samedi 31 décembre 2011
Bye bye 2011 et merci !
Karl, Karl et moi vous souhaitons un bon réveillon (pour vous souhaitez une bonne année 2012, c'est un peu tôt, 2011 n'a pas encore dit ses derniers mots) ! Amusez-vous bien, faites-vous belles et on se revoit l'année prochaine. Merci de votre fidélité depuis bientôt 2 ans et on repart comme en 40 dès demain.
xoxo
vendredi 30 décembre 2011
Noir Céleste de Givenchy : mon vernis pour le réveillon
Après avoir trouvé ma palette de fards à paupières pour le réveillon, j’ai mis la main sur le vernis qui va mettre mes ongles sur leur 31. Entre mon test de vernis qui dure 2 semaines et de nail bar pour le boulot, mes ongles ont été pas mal occupés ces derniers temps donc j’ai testé très peu de vernis sortis pour les fêtes. Juste le Endless Night de Nars finalement + du doré chez L’Oréal Paris et Revlon. J’en avais donc quelques uns en stock qui me criaient « teste moi, moi, moi ». Mais finalement, le choix de ce vernis pour les derniers jours de l’année 2011 n’a pas été difficile.
J’avais jeté mon dévolu sur lui depuis longtemps parce qu’il était waouh dans son petit flacon et depuis il attendait tranquillement son heure : le vernis Noir Céleste de la collection de noël de Givenchy. J’aime beaucoup les vernis de la marque, que je trouve vraiment bien, que ce soit au niveau des teintes (elles sont toujours superbes à un ou deux ratés près) ou de la qualité. Ils sont aussi un chouïa moins chers que ceux des autres grands noms de la mode/beauté (bon, ils sont aussi plus petits). Et ça n’a pas manqué, ce noir profond constellé de paillettes argentées m’a tapé dans l’œil dès que je l’ai vu. Après avoir testé la moitié des produits de la collection de noël de la marque, je trouve d’ailleurs que c’est celui qui vaut le plus le coup (sur le coup, c’est l’Ombre Noire, forcément, qui attire le regard mais je ne suis pas convaincue. Mais c’est une autre histoire dont je vous reparlerais sûrement la semaine prochaine).
Dans le flacon, c’est donc un noir pailleté argenté. D’ailleurs les paillettes y brillent de mille feux. Mais une fois sur l’ongle, ce n’est pas du tout carnaval. C’est plutôt 100 % chic même et les paillettes ne se voient presque pas, voire pas du tout. En fait, comme souvent, tout dépend de la lumière. Mais la plupart du temps, c’est juste un très beau noir. Alors, si on s’attendait à un noir bien pailleté, on est déçue forcément mais moi j’aime bien. Je trouve qu’il s’applique assez facilement. J’ai mis deux couches comme toujours mais sur certains ongles avec une seule couche épaisse on avait une parfaite opacité et uniforme. Côté tenue, je ne vais pas vous mentir, comme je viens de le poser (ben oui, si je le voulais pour la soirée du 31, j’avais pas intérêt à le poser trop tôt) donc difficile à dire mais tous les vernis Givenchy testés avant étaient dans la moyenne.
Au pire, je me dis que si je veux faire plus festif, je peux poser un vernis transparent pailleté par-dessus. J’ai justement un Paul&Joe Beauté qui pourrait faire l’affaire. Et au moins, celui-là, vu qu’il n’est pas too much, je pourrais ensuite le réutiliser pendant le reste de l’année. Petit conseil : ne vous coucher pas juste après l’avoir posé. Je me fais avoir à chaque fois. Je pense que c’est bon, je vais donc au lit ma beauty conscience en paix et je me réveille avec des traces de drap. Faut vraiment que j’arrête de faire mes manucures à 1h du matin.jeudi 29 décembre 2011
Mon maquillage de fêtes, ce sera le Trio Cabaret Péridot d'Arcancil
Mais bon, comme j’ai une conscience professionnelle et que je ne veux pas vous raconter n’importe quoi, j’ai quand même attendu de les avoir testés pour vous en parler. Car si ces grands frères sont supers, cette palette fait partie d’une nouvelle ligne de Trio Cabaret : les Pierres Précieuses. Ces fards sortis pour les fêtes de fin d’année sont infusés de paillettes et leurs teintes inspirées de pierres précieuses. Moi, j’ai le trio Péridot qui est une pierre de couleur verte. Et effectivement si les teintes du trio ne sont pas vertes en soi mais plutôt dorées, elles sont tout de même infusées de vert, ce qui, je trouve, donne un résultat très or ancien, or vieilli, qui change des nombreux dorés vu en cette fin d’année.
Le trio est composé d’un doré foncé tirant vers le vert cuivré (oui, la teinte est un peu difficile à décrire pour une daltonienne comme moi), d’un doré cuivré et d’un or plus clair. Les deux premiers fards sont bien opaques (un seul passage pour ce swatch), le doré est un peu plus léger mais pas non plus transparent (là, j’ai fait deux passages et comme vous le voyez c’est quand même bien intense). Et je peux dire, après ce petit marathon maquillage de fête, que ce sont mes fards préférés de cette fin d’année (avec ceux de la collection L’Or, L’Or, L’Or of course mais elle est hors catégorie). Oui, passez votre chemin fards à paupières coûtant un bras, on n’a pas forcément besoin de se ruiner pour être la plus belle pour aller danser.
Même si je suis dans une phase de paresse extrême et que le matin, je n’ai pas beaucoup de temps pour me maquiller, pour faire honneur à cette palette, j’avais envie d’utiliser les trois fards en même temps. Ce que j’ai fait. J’ai posé le doré cuivré sur le centre de la paupière mobile, le doré vert en coin externe en remontant dans le creux et l’or clair dans le coin interne pour illuminer. Enfin, j’ai fait un retour en ras de cils inférieurs avec le doré vert. J’ai blendé et estompé puis fait mon traditionnel trait de liner et crayon noir dans la waterline. En général, quand je fais un maquillage élaboré, j’en ai pour une vingtaine de minutes, teint + regard. Mais quand je tombe sur des fards récalcitrants (c’est-à-dire souvent), ça peut aller jusqu’à la demi-heure et donc je finis toujours en retard. D’où mes monos dorés des derniers temps. Mais avec celui-ci, quand j’ai eu fini et que j’ai regardé l’heure, j’avais pour une fois de l’avance, 10 minutes pour être précise.
En fait, ces fards sont tellement faciles à appliquer et à travailler que j’ai fait mon make-up en un temps record. J’ai même eu le temps de prendre mon petit dèj, un miracle ! C’est bien rare que j’arrive à faire un maquillage avec trois teintes en seulement dix minutes. Mais là, la texture des fards est toute douce, donc en un ou deux coups de pinceau, tu as une couleur intense sur la paupière, puis il se blendent très bien entre eux. Et après ils tiennent jusqu’au bout de la nuit (enfin de la journée pour moi). Comme je m’en doutais, je n’ai absolument pas été déçue par eux, ni par le résultat sur la paupière. Les fards sont lumineux mais pas bling bling comme pouvait le faire craindre l’association doré + paillettes. J’avoue que c’est une des raisons pour lesquelles je n’avais pas encore essayé ce trio, je me disais que pour la journée, c’était too much. Et bien pas du tout, ça passe très bien même. Hâte de tenter d’autres combinaisons.
Comme d'autres teintes de cette gamme semblent vous intéresser mais que je ne les ai pas en stock (oui, déception, mes tiroirs ne sont finalement pas si magiques que ça :(), voici des visuels de trois autres palettes autour de différentes harmonies de couleur. On a la palette Saphir, du bleu of course, Améthyste, du violet, et Topaze, du marron. Et après petit tour sur le site, j'ai vu que les fards étaient enrichis en poudre de diamant et qu'ils pouvaient être utilisés mouillés. Faudra que je teste ça à ma prochaine utilisation.
mercredi 28 décembre 2011
Maquillage de fêtes marron doré avec la collection noël d'Yves Rocher
Après Givenchy, Karl Lagerfeld et Nars, et si on allait faire un tour du côté des petits prix pour ce marathon maquillage de fête. C’est vrai, on n’a pas forcément besoin de se ruiner pour être sur son 31 le soir du 31 ! Aujourd’hui, j’ai donc choisi d’utiliser la collection noël d’Yves Rocher, joliment dénommée Hiver Incandescent. Elle est assez complète (fards à paupières, crayons pour les yeux, gloss, poudre, vernis…) et se décline surtout dans des teintes marron et dorées (même s’il y a d’autres teintes, ce sont les harmonies les plus présentes). Et, contrairement à nombre d’autres collections de fêtes, l’or ici n’est pas bling bling mais plutôt low profile.
Bon, comme on n’est pas encore le soir du réveillon, je n’ai pas non plus utilisé la collection complète. C’est pas la fête ! J’ai juste associé la mini Palette Trio Regard Incandescent (qui, je trouve est composée de teintes parfaites pour la vie de tous les jours) et le Duo Khôl Incandescent Brun Mordoré/Paillette Cuivrée. Comme son nom l’indique, le khôl est donc double, un pointe pour du marron, une pointe pour du cuivré. La palette, elle, contient trois teintes : un marron mat, un cuivré marron irisé assez doux et un doré irisé pas bling bling non plus. On est un peu dans du nude intense et pas du tout dans le côté fêtes du doré, je trouve. Et finalement ces teintes se prêtent plus à la vie de tous les jours qu’à un soir de réveillon. A part, si on a envie de la jouer discrète.
Certes le doré et le cuivré sont brillants mais pas non plus étincelants. Ils ne sont pas constellés de paillettes. Mais ça a son charme. Tout le monde n’a pas forcément envie de ressembler à un sapin de noël le soir du réveillon. Mais bon, c’est aussi le soir où on se permet de grosses folies maquillage donc d’un autre côté on peut se sentir frustrées face à ces teintes plutôt naturelles. J’avoue que moi, ça n’a pas été mon problème. Là où ça a bloqué pour moi finalement, c’est que c’est du marron. Pendant longtemps, j’ai détesté cette couleur, sur moi en tout cas. Je n’en portais jamais, mais vraiment jamais. Je préférais mille fois un sublime bleu improbable et importable à du marron, trop basique à mes yeux (et pour mes yeux). Et puis l’année dernière, un fard Clarins était passé par là et je m’étais mise à aimer. Finalement, ça ne m’allait pas si mal.
Bon, je n’en avais pas reporté beaucoup depuis mais j’étais restée dans cet esprit. Mais là, je me rends compte que c’est de nouveau no way. Je me sens pas belle dans du marron. Je trouve que ça ne me va ni au teint, ni aux yeux. Ca les affadit. Alors que le bleu les fait bien ressortir, le marron les éteint (forcément, ils sont marron). Et je trouve que c’était le cas avec les teintes de cette palette aussi. Pourtant, niveau qualité, je n’ai absolument rien à lui reprocher. Les fards sont très faciles à travailler, les couleurs accrochent rapidement et il ne faut pas repasser beaucoup pour qu’elles soient intenses, le blending/estompage sont également assez simples. On reste dans la lignée de ce que fait Yves Rocher depuis un an : qualité et intensité mais mini prix (8 € le trio. Même s’il est mini, c’est a good deal). Rien à redire quoi. Sauf que s’ils avaient tapé juste pour moi sur les teintes jusqu’ici, là je n’adhère pas (mais en même temps, on ne peut pas plaire à tout le monde à tous les coups).
Tout avait bien commencé : j’ai appliqué le cuivré sur les deux tiers de la paupière mobile, le marron dans le coin externe en remontant un peu dans le creux et le doré dans le coin interne pour illuminer. J’ai blendé et estompé puis fait un retour au ras de cil inférieur avec le crayon marron. Là, j’ai eu un peu de mal en revanche. Peut-être que pour un trait droit et bien marqué, il est bien, mais pour le dessous de l’œil et le trait un peu estompé, j’ai galéré. J’ai aussi tenté de mettre du cuivré dans la waterline mais impossible, donc moins fan du crayon. Là, je me suis regardée dans le miroir et je n’ai pas aimé ce que j’ai vu. Certes le maquillage était à peu près bien réalisé mais je trouvais que les teintes ne me mettaient pas en valeur. Certaines se sentent mal dans leurs fringues, moi c’était dans mon maquillage du regard. Pour essayer de rattraper le coup, j’ai tracé un gros trait de liner mais je l’ai fait trop imposant finalement. J’ai alors passée la journée le regard moche et donc forcément l’humeur moins pétillante (oui, mon maquillage joue sur mon humeur). En fait, le marron ne m’éteint pas seulement le regard, il m’éteint aussi le teint. Et en ce moment où je suis crevée, je n’ai pas besoin de ça. Ca a peut-être rapport aussi avec ma couleur de cheveux. Quand j’ai eu ma phase marron Clarins, j’avais une couleur un peu acajou. Là, ils sont redevenus marron. Donc trop de marron, ça fait terne.
mardi 27 décembre 2011
Mon maquillage de fêtes 100% noir avec la palette Arabian de Nars (+review)
Le marathon maquillage de fêtes continue avec un premier test de la palette Arabian Nights de Nars. Il était temps me direz-vous ! Pour celles qui s’en rappellent, je vous avais parlé pour la première fois de cette palette fin octobre (c’est fou comme le temps passe vite !) car j’avais eu un véritable coup de foudre en la voyant, coup de cœur confirmé avec les premiers swatchs. Je l’avais même emportée à New York avec moi. Alors pourquoi en parler si tard ? Ben parce que je crois que cette palette est maudite. J’ai déjà utilisé à plusieurs reprises chacun des trois fards mais à chaque fois j’oublie de prendre des photos (ou alors elles sont moches), résultat, je n’ai pas pu vous en parler avant. Mais voilà, enfin, j’y ai pensé ! Hourra ! Donc voici le test d’un des trois fards (je n’ai pas fait de maquillage élaboré avec en mélangeant les trois teintes vous comprendrez pourquoi plus tard).
La palette est composée de trois fards noirs pailletés, un noir pourpre, un noir violet aux sublimes paillettes bleues et un noir un peu mat mais quand même pailleté de gris. Enfin, ça c’est dans la palette. Une fois posés, ça se complique. Cette fois, j’ai utilisé le noir mat/pailleté pour mon maquillage. Quand j’avais fait le swatch, c’était le seul des trois qui s’était appliqué presque en transparence et j’avais un peu peur qu’il faille en mettre des tonnes pour avoir une teinte intense. Mais pas du tout. En deux coups de pinceaux, j’avais la paupière noire et il est assez facile à travailler et à estomper. Et si dans le packaging, c’est la teinte la moins spectaculaire, finalement il est aussi très beau avec ses discrètes paillettes argentées. Car rassurez-vous, même si ce sont des fards pailletés, ils ne sont pas m’as-tu vu pour autant, les paillettes restent discrètes je trouve.
Le hic, c’est qu’en fait, une fois appliquées, les trois teintes se ressemblent beaucoup. Si celui-ci est finalement fidèle à lui-même : un noir pailleté argenté, une fois posées les deux autres ne ressemblent plus du tout aux teintes dans le packaging ou même aux teintes swatchées où là on voyait vraiment la différence. Une fois sur la paupière, c’est un peu bonnet blanc et blanc bonnet. Le pourpre est juste un noir, certes pailleté de discrètes nacres pourpres, mais quand même 100% noir et idem pour le sublime violet noir. Donc finalement inutile de se prendre la tête à chercher à faire un truc élaboré avec les trois.
(Fard noir. En haut avec flash, en bas sans flash)
Pour preuve les photos de ce maquillage que je ne voulais à la base pas vous montrer parce qu’elles sont moches (et en plus pas hyper glamour, j’ai un début de caca d’yeux ! Mais je venais de descendre du ferry de Staten Island, un périple plutôt venteux pour admirer la Statue de la Liberté et la skyline new yorkaise qui m’avait arraché une larme d’où le caca). Arrivée à New York, je me suis immédiatement jetée sur cette palette et sur le fard du milieu que je trouvais tout simplement sublime. Même si je ne suis pas fan du violet, les paillettes bleues qu’il contenait m’avait hypnotisée. Mais une fois posé, déception, c’était juste un noir bien intense. Du violet, que nenni. Pas même un reflet, même au soleil.
(Fard violet/noir sous deux luminosités différentes. En haut face au soleil, en bas à l'ombre)
Alors certes, on voit quand même un peu de paillettes bleues mais on est loin du compte. Dommage, cette palette avait tellement de potentiel. Est-ce parce que je tapote pas assez et que je balaye un peu trop lors de l’application (tout pour gagner du temps). Peut-être qu’en posant une base colorée ou un crayon gras violet en dessous ça boosterait la teinte et la ferait ressortir. Il faudrait que j’essaye mais je n’ai pas encore eu le temps. Enfin, bizarrement, je trouve quand même qu’il y a une différence entre les teintes : mais plus d’intensité que de couleur. Le fard noir pailleté gris étant le moins intense. Mais je pense que c’est plus une question de texture car il est plus sec, les autres étant plus doux. Le pire, c’est que je les aime bien quand même ces fards. J’aurais juste aimé qu’il y ait une différence plus marquée entre eux.
Et quand je te dis que je suis maudite avec cette palette, je pèse mes mots. Comme tu peux l’entrevoir sur ces mauvaises photos, les fards sont cassés et sont un peu partis en mille morceaux. Je ne sais pas comment c’est arrivé. Est-elle tombée (me connaissant, c’est fort probable) ? N’a-t-elle pas apprécié son road trip américain ? En tout cas, ça a commencé avec le fard violet et maintenant les deux autres se sont aussi effrités. Déjà la rage de perdre du fard si précieux mais en plus vu que c’est devenu comme des pigments, ça me fait des chutes de malade. Mais vraiment ! Genre j’ai le visage tout noir après. Ce n’était pas le cas avant quand les fards étaient entiers. J’en avais (c’est du noir, pas de miracle) mais dans la limite du raisonnable et du rattrapable. Là, je te dis pas le travail sur le teint après. Snif. Maudite, je te dis. A chaque fois que je veux m’en servir, je suis obligée de la secouer au-dessus de la poubelle pour me débarrasser des nouvelles « miettes » et donc je perds du fard. Noir c’est noir. M’enfin, regardons le bon côté des choses : au moins, elle, je peux encore l’utiliser, contrairement aux quelques autres fards qui m’ont lâchée en chemin.
lundi 26 décembre 2011
Maquillage de fêtes : le retour du regard bleu avec Karl Lagerfeld
Et voilà, noël est derrière nous et plus que 6 jours avant le réveillon. Ce qui veut aussi dire plus que 6 jours pour se décider sur le maquillage qu’on va arborer le soir du 31. Comme j’ai pris pas mal de retard sur mes tests des collections de fêtes de cette fin 2011, j’ai décidé de faire de la semaine qui vient un marathon maquillage de fêtes avec différentes propositions de maquillage et surtout la fin des tests des collections de noël que j’avais en ma possession et dont je ne vous ai pas encore parlé par manque de temps.
Pour le premier jour, je triche un peu puisque je commence avec une palette dont je vous ai déjà parlé : la palette Karl Lagerfeld pour Sephora. Mais j’avais envie de revenir à mes premières amours en testant le bleu intense un peu perdu au milieu des autres teintes. Et parce que je trouve qu’il se distingue justement des 4 autres couleurs, j’ai d’ailleurs décidé de le porter seul, en mono, comme au bon vieux temps. Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas fait un petit bleu comme ça. Maintenant que j’y suis revenue, je m’aperçois que même si j’adore le combo Dita Von Teesesque « bouche rouge + fard doré + liner », ce regard bleu pétant m’avait quand même manqué. Et même si je lui fais des infidélités, en fait, je l’aime toujours autant. Il est juste plus difficile à porter dans la vie de tous les jours et surtout plus long à faire.
Mais revenons à ce joli fard bleu : il est bien intense comme j’aime même si la teinte est finalement un peu classique (plus qu’un bleu roi ou un canard). Après, je l’ai posé sur ma Primer Potion Sin et le doré de celle-ci l’a un peu éclairci et rendu la teinte plus irisée. Mais niveau intensité, il est bon. En un ou deux coups de pinceaux, le tour était joué. Après, pour l’estompage, j’ai eu le même problème qu’avec le doré et le noir, ça n’a pas été de tout repos. J’ai même galéré et fini par laisser tomber car il fallait que je file acheter mes cadeaux de noël. Dommage. Je ne sais pas si c’est dû à la PP, au fard ou à moi, mais c’est le point faible de ces teintes (mais j’ai presque envie de dire le seul, enfin, avec leur forme en mini Karl pas très pratique). Mais sinon, j’aime vraiment la teinte et la tenue est super. Donc, je maintiens, cette palette est une bonne surprise. Certes pas un indispensable, mais si on aime le personnage on peut se laisser tenter sans crainte (ou attendre les soldes, je me dis qu’on va sûrement la retrouver un chouïa moins chère). Prochain épisode avec un maquillage avec les deux fards restant : le blanc et le gris noir pailleté.
PS : je vous épargne les photos du maquillage sans flash. Je les ai pourtant prises dehors vers 16h mais par un jour pluvieux et luminosité pourrie. Elles sont donc toutes floues. Ca devient vraiment un challenge d’avoir des photos de maquillage de qualité. Faut arriver à choper la juste fenêtre de tir. Dur dur !
dimanche 25 décembre 2011
Mon maquillage de fêtes Or Céleste avec Givenchy
Avant de commencer à blablater, je voulais vous souhaiter un Joyeux Noël. J’espère que le Père Noël a été ou sera très généreux avec vous.
Et si, comme moi, vous n’avez pas encore filé à votre repas de fête, vous vous demandez peut-être encore comment vous allez vous maquiller. De mon côté, la décision a été vite prise, j’ai décidé d’explorer une nouvelle fois la tendance phare de cette fin d’année : l’or, en testant le dernier fard doré sorti pour les fêtes en ma possession, Le Prisme Yeux Mono Or Céleste de la collection noël de Givenchy.
Avant de vous parler de ce fard, petit rappel sur les fards mono Givenchy qui ne sont pas tout à fait comme les fards mono des autres marques. Il y a bien une seule couleur mais elle est divisée en quatre petits carrés qui correspondent à 4 finis différentes (et donc finalement 4 fards différents) : il y a du mat et du plus ou moins irisé. Sur le principe, ça peut être sympa, en réalité, moi je suis pas hyper fan. Je vous avais d’ailleurs déjà parlé de ma déception, il y a fort longtemps, lors de la sortie de ces fards. Dans les teintes originales, j’avais un noir, un blanc et un gris, et j’avais bien galéré quand je les avais utilisé. Déjà, tu te prends la tête à essayer de jouer sur les finis et en fait au final, on ne voyait aucune différence une fois les fards posés. Et puis il y avait beaucoup de chutes et il fallait repasser 20 fois avec le pinceau pour avoir une couleur intense. Je pensais donc avoir le même genre de difficultés avec ce fard et c’est pour ça que je l’ai gardé pour la fin.
Mais rendons-lui hommage, il est un cran au-dessus des fards originaux que j’ai testés. Cette fois, je l’ai appliqué au doigt, et la couleur s’est déposée assez rapidement. En revanche, je n’ai absolument pas joué sur les finis différents, j’ai tout appliqué ensemble, en mélangeant avec le doigt. Parce qu’il n’y a presque aucune différence entre les finis (c’est pour ça que je ne vous ai pas mis de photo de swatch, ça sert à rien), donc je me suis dit pourquoi me compliquer la vie. Et j’ai bien fait parce qu’après coup, j’ai identifié le fautif qui s’applique mal : c’est le fard mat. Les autres sont assez faciles à travailler mais lui ! M’enfin, en les mélangeant tous, on n’a plus ce problème. Et une fois posé, leur tenue est très bonne.
Ce que j’aime bien dans ce fard, c’est sa couleur. J’ai testé une petite dizaine d’or depuis deux mois et pas un n’a la même teinte, c’est plutôt sympa. Ca te permet de rester fidèle à une harmonie de teinte sans pour autant faire tout le temps la même chose. La plupart sont dans les teintes or basique ou or foncé/cuivré. Celui-ci est un or jaune, presque un jaune doré d’ailleurs. Ca se voit pas bien sur les photos mais il est bien jaune et le doré vient presque après, il est limite jaune irisé (ce qui pourrait en fait être un moins pour les fans de dorés qui n’aiment pas forcément le jaune). En tout cas, c’est bien lumineux et bien que ce soit le dernier fard doré testé, il ne ressemble à aucun des autres portés avant (celui qui se rapproche le plus c’est le Color Infaillible Goldmine mais la couleur du Givenchy est plus compacte et moins follement irisée). Moi, j’aime bien et c’est vrai que j’avais été tellement déçue par les fards originaux que celui-ci est une bonne surprise. Après, le bémol, c’est que justement des fards dorés il y en a plein, de très bonne qualité, et quand même un chouïa moins cher. Et autant pour mon Eyes To Kill doré de Giorgio Armani, j’avais été soufflée et même si le prix faisait mal, vu le produit ça ne m’avait pas choquée autant ici, je trouve que le rapport prix/produit se justifie moins.