Pour les accros, on peut y trouver des vernis OPI ou Essie beaucoup moins chers qu’en France mais ce n’est pas ce qui a attiré mon attention. Forcément, ma curiosité a plutôt été piquée par les marques que je ne connaissais pas ou les cosmétiques qu’on n’a pas chez nous. Et il y en a ! J’ai également cru détecter quelques tendances qui ne sont pas encore arrivées jusqu’à nous (qui n’arriveront peut-être jamais d’ailleurs et si c’est dommage pour certaines, pour d’autres, c’est pas plus mal, car ils sont parfois vraiment très bizarres ces Américains). Alors qu’est-ce qu’il y a de beau et d’inédit chez CVS pour les beauty addicts ?
jeudi 23 juillet 2015
Ces produits américains qu'on ne trouve pas en France : on craque ou pas ?
Pour les accros, on peut y trouver des vernis OPI ou Essie beaucoup moins chers qu’en France mais ce n’est pas ce qui a attiré mon attention. Forcément, ma curiosité a plutôt été piquée par les marques que je ne connaissais pas ou les cosmétiques qu’on n’a pas chez nous. Et il y en a ! J’ai également cru détecter quelques tendances qui ne sont pas encore arrivées jusqu’à nous (qui n’arriveront peut-être jamais d’ailleurs et si c’est dommage pour certaines, pour d’autres, c’est pas plus mal, car ils sont parfois vraiment très bizarres ces Américains). Alors qu’est-ce qu’il y a de beau et d’inédit chez CVS pour les beauty addicts ?
dimanche 19 juillet 2015
Ces produits de beauté trop mignons à shopper lors d'un voyage aux Etats-Unis
Alors je shoppe quoi aux US ?
Urban Outfitters, le temple de la beauté cute et cool
J’ai toutefois craqué pour du Tony Moly. Je connaissais cette marque asiatique de nom et de vue à force de la voir passer sur les blogs. Comment ne pas remarquer les packagings pomme ou tomate de sa crème visage Appletox ou de son masque Tomatox. Toutefois, ça ne me disait rien de tester ces deux produits en particulier vu que pour mes soins visage, je ne fais confiance qu’à quelques marques. Ce que je ne savais pas c’est que leur gamme est beaucoup plus large et chez Urban Outfitters aux Etats-Unis il y a beaucoup beaucoup d’autres produits dispo. Comme les baumes à lèvres en forme de fruits – pêche, myrtille, cerise – ou les tout aussi adorables crèmes pour les mains aux formes toujours très sympas – clémentine, pomme, pêche et cacao.
Mais Tony Moly n'a pas le monopole du packaging cute chez Urban Outfitters US. Si tu veux des produits de beauté mignons, c'est un peu comme si tu étais dans un magasin de bonbons. Mon deuxième coup de cœur a par exemple été pour la marque capillaire Honey Do. Je ne connaissais pas du tout et même si je n'aime pas le miel comment ne pas fondre pour ce shampooing et après-shampooing dans des flacons nounours !
Côté maquillage, on est aussi servies en terme de packagings cute. Mes préférés : ceux des marques Peri, Holika et Pang. J'avoue je n'en avais jamais entendu parler avant mais j'avais bien envie de craquer. Peut-être lors d'un prochain voyage (ou sur le site d'Urban Outfitters puisque certaines de ces marques y sont distribuées).
Laline, pour jouer les princesses
Mon deuxième gros craquage beauté lors de ce voyage a été pour la marque de cosmétiques Laline. Je n'en avais jamais entendu parler et je pense qu'en temps normal je serais totalement passée à côté. La marque - américaine - a des boutiques en propre à San Francisco (notamment une sur le Pier 39). Je ne sais pas si elle en dans le reste du pays en revanche. Mais elle a un site internet. C'est une marque de produits de soins et s'il y a des crèmes et masques pour le visage, j'ai l'impression qu'elle est plus axée soins corps et produits pour le bain (après je peux me tromper, ça a été une rencontre rapide). Dans l'esprit, je trouve que ça ressemble un peu à Sabon et dans les formules selon la vendeuse (qui était française) c'est assez naturel. Sympa mais pas forcément révolutionnaire tu me diras ? Pourquoi cet engouement alors ?
Parce que la marque a développé une collection avec Disney et affiche Blanche-Neige sur ses packagings. Et j'adore Blanche-Neige ! Et puis regardez-moi ces packagings comme ils sont mignons. J'ai été incapable de résister. En plus, il y avait une promotion avec un produit gratuit pour tout achat, c'était un signe. Je suis finalement repartie avec un gel douche et la petite trousse. Gniiiii, trop belle. Je regrette quand même de ne pas avoir eu un coffret parce que je les trouve magnifiques (même s'ils ne seraient probablement pas rentrés dans ma valise).
The Balm, made in SF
A San Francisco, nous sommes aussi rentrés dans une boutique The Balm. Oui, alors qu'on a du mal à trouver les produits de cette marque de maquillage aux packagings rétro irrésistibles, elle a des boutiques aux US. En tout cas, à San Francisco. Il faut dire que The Balm est née dans cette ville (tout comme Benefit, auquel on compare souvent la marque, c'est drôle).
Et sinon, ces petites marques là, elles vous font envie ? Vous en avez peut-être testé certaines d'ailleurs. Si oui, vous en pensez quoi ? Ca vaut le coup de craquer ?
jeudi 24 novembre 2011
Mais d'où qu'ils viennent les produits de beauté de la Beauty Paresseuse ?
Alors d’abord pour comprendre pourquoi chez moi c’est un peu Sephora, il faut revenir sur un point qui est un peu un secret de Polichinelle : je pense que vous le savez toutes maintenant, je suis un peu journaliste beauté. Au début du blog, je ne le disais pas forcément parce qu’à l’époque je bossais sur d’autres thématiques mais en ce moment je suis assez recentrée sur ça, donc autant le dire carte sur table. Après, il faut aussi être honnête, je suis une petite journaliste (important pour la suite). C’est sûr mon ego surdimensionné adorerait être une big star qui bosse chez ELLE, me faire couvrir de cadeaux qui n’ont rien à voir avec la beauté et me faire inviter en voyage de presse au bout du monde (c’est marrant d’ailleurs car quand je dis à mes relations pro que je suis partie à NY, elles me demandent toutes si c’était perso ou boulot mais non, j’ai payé avec mes petits soussous). M’enfin, j’ai pas à me plaindre car j’adore mon métier et grâce à lui je reçois quand même mon lot de produits.

Maintenant que vous savez ça, vous vous dites peut-être aussi que parce que je reçois tous mes produits, mes reviews sont donc biaisées, pas honnêtes. Qu’il y a la pression de la marque derrière, que je ne veux pas la fâcher pour continuer à recevoir des produits. Arguments que l’on retrouve souvent sur le net. Et là, je te dis « Ah ! Ah ! » suivi d’un petit rire diabolique. Le truc, c’est que quand j’ai créé mon blog, j’ai fait ma petite cuisine dans mon coin, sans le dire à personne. En gros, je n’ai pas envoyé de faire part pour annoncer sa naissance aux attachées de presse avec qui j’étais en contact professionnellement, ni à sa création, ni après. En gros, elles ne savaient pas que moi la journaliste avec qui elles étaient en contact j’étais derrière ce blog que certaines avaient repéré. Ce qui a donné lieu à des mails assez cocasses d’ailleurs où j’ai dû faire mon coming out à des copines qui contactaient moi la blogueuse sans savoir qu’en fait elles me connaissaient. Bon, au fil du temps, ça c’est quand même su petit à petit, parce que ce milieu est riquiqui. Et puis j’ai fini par le dire aux copines et aussi à celles qui me contactaient et qui communiquaient déjà avec la journaliste (j’ai trouvé ça plus honnête de leur dire que j’avais déjà leurs infos, pas la peine de m’envoyer tout en double). Mais encore aujourd’hui, je pense que plus de la moitié des attachées de presse ne savent pas que c’est moi derrière ce blog. Peut-être qu’un jour je ferais mon gros coming out parce que j’en suis quand même fière de mon bébé, peut-être pas. J’aime bien aussi le côté anonyme.
Tout ça pour dire que 80% des produits que je reçois, je les reçois pour le boulot et les gens qui me les envoient n’ont souvent aucune idée qu’il y a un blog aussi derrière. Gnark, gnark, gnark. 10 %, c’est un mix pour mes publications + pour mon blog. Et effectivement, je dois recevoir environ 10 % qui sont adressés à la blogueuse, mais il n’y a pas forcément attente de retour derrière d’ailleurs. Pour moi de toute façon, c’est tout pareil, je ne fais aucune distinction entre tout ça et je te parle de ce que j’aime, point. A un moment, j’avais bien fait un tiroir « blog » pour tester les produits reçus pour review en priorité mais il a été vite mis au placard et supplanté par mes coups de cœur dans mes autres produits. En fait, pour moi, c’est un grand tout. Je pioche allégrement pour le blog dans les produits reçus par la journaliste. Et dans mes publications, je parle aussi des produits que j’ai aimés mais que j’ai reçus pour le blog. Il y a les nombreuses marques qui ne m’envoient ni pour l’un ni pour l’autre (car petite journaliste et moyenne blogueuse qui fait son truc dans sont coin) mais c’est pas bien grave. Je ne vais pas leur courir après. Après 5 ans dans le monde cruel de la beauté, j’en ai fini avec la volonté d’être inscrite sur les listings de toutes les marques. Qui m’aime me suive, les autres pfff, ça m’empêche pas de vivre ma vie. Professionnellement, j’ai abandonné ce combat éreintant et incompréhensible il y a longtemps alors tu penses bien que je n’allais pas m’y mettre pour mon blog.Si on me contacte, très bien, je réponds (parfois) mais je n’ai jamais contacté une marque de moi-même (pas pour le blog, pour le côté pro, oui, certaines, je suis un peu obligée). Peut-être pour la même raison pour laquelle je n’ai pas non plus envoyé de faire-part de naissance. Je voulais être libre de faire ce que je voulais avec mon bébé à moi, de dire ce que je voulais, de parler des produits dont je voulais. De faire ma petite tambouille tranquillou quoi. Le faire-part de naissance, je trouvais que ça faisait trop : « Maintenant j’ai un blog, youhou, envoyez-moi vos produits ». C’est pas du tout moi. En fait, il faut savoir un truc, je déteste demander : que ce soit contacter une marque qui ne m’a pas dans ses listings pour qu’elle m’envoie ses produits ou contacter une marque que je connais (même une copine attachée de presse d’ailleurs) pour qu’elle m’envoie un produit en particulier. Je sais pas, ça doit être une question d’éducation, mais ça me fait me sentir trop pas à l’aise. Et puis je trouve que quand tu demandes, t’es quand même moins libre (après c’est une question d’opinion). Tu fais quand même une démarche pour avoir un produit donc, et c’est légitime, la marque s’attend à avoir un retour (faut pas que penser de notre côté du rideau, faut se mettre aussi dans la peau de l’attachée de presse). Après, c’est une question de personnalité. C’est pas parce que moi je ne me sens pas à l’aise que les autres ne gèrent pas ça mieux. M’enfin, je concède que parfois des copines m’ont demandé si un produit me faisait envie et là je t’avoue que si des fois je réponds « non, non, t’inquiètes, c’est bon » (parce que faut pas abuser non plus), des fois je me fais aussi plaisir et j’accepte d’être gâtée. Je ne suis pas une sainte et je suis bien trop addict que des fois j’en oublie d’être raisonnable.
Après un an et demi de blogging et bien plus à être gâtée, j’aime croire que je ne suis pas vendue au grand capital. Et même si en ce moment il y a pas mal de polémiques assez compréhensibles et dont j’approuve pas mal d’arguments, j’ose aussi croire que même si on reçoit un produit, on peut être honnête. J’ai plein de copines qui le sont en tout cas. Et puis ça se voit dans le ton du billet et dans la personnalité de la blogueuse que l’on commence quand même à connaître après un certain temps. Bon, en conclusion, j’avouerai quand même un petit péché (mignon). C’est vrai que parfois je suis peut-être moins impartiale que je ne le devrais. Pas parce que j’ai reçu le produit. Pas parce que je veux continuer à en recevoir (après tout l’arrivage ne dépend pas du blog mais de mes publications). Mais parce que j’ai certaines marques chouchoutes dont je vois toujours les produits avec les yeux de l’amour et donc je suis peut-être plus indulgente. Mais pas non plus aveugle. Faut pas non plus abuser, quand j’aime pas parce que ça me me convient pas, je paqsse sous silence, mais quand c’est vraiment de la merde, je le dis. Parce que bon, on a beau oublier parfois le prix des cosmétiques, c’est un peu la crise, et un soussou c’est un soussou (et ce serait dommage de ne plus pouvoir s’acheter son jean rouge rêvé parce qu’on s’est ruiné pour une palette nullos).
Ah la la mais en fait ma note fait trois pieds de longs (que celles qui ont lu jusqu'au bout lèvent la main) ! Moi qui voulais faire court pour aller me coucher rapidos ! On dirait que le sujet m’a inspiré. C’est vrai que je me tâtais de faire cette note depuis longtemps. Au début, je n’en voyais pas forcément l’utilité. On s’en fout un peu non d’où vienne mes produits ? Mais en ce moment, on lit aussi beaucoup que si on n’achète pas nos produits, on n’est pas forcément 100 % honnête donc ça m’a fait un peu réfléchir. Comme j’ai un côté parano en plus (ben oui, une star, c’est forcément parano), je me suis dit : « et si on pensait ça de moi ? » Même si, si vous continuez à me lire, c’est que non vous ne le pensez pas et que vous avez compris ma drôle de personnalité. En même temps, ça me disait rien de rentrer dans la polémique donc j’avais rangé l’idée dans un coin de ma tête mais n’était pas sûre de vouloir la ressortir. Mais comme on m’a posé plusieurs fois la question, je me suis dit répondons-y une bonne fois pour toute. Sans aucune polémique, juste en parlant de ma situation bien particulière. Alors note qui sert à rien ou qui vous a intéressée et vous a un peu mieux aider à comprendre les coulisses du blog ?
Note un peu plus jouasse : n'oubliez pas que vous pouvez gagner des trousses Planter's pour prendre soin de vos cheveux ICI.
jeudi 13 octobre 2011
La devinette du mois : il y a quoi dedans ? C'est énorme mais chut à vous de trouver
jeudi 15 septembre 2011
A la découverte de l'Institut Arnaud et de ses soins chic à prix abordable
dimanche 19 décembre 2010
Le parfum des soins : quand ça pue, on jette ou on garde ?
Quand j’étais toute jeune, j’étais naïve, je pensais que le parfum d’un soin était juste dû à l’association de tous les parfums des ingrédients qu’on avait mis dedans. Je ne pouvais pas être plus loin de la vérité. Dans la réalité, il est tout ce qu’il y a d’artificiel et est rajouté à la fin de la formule. D’ailleurs, souvent, dans le brief qui décrit ce qu’elles veulent d’un soin avant sa création, les marques mettent des instructions sur le futur parfum car il doit correspondre à l’histoire et à l’identité de la future crème. Et, de l’autre côté de la chaîne, lorsque le soin est présenté aux journalistes, on a toujours droit à quelques minutes sur la pyramide olfactive qui compose le parfum (note de tête, de cœur et de fond). Car, les fragrances des soins sont imaginées et réalisées par des vrais pros, également auteurs de vrais parfums.