mercredi 31 mars 2010

Prisme Yeux Mono, les nouveaux fards Givenchy : le test

Ceci n’est pas une nouveauté mais je ne l’avais pas encore testée. Ils m’attendaient sagement dans leurs boîtiers depuis un ou deux mois. Quoi donc ? Les nouveaux fards à paupières Givenchy : les Prismes Yeux Mono. Je vous l’ai déjà dit à plusieurs reprises, j’adore le maquillage Givenchy et toutes les merveilleuses petites créations de Nicolas Degennes, donc là j’étais presque conquise d’avance. Le principe ? Avant, on avait les Prisme Again, quatre teintes de fards à paupières différentes dans un joli boîtier (les couleurs des fards et des boîtiers changeaient selon les collections). J’avais testé plusieurs palettes et avait approuvé à chaque fois.


Cette fois, nouveau concept, réinterprétation du prisme, produit culte de la marque : naissance du Prisme Yeux Mono. En fait, au lieu de quatre couleurs différentes, nous avons quatre fois la même teinte mais avec des textures différentes : mat, pailleté, irisé et nacré. De quoi s’amuser un peu et obtenir, en principe, un dégradé de la même couleur en jouant sur les matières. Dès le lancement du produit, Givenchy a vu les choses en grand en sortant seize teintes différentes. Moi, pour ce premier test, et pour une petite soirée filles à laquelle je devais assister, j’ai opté pour le Hip Grey. Du gris donc, pour un regard fumé pas trop appuyé.

Eh ben les enfants, c’est pas peu dire que j’ai été déçue. J’ai trouvé l’application assez difficile car le fard n’accroche pas à la paupière, même avec une base. Donc t’en mets, et t’en remets et t’en re-remets. Long et laborieux. J’ai appliqué le mat (en bas à gauche) sur le coin externe de la paupière mobile, celui en haut à gauche (nacré ? irisé ?) sur l’intérieur de la paupière mobile, le pailleté (en bas à droite) au centre de la paupière pour illuminer et la teinte la plus claire (en haut à droite) dans le pli de la paupière. Appliqué seul, il manquait quand même quelque chose donc j’ai utilisé mon bon vieux khôl au ras des cils supérieurs (en flottant le trait pour éviter un contraste trop fort) et sur la muqueuse. Le regard ressortait mieux ainsi.


Un travail d’orfèvre (oui, j’exagère d’accord) pour un résultat pas si visible. Une fois tous les fards appliqués, on ne voit aucune différence entre eux. Enfin, c’est mon impression. On dirait le même fard sur toute la paupière non ? Vous en pensez quoi vous ? Je suis bigleuse en plus d’être paresseuse ?


J’ai trouvé ce gris un peu terne aussi. Sur les photos, il a l’air hyper lumineux (vive le flash) donc je vous ai mis une photo sans flash à la lumière de la salle de bains pour que vous puissiez vous rendre compte un peu mieux du vrai résultat. Cette impression de terne, ça vient peut-être aussi du temps qu’il fait (gris, gris et encore gris) et peut-être de mon humeur ce jour-là (grise tout pareil). Parce que sur les photos, je trouve le résultat plutôt pas mal finalement. Je n’ai pas forcément appliqué les couleurs dans la meilleure des configurations mais ça m’a l’air moins éteint que ce dont je me souviens.


Pour l’instant, avis plutôt mitigé donc sur ces fards à paupières à 27 € tout de même. J’ai un noir et un blanc de la même ligne, il faut que je les teste pour savoir si mes impressions restent les mêmes. Mais je ne suis pas la seule à avoir été déçue, j’ai retrouvé une vieille note de Diorella qui était déjà arrivée aux mêmes conclusions que moi. Je précise quand même pour pas que vous pensiez que je fais ma bégueule.

cosmopolitan
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mardi 30 mars 2010

Je veux un rouge mat : la suite

Je suis une bécasse. Oui, je pèse mes mots. La semaine dernière, je vous parlais de ma nouvelle lubie beauté : trouver un rouge à lèvres mat. Et bien, en fait, j’en avais un sous les yeux sans que ça ait fait tilt. Comme quelqu’un le disait dans un commentaire, Shiseido a une collection de rouges mats. La marque vient en effet de lancer la gamme Rouge Parfait Mat Eclat, petite sœur de ses superbes Rouge Parfait mais en texture matte. Peut-être un peu obnubilée par les nouvelles teintes de fards à paupières, j’étais passée à côté lors de mon exploration de la collection printanière. Erreur réparée.


La gamme est composée de quatre teintes, un rose nude, un brun, un rose un peu plus soutenu et un corail. Le prix : 25 € le rouge à lèvres. Moi, j’ai opté pour le corail, la teinte la plus foncée, mais qui pour moi est plus un rose rouge. D’ailleurs, je suis assez étonnée qu’ils décrivent cette couleur comme un corail car c’est sans conteste un rouge rose, en plus sa référence est RD325. Mais bon, détail, détail. Ce qui compte, c’est qu’une fois appliqué, il tienne ses promesses et c’est le cas.

Au premier abord, j’ai quand même été un peu perplexe. Le rouge glisse bien et est très agréable à porter (on l’oublie facilement) mais la couleur ne s’applique pas uniformément. Il en met plus sur certaines parties des lèvres que sur d’autres donc il faut repasser pour que la couleur soit homogène. Avec la plupart de mes rouges à lèvres, tu passes une fois et c’est bon, sauf ceux qui sont très pigmentés (rouges ou fuchsias). En fait, finalement, ce n’est pas si étonnant que ça puisque celui-ci associe couleur intense et texture matte.


Le fini mat est plutôt sympa, ça change du maquillage habituel. C’est intense mais moins tape-à-l’œil. J’aime beaucoup. En revanche, si vous avez le moindre défaut sur vos lèvres (gerçures, dessèchement, bobos), ce n’est pas idéal. Le rouge à lèvres va accrocher, encore plus qu’avec les rouges normaux, et donc faire ressortir encore plus tous les petits défauts. La marque nous dit aussi qu’il offre un résultat naturel semi-transparent. Moi, je ne trouve pas. Mais c’est peut-être aussi parce que j’ai testé la teinte la plus intense et que j’ai empilé les couches jusqu’à ce que la couleur pète vraiment. Bon, c’est un intense discret quand même (et les photos ne lui rendent pas hommage, encore. Maudite météo !) Le must ? Il tient très très bien. Pas besoin de retouches toutes les trente secondes.


En tout cas, je suis vraiment séduite. Je l’ai testé pour la première fois la semaine dernière et, depuis, c’est devenu mon rouge de tous les jours. J’ose même le porter avec un œil un peu smoky, comme il n’est pas rouge rouge, je trouve que ça passe. Je vais tout de même continuer ma recherche de rouges mats car je trouve celui-ci assez lumineux (oui, oui, je chipote vraiment pour n’importe quoi) et je voudrais aussi quelque chose de plus sourd.
cosmopolitan
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lundi 29 mars 2010

Un petit avant-goût d'été avec OPI

Ce week-end, on est passé à l’heure d’été, tout comme mon vernis ! (Par contre, le temps, lui, n’a pas suivi. Toujours aussi gris donc photos toujours aussi pourries). Après Jade is the New Black, j’ai une nouvelle fois pioché dans la nouvelle collection Hong Kong d’OPI. Mais cette fois, j’ai choisi un vernis un peu plus dans mes goûts (oui, vous pouvez dire plus traditionnel, ça ne me gêne pas. Enfin, du traditionnel flashy quand même).


J’ai donc opté pour Red is my Fortune Cookie, un très joli rouge orangé vitaminé, parfait pour le printemps-été. Je l’ai testé sur les ongles de mains mais, à mon avis, il sera également parfait pour les orteils. J’aime beaucoup son côté orange sanguine, à la fois flashy et élégant donc facile à assumer quelles que soient les circonstances. (Cette fois, je l’ai appliqué sans top coat, ni base, donc forcément la brillance n’est pas optimum. C’est mal, je sais, mais j’expérimente. Mes vernis ne tenant pas deux jours en ce moment, je voulais voir si cela faisait partie du problème.)
Oui, vous m’avez démasquée, malgré mon goût prononcé pour le fard bleu flashy, je peux aussi être rétrograde côté make-up. Pour une manucure estivale pop et colorée, à choisir entre du bleu et du vert ou du orange et rose, mon cœur de beauty addict penchera toujours vers les deuxièmes. So conventionnelle, je sais, mais j’assume. C’est marrant, je suis plus conservatrice dans mes choix de vernis que de fards à paupières. Et vous ? Votre côté fun, vous l’affichez où ?
cosmopolitan
PS : WTF ! J'ai comme un petit problème de visuel ! Certaines photos ont disparues du blog. Ca vous le fait à vous aussi ? Argh, argh, en plus, il prend pas en compte mes sautages de ligne. Tirage de cheveux. Saleté de technologie !
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samedi 27 mars 2010

Un make-up du regard léger et discret

Personne n’a pu louper mon obsession pour les couleurs de fards à paupières intenses. C’est maladif, je sais, mais, pour moi, le regard il faut que ça flashe. Or, pour certaines occasions, les yeux bleu électrique ne sont pas vraiment appropriés. Hier, par exemple, j’avais deux rendez-vous plutôt sérieux, donc mieux valait mettre en sourdine le maquillage pour ne pas effrayer la bête.


J’ai donc décidé de donner sa chance au fard à paupières VI720 de la collection printanière de Shiseido dont je vous avais parlé ici. Sur le papier (ou plutôt dans le boîtier), il s’agissait d’un mauve parme très léger. Parfait pour un maquillage nude. Une fois le fard appliqué, le résultat était légèrement différent et plutôt étonnant, mais toujours discret. Sous une certaine lumière, il est bien parme mais il penche également vers le rose, un rose très lumineux avec des reflets comme holographiques. Il est également légèrement pailleté mais ce ne sont pas des paillettes imposantes. Elles se font presque invisibles et apportent juste de la luminosité.

Dommage, ça ne se voit pas sur les photos. Temps pourri sur Paris donc zéro lumière donc photos de merde. Je suis un peu déçue là. Et avec le flash, on ne voyait plus du tout le fard donc je ne vous les ai pas mises.

Pour souligner le regard, j’ai fait un trait d’eyeliner au ras des cils sur la paupière supérieure. Trait que j’ai d’ailleurs légèrement raté sur l’œil droit. J’ai beau faire, m’entraîner, tenter et re-tenter, je suis une quiche de l’eyeliner. Pour me faciliter la vie, j’ai même opté pour un feutre liner de chez Miss Den (la marque make-up de Monoprix), qui rend effectivement l’application plus aisée, mais je me loupe quand même de temps en temps. Là, j’étais pressée et en retard donc ça n’a pas loupé (ou plutôt si justement :)).


Pour le ras des cils inférieurs et la muqueuse, j’ai utilisé mon crayon khôl Gemey Maybelline habituel, le feutre ne marquant pas vraiment sur cette zone. Il est super, il a un côté vraiment charbonneux. Pour le nom et la référence, là je donne ma langue au chat. Je ne me souviens plus de son nom exact et le crayon étant sur sa fin, il n’y a plus qu’écrit « Belline » et « Intense Black » dessus.

Pour aller avec ce maquillage des yeux plutôt discret, je me suis évidemment permis une bouche un peu plus imposante que d’habitude avec un rouge rose plutôt pas mal dont je vous parlerai demain. Bien sûr, j’aurais pu opter pour un rouge à lèvres nude mais si je n’ai pas les yeux ou les lèvres hyper maquillés, je me sens nue. Le nude n’est pas fait pour moi.

cosmopolitan
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vendredi 26 mars 2010

Ma Dame de JPG : montrez votre côté glam'rock !

Lorsqu’en 2008, Jean Paul Gaultier a lancé son parfum Ma Dame, j’ai été totalement séduite. La beauty addict que je suis a non seulement aimé la fragrance, composition de Francis Kurkdjian, mais aussi tout l’univers rose’n’roll autour de ce parfum. La campagne en noir et blanc réalisée par Mondino et l’égérie rebelle blonde peroxydée collaient parfaitement à l’essence du jus. A l’époque, j’avais même eu l’honneur d’assister à la folle soirée de lancement avec JPG himself et surtout la superbe Agyness Deyn, encore plus craquante en vrai qu’en photo.

Depuis, je suis l’évolution de la fragrance et de son univers en vraie petite fan. Car Ma Dame est multiple et s’offre des déclinaisons saisonnières racontant de nouvelles facettes de sa personnalité. Et, cette saison, pour fêter son deuxième anniversaire, Ma Dame nous revient encore plus glam et plus rock avec une Eau de parfum mariant rose noire, musc et bois de cèdre. Le flacon, lui, se pare de noir et de rose néon, tout comme le packaging, pour un look encore plus insolent.

Un anniversaire fêté en grande pompe avec la création d’un site internet en l’honneur du parfum. Pour l’occasion, la marque lance d’ailleurs un jeu concours « Etes-vous glam’rock ? » avec des cadeaux prestigieux à la clé : possibilité de gagner des places pour le défilé Jean Paul Gaultier, des accessoires griffés ou des produits de la gamme Ma Dame.

Je peux vous dire que je n’ai pas attendu longtemps avant de tenter ma chance. Je me vois déjà assise next to Anna Wintour lors du prochain défilé (on peut rêver). Le jeu concours est ouvert depuis le 22 février mais, pas de panique, vous avez jusqu’au 15 juillet pour jouer vous aussi. Pour participer, c’est facile, c’est ici : http://www.ma-dame.com/#/etes-vous-glam-rock. Il suffit ensuite de poster une photo de vous sur la Glam’Rock Gallery pour tenter d’être élue la « it girl » Ma Dame.

Vous pouvez même vous amuser à essayer de retrouver ma trombine, que je n’ai jamais affichée jusqu’ici totalement. C’est facile, je me suis inspirée des couleurs du parfum pour mon make-up : un smoky noir et une bouche rose fuchsia. Ok, il y a un piège, les photos sont en noir et blanc (très bonne idée, on est plus jolies comme ça). Sinon, ce serait presque trop facile. A vous de jouer maintenant !

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jeudi 25 mars 2010

Ceci n'est pas un it vernis et j'assume !

Attention, grosse rébellion. La beauty paresseuse dit merde aux it vernis !

Je ne sors presque jamais sans vernis (obligé, sinon, je me ronge les ongles). Je suis également une grande fan des vernis Dior et Chanel. J’ai toujours beaucoup aimé leurs couleurs stars de la saison et les ai presque toutes immédiatement adoptées (noir, bleu, rouge noir, orange, pas un ne manque à ma collection ou presque). Mais dernièrement, j’ai eu un trop plein face à ces nouveaux lancements et surtout au buzz démesuré qu’ils ont entraîné. Trop de rabâchage tue le produit. Overdose de 505, déjà marre du nouveau vernis Dior qui ne sort pourtant que dans six mois, gros questionnement sur les couleurs qu’on annonce comme les indispensables de l’été.

Et puis surtout, ces nouveautés que presque tout le monde veut arborer au bout des doigts, eh bien, je les trouve plutôt moches. Vert jade, jade foncé, marron caca, bronze caca… Pas vraiment inspirant. Les grands gourous de la beauté auraient-ils perdus leur flair ? Il y a bien quelques réussites et jolies choses (chez Givenchy, OPI) mais, étonnamment, ce ne sont pas les vernis qui recueillent le plus de suffrages. La beauty addict que je suis aurait-elle perdue la boule et sa boussole du beau et du bon goût ?


Quoi qu’il en soit, cette semaine j’ai eu envie d’un vernis à la fois féminin et classe et j’ai donc opté pour un de mes chouchous que j’utilise depuis un bout de temps et que je trouve toujours aussi beau (back to basics comme dirait Cricri Aguilera). Le vernisplash Rouge 104 de Masters Colors. La marque n’est pas hyper connue, c’est la marque maquillage des instituts Guinot, mais c’est de la très bonne qualité. Il tient super bien et il est censé être water-resistant. En gros, il ne se fait pas la malle quand t’es à la plage. Bon, là je peux pas vous dire, je ne me rappelle pas l’avoir utilisé dans ces conditions.

La couleur est basique mais chic. Pas tendance, ok, mais justement pas de date de péremption non plus. Son prix moyen : environ 16 €. Et surtout, à chaque fois que je le porte, j’ai droit à des compliments. Ce qui n’est pas toujours le cas. Par exemple, le Jade is the new black d’OPI m’a valu plus de « Il est pas très beau ton vernis » dans la vraie vie que de soupirs d’extase. Non, là c’est une valeur sûre pour un look glamour et smart.


Il m’a tellement bien servi que, comme vous pouvez le constater sur la photo, il est bientôt terminé. Snif. Bientôt « A la recherche du parfait vernis rouge ». Vous remarquerez aussi sur la photo que la manucure a l’air cracra et les ongles pas lisses. La faute à un top coat pourri. D’où ma constatation désolée : non, tous les top coats ne se valent pas. Donc bientôt également « A la recherche du parfait top coat ». Teasing à mort ;)
Et don't forget, camarades beauty addicts, on dit non à l'abstention ! Merci :)
cosmopolitan
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mercredi 24 mars 2010

Amande Persane de Roger&Gallet : un délice des sens

Je me suis fait plaisir aujourd’hui avec une délicieuse petite pause gourmande. Comme beaucoup d’entre vous, marquées à vie par la colle Cléopatra, l’amande est mon parfum doudou. Impossible d’y résister. Et justement, j’ai trouvé une nouvelle façon de satisfaire mon péché mignon : la nouvelle gamme Roger&Gallet, Amande Persane. Inspirée par les jardins de Perse, elle met surtout à l’honneur une amande douce amère.


On ne pense pas vraiment à aller regarder du côté de cette marque car elle n’a pas forcément une aura glamour (genre Chanel, Dior), girly (genre Bourjois) ou qu’elle ne tente pas de nous séduire avec des discours comme « c’est génial, ça vient des States », « c’est archi nouveau », « c’est la marque préférée des grandes stars ». Non, c’est une marque bien française et qui existe depuis très très longtemps. Certaines diraient même old school. Pas faux mais pas totalement vrai. Oui, c’est une marque qui a une histoire, notre grand-mère ou notre mère voire notre père en sont sûrement fans. Mais pour moi, elle renvoie avant tout l’image d’une marque chic et classique mais pas hors de prix et avec surtout de super produits, que ce soit les colognes ou les soins pour le corps.

Quand j’ai découvert que Roger&Gallet sortait une nouvelle Eau Fraîche Parfumée à l’amande, la beauty addict que je suis n’a donc pas pu résister. Et je n’ai pas été déçue. C’est une eau fraîche donc forcément le départ est frais et vert avec des notes d’agrumes (Bergamote, Mandarine). Puis se développe un cœur délicieux d’amande amère et d’iris absolu renforcé par la fève tonka et le cèdre de l’Atlas. D’ailleurs le côté amandé vient autant de l’huile essentielle d’amande que de la fève tonka. Je trouve que la fragrance est une totale réussite. Notamment car les notes fraîches permettent d’avoir un parfum portable et élégant, l’amande seule pouvant se révéler rébarbative.


Pour prolonger le plaisir, on pioche dans la gamme parfumée Amande Persane qui sera lancée au même moment et qui est composée d’un savon liquide, d’un gel douche, d’un lait hydratant pour le corps, d’une crème riche nourrissante et du mythique savon de la marque dans son boîtier rond de voyage ou en coffret de 3. Moi, je me suis autorisé le trip gel douche + lait parfumé. Et là, j’ai l’impression d’être une douceur qui n’attend que d’être croquée.

La gamme sortira le 1er avril (patience, patience) et les prix vont de 49,50 € pour une Eau parfumée de 200 ml, à 5,60 € pour le savon seul. Pour les produits corps, cela tourne autour de 11/15 €, sauf la crème riche qui est à 20 €. Plutôt raisonnable je trouve pour des gourmandises qui ne nous feront pas prendre un gramme.

Sinon, ils ont remis les compteurs à zéro dans le concours blog Cosmo donc remobilisons-nous. c'est le come-back du click-click :)

cosmopolitan
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mardi 23 mars 2010

Envie d'un rouge mat

Hier, je suis allée voir L’arnacoeur, le film avec Romain Duris et Vanessa Paradis. Qu’est-ce que ça vient faire là, me direz-vous, ça n’a pas vraiment de rapport avec la beauté ? Et bien, dans mon esprit tordu, si. Parce que dans plusieurs scènes, Vanessa Paradis porte un sublime rouge à lèvres rouge rose fuchsia profond (la couleur était hyper belle mais assez difficile à décrire car ni rouge, ni rose, ni fuchsia). Me voilà donc pendant une vingtaine de minutes à penser dans un coin de ma tête : « Whaou, magnifique, je veux le même. Je me demande bien ce que c’est. Quelle marque ? Un Rouge Coco de Chanel. Non, j’ai pas l’impression. » Là j’essaie de me remémorer les références tout en continuant de regarder le film pour finir par me dire que non, cette couleur n’était pas dans la gamme du nouveau rouge Chanel. Mais alors d’où venait-il ?


Et puis surtout, ce rouge était mat, ce qui donnait un rendu encore plus beau. Et c’est là que ça m’a frappé. Parmi mes dizaines de rouges à lèvres et les centaines qui me sont passés entre les mains depuis que j’ai délaissé le gloss, je n’ai pas de rouges mats. J’ai du plus ou moins satiné, du glossy, du brillant, du moins brillant mais pas vraiment mat, du pailleté.... Et là, je me dis, ô rage, ô désespoir, il m’en faut absolument un, le fini est vraiment superbe. Donc, c’est décidé, ma prochaine expédition à la recherche du make-up parfait sera pour un rouge à lèvres mat. D’ailleurs si vous avez des pistes, je suis preneuse. Mais attention pas du faux, du vrai, du sourd. Parce que du faux mat, j’en ai et ce n’est pas ça que je cherche. J’ai essayé de vous trouver une photo du film et du make-up mais après avoir retourné le web de fond en comble, celle-ci est la seule que j’ai trouvée. Et, oui, je vous le concède, difficile de se faire une idée. Peut-être que si vous avez vu le film, vous comprenez.

Voilà jusqu’où va mon obsession de beauty addict. Le pire, c’est que cette couleur est sûrement un mélange de plusieurs rouges différents (peut-être même pas de la même marque) et, qu’à la base, il n’était même peut-être pas mat non plus (un petit peu de poudre par-dessus et le tour est joué).

cosmopolitan
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lundi 22 mars 2010

Les patchs amincissants : parfait pour les flemmardes

Impossible de passer à côté vu que les avertissements s’affichent en lettres capitales sur les couv’ de nos mags préférés : la terrible EPREUVE DU MAILLOT APPROCHE. Le compte à rebours vers notre « BAC option corps parfait » a commencé. Et pour réussir le test estival, il faut se mettre au régime immédiatement, reprendre le sport et se tartiner de crème minceur. Bon, je caricature beaucoup mais c’est vrai qu’avec le retour du soleil, on commence à ôter les couches qui camouflaient notre corps durant l’hiver. Et parfois, ce que l’on découvre est légèrement flippant. Tiens, on ne s’était pas aperçue qu’on avait autant stocké. Bonjour l’angoisse. Comment rentrer ce fessier qui a pris ses aises dans notre maillot préféré ?

Je ne fais pas exception à la règle. Comme l’univers, mon corps est en perpétuelle expansion. L’idéal ? Faire du sport. Je ne m’y suis pas encore résolue. Quand tu fais du sport, tu transpires, ton maquillage coule et tes cheveux frisottent. Ca va pas du tout quoi. Bon, alors améliorer mon régime alimentaire. Oui, dans l’absolu ce serait la chose à faire. Mais je ne suis pas encore prête à renoncer à mes douceurs quotidiennes. Pour venir à bout de la cellulite qui a pris ses quartiers sur mes rondeurs, il ne me reste donc que les crèmes minceur. En théorie. Passons sur le débat efficaces/pas efficaces. Moi, mon problème serait plutôt l’assiduité. Car, justement, pour qu’elles aient vraiment une action, il faut les appliquer quotidiennement voire deux fois par jour. Et là, la paresseuse que je suis abandonne avant même d’avoir commencé face à l’effort intense à déployer.

Et puis, je suis tombée sur les Patchs Minceur au Thé Vert de Linéance. Une application pas prise de tête, ça semble être parfait pour les grosses flemmardes comme moi. Le principe est simple : tu colles ton patch sur la zone que tu veux cibler sur peau propre et sèche. Et tu le laisses agir pendant 24 heures. Le patch va alors diffuser son cocktail d’actifs amincissants (une association de trois ingrédients star des soins minceur : thé vert, caféine et L-Cartinine). Selon la marque, le patch aurait un résultat amincissant global en plus de son action anti-cellulite ciblée. Moi, je viens juste de commencer à l’utiliser donc, sur cette partie-là, je ne peux rien dire. Mais bon, on connaît le principe, il ne faut pas s’attendre à un miracle si on n’adopte pas une hygiène de vie plus saine.


Côté sensations, ça donne quoi ? Et bien rien. Une fois appliqué, on ne sent plus du tout le patch. La marque nous dit qu’ils se font complètement oublier. Et bien, c’est ben vrai ! D’ailleurs, pour les paresseuses et têtes en l’air comme moi, je ne suis pas sûre que ce soit une si bonne chose. Bon, ok, avoir un patch qui te gratouille toute la journée, c’est pas vraiment le nirvana. Mais là, je l’avais appliqué sur le fessier droit (je suis sympa, je vous évite la photo du patch testé ;)), je me suis habillée tranquille et il m’est totalement sorti de la tête. Pas de sensations désagréables au niveau du frottement avec les vêtements, pas de tiraillements, rien. Ce qui fait que le lendemain, je m’en vais sous la douche avec, toujours sans m’apercevoir de rien. (L’occasion de confirmer l’affirmation de la marque qu’il résiste aux douches. Après savonnage, il était toujours là.) Je me rhabille bis. Et puis mon regard tombe sur la boîte. Et là, je me dis : merdouille, faudrait peut-être que je l’enlève ! Le patch transparent a ses avantages (il faut avoir le nez dessus pour le remarquer) mais aussi quelques inconvénients. On ne se moque pas !

Après la première application, on colle un deuxième patch sur une autre zone pour laisser reposer la peau (et pour ne pas se retrouver avec un fessier droit plus mince que le fessier gauche ;)). Et surtout, on n’en colle qu’un à la fois. Attention à l’overdose de produit amincissant. En revanche, on peut l'associer à une crème minceur sans problème. Pour le prix, je ne sais pas si c’est plus avantageux qu’une crème. La boîte de 14 patchs (donc 14 jours) est à 16,65 €. En fait, ça dépend de la durée de vie de ta crème et ça dépend également de ton assiduité. Si tu en mets tous les jours et sur des zones importantes du corps, à mon avis, elle ne fait pas long feu non plus.
cosmopolitan
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dimanche 21 mars 2010

Make-up du jour : un regard qui flashe

J’ai délaissé les tests de nouveautés pour le week-end. J’avais envie d’un retour aux basiques (enfin plutôt à mes basiques) avec un maquillage des yeux bleus électriques. Et le résultat est encore plus intense que ce à quoi je m’attendais. Quand je veux un regard bleu Klein, en général, j’opte pour mon fard chouchou YSL. Mais là j’avais envie de changer. Puisqu’il est bientôt sur sa fin, il faut que je commence à lui chercher un remplaçant (triste nouvelle).


J’ai donc choisi de ressortir du placard une palette quatre couleurs Sephora, édition limitée de l’été dernier. A l’époque j’avais eu le coup de foudre pour ce Rubik’s Cube aux couleurs flashy. Mais une fois les ombres testées sur la paupière, j’avais été un peu déçue. Les couleurs n’étaient pas si intenses et surtout ne tenaient pas très bien. Il faut dire que je l’avais utilisée sans base. Shame on me.

Cette fois, j’ai donc fait les choses dans les règles. J’ai d’abord utilisé le crayon gras Contour Clubbing Waterproof 46 bleu néon de Bourjois sur toute la paupière mobile (en base donc). Puis j’ai appliqué par-dessus l’ombre bleue en haut à gauche de la palette. Enfin, j’ai terminé par un trait de crayon bleu néon Bourjois toujours au ras des cils supérieurs et inférieurs pour encadrer le regard.


Et j’avoue être plutôt satisfaite du résultat. Les couleurs seules sont déjà sublimes mais ainsi mariées elles sont encore plus belles et plus flashy. En plus, la combinaison des deux a une tenue dingue : le fard n’a pas bougé de la journée (en revanche, mieux vaut prévoir un démaquillant waterproof parce qu’avec mon démaquillant yeux basique, j’ai eu un mal fou à retirer complètement ce duo infernal). Et surtout, c’est un maquillage hyper simple à faire. Tout ce que j’aime. Un peu de crayon, du fard et le tour est joué. Pas besoin d’y passer des heures pour avoir un joli make-up intense.


Vous en pensez-quoi ? Moi, j’adopte sans hésiter.
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vendredi 19 mars 2010

Les nouveaux fards à paupières Shiseido : le pastel à l'honneur

Je suis un peu en mode monomaniaque en ce moment. Je continue donc mon testage intensif des nouveautés fards à paupières pour le printemps 2010 avec les Ombres Doux Eclat de Shiseido. La marque vient en effet de sortir cinq nouvelles teintes qui viennent s’ajouter à sa collection de fards lancée en septembre dernier. Et ces petites nouveautés aux couleurs très douces, dans des tons pastel, sont plutôt réussies et très printanières justement. On a un rose pêche (PK319), un blanc crème (YE121), un mauve clair (VI720), un vert (GR222) et un bleu (BL223).


Forcément, ça ne vous étonnera plus à ce stade d’obsession, j’ai flashé immédiatement sur le bleu et le vert (à gauche sur la photo) qui sont à la fois pastel et flashy. Oui, c’est possible, la preuve. En fait, on peut en appliquer juste un peu et on aura un résultat assez discret. Ou, comme moi, on choisit d’avoir la main lourde et là on a des couleurs intenses. Claires et pastel mais intenses.




Mon préféré des deux, c’est quand même le bleu. On dirait un ciel sans nuage un jour d’été. Oui, il me rend poète, on ne se moque pas. J’ai été agréablement surprise par le résultat que je n’attendais pas aussi flashy.






J’aime beaucoup le vert aussi, mais moins. En fait, je trouve le vert clair moins joli en général que le bleu clair. D’ailleurs, de tous les fards verts que j’ai testés, jusqu’ici aucun ne m’a totalement conquise. Et pourtant, je cherche depuis longtemps un fard vert flashy (mais du bon vert). Le plus proche de mes envies, pour l’instant, c’est Flipside d’Urban Decay et encore ce n’est pas un vrai vert. Il tire plus vers le turquoise. Faudrait que je rejette un œil sur la palette Alice in Wonderland, si je me souviens bien il y en a un dedans. Enfin, je m’égare.



Pour revenir aux fap Shiseido, je vous ai fait un swatch des trois autres nouveautés mais on voit pas vraiment le résultat final tellement elles sont pastel.

En fait, mon seul bémol c’est que la texture est vraiment poudreuse (ça se voit d’ailleurs sur les photos des fards appliqués). Donc les filles qui aiment leurs ombres à paupières irisées ou pailletées et les finis satinés ou glossy seront déçues. Le résultat est plutôt mat, lumineux oui (les teintes sont claires donc elles apportent de la lumière) mais en même temps pas lumineux. Je ne sais pas si vous me suivez là. Je ne pense pas.

Les fards sont à 25 € et sont disponibles depuis février.
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jeudi 18 mars 2010

Jade d’OPI, le it vernis du printemps ?

Lorsque j’avais découvert la collection Hong Kong d’Opi, j’avais flashé entre autres sur Jade is the New Black. Celles qui me suivent depuis le début s’en souviennent peut-être, j’avais essayé chaque vernis sur un ongle (pour les autres, petit rappel des faits ici). Je trouvais alors sa couleur hyper jolie mais en même temps je me demandais si appliqué sur l’ensemble des ongles, ce serait vraiment esthétique et surtout portable. Et j’en avais conclu que non. Vraiment trop difficile à assumer et pas assez féminin. Déjà le Jade vert clair sorti par Chanel l’année dernière, je n’avais pas du tout adhéré.


Et puis, sur plein de blogs, on a vu fleurir des petites mimines colorées avec ce Jade profond. Et là, étonnamment, j’ai trouvé ça plutôt pas mal et même classe. Quoi, me serais-je totalement plantée sur ce coup-là ? Voilà que tout le monde le comparait au 505 de Chanel, faisant de lui le nouveau vernis à avoir absolument. Comme il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, j’ai donc décidé de lui donner une deuxième chance, sur tous les ongles cette fois. C’est donc mon vernis de la semaine.

Et je peux dire que je suis assez partagée sur le résultat. Oui, effectivement, la teinte est très belle. Mais elle est aussi très verte. J’ai l’impression d’avoir du gazon (maudit ou pas) au bout des doigts. C’est peut-être un manque d’habitude car j’opte très souvent pour des vernis aux teintes plus classiques (enfin, façon de parler) : rouge, orange rose flashy, fuchsia, noir, bleu marine et même violet de temps en temps. Non, finalement, je suis plutôt d’accord avec mon avis initial, ça ne fait pas très femme, pas très élégant. C’est parfait si on veut une manucure excentrique, sortir du lot. Mais si on veut jouer sur la féminité ou le glamour, mieux vaut ne pas se mettre au vert. C’est comme le 505 de Chanel que je n’aime pas du tout. Je ne comprends vraiment pas toute l’agitation autour de cette teinte marronnasse. En tout cas, dans la collection Hong Kong, je maintiens que le rouge et le orangé sont les plus belles teintes. Enfin, pour moi. Et vous vous en pensez quoi ? Vous avez déjà craqué pour cette couleur ?
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mercredi 17 mars 2010

Quand les fards à paupières changent de couleur

Hier, Peau Pourrie, qui avait également craqué pour les nouveaux fards à paupières L’Oréal Chrome Intensity, soulevait un point intéressant et complètement hallucinant. En appliquant son fard violet Purple Impression sur un crayon gras noir, elle se retrouvait non pas avec la teinte originale mais avec un bleu électrique aux reflets violet sombre. Et comme elle n’avait craqué que pour ce fard, elle m’a demandé si le process chimique se reproduisait sur les autres teintes. Mission acceptée et aussitôt accomplie, trop curieuse que j’étais. Me voici donc partie dans un maquillage de bras intensif.


Je me suis donc emparée de mes crayons gras Aqua Eyes MUFE pour voir ce que ça donnait de mes propres yeux. Et effectivement, mon violet rosé avec des reflets bleutés a totalement changé de couleur. Sur la photo, on a de gauche à droite : appliqué sur un banal crayon noir khôl (je voulais voir ce que ça donnait aussi), sur le crayon rose clair (23L) de MUFE, sur le violet, la teinte normale sans rien et sur l’Aqua Eyes noir. A chaque fois, la couleur était différente : d’abord un violet foncé/bleu électrique, puis un violet rose proche de la teinte originale (juste un peu plus intense), ensuite un violet profond, la couleur normale, et enfin un violet sombre avec des reflets bleu électrique. Je pense que, selon les pigments du crayon noir utilisé, le fard penchera plus vers le violet ou vers le bleu.

Je vous l’accorde, quand on y réfléchit bien, ce n’est pas étonnant que, mélangée à du noir, cette teinte plutôt claire change totalement. C’est de la chimie pure (du rouge et du jaune, ça fera du orange, du rouge et du bleu, du violet). Et j’avais déjà repéré lors de mon premier test les pigments bleus (ici). Le noir les a boostés, tout simplement. Mais c’est quand même étonnant. Surtout pour moi qui n’utilise jamais de crayon gras sous le fard à paupières (justement pour conserver sa teinte originale) mais toujours une vraie base. Oui, même pour les smoky. Chacune sa méthode. Ici, si on veut conserver sa teinte originale, il faudra donc opter pour un crayon gras clair rosé. En tout cas, ce fard qui ne me plaisait pas vraiment se révèle aujourd’hui très intéressant. Je suis fan de cette nouvelle couleur hyper intense et qui évolue selon la luminosité. Donc, merci Peau Pourrie.



Qu’en est-il des deux autres fards en ma possession ? Pour le turquoise, la couleur change également mais pas aussi spectaculairement. Le crayon noir booste les pigments verts et donne une teinte qui ressemble beaucoup à Flipside d’Urban Decay. Je ne sais pas si vous voyez quel fard c’est, mais il est superbe, c’est un de mes chouchous. Par contre, pas vraiment de différence pour le bleu, la couleur est juste plus intense. Ce qui est logique finalement puisque le fard est déjà sombre.

Découverte sympa en tout cas et je pense que je vais tester ce mélange explosif avec mes autres fards (et là, y’a du boulot), voir si je peux obtenir de jolies couleurs inédites. Sur ce, l’indienne que je suis va se démaquiller les bras (oui, je trouve que ça fait un peu Pocahontas ces peintures de guerre).
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mardi 16 mars 2010

Le regard blue avec la palette Thierry Mugler

Il n’y a pas longtemps, je vous parlais de la Blue Collection de Thierry Mugler (ici) et de mon coup de cœur pour la palette Regard Stellaire Blue Rhapsody (et là). Enfin, surtout pour l’une de ses couleurs, le turquoise. D’ailleurs, en véritable paresseuse que je suis, je n’avais testé que cette dernière. Elle avait alors fait l’unanimité ou presque et beaucoup d’entre vous m’avait demandé ce que donnaient les deux autres portées. Voici donc ma proposition de maquillage avec les deux bleus de cette palette que vous pouvez voir sur la photo juste en dessous.

Petite originalité, pour une fois, je ne vous fais pas le coup de l’aplat en monochrome sur la paupière mobile. J’ai décidé de changer un peu. Comme je trouvais que ces couleurs se mariaient parfaitement, j’ai tenté un maquillage un peu plus élaboré que d’habitude (enfin, c’est pas le Pérou non plus, mais c’est une première quand même).


J’ai appliqué le bleu le plus clair (une teinte un peu blue jean) avec un pinceau plat sur la paupière mobile puis je l’ai encadré avec le plus foncé. Avec un pinceau peintre, j’en ai d’abord appliqué dans le coin externe de la paupière puis je l’ai ramené vers l’intérieur dans le pli mais également au ras des cils supérieurs.


Pour le ras des cils inférieurs, sur l’extérieur j’ai appliqué la teinte la plus foncée et la plus claire dans le coin interne de l’œil. Puis j’ai estompé un peu. J’ai fait également un deuxième essai en rajoutant une touche de turquoise au centre de la paupière mobile pour illuminer mais pas sûr que cela se voit sur la photo (surtout que je ne sais plus trop quelle photo c’est. Mal, je sais). J’espère que j’ai été claire et que vous avez tout bien compris.

Alors, vous en pensez quoi ?

Moi, je trouve les couleurs très jolies et très lumineuses (mais aussi très pailletées). Le résultat est plutôt sympa. Enfin, il manque quand même quelque chose non ? Peut-être aurais-je dû rajouter du crayon noir ou un trait d’eyeliner. J’ai tellement l’habitude d’avoir le regard encadré de khôl charbon que là, j’ai comme une impression de fade. En tout cas, portés, les fards sont très beaux.


Mais paradoxalement, après ce test, je suis plutôt très déçue. Pas par les couleurs mais par la texture de ces deux fards qui les rendent extrêmement difficiles à appliquer. J’ai dû en rajouter une dizaine de fois pour que la couleur se voie vraiment, ils n’accrochaient pas à la paupière. Et il y a eu une quantité de chutes impressionnante. J’en avais presque plus sous les yeux que sur la paupière. Je n’avais pas eu autant de problèmes avec le turquoise, même si ce n’est pas le fard le plus facile à appliquer que j’ai connu non plus. En fait, leur texture est légèrement différente, les bleus sont plus poudreux, le turquoise plus soyeux. Je les ai testés avec la base de la palette mais il faudrait les tester avec une vraie base, genre la PP, pour voir si le problème persiste.


Mais quand même, mon verdict, c’est qu’à ce prix-là, on veut des produits parfaits. La beauty paresseuse que je suis n’apprécie pas particulièrement d’avoir à s’y reprendre dix fois pour obtenir une couleur intense sur son regard. Surtout quand, pour certains fards, il suffit d’un seul passage. Donc plutôt déçue car Thierry nous avait habituées à mieux.
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lundi 15 mars 2010

L'extase avec le nouveau mascara Dior ?

Comme tout le monde, ou presque, j’ai foncé chez mon marchand de journaux pour avoir le Biba du mois avec sa miniature du nouveau mascara Dior. Les mascaras de la maison étant mes préférés, je voulais absolument tester ce petit nouveau. Ayant adoré et aussitôt adopté Diorshow, Blackout, Iconic, il fallait que je sache si je succomberais à l’Extase aussi.


Donc j’avais hâte de voir cette « petite merveille » si encensée et qui faisait des cils de martienne à Monica Bellucci dans une pub totalement crédible (moui, moui, on y croit très fort). Justement, cette pub, elle nous promet un volume gonflant spectaculaire et une brosse Couture (je cite). Pour ce qui est de la brosse, effectivement, elle n’a pas la même tête que les brosses Dior habituelles. Elle alterne grosse épaisseur/mince épaisseur/grosse/mince. Quant au mascara, oui, il apporte du volume aux cils (pas spectaculaire non plus le volume, comme d’hab, il y un peu d’exagération, mais pas mal quand même) et il les allonge également considérablement. Je vous ai mis une photo d’un œil pas maquillé et d’un autre avec le mascara pour que vous puissiez voir la différence. Il fait quand même du bon boulot, je trouve. En tout cas, il ne fait pas honte à ses illustres grands frères.

Après, a-t-il vraiment quelque chose de plus que ses aînés ? Moi, en ce moment, j’utilise Iconic. Je l’ai donc appliqué sur l’autre œil pour pouvoir comparer. Et bien, sincèrement, je ne vois pas trop de différence. En observant bien, Iconic allonge plus les cils (à droite sur la photo ci-dessous). Extase (à gauche) donne peut-être un peu plus une impression de volume car il colle certains cils ensemble (sans pour autant faire de paquets) alors qu’Iconic les sépare plus. Mais la différence est minime, je trouve. Qu’en pensez-vous ?


Par contre, l’application avec la miniature et sa mini brosse était plutôt coton.
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