Ca y est, j’ai remis le cerveau totalement en marche, il est donc temps de passer aux choses sérieuses. La plupart de mes basiques beauté étant dans des packagings intransportables, je me suis dit que c’était l’occasion de tester tout plein de nouveautés dans des formats un peu plus cléments pour ma valise et mon dos. J’en ai un peu marre de traîner des sacs deux fois plus lourds que moi et d’arriver à destination en sueur. Donc je réduis. C’est dur pour une beauty addict mais c’est devenu vital. Et même comme ça, j’ai deux fois plus de poids en produits de beauté qu’en fringues. On ne se refait pas.
Donc cet été, testage de plein de nouveautés, ce qui veut dire plein de reviews à venir. On commence par le Gel Douche Fleur de Vigne de Caudalie (ça a été un mois d’août très caudaliesque).
Pourquoi lui ? Pour son format d’abord. Un tube de 200 ml qui me ferait tout juste le mois je me suis dit. Je pourrais donc le jeter avant de revenir. Un poids de moins dans le sac. Et puis sa formule haute tolérance, sans savon, sans paraben, est spécifiquement faite pour les peaux délicates et sensibles. Moi, qui ai tendance à peler en été, même si je ne bronze pas, c’était parfait.
J’en ai pensé quoi
Le + : le parfum, délicieux et vraiment frais. C’est vert mais pas trop (sinon, je pourrais pas le sentir comme vous le savez maintenant). Selon la marque, il évoque « la fleur de vigne qui n’éclot que quelques jours en juin » et il marie notes de rose blanche et de poivre rose. Je trouve que ça sent une prairie en été. Et en plus de parfumer agréablement la salle de bain pendant la douche, il tient également au corps et reste sur la peau quelques heures. J’avoue je suis devenue accro à ce sillage. Ce qui n’a pas du tout été le cas de ma sœur qui sortait de la douche à chaque fois en pestant que ça puait l’herbe. Pfff, elle y comprend vraiment rien.
Bon point aussi pour la douceur de la formule (« une base lavante douce d’origine végétale qui respecte le pH physiologique de la peau » et enrichie en aloé vera) : la peau ne tire pas après la douche et n’est pas desséchée, ce qui n’était pas le cas avec le deuxième gel douche que j’ai utilisé pendant le mois d’août. Il était à l’amande douce et pourtant après le bain, j’avais la peau qui partait en lambeau. Pas avec celui-ci.
Le moins : le rapport contenu/prix. Il est à 9,60 € les 200 ml, ça fait un peu beaucoup pour certaines bourses. Surtout que comme il est sans savon et donc qu’il ne mousse pas, on a tendance à en utiliser plus donc il part vite. En fait, il ne m’a pas tenu le mois mais la première semaine. D’ailleurs, au bout de deux jours, j’ai commencé à tiquer, je trouvais qu’il descendait vachement vite quand même. J’ai eu la réponse plus tard. Comme ça ne moussait pas, ma sœur en mettait trois tonnes. Elle était bien consciente que ça ne mousserait pas plus et que ça ne servait à rien mais c’était psychologique. Et c’est vrai que moi aussi j’en mettais plus qu’un gel douche habituel. Donc, en étant deux à l’utiliser et en en rajoutant une couche à chaque douche, il n’a pas fait pas long feu.
Pour résumer, avis plutôt favorable mais je n’achèterai pas forcément, en tout cas pas quand les finances ne sont pas au beau fixe.
Au fait, ça vous intéresse les reviews du reste des solaires que j’ai utilisé, pour info, ou c’est trop tard ? C’est vrai qu’avec ce temps, c’est un peu hors sujet.
mardi 31 août 2010
lundi 30 août 2010
Petite réclamation
Très cher Mr Chef du maquillage Saint Laurent. Ne le prends pas mal, j’adore ce que tu fais. Pour moi, tu bats les deux autres grandes marques françaises par KO. Question qualité et beauté des couleurs, elles peuvent aller se rhabiller. Tu l’as compris, je t’aime. J’aime tes mascaras, tes rouges à lèvres et surtout tes fards à paupières. Les teintes sont sublimes, elles se travaillent hyper facilement et tiennent vraiment bien (parfois même trop bien puisqu’un jour un de tes fards a fusionné avec ma paupière et je n’ai pas pu le démaquiller pendant trois jours, mais passons). Parce qu’il y a quand même un petit hic et faudrait voir à faire un effort là-dessus.
Les palettes collectors que tu sors chaque saison sont certes superbes mais elles sont un peu fragiles pour un produit qui coûte en général un bras. Et je suis bien embêtée devant mon autre beauty dommage collatéral de l’été. Encore un qui s’est jeté du haut de ma commode et qui n’en est pas ressorti sans séquelle. Je suis bien verte. C’était une de mes palettes préférées. Ok, je te l’accorde, fallait pas la laisser tomber. Mais que veux-tu, je suis paresseuse ET maladroite. Un cocktail explosif. Et donc là, je suis aussi en miettes. Et vois-tu Mr Saint Laurent, ce n’est pas la première fois que je fais tomber un fard à paupières mais, en général, ils s’en sortent indemnes. Pour être honnête, la seule autre palette qui n’a pas résisté à une chute c’était une autre collector de chez toi. J’ai eu le malheur de la retourner au-dessus d’une poubelle pour me débarrasser de quelques bouts de poudres et elle s’est décomposée dedans. Et une palette de 50 € qui part comme ça à la poubelle, ça fait mal. Donc si tu pouvais faire un effort sur la résistance de tes collectors ce serait sympa. Surtout que tes fards et poudres basiques ne sont pas aussi fragiles eux. Merci.
Et cordialement.
PS : je crois qu’il y a un moyen de vaguement réparer les dégâts et represser la poudre. Ca inclut de l’alcool si je me souviens bien ?
Les palettes collectors que tu sors chaque saison sont certes superbes mais elles sont un peu fragiles pour un produit qui coûte en général un bras. Et je suis bien embêtée devant mon autre beauty dommage collatéral de l’été. Encore un qui s’est jeté du haut de ma commode et qui n’en est pas ressorti sans séquelle. Je suis bien verte. C’était une de mes palettes préférées. Ok, je te l’accorde, fallait pas la laisser tomber. Mais que veux-tu, je suis paresseuse ET maladroite. Un cocktail explosif. Et donc là, je suis aussi en miettes. Et vois-tu Mr Saint Laurent, ce n’est pas la première fois que je fais tomber un fard à paupières mais, en général, ils s’en sortent indemnes. Pour être honnête, la seule autre palette qui n’a pas résisté à une chute c’était une autre collector de chez toi. J’ai eu le malheur de la retourner au-dessus d’une poubelle pour me débarrasser de quelques bouts de poudres et elle s’est décomposée dedans. Et une palette de 50 € qui part comme ça à la poubelle, ça fait mal. Donc si tu pouvais faire un effort sur la résistance de tes collectors ce serait sympa. Surtout que tes fards et poudres basiques ne sont pas aussi fragiles eux. Merci.
Et cordialement.
PS : je crois qu’il y a un moyen de vaguement réparer les dégâts et represser la poudre. Ca inclut de l’alcool si je me souviens bien ?
vendredi 27 août 2010
Y a-t-il une housewife dans la salle ? Je suis desperate...
Me voilà de retour, encore. Mais cette fois pour de bon. Pas de nouvelle escapade prévue avant longtemps. Et le come back n’est pas facile. Je suis en plein jet lag météorologique. Passer de 35 degrés et plein soleil à ce temps parisien bien pourri, c’est dur. Il est bien trop tôt pour ranger mes petites robes et mes minis shorts.
Mon cerveau ne s’est pas totalement remis en marche aussi. Toute cette inactivité a endormi mes neurones. Il va me falloir une période d’adaptation pour rallumer là-haut. En attendant, je profiterais bien un peu de votre savoir encyclopédique et universel. J’ai eu un petit beauty accident cet été, le suicide de mon vernis violet fluo Essie (ici). Je suis verte. Il était trop beau. Déjà, l’année dernière, mon OPI préféré s’était brisé en mille morceaux. Je suis une poissarde. Le pire c’est qu’il y a eu des dommages collatéraux : tapis, draps, cordons d’ordinateurs, ceinture électrostimulante (j’en reparlerai plus tard) et surtout un gilet noir à manche courte new look tout con mais que j’adore car il est bien pratique. Eh ben maintenant, il est quasi importable avec ses traces violettes. C’est que ce salopiaud n’a pas fait les choses à moitié et il en a bien mis partout dans sa trajectoire mortelle.
J’ai essayé de rattraper le coup, en vain pour l’instant. J’ai enlevé le gros de la couleur avec du dissolvant mais tout n’est pas parti. Et le lavage n’a rien changé. Le vernis est trop incrusté dans la fibre. Le pire c’est que my mother, desperate housewife hystérique, est passée par là et me l’a gentiment repassé. C’était juste ce qu’il fallait pour fixer la tâche. Vive les vacances en famille. Tout ce qui traîne, elle attrape et elle lave. Sympa en principe, sauf quand tu retrouves tes robes délicates toutes rétrécies, ton chemisier vert préféré tout déteint et carrément des fringues qui disparaissent (en fait, j’ai compris plus tard que quand elle avait vraiment bousillé un vêtement, elle le jetait à la poubelle pour faire disparaître les preuves. Pas de corps, pas de meurtre. Merci môman).
Tout ça pour dire : vous auriez pas des astuces miraculeuses pour faire disparaître des tâches de vernis sur du noir (ce qui exclu d’avance l’eau de javel) ?
Mon cerveau ne s’est pas totalement remis en marche aussi. Toute cette inactivité a endormi mes neurones. Il va me falloir une période d’adaptation pour rallumer là-haut. En attendant, je profiterais bien un peu de votre savoir encyclopédique et universel. J’ai eu un petit beauty accident cet été, le suicide de mon vernis violet fluo Essie (ici). Je suis verte. Il était trop beau. Déjà, l’année dernière, mon OPI préféré s’était brisé en mille morceaux. Je suis une poissarde. Le pire c’est qu’il y a eu des dommages collatéraux : tapis, draps, cordons d’ordinateurs, ceinture électrostimulante (j’en reparlerai plus tard) et surtout un gilet noir à manche courte new look tout con mais que j’adore car il est bien pratique. Eh ben maintenant, il est quasi importable avec ses traces violettes. C’est que ce salopiaud n’a pas fait les choses à moitié et il en a bien mis partout dans sa trajectoire mortelle.
J’ai essayé de rattraper le coup, en vain pour l’instant. J’ai enlevé le gros de la couleur avec du dissolvant mais tout n’est pas parti. Et le lavage n’a rien changé. Le vernis est trop incrusté dans la fibre. Le pire c’est que my mother, desperate housewife hystérique, est passée par là et me l’a gentiment repassé. C’était juste ce qu’il fallait pour fixer la tâche. Vive les vacances en famille. Tout ce qui traîne, elle attrape et elle lave. Sympa en principe, sauf quand tu retrouves tes robes délicates toutes rétrécies, ton chemisier vert préféré tout déteint et carrément des fringues qui disparaissent (en fait, j’ai compris plus tard que quand elle avait vraiment bousillé un vêtement, elle le jetait à la poubelle pour faire disparaître les preuves. Pas de corps, pas de meurtre. Merci môman).
Tout ça pour dire : vous auriez pas des astuces miraculeuses pour faire disparaître des tâches de vernis sur du noir (ce qui exclu d’avance l’eau de javel) ?
mercredi 4 août 2010
Pour ma protection solaire, j'applique la règle des 3 C
En été, quand j’en viens à choisir mes solaires, je suis très prévisible. J’applique la règle des 3C et je n’en déroge presque jamais. La règle des 3 C ? En gros, je n’emporte avec moi que des solaires Clarins, Clinique et Caudalie. C’est mon côté snob qui ressort et qui ne veut confier la protection de sa peau contre les UV et donc le vieillissement qu’à ce que je considère comme le meilleur (peut-être à tort, je le conçois, mais suis une snobinarde et je ne me refais pas). Donc cette année, rebelote avec mes 3C.
Pour le visage, j’ai pris la Crème Visage UV-Response Sun Care de Clinique SPF 30. 30, ça semble peut-être pas beaucoup pour certaines d’entre vous, j’en suis sûre, mais vu ma peau, qui n’est pas sensible et pas sujette aux gros coups de soleil sauf oubli de crème, vu l’ensoleillement de mon lieu de vacances et les heures auxquelles je sors de chez moi (pas avant 16 heures), c’est bien suffisant. C’était déjà ma crème l’année dernière et elle fait parfaitement son boulot de protection. Pas un seul coup de soleil ou échauffement à signaler. J’ai pas non plus bronzé des masses mais ce n’est pas grave pour l’accro du fond de teint que je suis. Elle sent bon et s’étale facilement sans laisser de traces blanches. Seul bémol tout de même : je la trouve un peu grasse, donc à recommander plutôt aux peaux sèches. Bon, c’est le cas de beaucoup de crèmes solaires malheureusement. L’année prochaine, je vais peut-être opter pour un fluide qui pénètrera plus rapidement. Juste au cas où je veuille me maquiller après. Oui, je n’en démords pas…
Je l’ai couplé avec un stick yeux/lèvres, toujours Clinique, que j’applique en fait sur tout le visage. J’avais jamais vu l’utilité des sticks. Déjà, il ne me viendrait jamais à l’idée de mettre le même produit sur le visage et les lèvres avec un applicateur, je trouve pas ça hygiénique. Mais en fait, détourné, c’est hyper pratique. Sur la plage, ça permet de ne pas se servir de ses mains crades et pleines de sables pour se mettre de la crème (vive les boutons à la rentrée). Et comme ça, on n’a pas non plus les mains collantes après. C’est un cercle vertueux. Top pour les retouches.
Pour le visage, j’ai pris la Crème Visage UV-Response Sun Care de Clinique SPF 30. 30, ça semble peut-être pas beaucoup pour certaines d’entre vous, j’en suis sûre, mais vu ma peau, qui n’est pas sensible et pas sujette aux gros coups de soleil sauf oubli de crème, vu l’ensoleillement de mon lieu de vacances et les heures auxquelles je sors de chez moi (pas avant 16 heures), c’est bien suffisant. C’était déjà ma crème l’année dernière et elle fait parfaitement son boulot de protection. Pas un seul coup de soleil ou échauffement à signaler. J’ai pas non plus bronzé des masses mais ce n’est pas grave pour l’accro du fond de teint que je suis. Elle sent bon et s’étale facilement sans laisser de traces blanches. Seul bémol tout de même : je la trouve un peu grasse, donc à recommander plutôt aux peaux sèches. Bon, c’est le cas de beaucoup de crèmes solaires malheureusement. L’année prochaine, je vais peut-être opter pour un fluide qui pénètrera plus rapidement. Juste au cas où je veuille me maquiller après. Oui, je n’en démords pas…
Je l’ai couplé avec un stick yeux/lèvres, toujours Clinique, que j’applique en fait sur tout le visage. J’avais jamais vu l’utilité des sticks. Déjà, il ne me viendrait jamais à l’idée de mettre le même produit sur le visage et les lèvres avec un applicateur, je trouve pas ça hygiénique. Mais en fait, détourné, c’est hyper pratique. Sur la plage, ça permet de ne pas se servir de ses mains crades et pleines de sables pour se mettre de la crème (vive les boutons à la rentrée). Et comme ça, on n’a pas non plus les mains collantes après. C’est un cercle vertueux. Top pour les retouches.
Sur le corps, j’utilise le Lait Solaire Corps SPF 20 Soleil Divin de Caudalie. Là encore pour mon exposition, ça suffit (il caille grave sur ma plage, il y a un vent de malade après 16h30, heure à laquelle on arrive, maudit Atlantique). Pas de coups de soleil à déplorer là encore. Mais bon, vu le soleil que j’ai pris jusqu’ici, c’est pas vraiment étonnant. Fallait qu’on tombe sur la semaine ouraganesque. J’aime bien la gamme Soleil Divin parce qu’en plus de la protection anti-UV, il y a une protection anti radicaux libres grâce aux actifs issus de la vigne, signature de la marque, aux pouvoirs anti-oxydants. Côté sensation, elle sent bon, s’applique facilement et pénètre rapidement. Au début, ça laisse un peu de blanc sur la peau mais ça s’en va tout de suite quand on frotte pour faire pénétrer.
Quand ma peau se sera un peu habituée au soleil, je passerai au Spray Solaire Lotion Non Grasse Moyenne Protection SPF 15 Clarins. C’est un spray spécial sport mais moi je l’ai adopté même si je reste vautrée sur la plage. Et je l’adoooooooooooooore. Il est hyper pratique à utiliser (je préfère définitivement les sprays aux tubes, plus simples pour appliquer son solaire et on s’en met moins partout je trouve). Comme le dit si bien son nom, cette huile est non grasse et pénètre super rapidement. A peine tu pschittes, c’est sec. Ma sœur déteste, moi je trouve ça génial. Elle sent également divinement bon comme tous les solaires Clarins. Ca sent la plage et les vacances. Le seul bémol, c’est l’indice de protection, pas super élevé et qui ne convient qu’à un ensoleillement moyen, à la ville ou à la fin des vacances. Et cette texture n’existe que dans ce SPF. Dommage.
Et voilà, ma combinaison des 3C cette année. L’été prochain, je prendrais sûrement les mêmes marques et recommencerait mais avec des produits différents. Je fais des roulements comme ça je peux tout tester. Pour protéger mes lèvres, j’utilise un gloss MAC SPF 20 mais comme je ne lui trouve rien de spécial, je passe vite fait. En même temps, je n’aime tellement pas les gloss qu’il me faudrait quasi un miracle pour qu’il y en ait un qui me plaise.
Et voilà, ma combinaison des 3C cette année. L’été prochain, je prendrais sûrement les mêmes marques et recommencerait mais avec des produits différents. Je fais des roulements comme ça je peux tout tester. Pour protéger mes lèvres, j’utilise un gloss MAC SPF 20 mais comme je ne lui trouve rien de spécial, je passe vite fait. En même temps, je n’aime tellement pas les gloss qu’il me faudrait quasi un miracle pour qu’il y en ait un qui me plaise.
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mardi 3 août 2010
Des crayons pour les yeux pour un make-up waterproof
Pour affronter l’épreuve de la plage, les yeux dans la grande bleu, j’ai empaqueté un petit paquet de crayons de couleur. Bon, je suis quand même un peu déçue, j’avais l’impression d’en avoir pris plus, mais bon, ma valise n’était pas non plus extensible.
De gauche à droite sur le swatch, on a un gris argenté Dior (j’avoue que celui-là s’est glissé dans ma trousse en traître. J’avais pas prévu de l’emporter mais il voulait des vacances apparemment. Et pour un look sophistiqué ou pour une soirée, finalement il pourra servir), un superbe turquoise Clarins qui va avec un fard à paupière de la même marque et de la même couleur, le crayon turquoise Electric et le vert Covet d’Urban Decay, les Contour Clubbing 46 bleu néon et 41 black party de Bourjois et le crayon Regard effet métallisé 55 vert pépite de Bourjois. A part le dernier, qui est aussi celui que j’aime le moins, ils sont tous waterproof. J’ai aussi pris deux aqua creamliners de MUFE, un noir et un turquoise, au cas où je voudrais m’entraîner à tracer un trait de liner au pinceau.
De gauche à droite sur le swatch, on a un gris argenté Dior (j’avoue que celui-là s’est glissé dans ma trousse en traître. J’avais pas prévu de l’emporter mais il voulait des vacances apparemment. Et pour un look sophistiqué ou pour une soirée, finalement il pourra servir), un superbe turquoise Clarins qui va avec un fard à paupière de la même marque et de la même couleur, le crayon turquoise Electric et le vert Covet d’Urban Decay, les Contour Clubbing 46 bleu néon et 41 black party de Bourjois et le crayon Regard effet métallisé 55 vert pépite de Bourjois. A part le dernier, qui est aussi celui que j’aime le moins, ils sont tous waterproof. J’ai aussi pris deux aqua creamliners de MUFE, un noir et un turquoise, au cas où je voudrais m’entraîner à tracer un trait de liner au pinceau.
Maintenant que je regarde les couleurs, je m’aperçois que j’en ai oublié plein que j’aimais bien à la maison, mes MUFE par exemple, et pourtant j’avais des couleurs superbes. La précipitation n’est pas l’amie de la beauty addict. En fait, j’ai juste jeté dans mon vanity ce qui me tombait sous la main et tant pis pour ceux qui s’étaient momentanément cachés ou qui étaient rangés pour une fois. Mais bon, je suis quand même assez fière de ma sélection. On connaît la qualité des Urban Decay, même si je ne suis pas d’humeur pour le vert en ce moment. Le Clarins est vraiment superbe aussi, la couleur est top et il tient très bien. J’ai aussi été agréablement surprise par les Contour Clubbing de Bourjois. Le bleu, je l’utilisais déjà et je l’adore. Mais le noir, je viens de l’étrenner pour remplacer mon khôl Gemey qui a rendu l’âme et il est vraiment très bien. Il est bien noir, il glisse bien et il a résisté à une journée sur une plage venteuse alors que mon aquacream, lui, donnait des signes de faiblesse. Aujourd’hui, je m’en suis servi de base pour waterproofiser un fard poudre, on va voir ce que ça donne.
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lundi 2 août 2010
Mes kits de survie beauté pour les vacances
Ah la magie du wifi ! Je profite d’une petite semaine à la plage et du wifi dans la chambre de mon hôtel pour vous faire un petit coucou. Je ne pouvais pas vous abandonner un mois sans nouvelles. Oui, c’est officiel, je suis une addict.
Avant de partir, je n’avais pas eu le temps de vous montrer mes kits de survie pour ce mois de vacances. Oui, j’utilise le pluriel. Impossible de partir un mois avec une mini trousse. Pour une si longue durée, j’aime bien avoir le choix donc j’ai tendance à suremplir mon vanity. Et au moins comme ça je suis sûre de ne rien oublier, quoique…
Avant de partir, je n’avais pas eu le temps de vous montrer mes kits de survie pour ce mois de vacances. Oui, j’utilise le pluriel. Impossible de partir un mois avec une mini trousse. Pour une si longue durée, j’aime bien avoir le choix donc j’ai tendance à suremplir mon vanity. Et au moins comme ça je suis sûre de ne rien oublier, quoique…
Donc là, j’ai réussi à remplir à ras bord ces deux trousses Anne-Charlotte Goutal (au passage, j’en profite pour vous dire que j’adore ce que fais cette créatrice. Elle imagine des accessoires en vinyle. Si vous ne connaissez pas, allez jeter un coup d’œil à son site, ses créations sont vraiment adorables).
Si j’ai le temps, je vous ferais une série de reviews de nouveaux produits car mes chouchous n’étant pas forcément en taille voyage, j’ai emporté plein de nouveautés : démaquillant, crème pour les pieds, solaires pour les cheveux et le corps… En tout cas, je ne suis pas en vacances beauté mais plutôt en testage intensif.
J’ai aussi empaqueté une tonne de make-up pour les yeux waterproof. Car oui, si j’ai momentanément laissé de côté mon fond de teint, pas question que j’aille à la plage regard nu (ça me fait des petits yeux, c’est trop moche). Donc j’ai mes aquacream forcément, mais aussi plein de crayons waterproof de tout plein de couleurs.
Bon avant d'aller bronzer, je repars bosser un petit peu. Car oui, j'ai aussi emporter du boulot en vacances. Une vraie accro.
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