’il ne dessèche pas les lèvres. En fait, je pense que sa texture est un chouïa différente parce que c’est un longue tenue.

 Que pensez de sa tenue justement ? Sur ce point, je suis assez partagée/mitigée/perplexe. Je dirais que c’est variable. Mais est-il plus coriace qu’un autre rouge à lèvres rouge, c’est difficile à dire. En fait, c’est compliqué de juger parce que les rouges pigmentés ont déjà une meilleure tenue que les rouges classiques, une très très bonne tenue même pour nombre d’entre eux. C’est donc plus dur de voir une différence sur du rouge. La texture aussi entre en compte : un rouge crémeux ou satiné tiendra forcément moins bien qu’un mat ou semi mat. Mécaniquement parce que celui-ci est plus sec, il tiendra plus longtemps. Et puis, ça dépend aussi de ce que tu fais pendant que tu le portes. En gros, je l’ai porté à plusieurs reprises et certaines fois il a tenu super longtemps et d’autres un peu moins. Mais je n’ai pas forcément l’impression qu’il est tenu beaucoup plus qu’un autre rouge.


Enfin, ça dépend de comment tu juges. Bon, clairement, il ne tient pas 14 Hr. Chez moi, je sais qu’un rouge ne peut survivre au repas puisque je l’essuie en général en même temps que ma bouche avec ma serviette (c’est aussi ça qui a un peu biaisé le test mais fallait bien que je mange). Et puis il y a aussi les transferts sur les verres quand tu bois, ça fait automatiquement partir la couleur. En fait, comme il est très très pigmenté, ses pigments restent sur les lèvres très très très longtemps, même après les repas, même après avoir embrassé, plusieurs fois. J’ai ainsi laissé de nombreuses empreintes sur mon neveu. Et quand j’ai voulu l’ôter au kleenex (condition sine qua non pour pouvoir continuer à lui faire des bisous sinon il se barrait rapidos), il m’a fallu de nombreux passages du mouchoir. Donc oui, ça tient. Et dans ces cas-là mieux que quelques rouges.



Mais ça n’empêche qu’il faudra quand même des retouches. Car si le pigment tient, la couleur, elle, s’estompe. Au fil des heures (et surtout des verres d’eau bus et des repas pris), le rouge disparaît, s’affadit. Par forcément harmonieusement d’ailleurs car il a tendance à s’estomper beaucoup à l’intérieur tout en restant très vivace sur les contours (un classique). Même si les pigments tiennent, mieux vaut tout de même se remaquiller en cours de route pour égaliser tout ça, retrouver une bonne intensité et une opacité uniforme. Parce que je trouve que le rouge à lèvres rouge ne souffre pas d’approximation, il doit être impeccable. Quand il commence à s’estomper, c’est souvent très moche et un peu cracra. Et puis aussi tout de suite moins glamour alors que c’était quand même ça l’effet recherché en en appliquant.

Bref si sa texture particulière pourra en déconcerter certaines, sa couleur, elle, a vraiment de quoi séduire. A noter aussi son super parfum gourmand de fruits rouges. Bon point également : pas de transfert sur les dents à signaler toutes les fois où je l’ai porté. Je pense que sa texture justement, moins crémeuse, fait qu’il a moins tendance à migrer. Et ça c’est un gros plus. En revanche, à noter, cette texture a peut-être tendance à sécher sur le bord des lèvres, à faire des petits amas de matière (ça me le fait aussi avec d’autres rouges tu me diras), d’où l’intérêt aussi d’une retouche pour apporter un coup de frais. Finalement je concluerais par un : « à voir pour les couleurs et le pris mini ». Forcément, à 11 €, tu ne peux pas attendre la même chose que d’un Nars ou d’un Clinique.
 



mardi 9 juillet 2013

Maquillage des yeux brun et doré : l'été sera splendide avec Clarins


En ce moment, je me maquille vraiment a minima. Attention, je ne dis pas que je ne me maquille plus. Que nenni ! Ca jamais. Je ne suis pas dans une phase de rejet et j’aime toujours autant jouer avec mes pinceaux. Sauf que je me réveille très tôt le matin (mais vraiment très tôt) et n’ai donc pas beaucoup de temps. En plus avec la chaleur, je me dis que ça ne sert à rien de faire quelque chose d’élaboré qui va couler dès que j’aurais le nez dehors. Je fais donc des maquillages très simples en abusant de mes crayons waterproof. Je n’ai alors pas forcément grand-chose à vous montrer (et quand j’ai, je roupille tellement devant mon ordi que pas un mot de sort. Mais qui a eu l’idée d’inventer les matins ?). Bref, c’est un peu la routine côté make-up. 


Sauf que l’autre jour, j’en ai eu marre justement de ce train-train et j’ai voulu épicer un peu les choses avec un maquillage un peu sophistiqué du regard. Bon, sophistiqué n’est peut-être pas le mot mais un peu plus élaboré que d’habitude. Depuis mon premier make-up avec la palette de fards à paupières de la collection estivale Splendours de Clarins, j’avais laissé un peu de côté ce quatuor et j’avais envie de reprendre mon exploration de ses quatre ombres à paupières. Je me suis donc lancée tout en gardant dans l’idée que je voulais faire quelque chose de simple. Pour mon premier maquillage la palette, avec il y a quelques temps, j’avais tenté la banane et ça l’avait plutôt fait. Là, j’ai réalisé quelque chose d’un peu plus classique on va dire.


J’ai posé le brun sur les deux tiers externes de la paupière mobile puis le doré cuivré (en haut à gauche) sur le tiers interne. J’ai ensuite bien blendé les deux fards (tellement qu’on voit presque plus le doré sur les photos). Puis je me suis servie du doré clair (en haut à droite) ou illuminateur comme la marque l’appelle dans le creux de la paupière pour flouter les contours. Evidemment, j’ai cerclé mon regard de noir, sinon, je ne trouvais pas le résultat top. J’ai d’abord appliqué mon crayon Glide On 24/7 Perception d’Urban Decay (un noir mat) au ras des cils supérieurs et inférieurs. Puis sur le ras de cil supérieur, je suis repassée sur mon trait avec le liner noir de la palette (enfin je le vois noir mais il serait apparemment violet). Je l’ai un peu flouté (même si ça donne plus l’impression que je l’ai grossi en fait) et étiré un chouïa vers les tempes pour faire un peu Cléopâtre. Mais pas trop non plus, vu la chaleur, j’avais peur que ça bave si j’étirais trop.


Encore une fois, je vais me répéter mais comme je vous l’ai dis, ce ne sont pas vraiment mes couleurs. Vous savez que le brun et moi, ce n’est pas toujours ça. Et certes il y a du doré mais pas mon genre de doré, je ne saurais dire pourquoi mais cette nuance ne me va pas forcément. Pourtant, j’aime bien le résultat. Alors oui, si je veux être honnête, ce ne sont pas des teintes que je porterais tous les jours mais j’ai trouvé que le maquillage avait quelque chose. En plus, le trait étiré me faisait des yeux en amande, pas mal aussi. Et puis j’ai bien aimé le fait que ce soit des couleurs un peu neutres, ça permet de charger un peu la bouche. Pas trop non plus, mais j’ai pu me faire plaisir sur les couleurs d’été. Et puis comme toujours chez Clarins, les fards sont d’hyper bonne qualité, super bien pigmentés même pour les teintes plus claires, et très faciles à travailler. Sur ça jamais rien à redire. J’attends juste qu’on s’éloigne un peu des classiques roses/bruns/dorés qu’on retrouve dans les éditions limitées chaque saison pour un peu de bleu. Clarins si tu m’entends…