Découverte des vernis Kiko : une nail addict à Manhattan

En bonne beauty addict, je suis partie avec 3/4 vernis pour 15 Jours, des OPI of course de la collection Touring America. Mais lorsque j’ai vu l’immense sac à vernis d’une des collocs chez qui on squatte (bon, il est plus petit que le mien mais je triche vu que je ne les achète pas moi), je n’ai pas pu m’empêcher d’aller fouiller dedans voir s’il n’y avait pas des marques ou des teintes pas dispo en France.
Et si je n’ai pas trouvé de marques inconnues, je suis quand même tombée sur quelques merveilles. Alors forcément je n’ai pas pu m’en empêcher : oui, j’étais crevée et j’étais sur le point de me coucher, oui j’avais mes propres vernis, mais l’appel de la nouveauté a été plus fort. Je me suis fait une manucure sur le champ. J’ai longtemps hésité entre les China Glaze et surtout deux magnifiques vernis Essie (Fifth Avenue qui était de circonstance en plus et un bleu vert clair, Mint quelque chose) et puis finalement j’ai opté pour un Kiko. Je n’avais jamais testé cette marque, alors qu’Essie oui, c’était l’occasion. En plus, je voyais le vernis turquoise, et comme vous le savez j’ai bien du mal à résister à l’appel du turquoise.

Bon, au moment de fouiller dans le sac magique, on était dans la chambre et il faisait bien noir. Une fois le jour levé, le vernis s’est révélé vert mais je le trouve plutôt pas mal quand même. Moi qui n’aimais que les rouges, roses ou oranges, je suis en train de virer ma cuti. De retour en France, je sens que je vais enfin passer pour la première fois dans une boutique Kiko. Le hic, c’est que je ne sais pas comment cette teinte s’appelle. Il n’y avait pas de nom sur le flacon, juste un 1 mais je doute que ce soit son numéro. On verra. Côté application, bien que j’étais dans le noir, ça a été super facile. Et surtout il tient ! Ce qui est un véritable soulagement. Depuis que je suis ici, mes manucures s’abîment hyper rapidement. Sauf celle-là. Vu le petit prix de ces vernis, c’est une bonne surprise.

Pour la peine, je lui ai offert la virée des grands ducs avec un tour sur la Cinquième Avenue et la montée à l’Empire State Building. Depuis que je suis là, j’ai développé une obsession. Limite un TOC, dès que je vois ce gratte ciel, de n’importe où dans la ville, et même si c’est juste sa flèche, je le prends en photo. Je dois en avoir des dizaines maintenant. Alors là, forcément, alors qu’on était au pied, j’ai pas pu m’en empêcher.

PS : Look the ring !