Je déteste les solaires qui collent (oui, je sais, je suis
une rebelle). Mais en même temps, j’aime les solaires glamour. Ce qui fait qu’à
chaque fois que je pars en vacances, je finis par choisir des textures plus
« féminines » et plus sensorielles (des huiles, toussa toussa). Et je
me fais toujours avoir. Ca colle (nan mais pouah), donc j’en mets moins (pour
éviter de ressembler à une crêpe au sable) et ne suis pas non plus assidue dans
la réapplication (parce que repouah quoi). Résultat, je me prends une pelletée
de coups de soleil (et là, ouille ouille ouille). Sans compter la honte pour la
spécialiste beauté et obsédée de la protection solaire que je suis de se
retrouver rouge comme un homard (enfin une crevette, vu ma taille fine… hum
hum, on y croit). Hashtag faites ce que je dis mais pas ce que je fais. Bref, quand
il a fallu choisir les crèmes solaires qui allaient m’accompagner dans mon
roadtrip dans l’Ouest américain, cette fois, j’ai décidé d’être plus
raisonnable et de choisir une valeur sûre côté texture (et côté marque aussi).
J’ai jeté mon dévolu sur la Brume Hydratante Invisible SPF
30 de Vichy. Ca n’envoie peut-être pas du glamour comme ça, ça ne pique pas non
plus la curiosité mais à quoi bon les paillettes si elles riment avec prise de
tête. Avec cette brume, je voulais un solaire pratique, efficace et agréable, et je l’ai eu. Oui, je spoile. Alors ce n’est pas une nouveauté, ce spray invisible
a été lancé l’année dernière, mais il est encore dispo (la gamme solaire à juste été rebaptisée depuis Idéal Soleil à la place de Capital Soleil et en pharmacie vous trouverez évidemment la version française et non étrangère comme moi). La marque nous dit que c’est une brume invisible hydratante
et haute protection, sans alcool, avec effet frais. Et surtout, elle a un fini
sec pour une sensation peau nue (mon graal solaire). Pour la sensation de fraîcheur,
franchement je ne m’en souviens pas. Si ça ne m’a pas marqué, ça doit être
assez léger. Après, ce n’est pas bien grave, ce n’est pas quelque chose d’essentiel
pour moi. En ce qui concerne l’hydratation, normalement ma peau devient hyper
sèche lorsque je commence à bronzer. Là, je n’ai pas viré croco. Mais je pense
que c’est aussi parce que lorsque je l’ai
utilisé lors de notre périple dans l’Ouest, il n’a pas fait non plus très très
chaud. Ma peau n’est donc pas arrivée au stade de bronzage où elle se
transforme en parchemin. Donc je ne me prononcerai pas sur ce bénéfice.
Et puis, ce qui nous intéresse vraiment, c’est l’effet peau nue (hein, avouez-le). Et là, je dis un grand oui. J’achète quoi ;) Effectivement, la brume est super légère. Elle ne pénètre jamais complètement (c’est le but d’un solaire, il ne doit pas pénétrer mais faire un film à la surface de la peau pour la protéger des UV). Mais elle ne colle absolument pas et se fait rapidement oublier. C’est un véritable plaisir – voire soulagement – sur la plage. Enfin, je n’étais plus un aimant à sable. Pour la première fois depuis longtemps, me réappliquer de la crème solaire n’était pas une corvée. Ce n’était pas désagréable, je n’en avais pas partout, et je ne mettais pas non plus une plombe à me tartiner. C’était même assez rapide. Hop hop, tu vaporises, tu étales en deux secondes et c’est bon, tu peux retourner à ta sieste sur ta serviette. Encore mieux, quand j’étais en ville ou quand le soleil était timide, je n’en pschittais qu’une fois par zone et là je n’étalais même pas (ou presque pas). Pas besoin, la brume se répartissait à peu près uniformément sans laisser de traces blanches. Vraiment invisible donc ! (regard de folle et petits sauts de joie).
Et puis, ce qui nous intéresse vraiment, c’est l’effet peau nue (hein, avouez-le). Et là, je dis un grand oui. J’achète quoi ;) Effectivement, la brume est super légère. Elle ne pénètre jamais complètement (c’est le but d’un solaire, il ne doit pas pénétrer mais faire un film à la surface de la peau pour la protéger des UV). Mais elle ne colle absolument pas et se fait rapidement oublier. C’est un véritable plaisir – voire soulagement – sur la plage. Enfin, je n’étais plus un aimant à sable. Pour la première fois depuis longtemps, me réappliquer de la crème solaire n’était pas une corvée. Ce n’était pas désagréable, je n’en avais pas partout, et je ne mettais pas non plus une plombe à me tartiner. C’était même assez rapide. Hop hop, tu vaporises, tu étales en deux secondes et c’est bon, tu peux retourner à ta sieste sur ta serviette. Encore mieux, quand j’étais en ville ou quand le soleil était timide, je n’en pschittais qu’une fois par zone et là je n’étalais même pas (ou presque pas). Pas besoin, la brume se répartissait à peu près uniformément sans laisser de traces blanches. Vraiment invisible donc ! (regard de folle et petits sauts de joie).
La brume était aussi au top côté protection. Bon, je ne l’ai
pas testée dans des conditions extrêmes vu qu’on n’a pas eu de grosses chaleurs.
Mais le soleil a bien tapé à plusieurs reprises et je n’ai pas viré tomate,
tout en bronzant un peu (je ne bronze jamais beaucoup). En fait, les seules
fois où je me suis pris des coups de soleil, c’est les jours où je n’en ai pas
mis (parce que je pensais ne pas en avoir besoin) et le dernier jour, genre la
dernière demi-heure, sur la plage. Parce qu’il n’y en avait plus pour en
réappliquer. Ce qui m’amène à mon seul petit bémol. Je trouve que je l’ai
descendue assez rapidement et pourtant je n’ai pas l’impression de l’avoir
beaucoup utilisée (rapport qu’on n’a pas eu tant de jour de soleil que ça). Elle
se termine donc assez vite. Je pense que le système de vaporisation fait qu’il
y a beaucoup de pertes. Quand on pschitte, il y a pas mal de produit qui va à côté.
J’ai d’ailleurs l’impression que ce n’est pas exclusif à celle-ci. L’année
dernière à Cuba, j’avais pris un solaire Lancaster dans le même format et il n’a
pas non plus survécu longtemps. Je crois que tous les sprays ou brumes dans des
flacons métalliques se vident vite. Et c’est bien dommage. Car justement ces
sprays, ce sont souvent eux qui nous offrent les textures les plus fines et
donc les plus invisibles et non collantes. Mais comme ils se finissent rapidement,
ce n’est pas très économique.
Après, tout dépend de ton utilisation des solaires. Moi, sur
ce coup-là, ça tombait bien que la brume se termine puisque mes vacances
étaient finies elles aussi. Parce que souvent, je me retrouve avec un flacon
pas totalement utilisé que je dois jeter puisqu’il ne faut pas réutiliser ses
solaires d’une année sur l’autre. Et ce n’est pas non plus économique. Au moins
là, il n’y a pas eu de gâchis. De toute façon, j’ai tellement aimé sa texture
légère, et cette sensation (enfin) que ta peau ne colle pas, qu’elle intègre
sans hésiter mon panthéon solaire malgré ce petit moins. Et si je repars en vacances
à la plage, c’est sûr, elle repart avec moi (j’ai un deuxième flacon de coté,
ça tombe bien).
Alors, ce n’est pas la seule crème solaire que j’ai testé
durant mon voyage. Je voulais vous faire un bilan général en un seul billet
mais encore une fois j’ai été trop bavarde. J’avais plein de choses à dire sur
celui-là et je ne me voyais pas couper. Je ne sais décidément pas faire court. N’écrire
que 4 lignes sur un produit, je n’y arriverais jamais je crois, il faut que je
vous dise tout. Je reviens donc très vite pour de nouveaux épisodes protection
solaire.
6 paragraphes pour une crème solaire... Tu m'as manqué!
RépondreSupprimerJ'ai essayé de faire pus court. Mais j'ai échoué (tu me connais :)). Après, bon, sans vouloir me jeter des fleurs, y'a rien à couper ;) Bon, ok, d'accord, c'est une maladie.
RépondreSupprimerÇa m'a manqué aussi ! Tu es pire que moi dans le genre bavarde, j'adore :D
RépondreSupprimer(mais moi je n'ai pas de blog, par contre je suis réputée pour mes mails beaucoup trop longs!)
A part ça, cette brume me tente bien pour remplacer ma Bioderma en spray qui a 2 ans (ouais je sais, c'est mal, mais en même temps je m'expose très peu et je le flacon ne reste jamais au soleil) et qui était pas mal dans le genre, mais sans effet peau nue...