mardi 15 avril 2014

Ma cure anti-âge Imedeen à l'épreuve du soleil


Voilà maintenant quatre mois que je suis la cure anti-âge Imedeen ! Quatre mois ! Qui l’eût
cru ? Surtout que ces derniers mois ont été un peu dingues et pour le moins agités. Moi qui
n’ai souvent pas la patience justement de m’engager sur le long terme, j’aurais pu me trouver
plein d’excuses pour laisser tomber. Trop de voyages, trop de délocalisations temporaires,
trop de jetlag. Mais même si moi je ne tiens pas en place, ma cure elle je m’y tiens. C’est
devenu ma petite routine du soir : deux petites gélules Imedeen entre le fromage et le dessert
(en vrai entre le plat principal et les fruits, pas de fromage, trop gras et en dessert le soir les
fruits c’est mieux). Ce qui fait qu’elles en ont vu du pays, ces petites gélules. Je les ai bien
évidemment embarquées avec moi à Cuba. Sachant la dose de soleil que j’allais recevoir là-
bas et l’accélérateur de vieillissement qu’il peut être, je n’allais pas partir sans mon garde du
corps.

Mais ce n’était pas ma seule préoccupation. Je pense que je l’ai déjà dit à plusieurs reprises,
je suis un peu faite bizarrement. Contrairement à la plupart des femmes, ma peau du corps ne
souffre absolument pas en hiver (le visage, c’est différent, lui prend cher). Elle ne devient pas
plus sèche, n’est pas plus déshydratée, elle se porte même comme un charme. A tel point que
mon côté paresseuse en profite souvent pour arrêter de se crémer. Alors que toutes les beauty
addicts se convertissent aux baumes et aux soins anti-froid bien riches pour réparer leur
épiderme en souffrance, moi, il m’arrive de me limiter à une application de lait pour le corps
par semaine (et encore c’est les semaines où je suis motivée). Bon, j’exagère, dernièrement,
j’ai été plus assidue. Mais c’était plus pour finir des produits et libérer ainsi ma salle de
bains que parce que ma peau me le demandait. Surtout que depuis que j’avais commencé ma
cure Imedeen, je ressentais que ma peau allait encore mieux. Mes seules zones sèches (bien
rugueuses même), les coudes, ne l’étaient plus. Dans ces conditions – quand tout va bien
-, difficile de juger tout de même de l’efficacité profonde d’un produit. Comment voir une
véritable amélioration quand il n’y a rien à améliorer ?

Mais paradoxalement, si ma peau ne souffre pas en hiver, l’été c’est une autre histoire. C’est
comme si ma peau ne supportait pas d’être bronzée (alors que moi j’adore ça). Je n’avais pas
remarqué ça plus jeune mais depuis quelques années, dès qu’elle bronze, ma peau devient
extra sèche. Est-ce que c’est dû à l’âge ? En tout cas, je n’y coupe pas : chez moi, peau
caramel rime avec peau de crocodile. Et plus je suis hâlée, plus elle est sèche. Limite, je pèle.
Evidemment, ça m’horripile. Là, tu vas me dire : « mais si tu pèles, c’est que tu as bronzé
de façon inconsciente et que t’as pris des coups de soleil, protège-toi mieux et le problème
sera résolu ». Mais ça n’a rien à voir. Celles qui me connaissent bien le savent, je suis hyper
responsable quand il s’agit du soleil. Du genre à mettre de l’écran solaire en ville sur le visage
dès qu’il fait beau. Là pour Cuba, je suis par exemple partie avec un SPF 50. Certes, ça veut
dire que je bronze moins que ce que je pourrais mais ce n’est grave. Ca veut aussi dire que
je vieillis moins. J’ai ainsi l’air d’avoir 10 ans de moins que certaines de mes copines accro
au soleil. J’adore. Bon, comme je ne suis pas infaillible, je prends oui parfois des coups de
soleil. Mais sur des zones localisées, qui ne voient pas forcément les rayons du soleil en temps
normal, rarement sur le visage et surtout sur le haut du corps. Or c’est sur le visage et les
jambes en général que mes problèmes de sécheresse se manifestent le plus. Sur les jambes
surtout, c’est là que ma peau de croco devient vraiment critique, limite parcheminée.

Dans mes jeunes années, je me souviens que je ne terminais jamais mes après-soleil corps.
Là, je vide le tube assez rapidement. Si je pars un mois, j’en vide même deux. Pour limiter
les dégâts et la mocheté du truc, je dois me crémer matin et soir (forcément ça descend vite).
Parfois, quand je suis vraiment hâlée, il faut même que j’hydrate mes jambes trois fois par
jour pour réussir à ne plus avoir cet aspect desséché et parcheminé. Je me tartine le matin,
après la douche post plage et le soir avant d’aller me coucher. Sans compter la crème solaire
qui est déjà hydratante et les huiles sublimantes ou soins pailletés dont je m’enduis parfois
avant de sortir le soir. Mais c’est un peu Sisyphe et son rocher : j’ai beau crémer et gommer
pour améliorer la situation, il faut recommencer le lendemain. Voire quelques heures plus
tard quand la situation est vraiment critique. La peau marbrée continue à revenir. Une lourde
routine que je dois tenir tant que je suis bronzée, même lorsque l’exposition au soleil est
terminée. Après être rentrée de vacances, je dois continuer un temps à vider les tubes de soins
pour le corps. Moi qui adore être bronzée car ma peau est quand même plus belle en caramel
qu’en blanc bidet, c’est frustrant. Car si je n’en prends pas soin avec vigilance, elle n’est plus
du tout belle justement. Difficile de profiter de son bronzage comme ça.


Alors évidemment, une fois à Cuba, quand ma peau a commencé à dorer petit à petit, j’ai
commencé à craindre le retour de la peau de croco. J’étais mal d’ailleurs car pour alléger ma
valise, je n’étais partie qu’avec un seul flacon d’après-soleil qui s’était révélé pas forcément
très très plein. Si je virais croco, je n’avais pas de quoi lutter. Bien évidemment, ça ne m’a pas
empêché de profiter du soleil (trop bon pour s’en priver). Tant pis, je me disais que je finirais
en utilisant mon après-soleil visage sur le corps. Mais finalement, je n’en ai pas eu besoin.
Après deux jours de plage et une peau qui s’était bien caramélisée, j’ai réalisé qu’elle n’était
pas du tout sèche. Une seule application d’après-soleil après la douche post plage suffisait
en fait. Waouh. Là, je me suis interrogée et je me suis demandée si ce n’était pas l’effet
Imedeen. Mieux nourrie de l’intérieur, ma peau ne se dessèche plus autant de l’extérieur.
Depuis que je suis rentrée, je constate encore cette amélioration. Certes, ma peau est plus
sèche que d’habitude et nécessite d’être crémée (presque quotidiennement) mais je ne suis pas
confrontée à l’aspect parcheminé que m’ont valu tous mes derniers trips au soleil. Je ne pèle
pas (je me dis donc que je vais garder mon bronzage plus longtemps, yeah).

Sur le visage aussi, ça va mieux. Pas besoin de continuer l’après-soleil après mon retour
comme d’habitude. J’ai repris ma routine classique, ma peau demandant au contraire des
soins moins riches. En revanche, pour ce qui est de l’effet bonne mine de la cure, difficile
de juger. Oui, j’ai bonne mine et j’ai reçu des compliments depuis mon retour, mais c’est
parce que j’ai bronzé. Il faudra attendre que le hâle s’estompe un peu pour voir s’il y a eu
un effet sur ma grise mine. Mais je suis contente en tout cas. Mine de rien, ce problème de
sécheresse de la peau post soleil me minait justement. Je ne suis pas une obsédée du bronzage
mais j’aime tout de même avoir la peau hâlée. Moi qui me trouve toujours le teint gris, j’ai
alors enfin bonne mine. L’accro au fond de teint que je suis en profite même pour alléger
sa routine teint, car je n’ai enfin plus besoin de cache-misère. Et puis sur le corps, une peau
hâlée juste ce qu’il faut c’est tellement joli. Sans compter que ça efface les défauts. On voit
moins les petites cicatrices sur les jambes (mon gros problème), la petite peau d’orange. Et
puis moi qui adore les robes, je me sens quand même mieux dedans, avec plus d’assurance,
quand j’ai la gambette dorée et pas blanchâtre. Finalement, moi bronzée, c’est moi en mieux.
Enfin, théoriquement. Car cette peau de croco venait gâcher tout ça. Cette fois, je peux enfin
en profiter sans mauvais effet secondaire.

En partenariat avec Buzzparadise.



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2 commentaires:

  1. Ah ben ca c'est cool, car en effet c'est un sacré rythme à avoir chez toi ! Moi javoue que l'hiver c'est no soucis aussi, par contre lete, faut que je my tienne, mais pas autant que toi ! Et qu'elle assiduité , moi des que je change de lieu, de rythme, paf j'oublie tout lol

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  2. Ca a vraiment l'air super efficace cette cure, je vais peut-être m'y mettre car je n'aime pas me tartiner de crème !

    Alex


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