Lush : la gagnante du concours + découverte de la Candy Box

Et voilà, mon premier concours est terminé. Alors qui a bien pu gagner l’adorable paquet cadeau Lush tout plein de gourmandises ? Le tirage au sort en live et en photo. Oui, je l’ai fait à l’ancienne, avec des petits bouts de papier dans mon chapeau. C’est plus fun. J’avais l’impression d’être la bimbo qui tire les boules du loto (sauf que je suis en jogging/pyjama et que j’ai ma tête de lendemain de fêtes, mais détails !)

And the winner is…. (roulement de tambours) Tiphaine. Alors Tiphaine, je n’ai pas tes coordonnées donc envoie-moi un petit mail pour qu’on se mette d’accord pour un rendez-vous pour que je te donne ton cadeau :) Bravo quand même aux autres participantes, ce sera pour une prochaine fois. J’ai en tête pour très bientôt un autre concours qui, cette fois, ne sera pas seulement accessible aux Parisiennes.

Je suis plutôt fière de vous car vous aviez toutes la bonne réponse sur les surprises que contient ce joli cadeau de Noël. Pour ma part, dans tous les coffrets que propose Lush pour les fêtes de fin d’année, c’est mon préféré, et de loin. Moi qui adore les senteurs gourmandes et sucrées, je suis comblée avec lui. La boîte s’appelle Candy Box en anglais et Boîte de Bonbons à Bulles en français, ce qui est quand même moins fun. Elle revient tous les noëls (sous des formes un peu différentes) et c’est un des « cadeaux » best seller de la marque. Et donc il y a quoi dedans ? (je rassure la gagnante, j’ai pris les photos à partir de ma petite boîte à moi, son colis est « intouché » et toujours empaqueté)

On commence par ma confiserie préférée : le Gommage (ou lip scrub) Bubblegum.

Il y a environ six mois, on a beaucoup parlé sur les blogs beauté des gommages pour les lèvres de la marque. A l’époque, ils me faisaient bien envie mais je n’en avais pas vraiment besoin donc je n’avais pas craqué. En fait, c’est parce que je ne les avais jamais eu sous le nez, sinon j’aurais été bien incapable de résister. J’adore le parfum de celui-ci. Ca sent le chewing-gum mais pas n’importe lequel. Moi ça me rappelle ces tubes dans lesquels il y avait du chewing-gum rose et on pressait pour avoir sa dose. Je ne me souviens plus de la marque mais c’était addictif. Là, c’est pareil. C’est sucré, c’est miam. Certaines trouveront ça rébarbatif, moi j’adore. Côté efficacité, je n’ai pas encore pu le tester de façon optimale, faudra attendre un peu que je pèle des lèvres et que les gerçures ramènent leur fraise. Ca ne saurait tarder.

Deuxième bonbon, le Lip Tint Snow Fairy (vous l’aurez compris, j’ai la version anglaise des produits) ou le baume à lèvres Fée des Neiges. En fait, il « tint » pas vraiment les lèvres, c’est plus un « balm » donc (je précise, parce qu’en anglais, les deux existent). Pour le parfum, c’est bubblegum aussi. Mais j’ai remarqué que tous les snow fairy ne sentaient pas pareil, certains sont plus forts et plus sucrés. J'en ai deux et l'un est plus parfumé que l'autre.

On a ensuite le gel douche corps et cheveux toujours Snow Fairy ou Fée des Neiges, au parfum donc de… Bubblegum. Bravo pour celles qui suivent. Pas encore testé, mais j’avoue que je ne l’utiliserai pas sur les cheveux. Mon côté snob n’aime pas les produits double emploi parce qu’elle trouve que corps et cheveux n’ont pas les mêmes besoins. Je finis toujours par utiliser ce genre de gels douche uniquement sur le corps. Pour mes cheveux chéris, je veux des soins spécifiques.

Nous avons aussi le Pain Moussant Sucre d’Orge ou Candy Cane Bubble Bar pour nos amis les english. Celui-ci, je l’ai donné à une copine qui aime bien aussi le sucré puisque ô rage, ô désespoir, je n’ai toujours pas de baignoire depuis le début de la semaine (mais que fait mon proprio ?!). Je lui demanderais ce qu’elle en a pensé.

Enfin, nous avons deux savons. Le savon Rock Star d’abord (celui-là a le même nom en français et anglais). Il est tout mignon, tout rose. Selon la marque, on peut trouver dans certains morceaux des petits bouts de savon banc en forme d’étoile. A priori, pas dans le mien. Encore une fois, je n’ai pas tiré le numéro gagnant. Côté parfum, toujours selon Lush, ça sent le bonbon : un mix de crème glacée à la vanille, de sucre glace et de barbapapa. Ce serait un des best sellers dans la gamme des savons. Lui non plus, je ne l’ai pas encore testé puisque je voulais le garder intact pour la photo.

Et dernier produit, le savon Le Miel et les Abeilles ou Honey I Washed The Kids Soap (faudra qu’on m’explique comment on passe de l’un à l’autre, mais encore une fois le nom anglais est beaucoup plus fun). Bon, celui-ci, je suis moins fan tout simplement parce que je déteste l’odeur du miel. C’est l’un des parfums qui me donne des haut-le-cœur. Et celui-ci donc, comme son nom français l’indique, sent le miel, un peu mâtiné de caramel, mais ça sent quand même.

Mais bon, je vais pas chipoter, il y a quand même de quoi s’en mettre sous la dent. Et quel meilleur jour pour faire une overdose de bonbon qu’Halloween !

Des patchs pour défatiguer le regard. Ca marche ? Ou pas...

Petit passage rapide avant de retourner me préparer pour ma soirée Halloween. J’ai encore la coiffure, le maquillage et l’habillage à faire et suis déjà en retard. En gros, je ne suis pas sortie ! Remarque pour le maquillage, j’aurais pu y aller en no make-up, comme version effrayante, je pense que personne n’aurait fait mieux. Car en ce moment, j’ai vraiment une tête de déterrée : entre le changement de saison et la fatigue, je trinque, surtout au niveau du contour des yeux. (non, ce n’est pas mon déguisement d’Halloween sur la photo, quoique, ça aurait pu le faire)

Jusqu’ici, c’était une zone qui ne me posait pas beaucoup de problème, donc idiote que je suis, je l’ai un peu délaissée. Cet été surtout, je n’ai pas été très régulière sur l’application de mon soin spécial regard. Résultat, la vieillesse, cette byatch, a pris ces quartiers du jour au lendemain. Je ne l’ai pas vu venir, mais depuis impossible de lui faire voir ailleurs si j’y suis. Et avec tous ces facteurs combinés, j’ai droit à la totale : ridules, cernes, poches (c’est creusé et gonflé en même temps !) et même peau rosée/violacée. Une sale tête quoi. Avant ce soir, je me suis dit qu’il fallait que je leur administre un traitement de choc. Parce que même si, en principe, c’est dans le thème halloweenesque, en réalité, j’ai vraiment pas envie d’avoir une tête qui fait peur.

C’était donc l’occasion de tester des patchs qui traînaient dans mes tiroirs depuis un certain temps mais que je n’avais jamais utilisé puisque, jusqu’ici, je n’avais pas de problème : les Patchs Yeux défatigants Express Top Secrets d’Yves Saint Laurent. Déjà, ce sont des patchs, donc pas de rinçage, donc adoptés illico. Ensuite, ils peuvent être utilisés sur peau propre ou maquillée, ce que je trouve plutôt pratique. C’est pas mal par exemple si on veut rebooster son regard après une journée de travail et avant une soirée. Leur texture est également assez particulière. C’est du glycogel, ce gel qui ressemble un peu à du silicone est réalisé à base de sucres hydratants.

Ce qu’en dit la marque : « Pour rafraîchir, déclarifier et défatiguer en 10 minutes ». Tout ce dont j’ai besoin donc. « Décongestion et clarté immédiate du regard : un cocktail drainant associant l’arnica à l’escine, molécule active du marronnier d’Inde, décongestionne grâce à ses propriétés sur la micro-circulation lymphatique et sanguine pour une double efficacité sur les poches et les cernes.
Lissage et fraîcheur intense : inédite, la texture gélifiée à base de sucres naturels confère aux glycopatchs des propriétés rafraîchissantes, hydratantes et lissantes tout en assurant une parfaite tenue des patchs.
Bien-être apaisant et relaxant : l’eau aromatique de lavande papillon stimule la libération des endorphines – molécules de bien-être – pour une intense sensation de détente, de repos et d’apaisement du contour de l’œil. »

Eh bien, on va voir ça. Moi, je les ai utilisés frais après les avoir mis une heure au frigo. Donc oui, il y a bien une sensation rafraîchissante après la pose, mais qui s’estompe petit à petit. En revanche, je n’ai pas ressenti la détente et le repos. En même temps, je ne suis pas trop « in the mood ». Je suis en pleine préparation donc je cous partout ce qui ne favorise pas cet « apaisement ». Mais, bon point quand même pour la tenue des patchs. Effectivement, malgré mon agitation, ils ont parfaitement tenus. Même si, à la fin, ils commençaient à me peser et j’étais quand même contente de les enlever.

Avant

Après

Pour le résultat, j’ai fait des photos avant/après mais je ne suis pas sûre qu’on voit quelque chose. En vrai, après avoir ôté les patchs, il y a effectivement une amélioration, les ridules sont un peu lissées (de toute façon, une fois qu’elle est là rien n’estompera totalement une ride), la couleur des cernes a l’air moins violette et les poches sont quand même dégonflées. Mais j’ai aussi l’impression que ça ne dure pas. C’est une amélioration passagère. Ma sale tête revient petit à petit. C’est mieux donc mais c’est léger. En même temps, y a-t-il vraiment un produit miracle pour « embellir » le contour de l’œil, à part le maquillage bien sûr. Petite question : j’ai une cerne plus grosse, plus profonde et qui descend plus bas que l’autre. Ca vous fait ça aussi ? C’est trop bizarre. En même temps, ce n’est pas la première fois que quelque chose n’est pas symétrique chez moi. Je suis persuadée que j’ai une jambe plus longue que l’autre. Si, si !

Beauty trip à Toronto avec Cargo

On peut être une fap addict, comme moi, et pourtant ne jamais avoir testé certaines marques d’ombres à paupières hyper cotées dans la beautysphère. Pour moi, sortir yeux nus est quasi inenvisageable et se maquiller veut donc forcément dire mettre du fard à paupière. Même quand je mise sur une bouche rouge, je ne peux m’empêcher d’habiller quand même un peu mon regard. Mais bizarrement, je ne suis pas une testeuse folle qui essaye tout ce qui lui passe par la main ou qui se jette sur toutes les nouvelles marques. Certains produits cultes n’ont même pas encore eu l’honneur de parader sur mes paupières. Je n’ai toujours pas succombé à Sleek par exemple.

Jusqu’ici je n’avais également jamais testé les fards Cargo. Pourtant, j’ai déjà eu des palettes entre mes mains, j’avais même craqué sur certaines teintes mais, au final, je décidais toujours de rester fidèle à mes marques et mes produits chouchous. Et puis par le hasard d’un jeu de chaise musicale beauté, je me suis retrouvé avec une palette Toronto appartenant à Framboize. Et comme l’occasion fait le larron, j’ai enfin pris le temps de tremper mes pinceaux dans les fards de la marque. Cette palette est composée de quatre teintes : un noir pailleté, un gris très clair pailleté aussi, un bleu clair et un bleu médium.

J’ai fait un maquillage assez simple. Le bleu clair dans le tiers interne de la paupière mobile, le bleu foncé dans les deux/tiers externes, le noir dans le creux de la paupière et le gris dans le coin interne de l’œil pour illuminer. J’ai également fait un retour au ras des cils inférieurs avec du bleu et du noir. Eh bien, après coup j’ai été un peu déçue. Par rapport à d’autres fards, j’ai trouvé certaines des teintes difficiles à travailler. L’un des bleus surtout refusait obstinément de se poser sur ma paupière. Et puis je trouve le résultat terne, pas follichon. Ça manque de luminosité même si ça ne se voit pas forcément sur les photos, le flash faisant ressortir les nacres et les paillettes que tu ne voies pas à l’œil nu. Je pense que c’est particulier à cette palette aussi. Pour eux, Toronto c’est triste et gris, un peu comme un ciel nuageux. Mais ça ne m’empêche pas de rêver aux palettes Los Angeles, Tahiti ou Barcelona dont je trouve les différentes teintes vraiment sublimes. Ces trois-là sont peut-être plus pour moi. Toronto n’avait aucune chance face à l’accro au bleu flashy que je suis.

Quand ma manucure broie du noir

Ca n’a dû échapper à personne mais samedi c’est Halloween. En temps normal, je n’en aurais totalement rien à cirer. Mais cette année, il va falloir que je fasse un effort puisqu’une copine organise une soirée déguisée. Première étape, le choix du vernis. Bon, je m’y suis pris un peu beaucoup en avance mais vu que ma manucure Chanel n’a tenu que deux jours il fallait absolument que je me remette quelque chose sur les ongles sous peine de tout ronger. Pour le choix de la couleur, je n’ai pas fait dans l’original, j’ai tout de suite pensé au noir. Au début, je voulais faire dans le classique avec le Black Satin de Chanel mais comme je voulais aussi que ma manucure dure jusqu’à samedi soir, je me suis ravisée. Finalement, j’ai préféré pas tenter le coup, trop hasardeux. Je me suis donc rabattue sur du OPI, plus sûr, et la couleur Suzi skis in the Pyrenees de la collection España. C’est un noir gris, ou un gris noir, je sais pas trop, en tout cas pas un noir franc.

Et là, ça a un peu été la manucure de l’horreur. Halloween avant l’heure quoi. Déjà, ça s’annonçait mal. Le vernis était très liquide et la première couche quasi invisible. Pour un vernis de couleur, ce n’est jamais bon signe. Deuxième couche, ce n’est toujours pas opaque. Putain, va falloir que j’en passe une troisième, je suis pas sortie ! Donc je repasse une nouvelle fois avec le pinceau bien chargé cette fois pour avoir une vraie opacité. Ca marche sur certains ongles mais sur d’autres, quand je passe avec le pinceau, ça enlève tout simplement le vernis qui y est déjà. Sur le majeur par exemple, j’ai dû en mettre quatre fois pour avoir un truc à peu près potable, et encore. J’ai envie de dire que ce vernis m’a fait un doigt d’honneur.

Bien évidemment, avec toutes ces couches, ça a mis des heures à sécher. J’ai fait ça à la mi-temps du match de foot (donc vers 10h) et je ne me suis couchée que vers 2 heures du mat et, même comme ça, j’ai des marques dessus. Je trouve cette manucure moche et pas clean. En plus, on voit toujours mon ongle en transparence sur certains doigts. C’est ironique parce que je vais sûrement devoir la refaire avant samedi et donc me rabattre sur le Chanel. Mais je voulais quand même vous en parler pour vous déconseiller cette teinte. Il y a tellement de sublimes couleurs chez OPI, qui s’appliquent facilement et sèchent vite, pourquoi s’emmerder avec ça. La marque me déçoit rarement mais là, ils l’ont fait en grand. Disons que c’est une erreur de casting. Mais je pardonne quand même. Je vais pas pénaliser ses sublimes frères et sœurs parce qu’il est nul.

Et n'oubliez pas le concours Lush ICI.

Je rêve d'un bon bain, avec tout plein de friandises dedans

Il y a des jours où je regrette vraiment de ne pas avoir de baignoire dans mon appartement (environ 30 jours par mois). Il devrait y avoir des indispensables chez une beauty addict : la baignoire donc mais aussi la coiffeuse (ah, une coiffeuse un peu rétro mais avec quand même tout plein de lumières rondes autour du miroir pour me prendre pour une star de cinéma et surtout voir enfin ce que je fais quand je me maquille).

Mais non, moi j’ai droit à une douche. Ok, c’est pratique, plus rapide et plus écolo. Enfin, c’est encore à démontrer. Moi je laisse couler l’eau pendant tout le temps que je suis dedans, sinon, j’ai froid. Et vu que j’y suis parfois pendant une demi-heure, le temps de faire masque cheveux, masque visage, rasage, etc., faites les comptes. Comme je ne suis pas (encore) Crésus (j’y travaille), quand je cherchais mon appart, il a fallu choisir entre des pièces lilliputiennes, une cuisine misérable et une vraie salle de bain ou une mini pièce d’eau mais de vraies pièces à vivre. Mon choix a quand même été vite fait. Surtout que là, je peux mettre mon frigo dans la cuisine et pas dans le salon (on ne rigole pas, c’est parfois ça Paris).

Mais ça ne m’empêche pas de repenser avec nostalgie à feu mon rituel pour le bain. C’était mon petit moment destressant du dimanche. J’y allais avec un magazine (ça fait moins mal au cœur quand il tombe dans l’eau qu’un livre). Et encore, à l’époque, j’avais pas ces produits spécialement dédiés qui viennent maintenant sonner à ma porte. Je les accueille quand même, mais avec tristesse, sachant que je ne pourrais jamais les tester. Parce qu’autant tu peux emprunter un rouge à lèvres, autant je me vois mal dire « prête moi ta baignoire ». Et c’est dommage parce qu’il y a des jours où j’aimerais bien barboter dans un délicieux bain parfumé. Mais non, j’y ai pas droit. C’est comme ça que je rate la plupart des meilleures gourmandises de chez Lush. Et là, je viens de découvrir la marque Blancrème, dont Teddy a déjà parlé à plusieurs reprises, et je suis encore plus verte.

Ils se décrivent comme une épicerie fine de la beauté et font des produits craquants et qui sentent bon pour le bain, comme des gommages à étaler à la cuillère ou des mousses pour le bain dans des packagings qui ressemblent à des bouteilles de limonade. Rétro à souhait. J’adore.

Mais comme je n’ai pas de baignoire, je ne pourrais pas tester ces bains moussants à la verveine et à la barbapapa. La verveine je suis moins fan du parfum mais la barbapapa, je veux !!! Donnez-moi une baignoire vite ! Ils existent aussi en version Pina Colada, Rhubarbe, Fraise des Bois et plein d’autres parfums qui me font saliver des babines.

J’ai aussi des petites gourmandises trop adorables mais je ne sais plus trop exactement ce que c’est puisque la bécasse que je suis a perdu le papier descriptif et que le site de la marque ne marche plus. Mais je trouve ça trop mignon et ça donne envie. mais bon, je ne suis pas sûre que dans ma douce ça fasse un quelconque effet. Whyyyyyyyyyyyyyyyy ?

Et puis il y a les classiques cristaux de bains, ceux-ci sont à la rose et vont sûrement atterrir chez ma sœur, comme tous les sels de bains reçus jusqu’ici. Je pense que là elle en a jusqu’à la saint glinglin. Pour la gamme de prix, les mousses de bains sont à 16 € (en format normal hein, moi j’ai eu des échantillons) et le gommage à 15 € mais pour le reste je sais pas trop puisque j’ai perdu la brochure. Oui, vous pouvez me jeter des pierres virtuelles, j’ai mal fait mon travail sur ce coup-là. Mais j’ai trouvé ça tellement chou que je voulais absolument vous les montrer. On peut se les procurer dans leur boutique de Saint Germain en Laye, à la Beauty Room du Printemps, dans les Beauty Monops et bientôt chez Nocibé.

Un masque visage pour les paresseuses ou la femme invisible mène l'enquête

Je ne fais pas souvent de masque pour le visage. Je sais, c’est mal, mais ça prend du temps, faut s’étaler le truc sur le visage, attendre, rincer. Pff, épuisant. Donc je zappe. Et puis, l’autre jour, Lambda me donne un masque en tissu, et je me dis, ça c’est un produit pour les paresseuses. D’ailleurs, j’aurais dû y penser avant. Donc merci :). Et en hommage à ta grande sagesse, petit clin d’œil à ta photo qui m’avait tant fait rigoler au mois d’août dernier. Pour les curieuses, c’est ICI. Apparemment, l’homme invisible a donc bien une femme mais aussi une sœur, qui se demande d’ailleurs si elle osera pour Halloween. Ca approche et elle doit se déguiser pour une soirée.

Tout à l’heure, en sortant de la douche, j’avais la peau du visage qui tiraillait et qui était toute fripée. C’est sa façon de me dire « à boire ». C’était donc l’occasion de tester ce masque lambdien tout droit venu de Corée. Forcément, je ne connaissais pas la marque, n’étant jamais allée dans ces contrées lointaines mais j’avais toute confiance. C’est un masque hydratant à la gelée royale et au collagène. Il contient également de la vitamine E. Bon, pour le mode d’emploi, j’ai eu un peu de mal car tout est écrit en coréen derrière avec une traduction anglaise dont j’avoue ne pas avoir tout compris (pourtant je suis totalement bilingue hein). On peut l’utiliser froid en été en le mettant au réfrigérateur ou chaud en hiver en le plongeant dans un bain marie. Mais j’ai considéré qu’on était en mi-saison, je l’ai donc utilisé tel quel.

Je crois qu’il fallait mettre de l’eau tonique avant de l’appliquer sur peau sèche mais n’étant pas bien sûre, je l’ai mis directement. Et c’est vrai que ces petits masques ont quand même plein d’avantages. Ok, c’est pas écolo, je vous l’accorde. Mais quand on est flemmardes, c’est le pied. Tu l’enlèves juste de son emballage et tu le poses sur ton visage, ça prend à peine 30 sec. Puis tu vaques à tes occupations le temps qu’il pose. Je pensais qu’il glisserait du visage petit à petit si je restais debout mais pas du tout, il reste bien accroché. Après les 15/20 minutes où ta peau se gorge d’actifs, tu as juste à l’enlever et à le jeter. Pas besoin de rincer. Il suffit ensuite de faire pénétrer le surplus du soin qui reste sur la peau comme si c’était une crème. D’ailleurs, pas besoin de mettre d’hydratant après, la peau a tout ce qu’il faut. Elle est comme repulpée, plus rebondie et ne tire plus. En plus, il y a un effet frais pas désagréable.

Petit bémol quand même, ça rétrécit ton champ de vision surtout si comme moi tu as mal positionné les yeux. Et tu ne peux pas mettre de lunettes par-dessus très longtemps car elles finissent pas s’humidifier. Donc j’ai dû faire mon démêlage de cheveux et mon coiffage un peu à l’aveugle (ça se voit d’ailleurs sur la photo, y’a de l’épi dans l’air). Mais c’est vraiment un inconvénient mineur. Je vais donc sans hésiter ajouter ce nouveau geste dans ma routine de soin et partir à la recherche d’autres masques en tissu plus accessibles géographiquement. Et vous, vous êtes plutôt tissu ou masque normal ?

PS : je précise, oui, j'ai mis du rouge à lèvres pour la photo. Je pouvais pas me montrer pas maquillée. Impossible. Conclusion : oui, je suis aussi beauty dérangée. Ca se soigne mais j'ai pas envie, ça me va très bien :)

Jeu Concours : A gagner, un cadeau de Noël Lush

Paresse oblige, jusqu’ici je n’avais jamais fait de jeu concours sur mon blog. Mais avec mon big rangement et ma beauty réorganisation, je suis sur une pente ascendante de bougeage de fesses. Et je me dis qu’il faut que je continue à bousculer un peu mes habitudes de marmotte pour ne pas être de nouveau aspirée par mon canapé. Donc aujourd’hui, grosse révolution, voici mon premier jeu concours. Applause !

Et qu’est ce que je vous propose de gagner ? Eh bien, un cadeau, au sens littéral du terme. C’est Noël avant l’heure avec ce paquet cadeau Lush qui contient plein de délicieuses petites choses et qui fait partie des gifts de la collection de fin d’année de la marque. Si vous aimez tout ce qui est gourmand, vous allez l’adorer. Moi, je le trouve totalement miam.

Pour gagner, c’est facile, il suffit de me dire ce que contient cette « pochette surprise ». Allez je vous donne un indice, son nom c’est Christmas Candy Box. Petit bémol, tout de même. Comme le paquet cadeau est quand même assez gros et, qu’après moult péripéties, je ne fais plus confiance aux services de livraison (disons qu’entre le facteur voleur et les voisins qui se font passer pour moi, quelques-uns de mes colis ont mystérieusement disparus), je préfère le remettre en main propre. Et, en plus, comme ça au moins, il n’arrivera pas en miette. Mais forcément, ça limite un peu les participantes aux parisiennes et banlieusardes prêtes à se déplacer et à me rencontrer ou celles qui passent par la capitale pour une raison ou une autre. Sorry ! Mais pour me rattraper, je vous prépare bientôt un nouveau jeu avec des lots plus petits, donc qui passent plus inaperçus dans la boîte au lettre, mais tops.

Bien évidemment, une seule participation par personne ou par adresse IP. On ne triche pas. Et vous pouvez gagner une chance supplémentaire en relayant le concours sur votre blog, twitter ou facebook. Dans ce cas-là envoyez-moi le lien parce que je n’ai pas forcément des yeux partout. Allez bonne chance ! Vous avez jusqu’à samedi. Je ferais le tirage au sort dimanche pendant que je me remettrais de ma soirée d’Halloween. S’il n’y a pas beaucoup de participantes (je sais qu’on a parfois l’impression d’être le centre du monde à Paris mais finalement dans la blogosphère beauté, on n’est pas majoritaires), j’essaierais peut-être de trouver une autre solution pour que tout le monde puisse jouer.

Bon, ça vous plait l’idée de jeux concours ? J’en fais d’autres ? Promis la prochaine fois, tout le monde pourra participer. Je me rôde sur celui-ci.

Je veux être une Mad Women moi aussi !

En ce moment, je suis en plein visionnage de la dernière saison de la série Mad Men. Un marathon qui m’est un peu monté à la tête. Depuis, je rêve de bouches rouges, de faux-cils, de traits d’eyeliners et de cheveux choucroutés. Moi aussi je veux être une desperate housewives des années 60.

Mad Men vous connaissez forcément. Pas nécessairement parce que vous suivez la série (qui a quand même une diffusion confidentielle) mais parce qu’elle a fait la une de tous les magazines féminins cette rentrée. Le style de la série a en effet inspiré de nombreux créateurs de mode et le look Mad Men est l’un des it de la saison. D’ailleurs, la plupart des papiers que j’ai lu sur le sujet m’ont bien fait marrer (rire jaune plutôt) parce que tu sens bien qu’une journaliste sur deux qui parle de la série ne l’a en fait pas vue. Et ça, il n’y a rien qui m’énerve plus. La base du boulot c’est quand même de connaître ton sujet et si tu ne le connais pas, ben tu fais des recherches pardi ! Donc, déjà, non Mad men ne se passe pas dans les années 50 ! Fais tes devoirs bon sang ! (ça, c'est fait)

Petit résumé du pitch pour celles qui ne connaissent pas. Il y en a et je ne vous jetterais pas la pierre. Car pour être honnête, moi j’ai trouvé les deux premières saisons ultra-chiantes et les personnages à baffer. Les mecs parce que ce sont de gros salauds bien machos, les filles parce que la plupart sont de jolies idiotes. My god, qu’elles sont connes ! La femme du héros a par exemple l’âge mental d’un enfant de 10 ans, c’est triste. Vu du 21è siècle tu te demandes comment elles peuvent se laisser traiter comme ça et se faire marcher dessus sans rien dire. Mais bon, c’était une autre époque. C’est donc l’histoire de publicitaires dans les années 60 (et pas 50). Rien de révolutionnaire jusqu’ici. Ca boit, ça fume, ça baise et apparemment ça suffit à faire le buzz. Je ne comprends pas d’ailleurs pourquoi cette série est tellement vantée. Ce serait le meilleur show de ces dernières années. Mouais, permettez-moi une moue dubitative.

En fait, le vrai intérêt de la série c’est qu’elle reconstitue à l’identique les années 60 : la déco, la mode et surtout le maquillage et les coiffures des filles. Moi, c’est clairement une des raisons pour lesquelles je continue à regarder. La beauty addict que je suis est fascinée. Et plus je vois d’épisodes, plus j’ai envie d’arborer le look des héroïnes. C’est bien que la beauté est évoluée mais là je me dis qu’on a quand même perdu pas mal en route.

Je trouve que les héroïnes, en tout cas la plupart d’entre elles, sont ultra glamour. Leur make-up n’a pas l’air si compliqué et pourtant on devine des heures de travail derrière. C’est simple mais sophistiqué et surtout très féminin. En fait, tout est dans le regard. Elles ont une frange des cils bien fournie et bien noire (vive les faux-cils) rehaussée d’un parfait trait d’eyeliner. Parfois, il ne se voit même pas tellement il est au ras des cils mais cela intensifie tout de même les yeux.

Sur les lèvres, la plupart du temps, elles arborent un rouge à lèvres rose, clair ou soutenu cela dépend des occasions et de la personne. A mon grand étonnement d’ailleurs, elles ont rarement du rouge bien rouge.

De temps en temps, je m’imagine aussi avec certaines de leurs coiffures. En quatre saisons, j’ai vu passer de superbes brushings et chignons ou même juste de simples ondulations ou crans. Le tout impossible à refaire chez soi toute seule bien évidemment. Par contre je dis non à tout ce qui a trop de volume ou qui est trop choucrouté. Ce sont les seules fois où finalement je ne regrette pas de vivre 50 ans plus tard.

Côté tenues, en revanche, je suis moins emballée. Je sais que c’est ce que la mode essaie de nous vendre cette saison mais je ne suis pas sûre de faire le voyage spatio-temporel. Bien sûr, c’est sexy et élégant mais la longueur au genou très peu pour moi. Ou alors pour une occasion spéciale.

D’ailleurs, j’attends la soirée déguisée qui me permettra enfin de faire ce total look. Parce que même si je les trouve sublimes, je me vois mal arborer ce make-up au quotidien malheureusement. Mais je songe à l’adapter. Sans la coiffure trop apprêtée, cela devrait passer en soirée.

Et vous, êtes-vous mad du look 60’s ?

Toujours fidèle à l'Huile Démaquillante DHC

Regardez qui est de retour dans ma salle de bains. Ben, oui, je n’ai pas pu m’en passer très longtemps. Malgré tous mes tests, je reviens toujours vers elle. D’ailleurs bonne nouvelle pour les addicts, l’Huile DHC n’est plus seulement en vente en ligne sur le site de la marque. Pour celles qui comme moi n’aiment pas shopper sur internet (oui, il y en a encore), on peut désormais se la procurer en vrai dans les Beauty Monop et chez Nocibé.

En ce moment, comme vous avez pu le remarqué, je suis en plein folie démaquillant. C’est ma beauty obsession d’octobre. Je cherche, je cherche et je teste plein de produits, nouveaux ou pas, pour trouver le rituel qui convient le mieux à ma peau et à ma nature de paresseuse. Ce dernier point comptant pour 50% au moins dans mon choix. Le soir, quand je suis crevée et que je dois enlever la pelletée de make-up que je me suis mis sur le visage, je n’ai vraiment pas envie de me prendre la tête. Je veux quelque chose de rapide et d’efficace. Et pour l’instant, l’huile DHC est indétrônable. Bon, comme j’ai quand même plein de trucs ouverts en ce moment, dont certains qui sont aussi plutôt pas mal, je ne l’utilise qu’en cas de grande paresse. Je sais rester raisonnable. Je suis aussi curieuse. Ok, je l’ai mise sur un piédestal mais il y a beaucoup d’autres huiles démaquillantes sur le marché. J’ai l’impression que c’est le it rituel du moment. Je pense donc à faire un test comparatif avec un autre produit du même genre. Ca vous intéresserait ?

Des cosmétiques adorables et girly chez Nocibé : on craque forcément

Je suis une faible femme. Je ne peux résister à tout ce qui est girly, cute et mignon. Et quand c’est pas très cher en plus, c’est la razzia assurée. Et là, je pense que je vais bientôt aller faire un hold up chez Nocibé. L’enseigne est en pleine refonte et réorganisation et va intégrer dans ses linéaires plein de nouvelles marques et de nouveautés. L’une d’elle, c’est un meuble que toute beauty addict rêverait d’avoir chez elle : il est rempli de cosmétiques et d’autres trucs de filles vraiment trop adorables. Cela va être dur de résister. Pour l’instant, je n’ai que quelques spécimens mais il faut que j’y retourne très très bientôt. En fait, ça m’obsède depuis que j’ai découvert ces beauty gourmandises qui coûtent entre 2 et 10 €. Je les veux TOUTES !

Regardez-moi ces petits baumes à lèvres au goût de Cupcakes, j'adoooooooooooore !

Et ceux-là qui sont au goût de crème glacée dans leurs mignons petits pots.

J'ai aussi un petit faible pour ces pansements trop girly qui iront parfaitement avec mes Monsieur Madame achetés à Londres.

Mais ce n'est rien comparé au reste : des masques tout mignons vendus à l'unités, des mouchoirs imprimés, plein de comsétiques au formait mini et mimi. Je sais je suis faible mais je vais avoir du mal à rester raisonnable. Pour l'instant, je me retiens car ce n'est pas encore dan tous les Nocibé, ça arrive petit à petit, et je ne les ai pas vu sur le site internet.

Je vais quand même déjà tester ce qui est en ma possession et vous en reparler en vous donnant leur prix exact.

Edit : Ca y est, je les ai trouvé sur le site, et plus encore. C'est la marque Natural Products et je sens que je vais me ruiner. Si ça vous intéresse, c'est ICI. Il y a les prix et presque toute la gamme. Je ne retrouve pas les Lip Balm Crème glacée même s'ils sont pourtant LA. Ah les Kleenex, les lingettes nettoyantes et ces cotons dissolvants au Cupcake. Moi qui ne commande jamais sur internet, je suis à deux doigts de céder. Ca va être dur !

Confessions Intimes : J'ai moi aussi été une Chanel addict

Fut un temps où moi aussi je frétillais en découvrant les nouvelles couleurs saisonnières de Chanel. A l’époque on n’appelait pas ça des it vernis mais la marque réussissait tout de même à imposer des teintes parfois improbables mais vite devenus classiques. Pour moi, c’était de vrais objets du désir. J’ai ainsi cédé à l’appel de Black Satin d’abord puis de Blue Satin. Et je ne regrette pas, j’adore ces couleurs. Et j’ai encore les deux vernis qui se portent comme des charmes. Je les ressors tous les hivers et ils tiennent encore bien la route. Contrairement à d’autres plus jeunes qui m’ont déjà laissés tomber, devenus trop gluants pour être utilisés.

Mais depuis cette vénération m’est totalement passée. Peut-être parce que je n’étais pas tout à fait satisfaite de leur tenue, variable et pas toujours top. Peut-être aussi parce que je trouve les nouvelles teintes beaucoup moins réussies. Je sais que je fais exception mais je déteste les couleurs Particulière et Paradoxal, le pire étant les Khakis, qui ne sont vraiment pas à mon goût. Les Pop Up de cet été ont quand même failli réanimer mon culte (ah ce Nouvelle Vague ou ce Riviera) mais j’ai été raisonnable, je n’ai pas rejoint la secte. Car, oui, je trouve parfois que tous ces adorateurs de vernis Chanel font un peu secte. On s’arrache la couleur parce qu’on la voit partout et comme ça on peut se la jouer. Mais moi tout ce buzz ça a plutôt l’effet inverse, ça me gave donc ça me dégoûte du produit. Je me suis ainsi trouvé de nouveaux dieux dont OPI évidemment, même si la marque est aussi en voie de mass marketisation.

Et c’est dommage parce que malgré certains défauts, il y a quand même de jolies couleurs chez Chanel. Dans mon opération grand rangement, j’ai ainsi déterré ce superbe vernis rouge, it couleur de l’année 2007 ou 2008. Vous allez me prendre pour une dingue encore mais ce vernis a une histoire assez particulière (mouhaha, c’te jeu de mot). Il y a tout juste deux ans, j’avais fait un voyage express à Londres et je m’étais retrouvée avec un bon d’achat de 50 livres chez Boots. La folie, je sais ! Mais si, à cette époque, j’étais déjà une beauty addict, je ne savais pas encore ce qui était vraiment bien. Et au lieu de m’acheter des marques uniquement vendue en Angleterre, je me suis jetée sur le stand Chanel où j’ai pris le Blue Satin et ce rouge donc, le Fire. A posteriori, je regrette quand même un peu. J’aurais pu m’offrir des trucs de malade mais j’étais trop classique (et intoxiquée ?).

Le pire c’est qu’en rentrant chez moi j’ai mis le Fire de côté car j’avais déjà deux vernis rouges ouverts et je ne voulais pas gâcher. Pareil, en ce temps-là, je ne devais avoir que trois/quatre vernis et que des couleurs basiques bien évidemment. Oui, j’ai bien changé. Je l’ai donc mis dans un tiroir et je l’ai oublié. De temps en temps, je me disais bien : tiens et le Fire, faudrait que je le teste un de ces jours, et puis pfiou, ça me sortait de la tête. Jusqu’à hier et ma grande décision de trier. Il était temps de lui donner sa chance. C’est que c’est quand même une superbe teinte. J’adore. Très féminin et élégant mais avec un potentiel rock. Ca me donnerait presque envie de vénérer les vernis de la marque une nouvelle fois. D’ailleurs leur nouveauté noël, un sublime fuchsia, me fait de l’œil. Reste à voir la tenue de celui-ci. Pour l’instant, il a résisté à l’épreuve douche + lavage de cheveux, généralement fatale pour beaucoup.

Mon coming-out de bordélique cosmétique en images

Vous avez dû le comprendre maintenant, je une grosse bordélique. Et ma beauty obsession n’a pas arrangé les choses. Il y a des produits de beauté partout. Ma salle de bains, ou plutôt de douche, étant assez petite, ça a vite débordé dans le reste de l’appart. Au début, il y en avait juste un peu dans la chambre. Mais depuis que je bosse de chez moi et que j’ai ouvert le blog, ça a aussi contaminé mon salon et le couloir, où certains jours tu as du mal à passer d’ailleurs. En fait, si tu dépasses un certain tour de taille, il est carrément impossible de rentrer chez moi. Oui, je suis comme ça moi, je refoule et je discrimine. Non, dans la réalité c’est plutôt une bibliothèque pleine de dossiers de presse qui bloque le passage. Et si je suis chargée avec plein de gros sacs, je dois même passer le couloir de profil, car de face ça coince. Seule la cuisine a été épargnée et est cosmétique free.

Je stocke, je collectionne, j’utilise des milliers de produits en même temps. En principe ça a l’air sympa mais ça peut virer au cauchemar. Passons sur le fait que je passe mon temps à me prendre les pieds dans des sacs qui traînent et à manquer de me vautrer comme une grosse merde. Je dois aussi souvent enjamber ou faire des détours car le passage est bloqué. Non, le pire, c’est qu’au final quand je veux un produit je suis incapable de mettre la main dessus. Mon appart est un triangle des Bermudes pour les cosmétiques et j’en ai marre. Donc j’ai décidé de faire un grand ménage de printemps ou plutôt d’automne. Je vais donc trier, ranger, classer, remettre à sa place tout ce qui dépasse… ou presque. Je vais quand même garder mes indispensables sous la main. Mais avant cette grande révolution, je voulais vous montrer la cause désespérée que je suis avec quelques photos parlantes et bien flippantes.

Commençons par ma table de chevet. Bon, là ça va encore (je dois quand même avouer que j’ai un peu aligné les choses avant la photo, en général, tout est plus ou moins sens dessus dessous). Il y a surtout du soin, ce que je me mets sur le visage le matin et le soir. Normalement, je n’ai pas à chercher longtemps parce que je sais presque exactement ce qu’il y a dessus. Bon, de temps en temps, l’un des produits miniatures me fait une blague en se cachant derrière les autres ou en tombant par terre mais la recherche est plutôt courte.

Quand les cosmétiques ont commencé à se multiplier, j’ai décidé d’acheter un meuble pour tout ranger dedans. J’avais tout planifié : un tiroir pour le maquillage, un pour le soin, un pour les cheveux. Ca allait me simplifier la vie. Ne trouvant pas ce que je voulais, j’ai finalement opté pour une armoire à linge Ikea. Erreur de ma part. Les tiroirs se sont effondrés sous le poids des produits. J’ai donc dû tout re-ranger ailleurs ou les mettre sur le dessus. Depuis j’entasse, j’entasse et je me dis qu’un jour ça va finir par toucher le plafond.

Et puis, il y a mon bureau. Sur lequel je ne travaille plus depuis longtemps. Lui aussi a été colonisé. D’abord tout était dans une boîte en métal, puis j’ai rangé dans des pochettes, des trousses ou des minis sacs. Et un jour il y en avait partout. A côté de l’ordi, sous l’ordi, sur l’ordi, etc.

Je n’utilise plus non plus la table de mon salon pour manger depuis longtemps. C’est devenu une table d’exposition de maquillage. En fait, c’est un peu la faute du blog car j’ai pris l’habitude d’y mettre ce que j’ai testé. Ma table basse a aussi subi le même sort, enfin juste à moitié. Je me sers d’un bout pour manger quand même. Mon moi non addict y fait de la résistance.

Et comme je fais mes manucures devant les émissions débiles à la télé, j’ai aussi envahi le meuble qui accueille mon mini poste avec les vernis que j’utilise sur le moment (ça tourne selon mes humeurs et les saisons). Quelques trucs qui traînaient sont d’ailleurs venus les rejoindre.

Enfin, j’ai installé une chaise dans le couloir à la sortie de la salle de bains avec des produits que j’utilise souvent et un sac de produits « à tester ». Ca prend de la place, ce n’est pas à un endroit idéal, mais c’est indispensable car j’ai très peu de surfaces où poser mes choses dans la salle de bains donc j’externalise.

Oui, je sais, c’est grave docteur. Et encore, je vous ai épargné les photos des autres meubles qui ont eux aussi été légèrement mis à contribution. J’ai un fauteuil à bascule sur lequel je ne me suis plus assise depuis au moins six mois car j’y range mes dossiers en cours. Et puis j’ai parsemé sur chaque meubles au minimum un ou deux produits. En fait, dès qu’il y a une surface plane, j’y pose des cosmétiques. Certains y mettent des cadres, moi des gloss ou des rouges à lèvres. Avant, je mettais des produits dans mes armoires et mes tiroirs mais comme ils étaient cachés, je finissais par les oublier. Donc petit à petit, j’ai sorti tout ce que je voulais utiliser ou tester pour le blog. Tout en me disant après qu’il ne fallait pas les remettre avec les produits neufs puisqu’ils étaient ouverts. Autant les laisser à l’air libre jusqu’à ce qu’ils soient finis. Mais quand tu utilises autant de choses, rien ne se finit jamais. Pour ma survie, il faut donc que je trouve un nouveau système. Je prends vos idées avec plaisir si vous êtes devenue une pro du rangement des produits de beauté.

J'ai un peu envie de poser THe question : trop de cosmétiques tue-t-il la cosmétique ? Mais l'addict que je suis a déjà la réponse. Noooooooooooooooooooooooooon !