Taaj est une toute jeune marque mais qui puise son identité, ses formules et ses actifs dans un savoir millénaire. L’histoire de sa création est assez intéressante et surtout très représentative de notre époque. Stéphane Lévy, son créateur, travaillait dans la finance depuis 10 ans quand il a décidé de changer de vie. Passionné par l’Inde, il décide de partir là-bas pendant 7 mois et y découvre l’Ayurveda. Cette médecine holistique (qui prend en compte l’ensemble du corps mais aussi l’individu dans son environnement et pas le symptôme tout seul) vieille de 5000 ans vise à rétablir l’équilibre entre le corps, l’âme et l’esprit pour guérir mais surtout pour prévenir maladie, vieillissement, douleurs, etc. Pour soigner, elle utilise notamment le yoga, l’aromathérapie, les plantes, les massages mais aussi les cosmétiques. En effet, le soin de la peau est une des branches de cette médecine millénaire car la beauté rime avec bonne santé. A son retour en France, Stéphane Lévy décide donc de créer une marque de cosmétique inspirée de l’Ayurveda. Taaj était née.
Concrètement cela donne quoi ? Pour la formulation de ses soins, Taaj s’inspire du principe ayurvédique de Sanyoga, la synergie. L’important ce n’est pas un actif seul mais la combinaison des ingrédients utilisés et qui vont agir ensemble, démultipliant ainsi leurs pouvoirs et leurs effets. Je ne vais pas vous décrire par le menu comment ça marche, je ne suis pas une bonne petite chimiste et je vous embrouillerais plus qu’autre chose. Disons pour résumer que la formule est envisagée comme un tout et que chaque ingrédient utilisé n’est pas mis là au hasard et est destiné à renforcer l’action de ses petits compagnons. Bien évidemment, les actifs choisis par la marque pour ses soins viennent d’Inde et sont couramment utilisés dans la médecine ayurvédique. Au cœur des formules, on trouve des plantes sous formes d’huiles essentielles ou végétales par exemple mais aussi l’eau de source de l’Himalaya aux propriétés apaisantes et adoucissantes.
Mais attention, si les formules sont inspirées par l’Ayurveda, la texture des soins est elle adaptée aux peaux occidentales. Parce que nous n’avons pas la même peau que les Indiennes, la galénique a été travaillée pour nous. En gros les actifs sont indiens mais la texture est française. D’ailleurs la marque n’existe pas en Inde et, si elle était lancée là-bas, elle ne marcherait pas puisqu’elle ne conviendrait pas aux goûts locaux. Malgré les apparences, Taaj est bien une marque française. Moi je dis quand même cocorico.
Mais attention, si les formules sont inspirées par l’Ayurveda, la texture des soins est elle adaptée aux peaux occidentales. Parce que nous n’avons pas la même peau que les Indiennes, la galénique a été travaillée pour nous. En gros les actifs sont indiens mais la texture est française. D’ailleurs la marque n’existe pas en Inde et, si elle était lancée là-bas, elle ne marcherait pas puisqu’elle ne conviendrait pas aux goûts locaux. Malgré les apparences, Taaj est bien une marque française. Moi je dis quand même cocorico.
Bon, au début, j’avoue, j’étais quand même sceptique. Pas sur les produits eux-mêmes mais sur tout le concept ayurvédique. J’ai un côté pragmatique, bien occidentale, de celle qui a été biberonnée à la médecine moderne, et qui ne crois pas forcément aux médecines douces ou aux « philosophies » orientales. Et puis, lors de cette soirée, pour nous familiariser avec l’Ayurveda, on nous a fait faire un petit test. Cette médecine postule que chaque individu est constitué de trois doshas - Vata (air), Pita (Feu) et Kapha (terre) -, dont un dominant qui définit notre personnalité mais aussi notre type de peau (et donc le soin que l’on doit utiliser) et nos cheveux. J’ai donc fait le test pour savoir quel dosha j’étais, un peu pour le fun mais n’y croyant pas du tout. En habituée des tests (et parce que j’en ai aussi écrit beaucoup pour le boulot), je sais que tout ça c’est un peu du bullshit. Mais là, ça m’a bluffé. La description du profil obtenu (je suis Vata), c’était moi tout craché (à quelques mini détails près). Je suis dégoûtée, j’ai un peu perdu la feuille descriptive depuis mais je me souviens des grandes lignes : déjà, il y avait le côté artistique, la description de la peau c’était ça aussi, mais ce qui m’a le plus frappé, c’est la petite phrase qui disait que j’avais tendance à oublier les choses. Je vous ai déjà parlé de mon Alzheimer précoce non (maintenant, j’oublie même les prénoms des gens, c’est pour dire) ? On pourrait dire que c’est un hasard total. Mais le test avait également tapé juste pour Une Fille Lambda présente aussi ce jour-là. Comme quoi, si l’Ayurveda a survécu 5000 ans, ce n’est pas un hasard.
On a également eu droit à un petit et agréable soin du visage avec les produits de la marque (j’ai tout particulièrement aimé le gommage). D’ailleurs, il y a quelque part une photo de moi visage nu qui traîne. Horreur. J’ai même revu mon opinion sur l’Eau Micellaire, le best seller de la marque. Je l’ai à la maison depuis six mois, je pense, mais je déteste les eaux micellaires, pas faites pour moi, donc je ne l’avais jamais ouverte. Et finalement, elle m’a parfaitement démaquillée sans me mettre le visage en feu (comme l’ont fait celles que j’ai utilisées jusqu’ici). Coup de cœur également pour le parfum de certains soins découverts ce jour-là et qui sentent divinement bon. Et chapeau pour le noms des produits, très fun : Crème Nourrissante Delhicieuse, Crème Hydratante Kashemire, Huile Sèche Bombaysque. Attention OPI, tu as un concurrent sérieux dans la catégorie jeux de mots.
Une soirée très sympa et pleine de jolies découvertes. Je suis repartie avec les nouveautés de la marque : une crème pied et une crème mains notamment (la marque fait des soins pour le visage et le corps). Je vous en reparle dès que j’ai bien poussé les tests. Si vous voulez découvrir ces produits, Taaj est en vente en pharmacies et parapharmacies. Je vous conseille aussi de passer sur le site de la marque car on peut notamment y faire un test pour savoir quel Dosha on est et donc découvrir quelles crèmes il nous faut.
Merci à Poulette et à Taaj pour l’invitation et merci au Caribou pour l’accueil. Puisqu’on était chez un opticien, j’en ai profité pour essayer toutes les paires de lunettes dispo et ça a confirmé ce dont je me doutais : j’ai une tête à Ray Ban (Wayfarer ou Pilote). Arf, je les veux !
Merci à Poulette et à Taaj pour l’invitation et merci au Caribou pour l’accueil. Puisqu’on était chez un opticien, j’en ai profité pour essayer toutes les paires de lunettes dispo et ça a confirmé ce dont je me doutais : j’ai une tête à Ray Ban (Wayfarer ou Pilote). Arf, je les veux !