dimanche 30 mars 2014

Je garde, je jette : le bilan beauté des mois de février et mars 2014


Le mois dernier, pour la première fois depuis la création de la « rubrique » il y a fort fort longtemps, il n’y a pas eu de bilan cosmétique du mois. C’était beaucoup parce que j’étais sous l’eau et que je n’avais pas de temps à y consacrer avant mon départ. Mais c’est aussi parce que ma boîte à produits vide était désespérément vide justement. En février, seules deux petites victimes l’avaient rejointe. Difficile de faire un bilan dans ces circonstances. Il y avait déjà eu un ralentissement en janvier mais là on était carrément à deux doigts du stop.


Heureusement, je me suis un peu ressaisie ce mois-ci et ai réussi à atteindre ma moyenne habituelle de 7 produits terminés (il m’a juste fallu deux mois au lieu d’un). Merci les voyages qui t’obligent à utiliser tout le temps les mêmes produits. Forcément ça descend plus vite. C’est donc le retour du bilan beauté du mois  - yeah – avec la traditionnelle question : ces produits finis, je les garde ou je les jette ? Ou plutôt je rachète ou non ?


Solution Micellaire Démaquillante Anti-Rougeurs Créaline H2O AR, Bioderma
OUI

Je ne vais pas vous faire un roman dessus puisque je vous en parlais en début de semaine. Pour résumer : bien que je déteste les eaux micellaires, celle-ci a réussi à m’amadouer. De toutes celles testées, c’est la seule qui m’a séduite. Ce n’est pas ma solution démaquillage préférée mais pour les vacances, quand on n’a pas forcément toujours un point d’eau à dispo, elle est très pratique. Et très efficace (en tout cas sur moi) : elle démaquillage bien le teint et aussi les yeux, sans piquer. Vous me connaissez, je charge pas mal le make-up des yeux et c’est la seule qui réussit à tout retirer, sans avoir à frotter ni à y passer des heures non plus. Cette fois, j’ai utilisé la version anti-rougeurs (la petite nouvelle de la gamme) qui contient un actif censé diminuer les rougeurs au fil du temps. Sur ce point, en revanche, je ne saurais te dire si ça marche. Je n’ai rien constaté. Mais en même temps, je ne suis pas forcément la meilleure candidate pour juger d’une action anti-rougeurs.


Crème Démêlante Boucles Douceur Cycle Vital, Eugene Perma
OUI
Pareil, je ne m’appesantirai pas sur le sujet puisque j’en ai déjà parlé dans ma note bilan de Cuba. Mais en gros, cette crème démêlante a tout ce que je demande d’un après-shampooing : grâce à elle, le démêlage de mes cheveux infernaux était super easy. Donc je dis oui. Mes boucles étaient aussi super jolies mais ça c’était peut-être le soleil, l’air marin, toussa toussa.


Savon Le Naturel Extra Pur de Marseille
OUI
Je dis un grand oui à ce savon de Marseille liquide que j’ai utilisé en savon pour les mains. Il réunit tous les critères pour faire un bon pousse-mousse : il sent (très) bon, il a une grande contenance et il n’est pas cher du tout. D’ailleurs, si vous êtes attentive, vous remarquerez que c’est la deuxième fois qu’il passe dans cette rubrique. Ca dit tout.


Crème de Douche Vanille de Madagascar, Monoprix
OUI
J’accumule les gels douche dans ma salle de bains. C’est une addiction, ça déborde mais je ne peux m’en empêcher. Ce qui fait que je peux parfois mettre plus d’un an à finir un flacon (comme l’Yves Rocher à la pomme du dernier bilan cosméto). Et parfois, quand c’est un gros craquage, je les descends hyper rapidement. Tellement rapidement que je n’ai même pas le temps de leur consacrer un note dédiée. C’est le cas de cette crème de douche commencée après noël et terminée en février (oui, moins de deux mois, c’est rapide pour moi vu la foule qu’il y a dans mon bac de douche). J’aime beaucoup le parfum de vanille mais c’est un de ces parfums difficiles à réussir. Il fait souvent superficiel, chimique. Eh bien là, il est parfaitement réussi. Ce gel douche sent très bon. Une belle vanille gourmande mais pas trop sucrée. J’aime aussi le flacon transparent. Quand je vois le produit descendre, ça me motive à le terminer.


Beurre Corps Hydratant Cacao Doré, Sol de Janeiro
NON
J’aime beaucoup la marque Sol de Janeiro (tu me connais j’aime tout ce qui m’évoque le Brésil). J’aime ses produits plaisir et surtout leur parfum. Celui-ci ne faisait pas exception. J’avais un peu peur au début que le cacao de ce soin corps soit trop chocolaté (et les soins qui sentent le chocolat, je ne peux pas, beurk). Mais non, son parfum était très bien et sentait bon. Le hic c’était plutôt sa texture. C’est un beurre, mais pas un beurre fondant. La texture n’est pas crémeuse comme indiquée sur le flacon mais plutôt épaisse, consistante. C’est de ces textures qui laissent du blanc une fois déposées sur la peau et qui nécessitent donc un long massage pour parfaitement les appliquer et les faire pénétrer. Je déteste les soins corps comme ça, ceux qui te demandent de masser encore et encore pour que le blanc disparaisse. Alors même si ma peau était parfaitement nourrie et hydratée, la paresseuse que je suis dit non pour l’excès de travail qu’il demande.


Little Showergel Guava, Korres Natural Products
OUI
Pour alléger ma valise pour Cuba, je suis allée piocher dans mon énorme stock de miniatures. Pour le gel douche, j’ai jeté mon dévolu sur cette miniature à la Goyave de Korres. Son format est parfait pour emporter en voyage. Il a l’air tout petit et ne prend pas beaucoup de place mais en fait il fait 50 ml, il tient donc quand même quelques temps (pas deux semaines, j’ai emmené un autre flacon plus grand avec moi, mais environ 5 jours si mes souvenirs sont bons). J’ai choisi la Goyave au hasard et finalement c’est bien tombé. C’était la senteur parfaite pour ce voyage car à Cuba on a retrouvé de la Goyave partout. Et si je ne suis pas hyper fan de son goût (m’enfin, c’est quand même mieux que la papaye qui est beurk), j’ai beaucoup aimé son parfum. Donc je dis oui au parfum et un plus grand oui encore au format voyage très pratique.


Bouton de Fièvre, Urgo
OUI
Certes, ce n’est pas tout à fait un produit de beauté, mais il m’a été tellement utile que je voulais tout de même l’inclure dans ce bilan. En plus, j’en avais déjà fait une review sur le blog, comme ça la boucle est bouclée. Les vacances, c’est sympa, mais je sais pas vous, moi, ça me stresse grave. Avant chaque départ, je deviens une boule de nerf. D’ailleurs, généralement, j’ai tellement de trucs à finir, plus la valise, que les nuits avant le départ sont souvent des nuits blanches pour moi. Pas le temps de dormir, trop de trucs à faire. Un stress décuplé avant le départ pour Cuba. Je savais qu’on allait être coupés d’internet, il fallait donc que je boucle tous mes papiers à temps. C’était panique à bord (d’où ma disparition). Forcément, ça s’est manifesté par des symptômes physiques : le come-back du bouton de fièvre. Et Urgo m’a encore sauvé la mise. Au lieu de me retrouver défigurée pendant deux semaines comme d’hab, ma peine a duré moins de 7 jours (c’est toujours ça de pris). Bref, y’en a plus, il va falloir réparer ça. Rapidement, car le prochain départ arrivant et le boulot s’empilant sur mon bureau, un nouveau gros stress ne va pas tarder à me tomber dessus.

Et voilà pour ce petit bilan des deux derniers mois. On se retrouve fin avril et on y croit que cette fois j’aurais vraiment repris le rythme et qu’il ne me faudra pas deux mois pour remplir ma boîte à produits terminés.  
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samedi 29 mars 2014

Voyage à Cuba : premier aperçu des vacances



Déjà une semaine que je suis de retour. Je m’étais promis d’être plus présente. Je ne l’ai pas été. En fait, je suis frappée d’un furieux mal. Pendant presque trois semaines, mon cerveau a été en off. C’était les premières vacances depuis au moins 5 ans où je ne travaillais pas, je ne bloguais pas, je n’écrivais pas. On a totalement débranché du web et des réseaux sociaux, mais j’ai aussi débranché mon cerveau. Ce qui fait un bien fou. Mais depuis, le hic, c’est que je n’arrive pas à le rebrancher. Il ne sait plus penser, écrire et a du mal à rester concentré plus de 5 minutes. Ce qui est quand même problématique parce qu’il devrait être en mode « travail intense ». Alors, en attendant de pouvoir écrire plus de deux paragraphes de suite, je vous laisse avec un mini article : quelques clichés postés sur Instagram de mes deux semaines et demi sous le soleil de Cuba. (Comme pour Londres, Stockholm, Madrid, je planifie une future note plus approfondie mais comme toujours le temps manque).


Nous avons commencé notre périple cubain par La Havane. Ville mythique s’il en est. J’en avais tellement entendu parler et j’avais of course quelques images rêvées dans ma tête. Alors, évidemment, il y a eu des petites déceptions. Mais souvent on avait aussi l’impression d’entrer dans un cliché, un beau cliché. Comme lorsque cette superbe vieille américaine est passée devant ces jolis immeubles colorés.
Cuba, c'est évidemment le Che, qui est partout. Bien plus que Fidel ou même Raul Castro dont les représentations sont en fait assez rares. L'une des images les plus emblématiques du héros local, c'est ce portrait place de la Révolution qui reprend la célèbre photo de Korda.
 

 Cuba, c'est aussi la plage. Dire qu'il y a un peu plus d'une semaine j'étais en train de me dorer la pilule sur le sable blanc et ultra fin de l'ilôt Cayo Santa Maria, devant ces magnifiques eaux turquoises. Ah, ce bleu, cette couleur ! Evidemment, j'étais hypnotisée, aux anges.
 Plus que La Havane, assez diverse et quand même décrépie, notre ville coup de coeur du séjour, ça a été Trinidad. Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, elle est parfaitement conservée et il est difficile de ne pas tomber sous le charme de ses rues pavées aux façades colorées. Surtout qu'ils ont un fort penchant pour le bleu...
Mais en fait, si je ne devais garder qu'une image de notre séjour, ce serait les vieilles américaines. Vous le savez, j'aime le rétro et j'ai un fort penchant pour l'esthétique fifties. Alors à chaque fois que je voyais l'une de ces voitures tout droit sorties des années 50, je tombais amoureuse. Et comme il y en a partout, je peux te dire que j'en ai eu des crush. Mon coeur ne savait plus où donner de la tête. Elles étaient tellement belles ! Plus que le pays en lui-même, c'est elles qui me manquent (et le soleil aussi).
 Le Cubain n'a pas forcément la vie facile mais il garde sa gentillesse et son sens de l'humour. Ainsi, à Santa Clara, au hasard de nos promenades, nous sommes tombés sur le célèbre signe M jaune. On a forcément trouvé ça bizarre : difficile de croire que l'un des symboles de "l'impérialisme américain" s'était fait une place au soleil à Cuba. Après une semaine à manger du riz, on s'approche tout de même avec espoir (et la bave aux lèvres). Pour découvrir qu'il ne s'agit pas de McDonald's en fait mais de McDunald (son cousin cubain ?). Je te dis pas le fou rire. J'adore !
Dans le genre contradictions, nous somme aussi tombés sur un café dédié aux Beatles à Trinidad. Etrange de les retrouver là. Tellement incongru... mais c'est ce qui était drôle.

Allez, je vous laisse là et essaie de me remettre au boulot. Et je reviens demain avec the comeback du bilan cosmétique du mois.

A samedi pour un nouveau résumé Instagramien. Et si vous voulez me suivre en direct, c'est par ici :
Facebook : Journal d'une Beauty Paresseuse
Instagram : LABEAUTYPARESSEUSE  
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lundi 24 mars 2014

Mon vanity de voyage : bilan beauté et favoris des vacances


Me revoilà après deux super semaines de vacances (et d’absence). On a profité de ce voyage à Cuba pour totalement déconnecter (pas d’ordi, pas de wifi, pas d’internet) et ça fait du bien. Mais maintenant que je suis de retour, si on ressuscitait un peu ce blog ? J’avais tellement de boulot à finir avant de partir que je l’ai complètement délaissé. Je repars dans trois semaines (New York here I come) donc les prochains temps ne vont pas non plus être un long fleuve tranquille. Il va encore falloir jongler pour tout terminer à temps et je n’aurais pas le temps d’écrire une note par jour mais au moins je vais essayer d’être plus présente. Et si on commençait pas faire un bilan cosmétique des dernières vacances ?


Evidemment, pour une beauty addict, décider quels produits mettre dans son vanity avant de partir est tout aussi important que choisir les vêtements que l’on va mettre dans sa valise. Pour moi, c’est même plus compliqué. Comme j’ai plus de choix, le remue-méninges et la prise de décision est toujours une prise de tête. Vu que j’ai zéro force dans les bras, je ne veux pas trop alourdir ma valise mais en même temps j’ai toujours peur de ne pas prendre assez, de manquer (surtout que pour Cuba, on savait que si on oubliait quelque chose, on ne pourrait pas se fournir là-bas, l’offre beauté étant vraiment réduire). Finalement, comme j’ai manqué de temps pour constituer ce vanity, j’ai pris un peu ce qui me tombait sous la main. Alors évidemment, il y a eu des produits qui n’ont pas collé, d’autres dont je ne me suis pas servi. C’est pourquoi, je ne vous ferais pas l’exposé de tout mon vanity. D’ailleurs, il faudrait employer le pluriel puisque je suis partie avec trois trousses : une pour les soins, une pour les solaires et une pour le maquillage. Non, on va juste parler de mes favoris, ceux que j’ai vraiment utilisés et aimés (en revanche, pour ne pas que la note fasse trois kilomètres, j’aborderai les solaires plus tard).


L’Eau Coiffante Pure de Timotei
C’est l’un de mes produits chouchou de ce voyage. Si j’aime mes accessoires coiffants (fer à boucler, lisseur), qui me permettent de changer de tête quand je veux, et si j’en abuse en hiver, dès que le soleil revient j’en profite pour laisser ma crinière au naturel. Ca me fait gagner un temps monstre et la paresseuse que je suis est aux anges. Je profite à fond du fait que quand il fait beau, et que donc mes cheveux peuvent sécher (assez rapidement) à l’air libre, mes boucles sont jolies. Alors qu’en hiver, que j’utilise le sèche-cheveux ou non, c’est moche. Bon, pour que mes ondulations soient belles, il leur faut tout de même un coup de pouce : le bon produit coiffant. Et finalement, il n’est pas si simple à trouver. Il faut qu’il soit assez costaud pour fixer mes boucles pendant environ trois jours (entre deux shampooings) mais pas trop fort non plus pour ne pas cartonner mes cheveux. Eh bien, justement, cette eau coiffante est très bien et fait le boulot à la perfection.

 Je l’applique sur cheveux humides et elle fixe mes ondulations tout en se faisant oublier. On ne la sent pas, elle ne cartonne pas les cheveux, ne les dessèche pas. Elle est légère dans sa finition mais costaud dans sa fixation. J’avais commencé à l’utiliser l’été dernier mais ne vous en avais pas parlé. A l’époque mes cheveux étaient très courts et bouclaient donc très facilement. Je n’étais donc pas sûre qu’elle apportait un plus. Mais elle a fait de nouveau du très bon boulot sur cheveux longs donc je valide totalement. Je l’utilise aussi parfois sur cheveux secs pour me recoiffer et mater mes frisottis et elle est là aussi très utile. Bien sûr vu la forte chaleur, les frisottis revenaient (il fallait recoiffer chaque matin quoi, normal) mais sur le moment, je retrouvais une tête décente. Je vais la remettre de côté maintenant que je suis rentrée dans le froid mais je la ressortirais sans hésiter dès le retour des beaux jours.


La Crème Démêlante Boucles Douceur Cycle Vital d’Eugene Perma
Qui dit retour au naturel, dit changement de routine capillaire. Pour des ondulations bien rebondies, j’opte pour des produits spécial cheveux bouclés. J’ai pris avec moi cet après-shampooing au pif. Parce que son format plus petit que les autres m’a semblé pratique (il n’alourdirait pas trop ma valise). Mais je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. Finalement, je valide totalement. Tu sais que la seule chose que je demande à un après-shampooing c’est de démêler facilement et rapidement ma crinière infernale (et sans sacrifier des mèches de cheveux pour ce faire). Mission réussie. Donc validation totale aussi pour ce produit.


Ma Tangle Teezer
C’est la brosse chouchou des beauty addicts. J’avoue que de mon côté, je ne partage pas cet amour inconditionnel. Je l’aime bien, elle est vraiment top et facilite sans conteste le démêlage. Les nœuds ne lui résistent pas. Mais je ne suis pas fan de son format très « brosse pour chiens ». Je préfère par exemple la Michel Mercier qui fait du tout aussi bon boulot mais qui a un manche. Sauf que, paradoxalement, son petit format carré est un super atout pour voyager. Elle prend moins de place et se glisse facilement dans un vanity. Ce qui fait que si je l’utilise peu quand je suis à la maison, elle m’est en revanche indispensable quand je voyage. Pour mon dernier trip à Madrid, je n’étais pas arrivée à remettre la main dessus avant de partir et j’en avais été très malheureuse (mes cheveux encore plus). J’étais donc bien contente de la retrouver pour Cuba. J’ai pu expédier la corvée démêlage rapidement et sans trop de dégâts (alors que bien souvent ça tourne à l’enfer).


La Mousse Nettoyante Fleur de Vigne de Caudalie
Je vous ai déjà parlé de cette mousse nettoyante. Je l’aime beaucoup. Elle sent bon, elle est fraîche, elle nettoie bien le visage sans dessécher ou agresser la peau et elle peut être utilisée sur les yeux sans problème, elle ne pique pas. En plus, j’avais un format voyage très pratique de 50 ml. Qui est encore à moitié plein d’ailleurs même si j’utilisais la mousse en général deux fois par jour. Donc elle me suivra de nouveau à New York. 


La Solution Micellaire Créaline H2O de Bioderma
Tu le sais, je ne jure que par l’huile pour le démaquillage. Mais mes flacons d’huile sont mal foutus et je ne peux pas les transporter sous peine de retrouver mon vanity rendu tout graisseux par une fuite. Surtout, je n’étais pas sûre d’avoir de l’eau le soir pour me démaquiller vu qu’en partant, on n’avait réservé que les hébergements pour les premiers jours. On ne savait donc pas où on allait atterrir après. Il me fallait donc une solution de démaquillage sans eau. J’ai évidemment emporté des lingettes (mais les lingettes je peux pas en fait, mon visage n’aime pas) et cette solution micellaire. Je déteste pourtant l’eau micellaire. Tu le sais, je le répète bien assez. Sauf la Créaline. Elle a ses fans, d’autres beauty addicts la détestent. Moi, c’est la seule que je tolère et je la trouve bien pratique pour les vacances. C’est la seule qui me démaquille parfaitement sans avoir à y passer des heures (et sans y laisser 50 cotons). Même les yeux sont nettoyés de toute trace de maquillage. Elle a même été efficace sur mes crayons waterproof. Alors à la maison, je reste fidèle à mon huile mais pour les voyages, je continuerai à lui faire confiance. A noter, même si on est censé ne pas avoir besoin de le faire, je la rince quand même. Parfois juste avec un pschitt d’eau thermale si je n’ai pas accès à un robinet d’eau ou je nettoie ma peau ensuite avec une mousse. Car je n’aime vraiment pas la sensation laissée par l’eau micellaire sur la peau.


Mon maquillage des yeux L’Oréal Paris et Bourjois
En vacances, j’ai tendance à réduire ma routine maquillage au minimum. Quand tu as un programme touristique hyper chargé, tu n’as pas forcément de temps à consacrer à ton maquillage le matin. Sans compter que quand il fait chaud, tu sais que ça va couler, pourquoi se prendre la tête alors si c’est pour ne plus ressembler à rien une heure plus tard. Donc, plus ça va, moins j’emmène de maquillage dans ma trousse de beauté. En fait, les seuls qui m’accompagnent partout depuis quelques temps et que j’utilise en voyage, ce sont des fards dorés Color Infaillible de L’Oréal Paris. Parce qu’ils permettent un maquillage du regard facile et rapide. Je les applique en aplat au doigt en deux secondes et je les associe à un crayon en ras de cils pour apporter une touche d’intensité. Mon chouchou du voyage : le Contour Clubbing Waterproof Green Insomniak de Bourjois. Un vert profond. Parce que j’avais envie de couleur mais pas de flashy, parce que je voulais de l’intensité mais pas du noir.


Mes Chubby Sticks de Clinique
Enfin, parce que pour les lèvres aussi j’avais envie d’un maquillage facile et rapide, j’ai retrouvé mes Chubby Sticks de Clinique. J’ai beau collectionner les gros crayons pour les lèvres, les Chubby restent mes préférés. Pendant ces deux semaines, j’ai tourné avec deux teintes de la version originale (pas les Intense car à cause de la chaleur, je n’avais pas envie d’une couleur trop pigmentée ou d’une texture trop couvrante). La journée, je ne quittais pas le Chunky Cherry – un rose soutenu -, ma teinte préférée de toutes, mon chouchou. Et le soir, quand j’avais envie d’un maquillage plus « chic », j’optais pour le rouge Two Ton Tomato.

Et voilà pour mes favoris de ce périple cubain. On se retrouve bientôt pour parler de quelques nouveautés (je crois que je vais attendre un peu pour faire le bilan des solaires, je trouve qu’il est un peu tôt dans la saison, mais si vous avez envie que je le fasse maintenant dites-le moi).
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mercredi 5 mars 2014

Après 3 mois, c'est l'heure du premier bilan de ma cure anti-âge Imedeen


Je ne sais plus si vous vous souvenez : quand je vous ai parlé pour la première fois de la cure anti-âge Imedeen, dans laquelle je me suis lancée fin novembre, je vous avais dit que pour savoir quelle cure me correspondait, j’avais passé ma peau au SkinScanner. Cet appareil de la marque permet de mesurer la densité de la peau grâce à des ultra-sons. C’est très concret. Il te permet de voir ton épiderme (la surface de la peau) mais aussi ton derme (la couche plus profonde) et  de constater ainsi quel est le réel état de ta peau, pas juste celui que tu ressens ou que tu voies. Ce qui peut être assez instructif. Parfois, tu penses que ta peau va bien et, en fait, tout en dessous, une tempête se prépare et tu ne constates les dégâts que trop tard (quand les ridules, les cernes, les taches, le relâchement, etc. sont déjà là).


Moi par exemple, je pensais que ma peau allait relativement bien. Je suis entrée dans la trentaine il y a déjà un certain temps (ô rage, ô désespoir) mais je trouve que visuellement je m’en sors plutôt pas mal (enfin côté peau, nous ne parlerons pas de ces maudits cheveux blancs). Ok, je ne fais plus les 21 ans que je revendiquais il y a encore quelque temps. Ni 25 (le mensonge suivant quand 21 ça n’était plus crédible). Mais, 28/29 ans, j’y croyais. Les autres aussi d’ailleurs car j’ai eu droit à quelques décrochés de mâchoire quand j’avouais (sous la torture) mon vrai âge. Oui, j’aime bien faire plus jeune, parce que je le suis aussi dans ma tête. Et je me voyais bien garder le compteur bloqué à 29 encore quelques années (comme Fran dans une « Nounou d’Enfer », je ne sais pas si tu te souviens. Elle mentait sur son âge à tout le monde, ça faisait plus de 10 ans qu’elle avait 29 ans. A l’époque, j’étais jeune, je me moquais, maintenant je fais pareil). Après tout, même si je commence à en voir naître certaines, je n’ai pas encore de rides (on croise les doigts), ma peau va plutôt bien. J’ai juste deux petites ridules sous chaque œil mais je ne peux blâmer que moi sur ça. Je paie le fait de n’avoir pas mis de contour de l’œil pendant des années. Erreur. Sinon, c’était plutôt « tout va bien, je ne m’en fais pas ».



Et là boum, mes rêves et espoirs ont été brisés d’un coup. Après passage sous le SkinScanner, on m’annonce qu’en-dessous ma peau a la quarantaine. J’en suis presque tombée de ma chaise. Dur, dur. Pourtant, vu que je travaille dans la beauté et que je passe mon temps à des conférences qui nous martèlent les différentes causes du vieillissement prématuré, depuis quelques années, je prends toujours bien soin de ma peau. Je ne fume pas (j’ai déjà des problèmes d’éclat, je ne vais pas risquer en plus de me retrouver avec une peau encore plus grise à cause de la cigarette). Je fais toujours attention aux UV. Quand il fait beau, je ne sors jamais sans avoir appliqué une protection solaire sur mon visage, même en ville. Quand j’étais jeune, j’avoue j’étais une fanatique du bronzage. Je voulais être la plus foncée possible. Mais maintenant « I know better » comme dise les américains. Maintenant, je suis plus intelligente que ça. Depuis que j’ai vu certaines connaissances prendre 10 ans parce qu’elles étaient adeptes de la graisse à traire, moi, je fais attention. Et j’en suis fière. Je préfère être blanche qu’être ridée et fripée avant l’heure.


Bref, j’étais vexée comme un pou quand on m’a dit que ma peau avait plus de 40 ans. Forcément, ça m’a motivée à suivre ma cure. Moi qui me pensais bonne élève, je me découvrais cancre. Il fallait faire quelque chose. Il faut aussi dire que si je prends bien soin extérieurement de ma peau - avec une bonne routine soin, en évitant les mauvaises habitudes et en me protégeant des agressions externes -, intérieurement ce n’est pas trop ça. Intérieurement, je cumule les ennemis d’une peau jeune. En ce moment, c’est stress et fatigue à tout va. Trop de choses à faire, trop de choses à planifier, trop peu de temps. Alors je dors moins pour rallonger les journées, et moins bien aussi parce que je stresses de tout ce que j’ai à faire et que je n’y arriverais jamais à temps. En fait, c’est un peu bienvenue à Zombieland, je suis un Zombie stressé et fatigué.

Résultat, je t’avoue que je flippais un peu quand l’heure du bilan a sonné. Eh oui, à mi cure, il était temps de mesurer concrètement si les gélules Imedeen avaient joué leur rôle et agi sur la peau. Car si on peut constater quelques bénéfices après le premier mois, c’est vraiment au bout de trois mois d’utilisation quotidienne qu’on voit les vrais premiers résultats. Sauf que comme je ne me ménage pas ma peau en ce moment, je craignais un peu le pire. Je suis donc repassée au SkinScanner un peu à reculons. Et là, bonne surprise : il y a effectivement eu une amélioration. Sur le premier graphique, celui qui mesure l’hydratation de la peau, avant le début de la cure, j’étais dans la zone jaune (rouge, c’est mal ; jaune, moyen ; vert, c’est bien). Je piquais même du nez et étais à ça de me retrouver dans le rouge. Une bonne quarantaine en somme. Et là, je n’y croyais pas mais je suis remontée dans le vert. Yeah me ! En revanche, sur le scan qui mesure la densité de la peau, rien à signaler, c’est à peu près pareil qu’il y a trois mois.


En fait, comme je sais qu’il faut quand même du temps pour « changer » la peau, je ne m’attendais pas forcément encore à de vrais résultats, pas pour l’instant. Surtout en ce moment. Et puis je réalise qu’ils se sont peut-être installés sans que je m’en aperçoive. C’est vrai, tous les hivers, j’ai une tête à faire peur. Phénomène qui aurait dû être encore accentué par la fatigue et le stress. Mais finalement je m’en tire plutôt bien. Le Zombie que je suis n’a pas une peau effrayante justement. Il y a bien les traditionnels boutons (chacun sa croix) mais le teint s’en sors pas trop mal. Je n’ai pas encore la peau lumineuse et éclatante dont je rêve tant, mais mon teint n’est pas brouillé comme il devrait l’être. Je me demande donc si la cure n’a pas limité les effets néfastes de mon rythme de vie chaotique. Sinon, côté hydratation, on est bien. Je ne ressens pas forcément le besoin d’appliquer de la crème pour le corps tous les jours (mais je le fais quand même, faut finir les flacons). Après, ma peau n’est pas très sèche en hiver, c’est plutôt en été que je souffre.

M’enfin tout de même, je me dis qu’il y a peut-être un truc. En même temps, la nutricosmétique semble être la bonne arme beauté pour moi. C’est vrai, pour l’instant, j’ai la chance de ne pas encore afficher sur ma peau les signes du vieillissement. Mais ça ne veut pas dire qu’à l’intérieur, celui-ci ne commence pas à faire son travail de sape. Il faut donc aller agir en profondeur pour stopper tout ça avant que les signes de l’âge ne remontent jusqu’à la surface et ne se manifestent sur la peau. Or l’action des crèmes de soin est forcément plus limitée en profondeur. Les compléments alimentaires, eux, nourrissent la peau de l’intérieur et apportent les actifs dont elle a besoin pour lutter contre le vieillissement directement au cœur du derme, là où tout se passe. On cible ainsi directement le problème. Bien sûr, je ne ferais pas de sitôt une croix sur ma crème. Mais ça apporte une vraie complémentarité.


En tout cas, cette petite cure m’a fait retrouver mon vrai âge, me voilà de nouveau dans la trentaine. Et à cette bonne nouvelle s’en est ajoutée une autre : nous avons pu rencontrer la nouvelle égérie Imedeen. Lors d’une soirée au George V, nous avons découvert Christy Turlington-Burns, le nouveau visage de la marque. On l’a un peu attendue (une star pas en retard, ça n’existe pas, ça fait partie du mythe) mais ça valait le coup, elle est superbe. C’était assez dingue de voir en vrai l’une des super tops des années 90, qui côtoyaient Claudia, Naomi, Kate et Cindy à la grande époque. Eh ben, elle n’a pas pris une ride. Elle ne fait pas du tout ses 45 ans. Il faut dire qu’elle prend très bien soin d’elle et de façon très naturelle : elle est ainsi accro au Yoga et à Imedeen donc aussi. La top a expliqué ce soir-là que si elle avait accepté ce nouveau rôle c’est qu’elle partageait la philosophie de la marque et utilisait déjà leurs compléments alimentaires à base d’ingrédients naturels. Et si elle a été choisie par la marque, c’est évidemment parce que c’est une belle femme mais pas seulement, c’est surtout parce que c’est une belle personnalité, nature et engagée. Cette mère de famille a ainsi créé une association caritative (Every Mother Counts) visant à réduire le taux de mortalité des femmes pendant l’accouchement et améliorer également la santé des femmes partout dans le monde. Elle nous a d’ailleurs glissé quelques mots sur le sujet ce soir-là. Bref, une belle égérie.

Sur ce, je te laisse, c’est l’heure des vacances pour moi. A la plage. Cuba me voilà. J’emporte bien évidemment mes compléments alimentaires avec moi. Car si je vais normalement dire bye bye au stress et à la fatigue, je vais à la rencontre d’un autre grand allié du vieillissement prématuré : le soleil. C’est d’ailleurs au soleil que ma peau souffre le plus, elle vire en général croco assez rapidement. Je vous abandonne donc mais je reviens bientôt vous dire si ma cure m’a évité de revenir toute fripée.

En partenariat avec Buzz Paradise.

 
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samedi 1 mars 2014

Gagnantes des concours Nocibé et Oral-B



Un petit passage rapide par ici (le départ pour Cuba arrive et encore tellement de choses à faire donc je ne m’attarde pas) pour vous annoncer les gagnantes des concours Nocibé et Oral-B. Alors, je ne vais pas faire durer le suspense. Roulements de tambour….

La petite chanceuse ayant gagné ma magnifique palette de bleus Nocibé (et un peu de noir et de vert aussi) et qui va donc pouvoir faire un peu de travaux manuels très bientôt est :

Puffetta DeCharybdeEnScylla

Et les deux gagnantes du combo dentifrice/brosse à dents Oral-B, plus une petite pochette dorée, qui vont pouvoir se faire un joli sourire sont :

Clochette Beauté
Bubble Trip

Vos histoires m’on émue ou fait sourire, ça a été très dur de décider. Finalement, j’ai laissé faire un peu le hasard et un peu le hashtag. C’est trop dur de trancher. Tu fais certes plaisir mais en même temps tu déçois, ça me touche toujours en tant qu’éternelle perdante aux jeux et concours.

En tout cas félicitations les filles. Envoyez-moi vite vos coordonnées (mon mail est en haut à gauche) car je pars à Cuba mercredi où je n’aurais probablement pas beaucoup accès à internet donc si je ne les ai pas avant le départ, je ne pourrais m’en occuper que fin mars.
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