lundi 30 juin 2014

Le bilan de ma cure anti-âge Time Perfection d'Imedeen


Et voilà, 6 mois ont passé depuis le début de ma cure anti-âge Imedeen. Pouf, en ce qui m’a paru un claquement de doigts, j’ai pris une demi année. Mais, pendant ce temps-là, est-ce que j’ai rajeuni ? La cure a-t-elle été efficace ? Il est désormais l’heure du bilan. Mais avant, petit rappel des faits pour replacer un peu tout ça dans son contexte. Parce que je commence à avoir l’âge de m’en soucier (« Ô rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie) et que j’ai envie de faire croire encore longtemps que je suis dans la vingtaine, j’ai trouvé intéressant de booster l’action de mes crèmes avec la prise de compléments alimentaires. Compléter ma routine beauté externe avec une routine beauté interne en somme. Pour cela, j’ai fait confiance à Imedeen, marque leader de la nutricosmétique en Europe. Lors de notre première rencontre, ma peau a eu droit à un Skinscanner : un appareil conçu par la marque et capable de détecter le vrai âge de la peau en mesurant sa densité grâce à des ultrasons. Bon, là, coup de massue. Ca commençait mal, ma peau avait 40 ans. Mais on allait voir ce qu’on allait voir. J’ai alors commencé à prendre mes gélules quotidiennement. Il existe trois gammes chez Imedeen : Derma One pour les trentenaires, Time Perfection pour les quarantenaires et Prime Renewal pour les plus de 50 ans. Vu mon âge, j’aurais normalement dû opter pour une cure DermaOne. A priori, c’est celle qui me correspondait. Mais j’ai préféré miser sur Time Perfection. Ce n’est pas ma tranche d’âge mais elle est plus riche en nutriments que la cure Derma One, elle est donc plus efficace. Il faut savoir que plus tu montes en « âge » dans les trois gammes Imedeen, plus les formules sont dosées. Ce qui est normal puisqu’à 50 ans, l’action anti-âge doit être beaucoup plus poussée qu’à 30. Il y a plus de dommages à réparer. Pour agir de façon plus large et plus profonde, Time Perfection offre donc une plus haute concentration en nutriments (tout comme Prime Renewal est plus riche que Time Perfection). Pour choisir la cure qui nous correspond, il ne faut en fait pas se baser sur notre âge réel mais plus sur les besoins de notre peau. Et ma peau à moi semblait avoir besoin d’un surplus d’efficacité. 


Et ça a marché, puisque trois mois plus tard, lors du second Skinscanner, j’ai pu constater que ma peau avait rajeuni et retrouvé sa tranche d’âge normale. Moi qui étais jaune au début, j’étais revenue dans le vert. Ouf, soulagement. Un résultat confirmé lors du dernier Skinscanner effectué i y a peu, à la fin de la cure. J’étais restée dans le vert. Bon, l’amélioration n’a pas été aussi flagrante entre le troisième et sixième mois de cure que celle constatée après les trois premiers. Après trois mois de cure, le second Skinscanner avait montré que j’étais montée en flèche dans le vert. Après 6 mois de cure, le dernier a révélé que je me suis maintenue presque au même niveau qu’après le premier trimestre, avec juste un léger mieux dans l’état de ma peau. Peut-être parce que ma peau avait déjà atteint son pic avant, et donc la possibilité d’amélioration était moindre. Car, évidemment, les résultats dépendent de chaque peau. Si on part de plus loin et avec plus de dommages à réparer, la cure va logiquement agir beaucoup plus. Comme je prends plutôt soin de mon épiderme, il y avait moins de dégâts à réparer. Ce qui est assez drôle aussi, c’est qu’on va toutes réagir différemment. On a été plusieurs à se lancer dans cette cure au long cours et aucune de nous n’a eu les mêmes résultats et au même moment. Certaines ont eu une amélioration fulgurante après 3 mois tandis que sur d’autres rien ou presque ne s’était passé. Mais elles se sont rattrapées après. Alors que moi j’atteignais un palier par exemple, ne bougeant plus trop entre le troisième mois et le sixième, elles, explosaient les plafonds. Certains organismes sont des diesels et mettent plus longtemps à démarrer. On est toutes différentes et les résultats sont différents sur toutes.


C’est ce qui m’a aussi amené à penser qu’il n’y avait pas une seule façon de se lancer dans une cure anti-âge Imedeen. Là, nous avons suivi la cure pendant 6 mois. Et je pense que ce protocole est le bon dans certains cas. La nutricosmétique pour être vraiment active nécessitant parfois ces 6 mois. D’ailleurs, la marque nous avait prévenu que pour voir les premiers résultats sur le visage, il faudrait attendre. Si vous avez vraiment maltraité votre peau en l’exposant trop au soleil, en ne prenant pas bien soin d’elle, en fumant, en ne la protégeant pas contre la pollution… En bref, si vous avez pris un coup de vieux et que vous voulez retrouver une seconde jeunesse pour votre peau, je pense que ces six mois seront nécessaires. Dans mon cas, celui d’une femme qui prend soin de sa peau, utilise au quotidien des crèmes avec des anti-oxydants pour lutter contre les radicaux libres, applique des produits avec SPF même en ville dès que le soleil tape et donc qui ne fait pas son âge (je ne me flatte pas, je constate), je pense que 3 ou 4 mois peuvent être suffisants. Il y a moins de dégâts à réparer, il me semble logique que la cure soit efficace en moins de temps. Cela expliquerait d’ailleurs la stagnation entre les 3ème et 6ème mois, le travail était déjà terminé. En revanche, je déconseillerais des cures plus courtes, je ne crois pas que cela serait efficace et qu’on verrait des effets visibles, en tout cas sur le visage.

1er SkinScanner
2ème SkinScanner
3ème SkinScanner

Evidemment, si on veut lutter de façon consciencieuse contre le vieillissement, on peut aussi prendre Imedeen de façon continue. Mais j’avoue que j’en serais incapable d’un point de vue logistique. Je me lasserais ou je finirais par oublier de prendre mes gélules tous les jours. Quoique, depuis que ma cure est terminée, chaque soir, je me dis que j’oublie quelque chose. Comme quoi, c’était tout de même devenu un automatisme. Même comme ça, je suis plus une fille qui a du mal à s’engager et qui préfère les cures ponctuelles. Je crois que ma formule préférée, c’est de commencer par une cure de six mois en starter pour remettre la peau sur de bons rails, puis profiter des bénéfices de la cure et quand je constate que ma peau recommence à faire la tête repartir sur 3 mois pour remettre de nouveau les compteurs à zéro. Ainsi, je pense m’y remettre l’hiver prochain. Car si, forcément, je ne peux pas constater concrètement les effets anti-âge de ma cure Time Perfection (puisque sur moi cette action est préventive, il n’y a pas un rajeunissement visible), j’ai tout de même remarqué que j’avais meilleure mine, un teint plus uniforme. Or le teint brouillé, c’est un peu moins gros défaut, surtout en hiver. Je me dis que je m’y remettrais donc en temps voulu pour éviter d’afficher de nouveau grise mine.

1er SkinScanner
2ème SkinScanner
3ème SkinScanner



















Tu dois tout de même te dire : « Tout cela est bien gentil, mais comment être sûre que ces améliorations viennent de la cure ? ». Evidemment, les effets des compléments alimentaires Imedeen ont été prouvés par des études chiffrées. Il n’y a pas uniquement ce que j’ai ressenti et constaté, il y a aussi des données scientifiques issues de tests in vitro ou in vivo (en laboratoires ou sur des personnes volontaires). Un essai clinique a ainsi été réalisé aux Etats-Unis pendant 12 semaines sur des femmes pour mesurer les effets bénéfiques de la cure Time Perfection. Certaines prenaient les vrais compléments alimentaires de la marque, d’autres un placebo. Cette étude a conclu que les gélules Imedeen avaient aidé à améliorer l’aspect et l’état de la peau : les rides et ridules étaient moins visibles (un point que moi je n’ai pas pu juger puisque je n’en ai pas encore), la peau du visage et du corps était plus douce, plus souple et mieux hydratée, le grain de peau s’était amélioré et les fibres de collagène et d’élastine avaient été protégées des méfaits des UV. Des effets positifs que l’on retrouve aussi  avec les deux autres gammes de la marque.

Sur ce, je vous laisse, je vais profiter de ma nouvelle peau plus jeune… en allant l’exposer un peu au soleil, l’été étant enfin là. Mais je peux me le permettre puisque désormais j’ai un bon garde du corps (ou de peau).

En partenariat avec BuzzParadise.

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dimanche 29 juin 2014

Je garde, je jette ? Le bilan beauté de juin 2014


J’y crois à peine mais il est déjà temps de dire bye bye au mois de juin. C’est moi où le temps passe de plus en plus vite ? J’ai l’impression d’avoir chaque fois un peu moins de temps pour faire tout ce que j’ai envie/dois faire. J’ai quand même trouvé une petite heure pour me poser et faire le bilan cosmétique du mois écoulé. Je n’ai pas encore totalement repris en main le blog comme je l’espérais mais restons au moins fidèle à ce rendez-vous, c’est déjà un début.


Pour ce mois de juin, on compte une nouvelle fois 7 morts au combat. Merci les produits d’hygiène. Mais ô joie, parmi ces victimes, il y a aussi du maquillage. C’est là que tu voies que tu es une cause perdue pour l’humanité, quand tu commences à sauter de joie tout en applaudissant des deux mais au moment où tu termines un produit de maquillage. La beauty addict que je suis en cumule tellement qu’il est rare d’en voir le fond. Alors quand je viens à bout de l’un d’eux, c’est limite si je ne fais pas péter le champagne. Surtout que dernièrement, j’en ai fini plusieurs. Youhou. Mais revenons à nos moutons. Ces 7 produits terminés, je les garde ou je les jette ? Ou plutôt, je rachète ou non ? 


BB Cream Age Defense SPF 30, Clinique
OUI
Tu sais que si je n’ai pas du tout adhéré au phénomène BB Creams, quelques-unes ont quand même réussi à se faire une place dans ma salle de bains. Et parmi elles, la BB Cream de Clinique. Si j’aime aussi beaucoup celle d’Erborian, je ne l’ai jamais utilisée seule (je la mélange en général à mon fond de teint pour une meilleure couvrance ou je m’en sers de base). En revanche, la Clinique a su se suffire à elle-même. Mieux, l’été, quand mon teint fait un peu moins peur, elle a su s’imposer et remplacer mon sacro-saint fond de teint (ce qui vu mon addiction au fond de teint en dit beaucoup sur mon appréciation du produit). Moyennement couvrante, elle est parfaite quand tu n’as pas trop d’imperfections (moi en été donc, pas en hiver). Elle unifie bien le teint et atténue les petits défauts de la peau. Et puis, pour moi, c’est une vraie BB Cream, pas une simple crème teintée rebaptisée pour le marketing. Et ça, face à la déferlante de l’alphabet beauté depuis deux ans, c’est un plus. 


Eau Coiffante Pure, Timotei
OUI
Dès que le soleil est de retour et que mes cheveux peuvent sécher à l’air libre, je laisse tomber mes appareils coiffants chouchous pour laisser boucler ma chevelure naturellement. Certes j’aime mon fer à boucler et mon lisseur, mais quelle liberté d’avoir une jolie crinière sans avoir à passer plus d’une demi-heure à la coiffer. Le hic, c’est que pour que mes ondulations soient belles, je dois les fixer. Car je suis dans un entre-deux : je ne suis pas une vraie bouclée et pas une lisse non plus. J’ai une tendance à onduler mais je ne peux laisser ma chevelure vraiment au naturel. Il me faut un peu d’aide sinon mes cheveux ne ressemblent à rien. Et trouver le bon coiffant qui définisse de jolies ondulations sur mes cheveux (et ne les laisse pas se transformer en une touffe frisottante), le tout sans les cartonner, n’est pas si simple. Cette eau, elle, faisait parfaitement le job. Elle m’a accompagnée l’été dernier, je l’ai retrouvée avec plaisir à Cuba et elle a continué à parfaitement me coiffer quand le beau temps est revenu à Paris. En revanche, depuis que je l’ai terminée, je galère un peu pour trouver un coiffant qui me fasse aussi des jolies boucles. Pas simple je te dis.


Gommage Corporel Lissant Deadsea Plants, Ahava
OUI
J’ai beaucoup aimé ce gommage. C’est un exfoliant comme je les aime avec de gros grains qui gomment bien la peau sans être trop agressifs. Sous la douche, je les sentais bien. Même avec l’eau qui coulait, ils restaient assez accrochés/collés (sûrement grâce à la texture gelée) pour que j’ai le temps de bien gommer ma peau. Mais une fois le travail accompli, ils se rinçaient très bien. Ils glissaient touts seuls, pas besoin de frotter avec les mains pour me débarrasser des grains. La parfaite combinaison en somme. Bon, je n’étais pas forcément hyper fan de son parfum mais ce n’est pas grave, du tout, car il était discret et surtout ne restait pas sur la peau.


Savon Le Naturel Extra Pur de Marseille Huile d’Olive
OUI
J’aime beaucoup la version originale, celle qui sent le savon de Marseille, de ce pousse-mousse dont je me sers comme savon pour les mains. Vous l’avez d’ailleurs déjà vu passer deux fois par ici. A priori, j’avais pourtant de gros doutes sur cette version là. J’avais peur que ça ne sente l’Huile d’Olive. Ca ne me dérange pas pour l’huile démaquillante DHC par exemple mais pour un savon pour les mains en revanche, ce n’est pas la même histoire. Je ne sais pas si ça vous le fait aussi, mais mes mains s’imprègnent vraiment beaucoup de l’odeur du savon que j’utilise (ce qui n’est pas du tout le cas avec ma peau et le gel douche). Or j’ai souvent les mains sous le nez. Ce qui fait que quand elles sentent un parfum que je n’aime pas, ça m’incommode vraiment. Petite crainte donc pour celui-ci, car je ne me voyais pas sentir la salade des mains (oui, pour moi l’huile d’olive m’évoque la salade). Mais en fait, ce savon sent très bon. L’odeur d’olive est vraiment très légère, presque imperceptible. Ca sent juste le savon de Marseille, le propre quoi. Je valide donc totalement.


Baume de Soin Après-Shampooing Color Protect, Pantene
OUI
Je crois que je le répète à chaque fois que j’en termine un mais les après-shampooings Pantene sont vraiment mes préférés. Ils démêlent parfaitement sans que j’ai à m’arracher les cheveux et comme vous le savez le démêlage est le critère principal (primordial même) sur lequel je juge un après-shampooing vu que mes cheveux font des noeuds de malade. Protège-t-il la couleur ? Franchement je ne sais pas. J’avoue que pour la grande majorité de son utilisation, je n’avais pas vraiment les cheveux colorés donc il n’y avait rien à protéger. Juste à démêler.


Mousse Nettoyante Douce, Fleurance Nature
OUI
C’est une bonne mousse nettoyante, rien à redire. Après, j’avoue que pour les nettoyants visage, j’ai tendance à tous bien les aimer car à part ceux qui sont trop décapants, ils font tous bien le job. Le petit plus de cette mousse tout de même, c’est que c’est du bio qui ne sent pas le bio. Je ne suis pas une grande fan de bio parce que ça sent souvent les plantes et je déteste le odeurs vertes. Oui, je n’aime pas quand ça sent la nature (je suis une citadine jusque dans ma sensibilité olfactive). J’ai donc été agréablement surprise de découvrir le parfum très discret de cette mousse. A noter toutefois, elle sentait un peu plus fort vers la fin. Je me suis demandée d’ailleurs si elle n’avait pas tournée. Comme j’ai pas mal voyagé, je l’ai utilisée de manière intermittente (ce n’est pas elle que j’emmenais en voyage), j’ai donc mis beaucoup plus longtemps à la finir. Plus de 6 mois.


Chuchotement du temps, Doux Me
OUI

Encore du bio qui ne fait pas bio et ça je dis oui. Un joli packaging girly, un parfum agréable pas du tout vert : on est ici dans le bio plaisir. C’est bien d’avoir du bio un peu différent, moins « moralisateur », plus « fun ». C’est ce qui a fait que moi qui ne suis pas du tout bio, j’ai tout de même eu envie de tester cette crème (alors qu’en général, je refile tout de suite tous mes soins bio aux copines qui sont à fond dedans). Après, pour être honnête, je reste une fervente fidèle du chimique. Je ne me suis pas convertie au bio et je suis retournée avec plaisir vers des soins moins verts. Ca reste ce que je préfère. Pour plusieurs raisons. Déjà, même si les marques font de gros efforts côté galénique, on n’a pas forcément des textures aussi agréables dans le bio. Côté stabilité de la formule, ce n’est pas toujours ça non plus. Comme avec la mousse, je me suis ainsi demandée si vers la fin, la crème n’avait pas tournée. Elle ne s’appliquait plus aussi facilement qu’au début, ça faisait des petites traces blanches qu’il fallait bien masser pour faire pénétrer. Après, comme la mousse, j’ai mis très longtemps à la finir à cause d’une utilisation pas régulière, plus de 6 mois aussi. Ca a peut-être joué. Plus généralement, vu mon beauty addictisme, je mets souvent très longtemps à finir mes cosmétiques. C’est une des raisons pour lesquelles le bio n’est pas pour moi. J’ai besoin de produits qui tiennent la route très longtemps. Et puis surtout, je ne serais jamais une bio addict car je refuse de me priver de certains actifs « chimiques » issus de la recherche scientifique. C’est peut-être bête mais je pense les crèmes classiques plus efficaces (notamment pour lutter contre le vieillissement cutané). Mais c’est une autre histoire, beaucoup plus vaste que cette simple crème. Alors revenons à cette crème justement, débat mis à part. Elle a bien des atouts et saura séduire les bio addicts et les autres.

Et voilà pour ce bilan cosmétique de juin, 100 % positif. Ca faisait longtemps que ça n’était pas arrivé. On se retrouve fin juillet pour le nouveau bilan du mois écoulé.
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jeudi 26 juin 2014

La BB Cream solaire SPF50 de Vichy : c’est de la bombe cette BB


En mars dernier, avant mon départ pour Cuba en mars, j’ai réfléchi longtemps à quels solaires je devais emporter avec moi. Tu me connais, la protection contre les UV c’est un sujet très important pour moi. Je ne prends donc pas le choix de mes solaires à la légère. Ils doivent répondre à plusieurs critères. Qui changent évidemment selon la période de l’année et la destination. Le critère principal évidemment est celui de l’indice SPF. Je suis habituée à partir au soleil : en France mais surtout en Espagne et au Portugal. Des pays où il fait souvent très chaud en été et où le soleil tape bien. Pour ces destinations, pour le visage, j’ai toujours pris du 30. C’est suffisant pour ma peau claire mais tout de même habituée au soleil (je suis très blanche mais je n’ai pas la peau sensible ou intolérante au soleil, j’ai une peau paradoxale). Un SPF 30 me permet de protéger ma peau des méchants UV qui font vieillir et des coups de soleil tout en hâlant tout de même légèrement (mais pas trop quand même, c’est moche). 


M’enfin l’Espagne et le Portugal c’est une chose, Cuba c’en est une autre. Même si les températures de Cuba en mars étaient finalement les mêmes que celles qu’on peut avoir dans le sud de l’Europe en été, c’est un pays tropical. Plus près des tropiques, ça voulait dire pour que pour une même température, les UV étaient plus forts et donc plus nocifs. Ce n’est en effet pas la chaleur en soi qui compte pour juger l’agressivité des UV mais la latitude et l’heure de la journée (oui, tu peux te prendre un coup de soleil par temps nuageux). Au final, comme ma peau était en plus en mode hiver, n’ayant pas vu un seul rayon de soleil depuis des mois (ça compte aussi dans le choix de l’indice de protection), je me suis dit qu’il serait plus prudent de prendre une crème solaire visage SPF 50, quitte à bronzer un peu moins. Mon deuxième critère après le SPF était un peu plus superficiel. Après un long travail sur moi-même, j’arrive désormais à aller à la plage visage nu, sans avoir travaillé mon teint. Mais là, je savais que je voulais être maquillée. Parce qu’on allait  faire du tourisme en ville, du moins les 10 premiers jours. Et moi, en ville, si je sors, je sors maquillée (oui, j’ai encore du travail sur moi à faire). Et puis surtout, vu qu’on était en plein hiver, j’avais non seulement le teint blafard mais la mine grise. Alors, j’avoue, je ne me voyais pas me balader face nue. Mais pas non plus appliquer du fond de teint sur ma protection solaire, puis réappliquer de la protection par-dessus en cours de journée. Trop cracra.

Finalement, la solution BB Cream solaire s’est imposée. J’ai opté pour Emulsion Toucher Sec Teintée BB Capital Soleil de Vichy. Ce n’est pas la première du genre, L’Oréal Paris en a fait une l’année dernière. Mais c’était une nouveauté, je l’avais dans mes tiroirs et elle avait le bon SPF : on était déjà bien parti. Le seul hic finalement, c’est qu’elle n’existe qu’en une seule teinte. Et en général, quand il n’y a qu’une seule teinte, pour les peaux blanches comme la mienne, elle est souvent foncée. Eh bien, pas là. Pour être sûre qu’elle convienne, je l’ai essayée avant de partir et la teinte est parfaite. Ni une, ni deux, je l’ai donc glissée dans ma valise. Et je ne l’ai pas regretté. J’adore cette BB Solaire, elle est vraiment top. Moi qui à la base ne suis pas fan des BB Creams en général, je suis totalement emballée par celle-ci. Je la trouve même mieux que toutes les BB testées. Et mieux aussi que la plupart des solaires visage testés jusqu’ici. En fait, c’est un produit hybride deux en un, à la fois protecteur solaire et maquillage et je trouve qu’il excelle dans ces deux actions. Et ça, ça a le mérite d’être signalé.


Côté protection solaire, elle a été impeccable. Alors que je me suis pris pas mal de coups de soleil sur le corps lors de mon séjour à Cuba, rien à signaler sur le visage. Il a été parfaitement protégé. Alors certes, c’est un produit de maquillage mais on n’oublie pas que c’est aussi un solaire. Donc comme tout solaire, on en réapplique durant la journée. Moi, j’en mettais le matin puis à midi puis souvent encore dans l’après-midi. En plus, par la même occasion tu fais une retouche make-up, le maquillage ayant tendance à s’évaporer un peu à cause de la chaleur et de la transpiration (oui, je transpire du visage). Là, tu dois te dire, qu’à force d’accumuler les couches, tu dois être bien grasse et pas belle à voir à la fin de la journée. Eh bien non, car Vichy a développé un toucher sec. Contrairement à mes crèmes solaires visage classique, celle-ci ne laisse pas un fini gras sur la peau, c’est super agréable. Et ça permet de cumuler les couches sans effet cata. Il faut juste bien démaquiller le soir. Mais au moins, comme ça, tu es sûre de bien te débarrasser des filtres solaires, tu ne zappes pas le nettoyage. L’important, surtout, c’est que tu es bien protégée et pas grasse, et ça, moi je dis oui tout de suite.

Mais ce n’est pas tout : le résultat maquillage est lui aussi top. Cette BB unifie super bien le teint, qui est tout de suite plus beau après. J’ai toujours reproché aux BB Creams de ne pas être assez couvrante. Contrairement à ce que leur texture épaisse laisse croire (et contrairement à ce que disent les claims marketings), elles ne camouflent pas du tout les imperfections. Elles les corrigent un petit peu à la limite mais tu continues à les voir tout autant après. Donc quand tu as pas mal de boutons ou des cicatrices (comme moi), finalement ton teint est toujours aussi moche après. Je l’ai souvent dit : parce qu’on continue à voir la peau en transparence, les BB c’est avant tout pour les teints déjà parfaits. Alors ça a été une très bonne surprise de découvrir que cette nouveauté avait un pouvoir couvrant supérieur à mes BB Creams chouchoutes. On voit toujours un peu les imperfections, mais elles sont bien atténuées. Et le résultat maquillage est tout à fait naturel, je trouve. Le petit plus : grâce au toucher sec de cette crème solaire, on a un fini poudré. Les peaux grasses apprécieront car on a donc une action matifiante. Même moi, j’apprécie car si je n’ai pas la peau grasse, avec la chaleur, j’ai tendance à bien luire. Et là, je brille moins.


Bref, je suis totalement conquise et je ne peux que vous la recommander si vous cherchez un bon produit solaire pour l’été et que vous ne voulez pas renoncer à votre maquillage. Deux bémols tout de même : cette BB Solaire n’existe que dans une seule teinte, qui est donc parfaite pour moi, ce qui est assez rare. Mais le sera-t-elle pour toutes ? Même si elle est dite universelle, je doute qu’elle aille à toutes les carnations, surtout jes plus foncées. Je pense que c’est plus un produit pour les peaux claires et médium. Après, j’aimerais aussi qu’elle existe en version SPF 30. Car c’est vrai, le 50 était parfait pour Cuba mais pour Paris ou pour l’Europe du Sud, pour moi, c’est trop. Je comprends toutefois l’intérêt d’un SPF50. Comme on a tendance à mettre moins de crème solaire qu’on ne le devrait, en quantité d’abord mais on en réapplique aussi pas assez régulièrement durant la journée, un SPF50 permet d’être protégée plus longtemps, d’être (à peu près) tranquille par exemple quand tu déjeunes en terrasse si t’en mets le matin. Mais je milite tout de même pour un SPF 30. Et ça m’a donné envie d’explorer les BB Creams classiques de Vichy. Si elles sont aussi bien, j’ai peut-être mon prochain produit pour le teint.

Je terminerai juste par un petit point application, car certaines trouvent les BB Creams un peu compliquées à poser. Personnellement, je trouve que la BB de Vichy est super facile à appliquer. La texture est un peu épaisse mais ça ne me dérange pas, je trouve ça mieux, je me pense ainsi mieux protégée. Pour l’application en soi, je ne la pose pas comme une crème mais plus comme un fond de teint, en tenant compte du fait que ce soit une BB et un solaire. Et je l’applique évidemment après ma crème de jour. Alors déjà premier point : on ne chauffe pas le produit entre ses mains avant de l’appliquer comme avec un fond de teint, jamais pour une BB qui doit s’appliquer directement sur la peau. Moi je mets une goutte de produit sur le nez, les joues, le front et le menton puis j’étire. On étire bien pour que la couleur se fonde bien à celle de notre peau mais on ne cherche pas à faire trop pénétrer le produit. On se rappelle que contrairement aux crèmes, les solaires ne doivent pas pénétrer la peau puisque les filtres doivent rester en surface pour faire barrière et nous protéger. Alors parce que je suis très pointilleuse sur le travail du teint, j’étire souvent une deuxième couche puis je tapote ensuite du produit sur les imperfections pour mieux les camoufler. Et évidemment, je ne poudre pas, pas besoin puisqu’on a déjà un fini velouté. Et voilà. Bon, ça a l’air un peu compliqué décrit comme ça, mais moi je trouve ça hyper simple et intuitif. C’est même ma texture de BB préférée jusqu’ici.

Vous l’aurez compris, cette Emulsion Toucher Sec Teintée BB Capital Soleil de Vichy est mon gros coup de cœur du moment, coup de cœur maquillage et soin. Pour le prix, elle tourne autour de 15/17 €, ce qui reste raisonnable pour un solaire.
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lundi 23 juin 2014

Blanche-Neige, sa robe de princesse et son prince Jean-Charle de Castelbajac


Celles qui suivent mon blog depuis longtemps se souviennent peut-être de mon amour pour Jean-Charles de Castelbajac et ses créations (d’ailleurs cet article aurait très bien pu s’appeler La Beauty Paresseuse loves Castelbajac). Je parlais souvent de mon addiction pour ses vêtements au début, un peu moins ces derniers temps. Pourtant, je lui suis toujours aussi fidèle. D’ailleurs, j’adore que quand on cherche à me décrire, l’un des premiers qualificatifs qui viennent à l’esprit des gens, après le fard à paupière bleu, c’est que je suis celle qui porte des robes Donald (ou plus largement du JCDC). Oui, je suis la fille aux jupes Mickey, aux robes nuage ou aux pulls Bambi. On peut dire que c’est une de mes signatures et j’en suis fière. Entre Castelbajac et moi, ça a été un véritable coup de foudre. C’était en 2007 et c’était le premier défilé de mode auquel j’assistais. Et là, j’ai été totalement séduite. Gros gros coup de cœur. Qui n’a fait que se confirmer au show suivant. Je me rappelle encore d’une robe Blondie sur laquelle j’avais craqué et que je voulais absolument. Mais que je n’ai jamais réussi à trouver. Et puis il y avait cette robe d’un superbe bleu orné d’un nuage et d’une colombe. Qui elle a rejoint mon dressing et qui reste l’achat mode le plus cher que je n’ai jamais fait. Je l’ai portée une fois (et elle a fait son petit effet) mais ayant trop peur de l’abîmer en la passant à la machine ou en la faisant nettoyer dans un mauvais pressing, je ne l’ai plus jamais remise. Depuis, elle est exposée dans ma chambre, comme de l’art. 


J’ai aussi de nombreux vêtements que je n’ai jamais portés. Parce que si j’aime la mode de Jean-Charles de Castelbajac, elle est tout de même très marquée, très forte, on peut presque dire très excentrique. Même moi, je n’aime pas tout ce que le créateur fait. Parfois, devant certaines pièces, je prends aussi peur. Et si j’ai de temps en temps adhéré au concept du vêtement au point de l’acheter, je n’ai parfois jamais osé le porter. Je voulais juste une pièce, un souvenir d’une collection particulière. Cette fidélité, je pense que c’est aussi parce que j’ai eu la chance de rencontrer l’homme, à plusieurs reprises, et qu’il m’a autant séduite que sa mode : drôle, sympathique, généreux, accessible, qui ne te regarde pas de haut. On pourrait penser qu’à l’image de nombreux créateurs stars, il vit sur une autre planète et méprise le commun des mortels. Mais pas du tout. D’ailleurs, je trouve que cette bienveillance se voit, se sent, même quand on ne l’a pas rencontré mais qu’on n’en a que l’image que les médias transmettent. Et puis cette vie aussi ! Je suis aussi très admirative de ce parcours assez fascinant. Bref, terminons ce qui est devenu une petite lettre d’amour à Monsieur et concentrons-nous sur l’une de ses créations.


En octobre dernier, à l’occasion des ventes privées, j’ai fait une véritable razzia et ai largement agrandi ma collection (déjà pléthorique). J’ai notamment fait main basse sur une robe Banche-Neige que j’avais repérée il y a quelques saisons mais que je n’avais jamais trouvée en magasin à l’époque. Forcément, quand je l’ai vue, je n’ai pas hésité un instant. Il me la fallait. Note tout de même l’esprit de contradiction féminin : je l’ai shoppée sans y repenser à deux fois. Mais, à ce moment-là, j’avais tout de même des doutes sur le fait de la porter un jour. Je la voulais absolument mais c’est une pièce tellement particulière que je n’étais pas sûre d’assumer. Il y a quelques années, j’y serais allée sans problème. Là, je me disais que je n’avais peut-être plus l’âge pour m’afficher dans des vêtements de princesse de contes de fée. Alors que j’adore Blanche-Neige (oui, j’assume). Mais étais-je pour autant prête à l’afficher sur moi. En fait, ce n’est pas de porter la robe que je n’assumais pas mais plutôt le potentiel regard des gens. Je trouve qu’à Paris on est pas mal jugé/critiqué sur nos vêtements et on est un peu moins libre de ce que l’on porte que dans d’autres villes du monde. Mieux vaut ne pas sortir des clous côté vestimentaire sinon attention aux regards de travers. D’ailleurs, je l’avoue, j’ai moi aussi parfois regardé d’un mauvais œil des gens que je trouvais habillés bizarrement. Le conditionnement…


Tout de même pas prête à faire une croix sur cette jolie création, j’ai trouvé la parfaite occasion pour la porter. Je l’ai glissé dans ma valise pour mon week-end à Londres mi mai. S’il y a bien une ville où tu peux porter ce que tu veux, c’est Londres. J’avoue qu’il m’est arrivé de tourner de l’œil en voyant le mauvais goût de certaines tenues des Anglaises. Mais j’admirais en même temps leur liberté. Et au milieu de leurs excentricités, je savais que je passerais totalement inaperçue avec ma robe Blanche-Neige. Ca a été le cas. Et la porter m’a fait comprendre que je l’aimais vraiment beaucoup en fait. Je ne regrette pas une seconde de l’avoir achetée, elle est trop belle. Et je le trouve encore plus jolie portée. Même si je conçois qu’elle ne plaise pas forcément à tout le monde. Je pense que la plupart des gens la trouveront too much. Comme la plupart des créations Jean-Charles de Castelbajac, elle a tellement de caractère qu’elle ne peut faire l’unanimité. Mais moi j’aime tout.


J’aime sa coupe qui épouse les formes sans être trop moulante (alors que je craignais qu'elle ne soit justement trop large). Et si j’avais aussi peur que l’association de cinq couleurs différentes sur une même pièce, soient un peu too much, en fait non, c’est parfait. Je dis aussi oui aux manches en sequins rouges et jaunes, aux sequins noirs pour représenter le nez, le sourcil et l’œil et même le gros strass en guise de pupille. Je pense que si ça marche aussi bien c’est peut-être parce que le visage de Blanche-Neige n’est représenté qu’à moitié. Ma sœur n’avait même pas reconnu le personnage, c’est pour dire. En fait, ça rend le tout un peu abstrait, moins enfantin aussi. Bon, moi, je trouve qu’on la reconnaît quand même bien mais la robe est tout de même plus facile à assumer ainsi. En plus, elle est complètement noire dans le dos, donc elle n'en rajoute pas dans l'excentricité. Côté tissu, c'est satiné donc un peu brillant. Ma soeur n'aime pas trop, moi je trouve que ça fait plus chic. A noter, j’ai un peu modifié les couleurs sur certaines photos pour les booster un peu, elles sont donc un peu plus flashy qu’en réalité, mais comme on était en contre-jour sinon on ne voyait pas grand-chose. Bref, après l’avoir portée une fois, je valide et je la remettrais sans problème à Paris. Mais pas forcément de la même façon.


Ce jour-là, il faisait un temps bizarre : ensoleillé mais à moitié pluvieux. Un temps londonien en somme. Je n’ai donc pas osé sortir jambes nues et avec des chaussures d’été. Alors que justement la robe fonctionne très bien avec des ballerines ou des petites sandales (avec du plat en tout cas, j’ai plus de doutes sur le fait de la porter avec des talons). Mais puisqu’on avait une longue journée devant nous, j’ai eu peur d’avoir froid si j’optais pour une tenue trop estivale. J’ai donc préféré enfiler un collant noir (la robe est déjà excentrique, pas besoin d’en rajouter avec un collant de couleur) et des bottes de motardes. Oui, les bottes, ce n’est pas forcément la meilleure combinaison pour aller avec cette robe. Mais en même temps, je trouve que ça marche bien, ça donne un style. Le côté motarde vient casser le côté conte de fée. Avec des bottes cloutées, on évite le premier degré de la robe de princesse et finalement j’aime bien cette petite touche rock’n’roll. Et puis surtout j’adore ces bottes, des Steve Madden. C’est une marque que j’ai découverte à New York (je crois qu’elle n’est malheureusement pas vendue en France). Mais celles-ci, je les ai achetées sur un site anglais, Dune London (top d’ailleurs, avec une livraison à l’international à seulement 4 € et un retour gratuit si ça ne va pas). Je n’aime pas trop acheter sur internet, encore moins des chaussures, j’ai toujours peur que ça n’aille pas. Mais là, je ne regrette absolument pas. D’ailleurs, si vous êtes une shoes addict, je vous conseille les boutiques Steve Madden si vous passez à New York et ceux de Dune London si vous allez à Londres.


Et moi, j’ai choisi la bonne option en enfilant des bottes. Car si en milieu de journée, il a effectivement fait assez chaud pour que je me promène bras nu, dès que le soleil est tombé, j’ai tout de suite remis mon manteau. Une petite veste noire H&M en laine avec une coupe perfecto qui a été une de mes pièces fétiches ces derniers temps (c’est juste dommage, elle bouloche un peu, il faudrait que je la rase). Je l’ai achetée en octobre dernier et ne l’avais pas mise de l’hiver car elle n’était pas assez chaude pour les basses températures. Mais je l’ai ressortie en avril et ne l’ai plus quittée jusque fin mai. Car pour la mi-saison elle est top. Avec mon grand foulard tête de mort Primark (qui revenait au pays), elle était parfaite pour me tenir chaud la nuit tombée ou les journées frisquettes (et pendant ce week-end à Londres, on en a eu quelques unes).

 Photos prises par my sister qui n'a pas encore saisi toutes les nuances de la photographie de look, mais elle apprend (on applaudit). Si ce n'est pas facile de faire sa blogueuse mode, c'est encore moins facile de s'improviser photographe de BM.
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lundi 16 juin 2014

Jolie découverte des vernis Formula X avec un nail art céleste


Il y a peu débarquait en France en exclusivité chez Sephora la marque Formula X. Un lancement qui n’est pas passé inaperçu chez les beauty addicts car la marque est arrivée tout de suite avec une quantité impressionnante de références. Ca n’a pas été un petit lancement avec une mini ligne de couleurs. Non, Formula X a directement proposé une multitude de vernis, mais alors vraiment beaucoup, et avec une diversité tout aussi impressionnante. On peut ainsi piocher dans un nombre assez infini de couleurs - des basiques, des nudes, des néons, des pastel…. Et si on a envie d’une manucure avec un petit truc en plus, la marque a aussi une offre assez pléthorique de vernis à effets avec tout plein d’effets différents : des plus ou moins grosses paillettes, du duochrome, du crystal… Bref, je ne vous fais pas la liste, mon article risquant alors de devenir un peu chiant… Mais tout ce choix, c’est un peu le 7ème ciel pour la nailista. Impossible de ne pas y trouver son bonheur. La réaction normale quand on aime beaucoup le vernis – comme moi – aurait été de se jeter sur la marque pour la découvrir. Mais il n’en a rien été. Je l’avoue, je n’avais jusqu’ici jamais testé les vernis Formula X. Pourtant, j’en avais à la maison hein. Mais je ne sais pas pourquoi (peut-être de la paresse intellectuelle, trop habituée à rester dans mes clous vernistiques), j’ai mis très longtemps à sauter le pas.


Finalement, j’ai profité d’un lancement Sephora et de la présence de manucures pro qui posaient les vernis de la marque pour enfin découvrir Formula X. Et moi qui n’ai jamais le courage de me faire une manucure un peu évoluée avec un vernis à effets à la maison (pfff, ça prend trop de temps et trop de minutie), je me suis dit que c’était non seulement l’occasion de tester les vernis classiques mais aussi ceux à effets. Il faut dire que dans la petite vingtaine de laques Formula X à disposition ce jour-là pour nous faire les ongles, c’est justement un vernis à effets qui m’a tapé dans l’œil le premier. Plus que sur les couleurs pures, j’ai flashé sur le vernis à effets Turbulent : une base transparente constellée de grosses paillettes noires et turquoises. Dans le flacon (que j’ai oublié de prendre en photo), ce mélange de turquoise et de noir était superbe, les confettis turquoises ressortaient parfaitement sur le noir. La manucure m’a alors demandée sur quel vernis de couleur je voulais le poser. J’ai un peu hésité et, comme on ne se refait pas, j’ai désigné un turquoise. Mais là, elle m’a dit qu’il valait mieux opter pour une teinte différente de celle des paillettes pour que celles-ci se voient et ressortent mieux. Elle m’a alors conseillé un blanc ou un noir. J’ai opté pour le noir Dark Matter, me disant que la manucure serait ainsi plus chic et discrète et donc plus facile à porter. 


 Bon, une fois la manucure finie, je me suis quand même dit que sa suggestion du noir en base était tout de même étrange. Elle m’a déconseillé le turquoise ou le bleu car on ne verrait pas les paillettes dessus mais vu qu’il y a aussi des paillettes noires dans cette laque Turbulent, cette réflexion s’impose aussi pour le noir. Et effectivement, au final, on ne voit pas du tout les confettis noirs, comme on aurait pu les voir sur une autre couleur comme le blanc. On les devine un peu selon les angles car ça fait un peu 3D mais il faut être hyper attentive et limite s’y prendre avec une loupe. Mais paradoxalement, je ne regrette pas du tout sa proposition ni d’avoir choisi cette couleur. La manucure m’a suggéré le noir en base aussi parce que cette couleur rendait très bien avec ce vernis à effet particulier. Et elle avait totalement raison. Certes on ne voit pas les confettis noirs mais le résultat n’en est pas moins superbe avec juste les paillettes turquoises, limite encore plus beau que s’il y avait eu deux teintes de paillettes différentes. Ca fait plus chic je trouve. En tout cas, je suis absolument fan. J’adore. En plus, comme elle a été faite par une pro, la manucure est parfaitement réussie. Les contours sont bien définis et arrondis, ce que j’ai du mal à faire avec mes mains tremblantes.


Au final, je pense effectivement que la combinaison avec le vernis noir Dark Matter en base + vernis à effet Turbulent est le meilleur choix. C’est original mais ça reste élégant et tout à fait portable au quotidien. C’est d’ailleurs pour cela que je me suis permis de les associer sur tous les ongles et pas uniquement en accent nail. Je trouve qu’il y a un petit côté voûte céleste, ciel nocturne étoilé, voie lactée qui me plait beaucoup. Vous l’aurez compris, j’aime. Si on a envie d’un peu plus d’originalité (et de profiter des paillettes noires), le résultat est aussi sympa sur du blanc. Si vous tapez Formula X et Turbulent dans Google Images vous pouvez ainsi voir une jolie manucure avec ce vernis sur du blanc. En revanche, seul ou sur d’autres couleurs je ne suis pas très fan. Bon sur du bleu, du turquoise ou du teal, ça reste sympa mais sur du rouge ou du rose, là, je trouve ça bof bof. Les couleurs ne vont pas ensemble.


Une manucure totalement réussie donc ? A voir. La qualité a-t-elle été au rendez-vous ? Eh bien, oui. Je ne porterais pas de jugement sur l’ensemble des vernis Formula X, n’en ayant pas testés assez, mais ces deux-là m’ont vraiment étonnés. Je ne me prononcerais pas sur la facilité de la pose puisque ce n’est pas moi qui m’y suis collée mais à noter tout de même, la manucure n’a appliqué qu’une couche du noir Dark Matter et le résultat semble parfait en terme de pigmentation et d’opacité. Elle a ensuite posé les paillettes avec le bout du pinceau petit à petit pour qu’elles soient bien réparties. Elle n’a ensuite pas appliqué de top coat, Turbulent faisant déjà office de top coat. Elle m’a tout de même conseillé d’en poser deux jours plus tard puis encore deux jours après et ainsi de suite pour prolonger la durée de la manucure. Ce que je n’ai pas fait. Et pourtant, ce duo de choc a parfaitement tenu 6 jours. Ces photos ont d’ailleurs été prises vers la fin et comme vous pouvez le constater les vernis sont intacts. A vrai dire, la manucure aurait peut-être pu tenir plus. Mais le problème, c’est qu’on me l’a posée sur ce que moi je considère être des ongles déjà longs (en gros avec environ 5/7 jours de repousse). Or vous le savez, je déteste avoir les ongles longs. Je trouve ça moche (sur moi en tout cas), pas hygiénique, handicapant et en plus ça me fait mal. Au final, ça me stresse tellement que je finis par les ronger, oui, même à travers le vernis. Et c’est ce qui est arrivé ici. Au bout de 10 jours de pousse, alors que la manucure n’avait encore que 4 jours, j’ai commencé à grignoter mes ongles. Même comme ça le vernis a tenu. Mais au bout de deux semaines, je ne supportais plus mes ongles alors j’ai tout mangé, le vernis avec. Forcément, la manucure n’a pas survécu. Je suis une phobique des ongles longs, c’est comme ça, impossible de me réfréner.


Après, 6 jours de tenue, c’est déjà exceptionnel je trouve. Avec le potentiel en plus de tenir plus longtemps. Bon, j’ai l’impression que quand on pose des paillettes sur une couleur, la manucure dure plus longtemps (vous avez remarqué ça aussi ou je me fais des films ?). Concernant la dépose, je pensais que j’allais m’arracher les cheveux pour ôter ces très gros confettis. Eh bien même pas. Ca m’a pris plus de temps que d’habitude mais c’est resté très raisonnable par rapport aux autres vernis à effets testés jusqu’ici. Pas besoin non plus de faire des papillotes. Au final, cette première expérience réussie m’a donné envie d’explorer un peu plus les vernis de la marque Formula X pour voir s’ils tiennent toutes leurs promesses. La couleur appliquée seule tiendra-t-elle aussi longtemps ? Sera-t-elle facile à poser ? Les autres vernis à effets sont-ils aussi sympas ? Et vous, vous avez déjà testé la marque ? Vous en pensez quoi ?

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lundi 9 juin 2014

Et sinon La Beauty Paresseuse est désormais sur Twitter : les miracles arrivent

Cela fait plusieurs semaines (mois ?) que je n'ai plus été fidèle à notre rendez-vous hebdomadaire du résumé de la semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram. Non pas que j'ai abandonné les réseaux sociaux, non, non. Juste la vie 1.0, c'est-à-dire la vraie vie, m'a pas mal occupée ces derniers temps. Au point d'avoir un peu (beaucoup) moins de temps pour le blog. Comme vous avez pu le constater. Et à chaque fois que je pense enfin pouvoir souffler et donc revenir, pouf, je me noies de nouveau sous la tonne de chose à faire... ou je repars en voyage. Et je l'avoue, j'ai aussi un peu abandonné le blog pour diverses autres raisons, dont je crois je vais finir par vous parler ici. Mais je n'ai pas totalement disparu, je reste fidèle à Instagram. C'est une façon de rester connectée avec vous et de partager aussi ce que je vis... que ce soit des moments beauté ou autre (dernièrement ça a été plus des photos de mes escapades). Donc si je manque un peu par ici parfois, vous pouvez toujours me trouver par là-bas.


Et désormais aussi sur Twitter. Oui, je m'étais jurée de ne jamais m'inscrire. Ce média n'était pas fait pour moi et je ne voulais pas me lancer dans quelque chose qui me consume encore du temps. Malgré la pression des copines (qui me tannent depuis plus de deux ans), je résistais. Et puis finalement, après une journée à papoter avec Mme Beauté et So, qui m'ont répété encore et encore que si j'étais sur Twitter, on pourrait continuer à papoter même si on n'était plus dans la même ville/arrondissement, j'ai cédé. Mais bon, je ne sais pas si ça va marcher. Une bavarde comme moi réussir à réduire sa pensée en 140 caractères, c'est pas gagné. Même mon pseudo était trop long, c'est pour dire ! Je suis trop big pour Twitter et me voilà donc @BeParesseuse. Enfin, on verra ce que ça donne.


Pour l'instant, je n'ai pas encore décidé si j'avais pris la bonne décision ou pas. Après qu'on m'ait spoilé Game of Thrones la semaine dernière (et ainsi gâché mon plaisir), j'ai failli me désinscrire tout de suite. Mais alors il faudrait que je me désinscrive aussi de Facebook parce que mes amis "réels" sont limite pire. Je suis d'ailleurs à deux doigts d'en virer certains qui ne savent pas tenir leur langue de mon compte. Mais passons sinon je vais m'énerver. Bref, c'est encore le début et je tâtonne. Ce n'est pas de sitôt que je serais une vraie twittos. Pour l'instant, je partage mes blagues pourries et mes pensées inutiles, un peu de beauté aussi vaguement, mais je n'ai pas encore eu le temps d'aller chercher des comptes sympas et drôles par exemple. A part celui de Loïc Prigent et de Bescherelle ta Mère que j'adore. Si vous avez d'autres suggestions, je suis preneuse aussi.



Sinon, La Beauty Paresseuse, c'est désormais aussi par là :
Instagram : LaBeautyParesseuse
Twitter : @BeParesseuse

Et je vous laisse avec une photo qui fut l'un de mes premiers tweet avec une blague hilarante (ok pourrie) sur la trash fashion et deux photos issues de mon IG représentant deux de mes grands moments de la semaine dernière : la soirée de lancement de la marque Aussie avec des mâles et des adbos dedans et ma journée à Roland Garros avec du bonheur et du Monfils dedans.Sur ce, je m'en retourne travailler.
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dimanche 8 juin 2014

Maquillage des yeux : cet été, Nars fait de nous des princesses tropicales


Après des années de beauty addictisme, à tester une quantité pléthorique de produits, je peux affirmer sans aucun doute que Nars est ma marque de maquillage préférée. Bien sûr, ce n’est pas la seule marque que j’aime, en make-up, je suis même très infidèle, mais c’est celle que je classe au-dessus de toutes. S’il ne devait en rester qu’une, ce serait Nars. Même si je n’aime pas tous les produits de la marque, même si certains sont clairement ratés. Mais dans l’ensemble, l’association qualité des produits, couleurs tendances et surtout maquillage qui n’a pas peur d’être pigmenté (pour les fards à paupières mais aussi les rouges à lèvres) me séduit totalement. Et puis, j’ai un peu l’impression que François Nars et moi, on est des âmes sœurs. Parce qu’il aime tant les couleurs fortes et pigmentées bien sûr mais surtout parce qu’il semble avoir une grosse passion pour le bleu (comme une certaine personne que vous connaissez bien). A chaque collection, François – oui, je l’appelle par son prénom – imagine ainsi une nouvelle nuance de bleu (rien que pour moi, si, si). Alors évidemment, chaque saison, j’attends avec impatience de découvrir les nouveaux fards à paupières de la marque. Quelle nouvelle surprise François m’aura-t-il réservée ? Quel sera cette fois le nouveau bleu Nars ? 


Et puis, cet été, pouf, la déception : pas de bleu dans la collection. Je n’ai pas compris au début. Qu’est-ce qui se passait ? J’ai bien regardé les photos des nouveautés, lu avec attention les descriptions : il devait y avoir un loup/un bleu caché quelque part. Mais non, de bleu point. Douché l’enthousiasme était (Yoda sort de ce corps). Un peu vexée d’avoir été oubliée, j’ai failli boycotter la collection. Mais comme je suis conciliante et ouverte d’esprit en maquillage (on ne se moque pas, je ne suis pas du tout monomaniaque vous le savez bien ;)), j’ai tout de même consenti à jeter un nouvel œil aux nouveautés pour le regard. Bon, il y avait du vert, pas forcément dans les nuances que j’aime d’habitude (pas avec des reflets bleus en somme) mais ça valait peut-être le coup de s’y intéresser. Et je ne regrette pas ce petit accès de curiosité car les deux nouveautés testées issues de la collection été de la marque (un mono et un duo) sont devenu mes fards à paupières préférés du moment. Depuis un mois, je ne porte quasiment qu’eux. Toutefois, aujourd’hui on ne va pas parler de ces deux gros gros coups de cœur, juste de l’un d’entre eux (on reviendra sur l’autre quand j’aurais réussi à prendre de jolies photos, maintenant qu’il fait soleil enfin, ça devrait être plus facile).


La collection été de Nars (je crois qu’elle s’appelle Adult Swim) nous propose trois nouveautés fards à paupières : le Single Eyeshadow Malacca (superbe), le duo Eyeshadow Lost Coast composé d’un étain doré et d’un lilas clair (pas testé) et le duo Eyeshadow Tropical Princess. C’est de ce dernier dont je vais vous parler aujourd’hui. Ce duo nous propose un citron vert néon et un lavande glacé. Je t’avoue qu’au début, il m’a laissé un peu perplexe. En fait, toutes les conditions étaient réunies pour que je ne l’aime pas. D’abord, ce sont des couleurs claires et moi je suis plutôt foncé et intense. Ensuite, ce sont des teintes quand même un peu particulières. J’aime le vert mais le vert pur pigmenté ou le vert bleu tropique, le vert turquoise ou canard aussi. Mais le vert citron ? Un vert teinté de jaune donc, mouais à priori j’étais pas du tout convaincue. Et parlons du lavande. Déjà, c’est une nuance de violet et tu connais mon rejet pour le violet. En plus il est tellement glacé qu’il tire vers le blanc et le blanc en fard à paupières, ça sent quand même souvent la catastrophe une fois posé. Bref, au premier regard, tu te dis que ce duo n’est quand même pas très inspiré. Grosse erreur ! Je m’en suis aperçue en l’utilisant. Il vaut beaucoup mieux que la première impression qu’il peut nous faire.

Sans flash
Au soleil
Avec flash

Depuis un mois donc, je l’utilise très régulièrement et de façon différente. Je varie les plaisirs mettant soit le lavande soit le vert en avant. Mais pour le maquillage que j’allais prendre en photo pour représenter cette nouveauté, j’ai voulu reproduire le make-up du regard de Toni Garn dans le visuel look de la collection. Bon, reproduire n’est pas exactement le mot, parce que forcément, puisque c’est un maquillage de look, il est un peu plus « extravagant », plus grand, plus graphique, plus brut pour qu’on voit bien les couleurs. Et il est forcément plus difficile à porter dans la vie de tous les jours (même s’il reste quand même assez portable par rapport à d’autres maquillages de look de saison). Je me suis donc dit qu’il serait plus raisonnable de l’adapter un peu : j’ai repris ses éléments essentiels mais je les ai adaptés pour la vie quotidienne. Traduction : j’ai posé les mêmes couleurs aux mêmes endroits que sur le mannequin mais j’ai moins étiré vers les tempes et moins remonté vers le sourcil. Le résultat est forcément moins spectaculaire, mois waouh aussi (parce que je ne suis pas Toni Garn) mais j’en suis assez fan.


Comme sur le visuel, j’ai commencé par poser le vert citron sur la paupière supérieure mais me suis arrêtée un peu au-dessus du plis de la paupière (je n’aime pas quand la couleur remonte jusqu’au sourcil chez moi). J’ai ensuite posé le lavande glacé en ras de cil inférieur (comme j’ai de petites ridules, je l’ai moins descendu que sur Toni). Je m’en suis également servi pour flouter les contours du vert citron. Enfin, j’ai entouré mon regard de noir avec un crayon khôl. Et voilà, pas très compliqué même si, pour être honnête, je préfère ce maquillage avec juste le vert citron, sans le lavande en ras de cil inférieur. Sur Toni Garn, c’est joli (parce que c’est une bombasse et que la teinte a aussi été un peu estompée par Photoshop), sur moi, j’étais moins fan de ce flash de blanc sous l’œil. Je trouvais ça bizarre, trop visible et pas forcément flatteur. Je l’ai fait pour la photo mais au quotidien, je porte ce maquillage sans. Pourtant, j’aime beaucoup ce lavande glacé mais pas utilisé ainsi, sur moi en tout cas.

Sans flash

Parlons ensuite du vert. La couleur étant quand même assez spéciale – on peut le dire originale et différente -, j’avais de gros doutes sur elle. J’ai d’ailleurs mis un certain temps à la tester, je n’ai longtemps porté que le lavande. En fait, le côté citron vert me faisait peur (ça annonçait une couleur tirant vers le jaune et je n’adhère pas au jaune sur la paupière) mais je craignais aussi son côté néon. Ok pour un bleu roi flashy et un turquoise qui claque, mais je me disais que j’aurais du mal à assumer un vert jaune fluo. Trop too much, même pour moi. Mais en fait, je l’aime, totalement. Bon, ça aide qu’il ne soit pas vraiment néon. Il est pigmenté (ce qui est bien pour une couleur claire) mais pas forcément flashy. Nars a trouvé la parfaite nuance pour que ce fard soit estival mais tout de même portable au quotidien (en tout cas, je trouve). On peut aussi parler de sa qualité, au top : la couleur est facile à appliquer et à travailler, prend bien à la paupière (super pigmentation) et tiens super bien (elle ne s’estompe pas au cours de la journée). J’aime aussi beaucoup son fini irisé lumineux. C’est l’un des éléments qui font que ce vert citron est facile à porter, en mat, je pense que ce serait moins bien passé. Et voilà comment ce duo est devenu l’un de mes indispensable.


Et vous, vous en pensez quoi ? On adopte ou pas le vert citron ?

Infos pratiques : Duo Eyeshadow Tropical Princess, Nars, 34 €.
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