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mercredi 21 janvier 2015

Je garde, je jette ? Le bilan beauté de décembre 2014


J’ai commencé à écrire cette note il y a bien deux semaines. Et puis, je n’ai plus eu la tête à ça et je l’ai mise de côté. Ainsi que les produits terminés qui vont avec. Mais ça m’a frappé vendredi, nous sommes déjà mi janvier. J’ai l’impression de n’avoir rien accompli ce début d’année. Je voulais me remettre sur de bons rails et finalement le temps m’a encore filé entre les doigts. Une reprise en main était donc nécessaire. Il est temps de vraiment mettre ce blog à l’heure de 2015. Mais pour cela, il faut définitivement laisser derrière moi 2014. Alors j’ai ressorti ma petite boîte de flacons vides pour enfin terminer ce bilan cosmétique du mois de décembre dernier.


Il s’agit toutefois d’un bilan un peu particulier. Je suis bien arrivée à ma traditionnelle moyenne de 7 victimes en un mois mais grâce à des circonstances exceptionnelles. Je n’ai pas triché, mais j’ai dû me débarrasser de certains produits alors que leur heure n’était pas encore venue. Je traîne en effet une conjonctivite allergique depuis des mois et elle ne veut pas partir. Et en plus de me dire qu’il vaudrait mieux que je ne me maquille pas pendant mon traitement (de 3 mois le traitement, oui, ô rage, ô désespoir) mon ophtalmo m’a aussi conseillée de jeter tous les produits de maquillage pour les yeux utilisés ces derniers mois (ce que j’aurais dû faire avant). Parce qu’ils ont pu être contaminés et que donc il y a risque de me re-contaminer avec. Le cercle vicieux de l’enfer quoi. Bon, je n’ai pas eu le cœur de sacrifier mes fards à paupières poudre (je me suis dit qu’il n’y avait pas de risque puisque pas de contact direct avec l’œil, j’espère ne pas avoir tort), mais j’ai fait le vide dans mes mascaras ouverts et j’ai aussi dit adieu à mon liner. Voilà comment j’ai atteint mon quota ce mois-ci. Et oui, il y a donc beaucoup de maquillage et surtout de mascaras dans ce bilan cosmétique de décembre. Mais la traditionnelle question se pose tout de même : je garde ou je jette ? Ou plutôt : je rachète ou non ?


Savon Le Naturel Extra Pur de Marseille Miel de Lavande
OUI
J’aime bien les savons liquides de cette marque. Ils sentent bon, ne dessèchent pas les mains et le packaging bien qu’assez simple est tout de même élégant je trouve. En plus, ils ne sont pas chers du tout pour 500 ml (et au rythme où je descends mes pousse-mousse, c’est un critère important). Toutefois, même si ce parfum de lavande est plutôt réussi, comme je ne suis pas très lavande, je préfère la version originale qui sent le savon de Marseille (une odeur qui me rappelle mon enfance).


Volume 1 Seconde Mascara Ultra Black, Bourjois
Je dirais OUI
Devoir jeter 5 mascaras à la poubelle, ça m’a fait mal. Mais c’est aussi ma faute. Je n’aurais jamais dû en commencer autant en même temps, sachant que je mets un an à en finir un. Mais c’est aussi le problème de ce métier, tu dois constamment essayer des nouveautés pour pouvoir en parler. Ce qui amène forcément du gâchis (j’essaie d’en faire le moins possible mais je ne suis pas infaillible). Toutefois, c’est de jeter celui-ci qui m’a le plus fait mal au cœur. Car je venais de le commencer. Quand mes yeux ont commencé à gratter la première fois, je me suis dit que c’était peut-être mon mascara qui commençait à se faire vieux. Je l’ai donc mis de côté et ai étrenné celui-ci. En plus, comme c’était une nouveauté, je me suis dit que ce serait l’occasion d’en parler sur le blog. Il faisait en effet partie de la collection noël de Bourjois. Finalement, je n’ai même pas eu le temps de le tester à fond, ni de prendre des photos pour vous montrer le résultat. J’ai dû l’utiliser une dizaine de fois et ça me fend le cœur de le jeter, mais c’est pour le bien de mes yeux. Le pire, c’est que je commençais juste à l’apprécier (chez Bourjois, ils sont aussi très bons côté mascara). Les premières utilisations, ce n’était pas ça (je crois qu’il m’a fallu du temps pour apprivoiser sa brosse) puis il a finalement révélé son potentiel. Je trouve qu’il allonge beaucoup plus qu’il n’apporte de volume mais il étoffe bien tout de même la frange de cils. Ce n’est pas le volume le plus fou que j’ai connu, mais c’est un bon volume. On a dû se séparer juste quand je commençais à me dire qu’on allait bien s’entendre. Mais comme on se quitte sur une note positive, j’ai décidé de lui dire oui.


Mascara Volumisant Lash Domination, BareMinerals
OUI
J’ai longtemps voulu vous faire un article sur ce mascara que j’aime beaucoup mais n’ai jamais pris le temps de faire les photos. Il offre exactement le résultat que j’aime : des cils allongés, un volume boosté et donc un frange étoffée (et bien noire). On n’est pas dans un effet faux-cils hyper spectaculaire et dramatique mais on voit une vraie différence avant/après. Et pas besoin de travailler pendant des heures pour avoir un résultat. Mon seul petit bémol, c’est le packaging qui vieillit mal comme tu peux le constater. 


Volume Million de Cils Luminizer Black Diamond, L’Oréal Paris.
OUI et NON
J’adore le mascara Volume Million de Cils de L’Oréal Paris. Je le trouve vraiment efficace pour apporter du volume aux cils, tout en les allongeant aussi dans le même temps. Avec lui, ma frange était nettement étoffée. Il reste donc parmi mes mascaras préférés. Après, celui-ci est une version de couleur brune et je préfère définitivement mon mascara bien noir. Je trouve aussi le concept de la gamme Luminizer (qui je pense n’existe plus) qui était d’assortir mascara, liner et fard à paupières de même couleur, un peu bidon. Donc oui, au Million de Cils mais dans sa version classique ou Extra Black.


Black Lacquer Mascara Cils Architecte 4D, L’Oréal Paris.
OUI
Ben oui, aussi. C’est un fait, j’aime les mascaras de L’Oréal Paris, je trouve qu’ils sont très bons dans ce domaine. Bon, ils ont tendance à faire des pubs exagérées qui pénalisent presque le produit. Ce qui est dommage car en soi, les mascaras sont en général top. Et celui-ci ne fait pas exception (il est un peu vieux donc je ne sais pas s’il existe encore). Je préfère tout de même le Volume Million de Cils mais cet Architect 4D fait du bon boulot pour allonger et étoffer les cils. Mais disons que j’ai une préférence pour les brosses un peu pus grosses. Celle-ci est un peu fine pour moi. Ca permet de sculpter et travailler le regard, ce qui est bien en soi, mais ça demande peut-être un peu plus de temps et de travail. En bonne paresseuse, forcément, je préfèrerais toujours un mascara qui fasse le job en moins de passages. On ne se refait pas. Toutefois, le résultat étant là (et comme il ne demande pas non plus d’avoir fait Bac + 50 pour savoir l’utiliser comme certains produits récents), je lui dis tout de même un grand oui.


Diorshow Iconic Extreme, Dior
OUI
Vous devez vous dire que j’aime tous les mascaras. Non, ce n’est pas le cas. Mais comme je mets très longtemps à finir ce genre de produits, je ne m’embête pas avec ceux que je n’aime pas. Si le résultat maquillage ne me plait pas, je ne vais pas me les coltiner une plombe alors que j’en ai tant d’autres dans les tiroirs. Donc je les donne assez rapidement aux copines (avant, je pouvais me le permettre, je n’avais jamais eu de conjonctivite de ma vie, maintenant, je ne suis plus si sûre, je ne voudrais pas leur refiler mon fléau). Bref, si je n’aime pas un mascara, il n’arrive pas jusqu’ici. Celui-ci m’a plu comme nombre de mascaras Dior (ils sont vraiment forts pour les mascaras chez Dior). Comme le Iconic classique, j’aimais bien le résultat : il boostait longueur et volume. Bon il est un peu vieux donc je ne sais pas s’il existe encore.


Super Liner Perfect Slim, L’Oréal Paris
OUI
Tristesse, lui non plus n’avait pas rendu son dernier souffle mais pour le bien de mes yeux, j’ai dû lui dire au revoir. Je l’aimais bien parce que sa longue mine (beaucoup plus longue que la moyenne) facilitait le tracé. En effet, comme elle est très longue, elle couvre plus de « terrain » d’un coup, dessiner son trait est donc plus simple et plus rapide. Et on a moins de risque de déraper. Parfait pour une handicapée du liner à la main tremblante comme moi. Bon, ma main tremblante a quand même réussi à abîmer la mine en se ratant au moment de le reboucher donc, attention, comme elle est plus longue, le risque de l’abîmer quand t’es maladroite est plus grand.

Et voilà pour ce bilan cosmétique du mois de décembre. Bye bye 2014. On se retrouve dans 15 jours avec le premier bilan beauté de 2015 qui sera cette fois beaucoup moins mascara centré que celui-ci (faut dire que conjonctivite oblige, j’ai arrêté de mettre du mascara depuis un mois). Sinon, concernant ces 5 rimmels là, je me suis demandée si je devais n’en racheter qu’un, lequel ce serait. Et en fait, je suis incapable de te dire quel est mon préféré. Ils n’ont pas tous exactement le même effet mais ils m’ont bien tous apporté le résultat que j’attends d’un mascara (volume, longueur, cils étoffés). Oui, je sais, ça ne t’avance pas beaucoup…
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dimanche 26 octobre 2014

On craque ou pas pour les eyeliners Night Series de Nars et leur couleur profonde ?


J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on n’a pas parlé de maquillage par ici. Probablement parce que ça fait vraiment une éternité. A la base, c’était pourtant mon truc, ma petite obsession. Sauf que par manque de temps, les trois derniers mois, je me suis maquillée à peu près toujours pareil. Et je ne fais pas seulement le même maquillage, j’utilise aussi toujours les quelques mêmes produits pour le réaliser. Résultat, je n’ai pas testé beaucoup de nouveautés ces temps-ci et, forcément, peu de nouveaux produits se sont faits une place dans ma trousse de maquillage. Bon, il y a tout de même quelques exceptions (sinon, je pense que je serais morte d’ennui, je reste une beautysta dans l’âme). Ainsi, j’aime tellement la marque Nars que dès que je reçois des nouveautés, je n’ai qu’une hâte, les tester. Et souvent, elles ne tardent pas à rejoindre de façon permanente ma routine maquillage.


Ca a été le cas des crayons pour les yeux Night Series. Dans sa collection automne 2014, Nars a lancé les eyeliners Night Series, quatre liners au format crayon. Leur particularité selon la marque : une formule innovante qui s’applique en douceur et permet de créer toutes sortes d’effets en une seule application et des couleurs constituées de fines micro-nacres scintillantes noires teintées. Oui, pas très clair tout ça. Ca nécessite une petite traduction je trouve. Concrètement, côté formulation, la pointe du crayon est ferme mais reste onctueuse, pour une application agréable. Ca glisse bien sur la paupière et ça ne fait pas mal. Côté couleur, cette collection rend hommage à la nuit avec une réinterprétation du noir. Elle est ainsi composée de quatre couleurs profondes : un vrai noir et trois faux noirs. Il y a d’abord Night Clubbing, un noir profond constellé de nacres dorées, Night Flight, un noir aux touches de bleu cobalt, Night Bird, un noir enveloppé de violet nacré, et Night Porter, un noir vert émeraude. Nouvelle traduction : on a donc un noir parsemé de nacres or, un bleu, un vert et un violet très foncés.

Au soleil

Le hasard a pour une fois bien fait les choses puisque j’ai en ma possession Night Clubbing, le noir, et Night Flight, le bleu. Justement les teintes qui m’attiraient le plus. J’ai commencé à tester ces deux eyeliners début août et je n’ai porté qu’eux jusque fin septembre. Pourtant, même si je ne les ai plus quittés pendant deux mois, j’ai un avis mitigé dessus. On pourrait croire que cette utilisation exclusive rimerait avec une totale approbation, mais non. Car s’ils ont des qualités certaines, ces eyeliners ont aussi de nombreux défauts. Commençons par leur couleur. Je ne parlerais que des deux teintes en ma possession mais je pense que mes conclusions peuvent aussi s’appliquer aux deux autres. Comme vous pouvez le voir sur les swatchs (pris sous différentes luminosités), elles sont superbes. Les nacres dorées illuminent le noir, qui est bien noir et profond et pas grisâtre. Et ce bleu bien foncé et pigmenté, c’est tout ce que j’aime. Le hic, c’est que la couleur des liners swatchés sur le bras n’est pas la même que celle obtenue quand tu les utilises classiquement sur les yeux. Quand je faisais mon trait au ras des cils, les nuances des deux couleurs ne ressortaient pas trop. On avait l’impression que c’était juste des noirs classiques. Sous grand soleil, on pouvait peut-être voir quelques reflets, mais c’était infime. En fait, il y a bien  une différence de couleurs entre les deux. Une fois, je me suis emmêlée les crayons et j’en ai posé un différent sur chaque œil. Et en spécialiste, j’ai vu que le résultat n’était pas tout à fait le même (un œil lambda lui ne remarquera rien). Mais tu voies la différence par comparaison des deux, utilisés seuls, c’est juste des noirs. 

Lumière naturelle

En fait, ça m’a rappelé le trio Arabian Night de Nars avec lequel j’avais rencontré le même problème. Dans le godet et sur les swatchs sur le bras, c’était un noir pailleté, un violet profond et un bleu foncé. Mais posés sur la paupière, il n’y avait rien à faire, tous les fards ressortaient juste noirs. Là, c’est la même chose. Dommage, car les teintes sont belles. (La conclusion, c’est ne crois jamais quelqu’un qui te donne son avis sur un produit en l’ayant juste swatché sur son bras, il faut le porter pour savoir vraiment ce qu’il vaut). Et là, tu te dis : mais pourquoi alors les avoir portés deux mois non stop si leur couleur n’allait pas ? C’est pas qu’elle n’allait pas, c’est que je m’attendais à quelque chose de plus flagrant. Disons que c’est une demi déception, car après tout, la marque les annonce bien comme des noirs et pas un bleu, un violet et un vert, on peut dire que j’étais prévenue. Et puis, de toute façon, cet été, je voulais justement quelque chose de sobre. Donc leur couleur m’allait très bien. Et comme ils étaient faciles et agréables à utiliser, je leur suis restée fidèle. La pointe glisse bien, ne fait pas mal, la couleur est intense et opaque dès le premier passage et il est plutôt longue tenue (même si j’ai eu droit à quelques bavures certains jours).

Flash : là, tu peux voir que les reflets se voient moins

Alors on craque ou pas ? Si vous avez un budget make-up conséquent et que vous adorez Nars, je répondrais pourquoi pas. Si non, j’ai beau moi aussi adorer la marque, je pense qu’on peut s’en passer. Parce qu’il y a de nombreux crayons noirs tout aussi bien et moins chers (ceux-ci sont à 25 € quand même). Surtout que j’ai rencontré un petit problème à cause du format du liner. C’est donc un crayon à l’intérieur duquel il y a une fine mine qui sort petit à petit quand tu tournes sa base. Il y a également un taille-crayon caché au bout du crayon pour affûter la mine quand tu en as besoin. C’est bien. Sauf que cette mine, à la fois ferme et tendre, elle est fragile. Et comme je suis un petit peu une sauvage, surtout quand je suis pressée, eh bien je l’ai cassée à plusieurs reprises. Soit en la taillant, soit en appuyant trop fort quand j’étais en train de l’appliquer. Résultat, j’ai perdu une certaine quantité de produit (déjà que t’en as moins quand c’est une mine de ce genre et pas un crayon classique). Sans compter que la mine en elle-même s’use vite (donc tu la tailles souvent). Bref, tout ça pour dire que j’ai quasi terminé ces deux crayons en deux mois. Moi qui, je crois, n’ai jamais fini un crayon pour les yeux de ma vie de beautysta, ça m’a soufflé. Ok, je les ai utilisés tous les jours mais ça veut dire qu’ils tiennent un  mois en utilisation intensive. Ca fait pas beaucoup. Et donc ça revient cher. Mon côté raisonnable me dit donc qu’il vaut mieux se diriger vers un produit qui durera plus longtemps. Ce ne sont pas les crayons noirs qui manquent. Les reflets auraient été plus prononcés, les « plus » du produit l’auraient peut-être emporté sur les « moins », mais là je me dis autant investir sur des produits de la marque plus bluffants (et il y en a, beaucoup).
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dimanche 8 juin 2014

Maquillage des yeux : cet été, Nars fait de nous des princesses tropicales


Après des années de beauty addictisme, à tester une quantité pléthorique de produits, je peux affirmer sans aucun doute que Nars est ma marque de maquillage préférée. Bien sûr, ce n’est pas la seule marque que j’aime, en make-up, je suis même très infidèle, mais c’est celle que je classe au-dessus de toutes. S’il ne devait en rester qu’une, ce serait Nars. Même si je n’aime pas tous les produits de la marque, même si certains sont clairement ratés. Mais dans l’ensemble, l’association qualité des produits, couleurs tendances et surtout maquillage qui n’a pas peur d’être pigmenté (pour les fards à paupières mais aussi les rouges à lèvres) me séduit totalement. Et puis, j’ai un peu l’impression que François Nars et moi, on est des âmes sœurs. Parce qu’il aime tant les couleurs fortes et pigmentées bien sûr mais surtout parce qu’il semble avoir une grosse passion pour le bleu (comme une certaine personne que vous connaissez bien). A chaque collection, François – oui, je l’appelle par son prénom – imagine ainsi une nouvelle nuance de bleu (rien que pour moi, si, si). Alors évidemment, chaque saison, j’attends avec impatience de découvrir les nouveaux fards à paupières de la marque. Quelle nouvelle surprise François m’aura-t-il réservée ? Quel sera cette fois le nouveau bleu Nars ? 


Et puis, cet été, pouf, la déception : pas de bleu dans la collection. Je n’ai pas compris au début. Qu’est-ce qui se passait ? J’ai bien regardé les photos des nouveautés, lu avec attention les descriptions : il devait y avoir un loup/un bleu caché quelque part. Mais non, de bleu point. Douché l’enthousiasme était (Yoda sort de ce corps). Un peu vexée d’avoir été oubliée, j’ai failli boycotter la collection. Mais comme je suis conciliante et ouverte d’esprit en maquillage (on ne se moque pas, je ne suis pas du tout monomaniaque vous le savez bien ;)), j’ai tout de même consenti à jeter un nouvel œil aux nouveautés pour le regard. Bon, il y avait du vert, pas forcément dans les nuances que j’aime d’habitude (pas avec des reflets bleus en somme) mais ça valait peut-être le coup de s’y intéresser. Et je ne regrette pas ce petit accès de curiosité car les deux nouveautés testées issues de la collection été de la marque (un mono et un duo) sont devenu mes fards à paupières préférés du moment. Depuis un mois, je ne porte quasiment qu’eux. Toutefois, aujourd’hui on ne va pas parler de ces deux gros gros coups de cœur, juste de l’un d’entre eux (on reviendra sur l’autre quand j’aurais réussi à prendre de jolies photos, maintenant qu’il fait soleil enfin, ça devrait être plus facile).


La collection été de Nars (je crois qu’elle s’appelle Adult Swim) nous propose trois nouveautés fards à paupières : le Single Eyeshadow Malacca (superbe), le duo Eyeshadow Lost Coast composé d’un étain doré et d’un lilas clair (pas testé) et le duo Eyeshadow Tropical Princess. C’est de ce dernier dont je vais vous parler aujourd’hui. Ce duo nous propose un citron vert néon et un lavande glacé. Je t’avoue qu’au début, il m’a laissé un peu perplexe. En fait, toutes les conditions étaient réunies pour que je ne l’aime pas. D’abord, ce sont des couleurs claires et moi je suis plutôt foncé et intense. Ensuite, ce sont des teintes quand même un peu particulières. J’aime le vert mais le vert pur pigmenté ou le vert bleu tropique, le vert turquoise ou canard aussi. Mais le vert citron ? Un vert teinté de jaune donc, mouais à priori j’étais pas du tout convaincue. Et parlons du lavande. Déjà, c’est une nuance de violet et tu connais mon rejet pour le violet. En plus il est tellement glacé qu’il tire vers le blanc et le blanc en fard à paupières, ça sent quand même souvent la catastrophe une fois posé. Bref, au premier regard, tu te dis que ce duo n’est quand même pas très inspiré. Grosse erreur ! Je m’en suis aperçue en l’utilisant. Il vaut beaucoup mieux que la première impression qu’il peut nous faire.

Sans flash
Au soleil
Avec flash

Depuis un mois donc, je l’utilise très régulièrement et de façon différente. Je varie les plaisirs mettant soit le lavande soit le vert en avant. Mais pour le maquillage que j’allais prendre en photo pour représenter cette nouveauté, j’ai voulu reproduire le make-up du regard de Toni Garn dans le visuel look de la collection. Bon, reproduire n’est pas exactement le mot, parce que forcément, puisque c’est un maquillage de look, il est un peu plus « extravagant », plus grand, plus graphique, plus brut pour qu’on voit bien les couleurs. Et il est forcément plus difficile à porter dans la vie de tous les jours (même s’il reste quand même assez portable par rapport à d’autres maquillages de look de saison). Je me suis donc dit qu’il serait plus raisonnable de l’adapter un peu : j’ai repris ses éléments essentiels mais je les ai adaptés pour la vie quotidienne. Traduction : j’ai posé les mêmes couleurs aux mêmes endroits que sur le mannequin mais j’ai moins étiré vers les tempes et moins remonté vers le sourcil. Le résultat est forcément moins spectaculaire, mois waouh aussi (parce que je ne suis pas Toni Garn) mais j’en suis assez fan.


Comme sur le visuel, j’ai commencé par poser le vert citron sur la paupière supérieure mais me suis arrêtée un peu au-dessus du plis de la paupière (je n’aime pas quand la couleur remonte jusqu’au sourcil chez moi). J’ai ensuite posé le lavande glacé en ras de cil inférieur (comme j’ai de petites ridules, je l’ai moins descendu que sur Toni). Je m’en suis également servi pour flouter les contours du vert citron. Enfin, j’ai entouré mon regard de noir avec un crayon khôl. Et voilà, pas très compliqué même si, pour être honnête, je préfère ce maquillage avec juste le vert citron, sans le lavande en ras de cil inférieur. Sur Toni Garn, c’est joli (parce que c’est une bombasse et que la teinte a aussi été un peu estompée par Photoshop), sur moi, j’étais moins fan de ce flash de blanc sous l’œil. Je trouvais ça bizarre, trop visible et pas forcément flatteur. Je l’ai fait pour la photo mais au quotidien, je porte ce maquillage sans. Pourtant, j’aime beaucoup ce lavande glacé mais pas utilisé ainsi, sur moi en tout cas.

Sans flash

Parlons ensuite du vert. La couleur étant quand même assez spéciale – on peut le dire originale et différente -, j’avais de gros doutes sur elle. J’ai d’ailleurs mis un certain temps à la tester, je n’ai longtemps porté que le lavande. En fait, le côté citron vert me faisait peur (ça annonçait une couleur tirant vers le jaune et je n’adhère pas au jaune sur la paupière) mais je craignais aussi son côté néon. Ok pour un bleu roi flashy et un turquoise qui claque, mais je me disais que j’aurais du mal à assumer un vert jaune fluo. Trop too much, même pour moi. Mais en fait, je l’aime, totalement. Bon, ça aide qu’il ne soit pas vraiment néon. Il est pigmenté (ce qui est bien pour une couleur claire) mais pas forcément flashy. Nars a trouvé la parfaite nuance pour que ce fard soit estival mais tout de même portable au quotidien (en tout cas, je trouve). On peut aussi parler de sa qualité, au top : la couleur est facile à appliquer et à travailler, prend bien à la paupière (super pigmentation) et tiens super bien (elle ne s’estompe pas au cours de la journée). J’aime aussi beaucoup son fini irisé lumineux. C’est l’un des éléments qui font que ce vert citron est facile à porter, en mat, je pense que ce serait moins bien passé. Et voilà comment ce duo est devenu l’un de mes indispensable.


Et vous, vous en pensez quoi ? On adopte ou pas le vert citron ?

Infos pratiques : Duo Eyeshadow Tropical Princess, Nars, 34 €.
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mercredi 28 mai 2014

Le cas de l’eyeliner coloré avec le maquillage Laura Mercier


On a toutes nos petites marottes beauté, nos habitudes maquillage dont on a du mal à se défaire. Moi, en particulier, je suis du genre routinière en matière de make-up (certains diraient ennuyeuse, j’en conviens). Je suis une fille à aplat et à mono couleur. Ca, je pense qu’en 4 ans de blog, vous l’aurez deviné. C’est peut-être mon côté paresseuse. Un manque d’imagination parfois. De patience aussi (parce que pourquoi faire compliqué en travaillant plusieurs couleurs alors qu’avec une teinte on a souvent un maquillage très joli). Mais le monochrome n’est pas ma seule faiblesse. Longtemps, j’ai aussi été une habituée du noir en ras de cil. Cétait bien plus qu’une habitude d’ailleurs, plutôt une addiction. Il me fallait avoir le regard cerclé de noir, quelle que soit la couleur que je portais. Même avec un smoky eye bien black, je rajoutais du khôl en ras de cil. 


J’emploie le passé car j’ai réussi à me soigner… un peu. En journée par exemple, si je continue à me crayonner la paupière supérieure, je laisse de plus en plus souvent ma paupière inférieure vierge. Marre du noir qui bave et qui me donne l’air fatigué au bout de 5 minutes. Je n’ai plus l’âge. Avec un ras de cil vierge, je me trouve plus fraîche (même si d’autres trouvent, eux, que mon look n’est pas fini). Et puis surtout, gros gros pas (vers la guérison), depuis plusieurs années, j’ai appris à aimer les crayons de couleur sur moi. Pendant longtemps, j’ai collectionné les crayons pour les yeux de toutes les teintes mais je ne les utilisais jamais. Je ne savais pas quoi en faire. Et puis finalement, un peu d’estompage et je me retrouvais avec un résultat pas mal. Ce maquillage assez facile à faire est rapidement devenu un de mes basiques. Et puis s’est posé la question de l’eyeliner, très tendance depuis quelques saisons. Je ne l’avais jusqu’ici adopté qu’en noir mais je me suis dit que je passais peut-être à côté de quelque chose en me refusant la couleur, comme avec les crayons.
 

Surtout que de plus en plus de marques se lancent dans les eyeliners colorés et chez certaines, on trouve même de très très jolies choses. Les Eyeliners Crème de Laura Mercier me faisaient ainsi de plus en plus de l’œil. Il y a peu, ils ont notamment sorti un bleu canard à tomber, que j’ai mais que je n’ai jamais osé dégainer. Finalement, je me suis décidée à me jeter à l’eau avec la nouveauté de la collection printemps de la marque : la teinte Graphite. Je me suis dit que le pari était moins risqué avec ce gris. Ce n’est pas du noir mais ce n’est pas vraiment de la couleur, c’est différent et décalé mais pas non plus trop voyant et punchy. Comme je voulais un look assez sobre, j’ai associé cet eyeliner avec un autre produit de la collection printemps de Laura Mercier, la palette Renaissance, qui propose des tons assez neutres. Je me suis dit qu’avec un eyeliner coloré, même un gris, mieux valait ne pas en faire trop pour le reste du maquillage.

Sans flash
Avec flash

La palette Renaissance de la collection Laura Mercier est composée de deux blushs (dont je ne vous ai pas fait les swatchs car je ne les ai pas testés) : Blushing et Awakening, l’un dans les tons chauds (brun orangé), l’autre dans les tons froids (rosé). Elle nous offre également quatre fards à paupières dans des tons neutres assez doux : le doré Angelic, le cuivré Pure Glow, le doré Innocence et le taupe Grace (alors c’est très mal mais je ne me rappelle plus quel doré est où, ils sont assez proche niveau teinte mais ont tout de même une petite différence qui ressort moins en photo). Les quatre fards ont des finis satinés. J’ai également rajouté sur le swatch, l’Eyeliner Crème Graphite qui une fois appliqué s’est avéré un peu plus surprenant et original qu’il n’y paraissait. De premier abord, on le voit en effet comme un gris profond mais quand la lumière se dépose sur lui, il se teinte de vert (et vire presque totalement au vert sous une forte luminosité). Moi qui voulais tester un eyeliner coloré, j’ai été servie et on était finalement loin du choix sobre et safe que je pensais faire.


J’ai donc finalement bien fait de faire un maquillage assez simple. J’ai d’abord appliqué le fard doré Innocence sur la paupière mobile puis utilisé le fard taupe Grace dans le creux de la paupière pour apporter un peu d’intensité et de profondeur. Mais j’ai peut-être un peu trop estompé car il ne se voit finalement pas beaucoup (ou du tout). Décidément, je suis vraiment mauvaise pour faire des bananes. J’ai ensuite fait un trait de liner au ras des cils supérieurs avec le Graphite. Mais là, je n’étais pas hyper satisfaite du résultat. Ce n’était pas moi. Je me suis dit que ça manquait peut-être d’intensité. J’ai donc souligné cette fois mon ras de cil inférieur avec l’eyeliner. Mais là encore, je n’ai pas été convaincue. Le résultat pouvait être considéré comme sympa mais sur moi, je trouvais que ça ne collait pas. En fait, je ne suis pas sûre d’être faite pour l’eyeliner coloré. Ou alors seulement pour certaines couleurs : les très foncées presque noires. Ce gris vert, je pense que ce n’est pas moi.


Pourtant la couleur est très sympathique et originale. Objectivement, le fait qu’elle oscille entre le vert et le gris selon la luminosité fait tout son charme. Mais je trouve que la teinte ne me va pas. Peut-être est-ce seulement une question d’habitude. C’est trop coloré, on est trop loin du noir donc ce n’est pas qu’elle n’est pas flatteuse, c’est que je ne me reconnais pas. Les vieilles habitudes ont la vie dure. Mais ça m’a tout de même donné envie d’explorer un peu plus cette gamme d’eyeliners crème qui sont vraiment très qualitatifs. Regarde moi ce super trait que j’ai fait. En général, je me plante toujours sur un œil mais là je suis plutôt fière de moi et de mes virgules. Au début, j’avais un peu peur car la formule est bien crémeuse mais avec le bon pinceau, la texture est assez facile à maîtriser. Quant à la palette, les teintes sont très jolies, même si là encore on n’est pas dans mes tons fétiches. Mais je reconnais que pour un maquillage quotidien, ce sont de bons basiques qui sauront se rendre indispensables. Surtout qu’ils sont eux aussi de très bonne qualité, faciles à travailler et avec une très bonne pigmentation (ce qui n’est pas toujours le cas pour des fards neutres et clairs).


Bref, j’ai été un peu bousculée dans mes habitudes avec cette collection Renaissance de Laura Mercier qui associe un eyeliner de couleur et des fards neutres. On est loin de mon duo fétiche fard flashy avec ras de cil bien noir. Une collection pas faite pour moi finalement, bien que très belle. En revanche, la collection estivale de la marque m’a touchée en plein cœur. Je vous en reparle bientôt car il y a de très jolies choses et un véritable coup de cœur.
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lundi 12 mai 2014

La palette de fards à paupières Nectar & Nude de Bobbi Brown pour un maquillage des yeux nude intense


Ca fait une éternité qu’on n’a pas parlé maquillage par ici. Vernis oui, mais fards à paupières ou rouges à lèvres (qui sont quand même censés être mes beauty obsessions), non. Juste pour être sûre, je suis d’ailleurs allée regarder dans les archives et mon dernier post sur le sujet date de fin janvier. Depuis, plus rien. Et c’était sur une nouveauté des collections hivernales. En fait, je suis totalement passée à côté des collections de maquillage printanières. Pourtant, j’ai testé pas mal de jolies choses. Sans tout le temps les prendre en photo, je l’admets. Par manque de temps, d’envie ou même de luminosité. Et quand j’avais les photos, j’ai fait la bêtise de ne pas les sauvegarder sur mon ordi avant Cuba ou New York. J’ai donc dû les sacrifier et les effacer de mon appareil pour faire place à mes photos de vacances. Résultat, la make-up addict que je suis n’a pas parlé maquillage depuis trois mois et demi. Un comble. Il était temps de remédier à cela. Alors, même si les collections été s’installent petit à petit dans les rayons, je n’ai pas envie de faire totalement l’impasse sur le printemps. Il y a tout de même de jolies choses dont j’ai envie de vous parler. Ce n’est pas parce que c’est sorti en janvier ou février que c’est déjà totalement dépassé (et puis vu la météo je ne suis pas encore d’humeur estivale).


Mais aujourd’hui, on va parler d’une nouveauté un peu plus récente : j’ai nommé la Palette pour les Yeux Nectar & Nude (ou Nectar & Nude Eye Palette) de Bobbi Brown. Cette palette appartient à la collection Nectar & Nude de la marque, très joliment représentée par Katie Holmes. Une collection qui met en scène le nude si cher à Bobbi Brown mais il est cette fois réveillé par des teintes plus punchy, des jolis pêches et corails pour être précise. En fait, à la palette de fards à paupières dans des tons neutres répondent des produits (vernis, gloss, blush, shimmer brick) aux teintes plus vitaminées. Evidemment, tu me connais, le nude, ce n’est pas forcément mon truc. Pourtant, la collection a su capter mon attention grâce à ces corails et ces pêches très printaniers (voire estivaux). Mais ce n’est pas d’eux qu’on va parler aujourd’hui. Non, ce serait trop simple. Aujourd’hui, on s’intéresse au nude, à la palette donc.


La palette Nectar & Nude est composée de 6 fards dans des tons naturels. De gauche à droite dans la palette et sur les swatches, nous avons : l’ombre à paupière Pale Cream, un blanc crème mat ; l’ombre à paupière Soft Buff, un chamois (beige brun) mat ; l’ombre à paupières métallique (metallic eyeshadow) Golden Bronze, un bronze doré ; l’ombre à paupières étincelante (sparkle eyeshadow) Pink Bellini, un or rose pailleté (étrangement ce rose doré ou ce doré rose ne ressort que doré sur les swatches) ; l’ombre à paupières Earth, un brun moyen ; et l’ombre à paupières Rich Caviar. Bon, pour cette dernière, mes yeux me jouent des tours : parfois je la vois noire, parfois marron très foncée. A noter que je ne pense pas que ce sont des ombres à paupières inédites créées juste pour cette collection et cette palette. J’ai la mémoire qui flanche en ce moment, trop de chose à penser, mais certains noms me disent quelque chose (Rich Caviar et Pink Bellini par exemple). Je pense que la palette associe plutôt des fards existants de la marque.

Avec flash
Sans flash

A noter aussi qu’étrangement si les photos de la palette sont les mêmes sur les sites américains et français de Bobbi Brown, et que c’est la même palette que celle en ma possession, leurs descriptions, elles, différent. Selon le site français, la palette ne contient pas le fard metallic Golden Bronze mais la teinte Pink Quartz à la place, une sorte de taupe rosé. Je ne sais qu’en penser. Surtout que c’est justement le fard Golden Bronze mon préféré de la palette et celui qui est au centre de ce maquillage. Y a-t-il une version américaine et une version française ? Le fard a-t-il été changé entre la présentation en avant-première de la collection et la mise en vente ? Est-ce une erreur du site marchand ? A voir en magasin. De mon côté, je vais faire comme si j’avais la vraie et l’unique palette Nectar & Nude


Comme je manque de temps en ce moment, j’ai fait un maquillage assez simple mais qui sort quand même un peu de ce que je fais habituellement. Vous commencez à me connaître, quand j’ai un doré sous la main, ma tentation première (paresseuse oblige) est de poser le fard or en aplat, de le marier avec un crayon khôl (noir souvent mais je peux aussi varier de temps en temps) et voilà, le tour est joué. Zéro prise de tête mais aussi zéro à vous montrer. Donc, cette fois, je me suis motivée à être « originale » du pinceau. On ne se refait pas, j’ai bien posé mon Golden Bronze en aplat mais pas de khôl cette fois. Pour souligner mon ras de cil supérieur, j’ai utilisé le fard noir/marron Rich Caviar que j’ai ensuite fait remonter dans le creux de la paupière (pour changer et apporter un petit truc en plus). Je n’ai pas fait une banane, je n’en avais pas l’intention (surtout parce que je n’y arrive jamais). Je voulais juste intensifier un peu le maquillage et apporter du contraste. J’ai donc tracé un trait avec le fard foncé dans le creux de la paupière puis j’ai flouté le tout. Pas trop parce que je voulais que le noir se voit quand même pas mal mais assez pour qu’on ne distingue pas le trait de façon trop évidente. J’ai songé à intensifier aussi le ras de cil inférieur mais comme on était dimanche et que j’avais rendez-vous pour un brunch, je me suis dit que le maquillage tel quel était bien suffisant. Pas besoin d’en rajouter.


Alors, comme tous les fards Bobbi Brown testés jusqu’ici, je n’ai rien à redire sur leur qualité. Au début, j’avais peur que le doré ne prenne pas, que sa couleur ne soit pas assez couvrante et opaque. Mais comme on peut le voir, il n’y a aucun problème (sur ma base à paupières Primer Potion en tout cas). Après clairement, ce n’est pas mon genre de palette. Certes, elle contient des basiques et ce sont les couleurs parfaites pour un maquillage au quotidien. Sauf pour moi dont le quotidien, c’est plutôt le bleu et les teintes intenses. Forcément, là, je trouve que ça manque un peu de couleur. J’ai du mal aussi avec le noir, qui n’est pas un vrai noir intense et profond mais tire plus sur le marron. D’ailleurs, c’est peut-être même un marron, juste très très foncé. En fait, pour être vraiment juste et complète, les teintes mates de la palette ne m’enthousiasment guère, en revanche j’aime beaucoup les deux dorés irisés. En grande fan des fards or, vous le savez, je les collectionne. Et j’ai récemment réalisé qu’ils n’étaient pas tous aussi seyants. Sur moi, les dorés trop jaune ou trop orangés par exemple, c’est super moche. Ca ne me met pas du tout en valeur. Au contraire, je trouve les deux fards or de cette palette beaux et élégant, et ils me vont comme un gant. Si la palette n’est donc pas vraiment faite pour moi, ses teintes métalliques oui.
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