dimanche 26 janvier 2014

Brow Gel Nars, Base Smashbox, Smart Liner Sephora : mes derniers coups de coeur make-up


Cet été, j’avais commencé une nouvelle rubrique sur mes favoris du moment. Rubrique qui est un peu tombée dans l’oubli vu le rythme chaotique qu’a pris le blog depuis cette période. Et puis, je bosse de nouveau de chez moi, donc j’utilise beaucoup moins de produits. Il y a par conséquent moins de turn over ou de découvertes. En gros, mes derniers favoris (de juillet août je crois) sont encore à quelques exceptions près mes favoris cinq mois plus tard. Je ne voyais donc pas l’intérêt de vous faire encore et encore le même article. Et puis, j’ai réalisé qu’il y avait tout de même quelques petits nouveaux dans mes routines maquillage et soin. On parlera du soin plus tard (trop d’info, tue l’info). Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler de trois découvertes maquillage qui font désormais partie intégrante de ma routine beauté. Je les utilise à chaque fois que je me maquille (ou presque). Ce ne sont pas de nouveautés toutes fraîches, c’est-à-dire qu’elles ne sont pas sorties ce mois-ci ou même le mois dernier. Mais elles ont moins de 6 mois. Un laps de temps qui m’a aussi donné bien le temps justement de les tester. C’est parti. 


Brow Gel, Nars
J’ai le sourcil très rebelle. Il frisotte, c’est super chiant. Résultat, il est toujours décoiffé. Ca m’énerve ! Je me prends la tête sur mon maquillage du regard et parfois c’est gâché par un sourcil qui part dans tous les sens. Ce qui fait quand même négligé. A la base, c’est pour ça d’ailleurs que je ne cadrais pas mes sourcils dans les photos des fards présentés et que je ne mettais que mes yeux. Parce que ces salopiauds n’étaient jamais au garde-à-vous. De désespoir, j’avais laissé tomber. Et puis, j’ai un jour décidé de les reprendre en main et ai réussi à les dompter avec le Gel Fixateur de Sourcils de Make Up For Ever. Et puis une fois le gel terminé, désespoir. J’ai un peu tâtonné pour lui trouver un remplaçant. Je suis allée voir du côté de The BodyShop mais ce fut un échec. Leur gel n’arrivait pas à les maintenir en place. Ils continuaient à partir dans tous les sens comme si je n’avais rien mis. Finalement, c’est chez Nars que j’ai trouvé mon bonheur avec leur nouveau Brow Gel. Depuis que je l’ai testé pour la première fois, je l’ai totalement adopté et je l’adore. Déjà, il réussit l’exploit de discipliner mes sourcils rebelles. Bon, parfois, j’ai toujours un poil ou deux qui sortent du rang mais c’est aussi parce que j’ai la mauvaise habitude de me gratter le sourcil. Forcément, si de moi-même je les décoiffe, ça n’aide pas. Mais sinon, ça ne frisotte plus et ça se tient à carreau.


J’aime aussi qu’il soit teinté (il existe d’ailleurs en plusieurs teintes). C’est un produit tout en un, parfait pour la paresseuse que je suis. En plus de fixer les sourcils, il les maquille. Plus besoin d’utiliser crayon ou poudre. Pendant longtemps, ayant les sourcils assez fournis, je me refusais à les maquiller. Pas besoin de les intensifier. Surtout qu’ils étaient déjà bien noirs. Mais en fait, ils sont surtout fournis au début, sur la queue, ils sont beaucoup plus parsemés. Il y a même limite des petits trous. Dernièrement, ce décalage me dérangeait de plus en plus. J’avais des sourcils forts sur une moitié de l’œil et discrets sur l’autre. Pas top. Avec ce mascara pour sourcils, le problème est réglé. J’aime aussi qu’il les intensifie, ils sont plus forts. Il y a longtemps, ça m’aurait fait flippé et j’aurais détesté. Mais là, j’adore, je trouve ça classe. Je suis faible, j’ai fini par être contaminée par la tendance des sourcils foncés. Après, le gel étant coloré, on l’applique avec soin car les débordements se verront évidemment et là c’est beaucoup moins classe. J’avoue que parfois, quand je suis en retard, je me maquille à la va-vite et je m’en mets un peu sur la peau. Heureusement, c’est hyper facile à nettoyer (on n’oublie pas de nettoyer hein si on déborde, sinon vive le ridicule). Toutefois, si on s’applique, le problème ne se pose pas. En fait, mieux vaut coiffer ses sourcils avant avec une autre brosse dédiée sans produit avant et utiliser la brosse du mascara ensuite pour les fixer et les maquiller. C’est la solution la plus simple.


Eyeliner Astucieux  Smart Liner, Sephora
Si j’avais été raisonnable, je n’aurais jamais dû jeter mon dévolu sur cette nouveauté. J’avais déjà deux (même trois) liners feutre noir de commencés, je n’avais nullement besoin d’en rajouter à la pile. Mais j’ai été beaucoup trop intriguée par son look un peu particulier. En fait, il a une forme en coude pour soi-disant faciliter le trait de liner. Est-ce que c’est le cas ? Oui, peut-être. En fait, j’avoue qu’au début, j’ai eu un peu de mal à me faire à sa forme. J’avais tellement l’habitude d’utiliser un liner feutre classique que le geste était programmé dans ma tête. Automatiquement, je revenais à la position eyeliner droit. Et puis, j’ai fini par m’y faire. Alors je continue à me planter de temps en temps, mais oui, la plupart du temps, je suis plutôt fière de mon trait et de ma virgule. Mais est-ce dû à sa forme particulière ou tout simplement à sa pointe feutre qui est vraiment top. Elle a le juste équilibre entre souplesse et fermeté  (parfait quand on a les mains qui tremblotent comme moi) et la forme et longueur de la mine sont également très bien.


Bref, je ne sais pas si la forme en coude joue un peu, peut-être, ça permet effectivement une stabilisation, un geste plus ferme. Mais au final, c’est pour sa pointe que je le conseillerais. Même si je l’ai un peu abîmée et tordue. Je suis verte. En fait, maladroite que je suis, je me plante à chaque fois que je remets le bouchon. J’ai à chaque fois l’impression qu’il est parfaitement triangulaire et qu’il peut se remettre dans n’importe quel sens. Mais non, il y a bien un sens, un seul. Que je ne choppe jamais du premier coup. Je dois à chaque fois m’y reprendre à deux voire trois fois pour le fermer. Résultat, je m’énerve et forcément j’ai fini par enfoncer le bouchon dans la pointe. Vive les bouchons ronds quoi. Ce petit problème géométrique sera ainsi mon seul bémol.


Base Hydratante Contour des Yeux Photo Finish, Smashbox
A la base, si j’ai jeté mon dévolu sur ce produit c’était par erreur. J’ai lu vite fait son nom et j’ai cru que ce primer était une base pour les paupières, enfin pour la paupière du dessus, pour faire tenir les fards. Et puis en lisant plus attentivement, j’ai réalisé que c’était une base pour sous la paupière : « Under Eye » c’était marqué. Je ne suis pas la seule à m’être trompée. Une copinaute a fait la même erreur. Même dans un magazine, je l’ai vue classée comme une base à paupières, la journaliste s’était plantée aussi. Mon illumination a toutefois été un peu tardive, j’avais déjà ouvert le produit. Il me fallait donc l’utiliser. Même si j’étais perplexe sur l’intérêt d’une base pour le dessous de l’oeil (et n’avais pas forcément envie d’ajouter une étape à ma routine beauté déjà extensive), je ne me voyais pas jeter le produit. Me voilà donc à l’utiliser. La marque le décrit comme une base hydratante qui prépare et unifie la zone du contour de l’œil tout en réduisant poches et cernes. Elle conseille de l’appliquer sous les yeux avant le maquillage ou seul pour un coup d’éclat instantané. Bonne élève, c’est donc ce que je fais.

Je l’applique après mon contour des yeux, comme un stylo touche lumière quoi. Et avant de me maquiller les paupières. Détail important. Au début, ma perplexité se renforce. Je ne vois aucune différence. Il me semble beaucoup moins illuminateur que les stylos touche éclat utilisés jusqu’ici et je ne vois pas vraiment de changement avant/après. Bref, je ne lui vois aucun intérêt mais continue à l’utiliser pour terminer le tube. Et puis un jour, je ne sais plus pourquoi, je l’ai utilisé après m’être maquillée les paupières. Et là, tout s’est illuminé (c’est le cas de le dire). En fait, le problème, c’est que mes fards poudre, c’est naturel, font des chutes. J’ai beau nettoyer ensuite avec un pinceau voire un peu de fond de teint ou d’anti-cernes, j’ai l’impression que je n’arrive jamais totalement à me débarrasser des pigments. Il reste toujours un peu de couleur incrustée dans ma peau. Et comme je n’utilise presque que des fards foncés, ça me fait toujours une petite ombre sous l’œil qui vient accentuer les cernes. Parfois même, quand il y a eu trop de chutes, je frotte, je frotte le dessous de l’œil pour tout virer. Résultat, j’enlève bien évidemment les produits que j’y ai appliqués et ça le dessèche aussi un peu. Je le sais mais je continue à le faire à cause de ces pigments qui s’incrustent !



Eh bien, avec cette base, j’arrive à virer les restes de pigments beaucoup plus facilement. Même quand j’ai pas mal bavé avec la couleur, ça me nettoie le dessous de l’œil complètement et facilement. Sauf avec le bleu vraiment tenace où il me faut un peu plus de temps, mais j’y arrive quand même. J’en applique juste sous l’œil et je lisse pour me débarrasser du trop-plein de couleur. En plus, comme c’est une base hydratante, ces petits frottements ne dessèchent pas la peau et ne creusent pas mes ridules. C’est beaucoup mieux. Et forcément, puisque les chutes de pigments ne sont plus là pour obscurcir mon dessous de l’œil, il est beaucoup plus lumineux. Alors oui, j’aurais pu utiliser de l’anti-cernes pour faire le même job. Voire du fond de teint. C’est ce que font beaucoup de beauty addict. Sauf que rajouter ce type de matière, un peu épaisse et finalement asséchante, chez moi, ça marque les ridules et ça fige un peu mon dessous de l’œil. Ce n’est pas le cas avec ce produit, la texture étant plus crémeuse et légère, presque gélifiée. Elle est assez fraîche aussi, ce qui le rend agréable à appliquer.

Clairement, utilisé après le maquillage du regard, cette base m’est vraiment utile. Depuis que je l’ai un peu détournée de sa fonction première (pour moi, elle me sert plus à nettoyer le contour de l’œil qu’à l’hydrater), je ne peux plus m’en passer. Alors oui, ce n’est pas un indispensable pour tout le monde. Mais pour moi oui. Et oui, cette base peut être remplacée par d’autres produits. Mais moi je l’aime bien finalement. Elle m’a quand même apportée un gros plus je trouve.

Rendez-vous sur Hellocoton !

samedi 25 janvier 2014

La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram # + résultat concours Nars


Reprenons les bonnes habitudes et refaisons du résumé Instagram de la semaine un vrai rendez-vous hebdomadaire comme au début, au lieu du résumé du mois que c’était devenu. Alors, certes, la semaine a été assez light en photo vu que certains jours j’ai été enchaînée à mon ordi, je n’ai donc pas vu grand-chose. Mais ça a été une semaine tout de même très sympa (clap your hands if your happy). 


Elle a commencé par un déjeuner avec la copine pour planifier le voyage à Cuba et papoter aussi. Moi qui prends rarement mes plats en photo (vu mes goûts alimentaires, mes repas ne sont pas forcément hyper excitants), là j’ai quand même dégainé l’iPhone car mes pâtes étaient très bonnes. Leur nom en plus m’a parlé : « Week-end à Rome ». Ne me tente pas, j’ai trop envie d’y retourner et serais capable d’en faire mon prochain voyage.


Alors, je ne me souviens plus du nom du restaurant (ah les ravages de l’âge ! j’ai de plus en plus une mémoire de mérou), juste que c’était place du marché Saint Honoré (il y avait cuisine dans le nom je crois). Et là, on tombe sur ce pauvre chien honteusement abandonné sur le trottoir, seul, attaché à un poteau. Ah, on me dit dans l’oreillette que c’est un faux. Tu croises parfois des choses bizarres dans Paris quand même.


Cette petite sortie a aussi été l’occasion de faire une jolie promenade dans Paris, sous la pluie, et d’aller faire un tour jusqu’à la Place de la Concorde. Ses fontaines me rappellent à chaque fois le film « Le Diable s’habille en Prada ». Je ne sais pas si vous vous souvenez, Anne Hathaway est logée au Crillon et à la fin, quand elle décide de démissionner, elle jette son portable dans l’une des deux fontaines au centre de la place. Etrangement, avant le film, je n’avais jamais fait attention à ces fontaines. Pourtant, je passe régulièrement sur cette place. Je me suis même dit lors de la scène : « Tiens, il y a des fontaines à la Concorde ! ». En fait, comme c’est ma ville, que j’y suis habituée et que je sais que j’y serais toujours et qu’elle sera toujours là pour moi, je ne la regardais plus. C’est là que j’ai décidé de faire beaucoup plus attention à elle.


Depuis je lève les yeux, je regarde, j’admire, je prends même en photo comme si j’étais une simple touriste. Dans ce nouvel esprit, même des lieux où je suis passée des milliers de fois continuent à m’émerveiller. Je me rends aussi compte que je ne les connais nullement par cœur et qu’une surprise est toujours possible, un joli point de vue qu’on n’avait jamais remarqué avant : comme la Tour Eiffel qui semble faire un concours de taille avec l’Obélisque.


La semaine a ensuite très bien continué. Jeudi, avec quelques blogueuses, nous avons eu la chance d’être invitées à visiter les labos Clarins. C’est toujours fascinant de découvrir les coulisses de l’univers de la beauté, comment sont élaborés nos crèmes ou notre maquillage. Bon, en revanche, il a fallu renoncer à notre aura glamour (hum, hum) puisqu’on a dû revêtir blouses et chaussures spéciales pour l’occasion. So sexy n’est-ce pas.


Mais c’était pour la bonne cause. On a ainsi pu découvrir comment on faisait un rouge à lèvres. Top. Le processus a été fait sous nos yeux. On a même pu mettre la main à la pâte en faisant notre propre rouge, enfin plutôt en insérant le raisin dans son packaging. Et voilà mon œuvre d’art.


On a également pu découvrir les nouveautés de la marque et les prochains lancements. Pour l’occasion, Clarins avait même invité Ryan Gosling (si, si). Evidemment, ça a été le coup de foudre instantané entre lui et moi. Enfin, à la fin de la soirée, le salopiaud est quand même parti avec une autre. Quelle trahison ! (sinon, si tu fais attention, tu peux vaguement voir ma nouvelle couleur de cheveux et mon vrai ombré hair dont il faut que je te parle).


Déçue par Ryan, je me suis consolée avec la machine à badge. Le pauvre môsieur qui se cachait derrière a dû travailler à la chaîne (un vrai petit elfe) pour imprimer tout ce qui me passait par la tête. Leçon de la soirée : ne jamais donner une machine à badge à une blogueuse à l’imagination débordante.


RESULTAT GIVE AWAY NARS
Sinon, j’en profite pour vous donner le nom de l’heureuse élue qui va pouvoir adopter le superbe bleu Wishful Thinking de Nars. Il s’agit de, roulements de tambour :
GEBLUST.
Envoie-moi vite tes coordonnées que je m’occupe de l’envoi.


A la semaine prochaine pour un nouveau résumé Instagramien. Et si vous voulez me suivre en direct, c'est par ici :
Facebook : Journal d'une Beauty Paresseuse
Instagram : LABEAUTYPARESSEUSE  
Rendez-vous sur Hellocoton !

vendredi 24 janvier 2014

Un petit avant-goût de Madrid : la Puerta del Sol, le Parque del Retiro...


Encore une semaine où je suis bien partie, motivée, présente, mais où finalement je me laisse rattraper par le temps et les trucs à faire et où je disparais de nouveau. Ma bonne résolution d’être plus présente par ici est loin d’être tenue pour l’instant. Mais je ne lâche pas. Et puis, j’avais une bonne excuse (mais très bonne cette fois) : des voyages à organiser. Ca y est, c’est officiel : je m’envole pour Cuba en mars… et pour New York en avril.  #fauchée mais # heureuse (clap your hands if your happy comme dit le célèbre philosophe Pharell Williams, et moi je clap clap clap). Donc forcément, la tête pleine de mes prochains voyages, je n’ai pas eu le temps de vous faire les articles tellement de fois promis et autant de fois reportés sur mes précédentes destinations.


En attendant, je vous laisse donc avec mes photos Instagram de la jolie ville de Madrid (que j’ai adoré) en petit avant-goût avant un point plus approfondi. Et moi, je retourne travailler. Parce que c’est pas tout de voyager, il faut aussi pouvoir se les payer. Concernant les guides, finalement, je n’ai pas changé mes habitudes. Comme on avait déjà le National Geographic emprunté, moi, j’ai opté pour le Un Grand Week End et le Guide Voir d’Hachette. Pas mal associés, assez complémentaires. Même si le NG est aussi très bien. J’ai failli prendre le Lonely Planet, mais il n’y a pas d’images et j’ai besoin de photos et de couleur. Evidemment, si je pouvais, je les prendrais tous mais il faut savoir être raisonnable. Sinon, vous pouvez admirer mes deux nouveaux marque-pages, une bouche et une moustache, shoppés à Madrid. Je les adore.


Mon gros coup de cœur de ce voyage, ça a été le temple de Debod. Parce que je ne m’attendais absolument pas à voir un temple égyptien au cœur de Madrid. C’est un vrai hein, pas une reconstitution : il a été donné par l’Egypte à l’Espagne en remerciement. Moi qui suis depuis toujours fascinée par l’Egypte des pharaons (au point d’avoir songé à une époque à devenir archéologue/égyptologue) mais qui n’ais jamais pu visiter le pays, j’étais soufflée.


En plus, on est arrivées pile au bon moment, au coucher du soleil. Et c’était splendide. Ca rend la découverte encore plus magique. Une fois la nuit tombée, c’était encore plus beau. Le temple, qui est en extérieur, est parfaitement illuminé. C’est superbe. Ainsi, dans le noir complet, avec juste le temple illuminé, tu oublies presque que tu es en Espagne. Et puis les reflets des portiques sur le plan d’eau ! Magique je te dis ! Je ne suis pas la seule à le penser puisque le lieu était envahi de gens et de photographes.


Le temple est situé dans le Parque del Oeste (le parc de l’Ouest), qui est entre le palais royal et la place d’Espagne. On n’a pas fait tout le parc mais juste après le temple, il y a un petit spot d’où tu as une super vue sur le Palais Royal et la Cathédrale de l’Almudena. Et encore une fois, au coucher du soleil, le spectacle est splendide. Les couleurs (ce blanc sur fond rose) étaient juste waouh.


Ce n’était pas ma première fois à Madrid, j’y avais déjà passé une journée et demi, il y a des années. A l’époque, j’avais évidemment été marquée par l’immeuble Metropolis sur la Gran Via. Eh bien des années plus tard, il me faut toujours le même effet. Oui, à Madrid (et ailleurs), je suis du genre à ne pas m’extasier devant les mecs mais devant les immeubles et la beauté de l’architecture. Hum, hum…


Autre lieu que j'ai pris plaisir à revoir : le parque del Retiro. A l'époque, j'étais tombée amoureuse (oui, oui, amoureuse) de ce superbe parc, surtout son plan d'eau avec sa statue équestre au loin. Bon, à l'époque, c'était au mois d'août, le bleu de l'eau répondait au bleu du ciel et le monument avec ses colonnes blanches se détachait mieux et faisait forcément encore plus de l'effet. En plus, il y avait plein de petites barques sur le lac. Cette fois, il pleuvait et au lieu du bleu et du blanc, c'était plutôt du vert et du gris. Et 1er janvier oblige, la location de barques était fermée. C'était donc moins magique et spectaculaire évidemment.


 Du spectaculaire, on en a eu Plaza de Cibeles sur le paseo del Prado avec sa fontaine au milieu du rond point se détachant devant le splendide Palais des Communications joliment illuminé. C'est très beau de jour mais c'est vraiment époustouflant de nuit.


Au rayon découvertes, très bon point pour la gare d'Atocha, l'une des gares ferrovières de la capitale qui abrite une mini forêt tropicale avec tout plein de tortues !


Evidemment, qui dit Madrid dit Musée du Prado. Mais moi (ma soeur aussi), celui qui m'a le plus marqué (et que j'ai le plus aimé), c'est le Museo Thyssen-Bornemisza. Il couvre une très large période de temps : des peintures italiennes et hollandaises du XVIè siècle jusqu'au 20è. L'occasion d'admirer de superbes tableaux impressionnistes (ma période préférée avec le pop art). Et quelle ne fut pas ma joie de découvrir une oeuvre de Roy Lichtenstein (que j'adore donc, si tu me suis bien). En plus, un tableau qui n'était pas dans son expo parisienne : Woman in Bath. Pour la peine, je suis repartie avec le poster.


 Et évidemment, puisqu'on était à Madrid pour le Nouvel An, on est allées le fêter à la Puerta del Sol, le lieu de réunion traditionnel des Madrilènes. Un super moment. L'année a définitivement bien commencé. On croise les doigts que ça continue.

Et si tu veux suivre mes péripéties en direct, c'est là, mon compte sur Instagram c'est LABEAUTYPARESSEUSE.
Rendez-vous sur Hellocoton !

mardi 21 janvier 2014

Mes cheveux et moi : Une histoire d’ombré hair (raté)


Ca fait longtemps qu’on n’a pas parlé de mes cheveux non ? On parle régulièrement cheveux par ici, de stars beaucoup ces derniers temps, mais moins de mes cheveux à moi. Je crois que je n’ai pas fait d’article sur ce sujet ô combien important depuis mon carré pas si raté de l’été dernier je crois. Une éternité donc pour l’obsessive que je suis. Pourtant, depuis, j’en ai vécu des aventures capillaires. Pas trop en terme de coupe puisque, après avoir coupé très court en juin, je laisse pousser depuis (sept mois et demi déjà !). J’ai ainsi récupéré quelques petites longueurs. En revanche, je suis passée par la case coloration à de nombreuses reprises. Cet été, juste après ma coupe au carré, j’ai testé une coloration naturelle.

Il était sympa finalement ce petit carré

Moi qui vous raconte tout en général, je ne vous en ai pas parlé. Parce que ça n’a pas pris. J’aurais dû réaliser qu’une coloration végétale ne couvrirait pas mes cheveux blancs. C’est un peu le B.A. BA de la couleur. Mais je n’ai tilté qu’après (c’était l’été, j’avais le cerveau engourdi). Moi qui aime un peu changer de tête à chaque coloration, là, je ne voyais quasi aucune différence. C’était peut-être juste un peu plus brillant. Donc je ne voyais pas l’intérêt de vous en parler. J’ai zappé. Pour tout dire, j’ai même rapidement fait une nouvelle coloration. En général, pour ne pas bousiller mes cheveux, j’attends minimum 2 mois mais là ce n’était pas possible. On continuait à ne voir que mes cheveux blancs. J’y suis donc repassée deux semaines plus tard. Mais cette fois, je ne suis pas allée chez le coiffeur, pas le temps, je croulais trop sous le boulot. J’ai fait une coloration à la maison Olia que je me gardais depuis quelques temps. La teinte Châtaigne était très sympa. Je voulais d’ailleurs vous en parler. Mais cet été, c’est là qu’on m’a perdue. Sous l’eau, j’ai un peu lâché le blog et n’ai pas eu ou pris le temps de faire de photos de la couleur. Jusqu’à ce que ce soit trop tard. Un jour, j’ai utilisé le mauvais shampooing et tout a dégorgé (j’ai vraiment un problème de rétention des pigments). J’étais revenue au point de départ, cheveux blancs et tout.

Un balayage (très) discret

A la rentrée, quand on m’a proposé de me faire colorer les cheveux chez Massato, j’ai donc évidemment dit tout de suite oui (en sautant de joie intérieurement). Et là, l’éternelle question s’est posée : je fais quoi ? Parce qu’en terme de colo, j’ai deux rêves totalement opposés. Le roux depuis très longtemps. Oui, une fois, on m’a dit que ça ne m’irait pas, mais je n’ai pas totalement fait une croix sur ce rêve. Et oui, une fois, j’ai aussi déjà été rousse et c’était étrange, je ne me reconnaissais pas forcément et avais du mal à me dire que c’était mes cheveux. Mais c’est aussi parce que je n’avais pas eu le temps de m’habituer à ma nouvelle tête, puisqu’au premier shampooing, toute la couleur était partie (quand je te dis que j’ai un grave problème). Et puis évidemment, il y a mon obsession pour l’ombré hair. Je sais, ce n’est plus du tout tendance, mais moi ça fait plus de deux ans que j’y songe et forcément tant que je n’aurais pas sauté le pas, impossible de renoncer à cette idée. Le hic avec ces deux rêves, c’est que ce sont de gros changements par rapport à mon brun. Il faut donc avoir confiance en son coloriste. J’avoue que jusqu’ici, je ne m’étais jamais sentie assez sûre de moi pour oser. Donc j’optais pour des changements de tête moins « dangereux » des chocolats ou des châtains cuivrés. J’avais ainsi un peu de roux, en reflets, mais on restait dans des tons proches de ma couleur naturelle.

Et puis avec Massato, je me suis dit que je pouvais avoir confiance. J’ai hésité entre le roux et l’ombré hair et je me suis finalement décidée pour un tie & dye. Mais discret. Comme c’était mi-septembre, mon carré était encore assez court, j’avais donc peur qu’un truc trop prononcé soit moche. Mais en même temps, je trouvais ça quand même super joli sur Olivia Wilde ou Jessica Szohr qui avaient elles aussi des coupes au carré. Mais en même temps, je n’ai pas la même tête qu’elles. Forcément, elles sont sublimes, tout leur va. Mais ça ne veut pas dire que ça m’irait à moi. Bref, j’étais décidée mais en même temps pleine de doutes. Résultat, j’ai demandé un ombré hair comme celui de Jessica Szohr mais avec le doute dans la voix, en précisant que je voulais du discret, du fondu, du naturel. Parce que je flippais quand même un peu. J’avoue que je tiens peut-être un peu trop à mes cheveux. Je n’ai pas l’insouciance de certaines qui se disent « tant pis ça repoussera » après une coupe ratée ou « tant pis, il n’y aura qu’à reteindre » après une mauvaise colo. Je suis en général au contraire effondrée. Et là, j’avais encore plus peur car après une troisième coloration en trois mois, je n’avais pas l’intention de repasser par le bac de sitôt.

Au soleil, les reflets sont cuivrés

En fait, je flippais surtout qu’elle décolore trop, que je me retrouve trop blonde, que ce ne soit pas naturel, qu’il y ait une grosse démarcation entre racines et pointes trop visibles. Parce que je me disais qu’autant une colo trop prononcée, vu que je dégorge beaucoup, le problème s’atténuerait rapidement, autant une décolo trop blonde, je ne pouvais rien y faire, c’était mort. Evidemment, pendant que le produit posait, je flippais encore plus. Est-ce que ça ne faisait pas trop longtemps. Peuuuuuuur ! Au final, il a dû poser environ une heure avant que je passe au shampooing. Une heure de stress. Et une fois les cheveux secs, tada, le résultat… Discret. Très discret. Peut-être un peu trop discret ? Bon, c’était quand même joli, un petit coup de soleil. Et puis, là, j’ai fait une petite erreur. En passant au coiffage, le coiffeur (pas le même que la coloriste) a voulu me couper les pointes. Ayant coupé il y a peu (deux mois et demi), je n’étais pas venue avec l’intention de raccourcir, trouvant déjà mes cheveux bien courts. Dans ma tête, j’étais dans ma phase repousse. C’est pour ça que j’étais allée directement à la case coloration. Mais il a réussi à me convaincre que mon carré repoussait mal. C’était vrai, je l’avais d’ailleurs remarqué, mes pointes rebiquaient et les cheveux d’en-dessous étaient un chouïa trop longs par rapport aux mèches du dessus. Je n’avais pas une queue de rat mais presque. Ce n’était plus un vrai carré quoi et il fallait raccourcir un peu les mèches du dessous pour égaliser et retrouver une vraie coupe. J’ai donc dis banco. Il en a profité pour re-dégrader un peu les mèches entourant le visage et couper ma frange qui ne ressemblait plus à rien (à ma demande).

C'est moins cuivré et lumineux en intérieur, mais on distingue bien un petit quelque chose



En fait, je flippais surtout qu’elle décolore trop, que je me retrouve trop blonde, que ce ne soit pas naturel, qu’il y ait une grosse démarcation entre racines et pointes trop visibles. Parce que je me disais qu’autant une colo trop prononcée, vu que je dégorge beaucoup, le problème s’atténuerait rapidement, autant une décolo trop blonde, je ne pouvais rien y faire, c’était mort. Evidemment, pendant que le produit posait, je flippais encore plus. Est-ce que ça ne faisait pas trop longtemps. Peuuuuuuur ! Au final, il a dû poser environ une heure avant que je passe au shampooing. Une heure de stress. Et une fois les cheveux secs, tada, le résultat… Discret. Très discret. Peut-être un peu trop discret ? Bon, c’était quand même joli, un petit coup de soleil. Et puis, là, j’ai fait une petite erreur. En passant au coiffage, le coiffeur (pas le même que la coloriste) a voulu me couper les pointes. Ayant coupé il y a peu (deux mois et demi), je n’étais pas venue avec l’intention de raccourcir, trouvant déjà mes cheveux bien courts. Dans ma tête, j’étais dans ma phase repousse. C’est pour ça que j’étais allée directement à la case coloration. Mais il a réussi à me convaincre que mon carré repoussait mal. C’était vrai, je l’avais d’ailleurs remarqué, mes pointes rebiquaient et les cheveux d’en-dessous étaient un chouïa trop longs par rapport aux mèches du dessus. Je n’avais pas une queue de rat mais presque. Ce n’était plus un vrai carré quoi et il fallait raccourcir un peu les mèches du dessous pour égaliser et retrouver une vraie coupe. J’ai donc dis banco. Il en a profité pour re-dégrader un peu les mèches entourant le visage et couper ma frange qui ne ressemblait plus à rien (à ma demande).

Ombré, vous avez dit ombré ?

Bref, cette fois-là, j’y croyais mais c’était raté. Lors qu’ironiquement la coupe (qui n’était pas prévue) était elle très réussie. Le pire, c’était que c’était le soir des Victoires de la Beauté. Je m’en souviens encore. Moi, toute fière, j’avais annoncé sur Instagram que ça y est, j’avais sauté le pas de l’ombré hair, avec photo de mes cheveux en pleine décoloration à l’appui. Forcément, les copines s’attendaient à me voir débarquer avec un tie & dye bien visible. Et forcément, elles se sont bien foutues de moi quand je suis arrivée 100% brune. Parce que si le coup de soleil se voyait au soleil, la nuit, dans le noir, ou en intérieur, peanuts. Là, on ne voyait vraiment aucune différence. Les petites moqueries ont donc bien fusé. Même moi, j’ai plaisanté dessus d’ailleurs. Cette blagounette m’a fait toute la fin du mois de septembre. J’ai d’ailleurs surnommé cette couleur mon « non ombré hair ». Comme tu peux le voir sur les photos (oui, là encore, elles sont pas tip top, c’est ça quand on s’auto prend, je ne suis pas douée du selfie et là encore je n’ai pas eu le temps d’en prendre des mieux, septembre/octobre ayant été très speed aussi), il y a bien un petit truc, mais c’est très discret, on est d’accord. Moi qui m’attendais à un changement de tête radical, ça n’était pas trop ça. Heureusement, depuis, les choses ont bien changé. Mais c’est une autre histoire que je te raconterais bientôt.
Rendez-vous sur Hellocoton !

lundi 20 janvier 2014

Ombre à paupières Wishful Thinking de Nars : le bleu parfait de la collection Guy Bourdin


Dans mon best of des 10 produits de beauté qui m’ont le plus marqué en 2013, en première position, j’ai classé l’Ombre à Paupières Cinematic Wishful Thinking de la collection Guy Bourdin de Nars. Cette ombre à paupières, je l’avais immédiatement repérée lorsque j’ai découvert les premiers visuels de la collection en édition limitée Guy Bourdin. J’ai encore plus flashé dessus lorsque j’ai pu voir cette collection en vrai. Et évidemment, quand on m’a demandé de choisir trois produits, je n’ai pas hésité un instant. C’est elle que je voulais. Clap, clap, clap, surexcitation de l’avoir entre mes mains et hâte de l’essayer. Ca c’était en novembre (pfiou, il y a déjà une éternité). Fin novembre, je vous présentais ainsi toute la collection, dont ce sublime fard, vous promettant de revenir rapidement vous en parler plus spécifiquement. Mais depuis rien. Fin d’année chargée oblige, le temps a filé sans que je vous en parle vraiment (sauf dans mon best of donc). 


Pourtant, ce fard, je l’ai totalement adopté depuis qu’il est mien et je le porte très régulièrement (au moins une fois par semaine). En fait, de tous les fards bleus en ma possession (et tu te doutes que j’en ai), je ne mets plus que lui depuis deux mois (depuis que je l’ai quoi). Mes autres fards se sentent délaissés mais celui-ci est tellement beau et tellement moi que limite je n’ai plus besoin des autres. Limite hein, je finirais bien par les ressortir du placard, en vraie blue addict que je suis. C’est marrant, l’année dernière je crois, j’ai eu une remise en question make-up. Je me demandais si je n’en avais pas fini avec le bleu. Je me pensais trop vieille pour continuer à habiller mes paupières de teintes flashy. Une passade ! Me revoilà plus blue addict que jamais. Et donc totalement amoureuse de ce fard à paupières, que je porte très régulièrement. Et qui me vaut pas mal de compliments. Il fait toujours son petit effet, chez les filles évidemment, je doute que les mecs soient sensibles à ce genre de couleurs fortes et si éloignées du « nude ». Mais m’en fous, ce n’est pas ça qui me fera renoncer à cette jolie teinte. Rien ne m’y fera renoncer d’ailleurs.


Ainsi, l’autre jour, je testais une fausse frange et on cherchait la couleur qui correspondrait le mieux à mes cheveux, c’est plus compliqué maintenant que mes racines sont brunes et mes pointes blondes. Pour matcher mes pointes, la coiffeuse a alors testé le blond. Mais elle a décrété que ça n’allait pas avec mon fard bleu chouchou (que je portais ce jour-là), que mon maquillage était trop fort et que donc la prochaine fois que je porterais la frange blonde, il faudrait un truc moins exceptionnel. Oui mais voilà, moi le bleu, c’est mon maquillage de tous les jours. Pour moi, ce n’est pas un maquillage fort ni exceptionnel. Elle fait tellement partie de moi que je porte cette teinte comme d’autres porteraient du nude. Certes, à une époque, j’ai trouvé ça trop voyant et je n’assumais plus forcément, mais ça n’a pas duré. Depuis, je ne peux de nouveau me passer du bleu. Bref, j’ai fait comprendre à la coiffeuse qu’il n’était pas question de renoncer à mon maquillage, que je portais ce genre de bleu très souvent, et que c’était donc la frange blonde qui devait dégager (ça m’allait pas des masses de toute façon, je dis oui aux pointes blondes mais les racines, non, ça ne colle pas).

Intérieur, flash

Bref, revenons-en à ce bleu. Il est tout simplement parfait. La couleur est sublime, flashy comme j’aime. Il faut dire que Nars sait imaginer des très beaux bleus. Une des raisons pour lesquelles j’aime tant la marque, c’est qu’à chaque collection, j’ai l’impression que François Nars imagine un produit rien que pour moi puisque chaque saison il y a au moins un bleu dans la collection : souvent un fard à paupières, parfois un crayon. Et si les nuances varient (électrique, turquoise, roi, canard, outremer), il est toujours flashy et intense (l’autre signature Nars qui fait aussi que j’aime tant la marque). François et moi, on est un peu sur la même longueur d’ondes. Cette fois, la marque le décrit ce bleu comme ara macao. Un bleu donc de la couleur de l’Ara Macao, ce joli perroquet mutlicolore. C’est surtout un bleu parfait : flashy, électrique, intense. La teinte est idéale : néon mais de couleur moyenne (c’est plus joli et flatteur qu’un néon clair). Le fini n’est pas mat mais un chouïa irisé ou plutôt satiné, juste assez pour que la couleur soit lumineuse mais pas trop, ce qui fait que ça ne fait pas cheap. Je crois que c’est le plus beau bleu imaginé par Nars jusqu’ici, oui, plus beau que le Bleu Outremer qui avait tant fait parler et tout ceux imaginés après.

Intérieur, lumière naturelle

Mais il n’y a pas que sa jolie teinte qui fait que je l’ai immédiatement adopté, sa texture est aussi parfaite. Jusqu’ici, si Nars savait faire de beaux bleus, les fards en eux-mêmes étaient parfois difficiles à appliquer, il fallait en maîtriser la matière. C’était le cas du bleu Outremer. Il était magnifique mais son utilisation demandait quelques efforts. C’est pour ça qu’en bonne paresseuse, même si je l’aimais beaucoup, j’ai fini par le mettre de côté. Oubliés tous ces petits tracas avec le petit dernier. En effet, Nars a développé une toute nouvelle texture en exclusivité pour les fards à paupières de la collection Guy Bourdin : les Ombres à Paupières Cinematic ont « une texture velours qui glisse sans effort pour une couleur électrique au fini métallisé. Facile à travailler pour une versatilité multi-fonctions qui permet d’estomper, définir et illuminer. On peut l’appliquer sèche ou avec un pinceau humidifié pour un fini plus intense ». Je ne peux qu’approuver.

Extérieur, lumière naturelle

Le fard a effectivement un texture soyeuse qui s’applique hyper facilement et s’estompe aussi très bien. Il y a bien quelques chutes, un classique, mais ça reste raisonnable. Je conseillerais tout de même de faire son teint après car même si peu de pigments se retrouvent sous l’œil, le bleu c’est un peu impardonnable. Sinon la couleur prend très rapidement sur la paupière, c’est hyper agréable de ne pas avoir à se prendre la tête pour un maquillage intense. D’ailleurs, je n’ai jamais utilisé le fard humidifié, je n’en ai jamais ressenti le besoin, je trouve qu’il est déjà super intense à sec. La couleur est effectivement bien électrique avec il est vrai un petit fini métallisé mais discret sur le bleu (et tant mieux). Pour ce qui est de la multi-fonctions, ça concerne plutôt les autres teintes. Le doré de la collection peut ainsi être utilisé en fard à paupière ou sur le visage en illuminateur. Bref, un véritable sans faute pour cette ombre : la couleur est superbe et elle est ultra facile à utiliser. Parce qu'il se suffit à lui-même, je le porte de manière très simple d'ailleurs : un basique aplat sur la paupière supérieure avec un trait de liner noir. En général, je fais toujours un retour au ras de cils inférieur, sinon, je trouve ça moche, mais là non. pas de noir non plus dans la muqueuse. Je trouve que ça passe très bien sans. C'est plus frais même, en tout cas pour une maquillage de journée; Et puis, ça me donne meilleur mine je trouve. Bon, le soir, on peut toutefois charger plus. Et ce fard est tellement parfait qu'il m'allait quand j'étais 100% brune et toujours maintenant que je suis passée du côté blond de la force. J'avais des doutes pourtant, je pensais que ça ne collerait pas, que ça ferait trop Barbie et en fait j'aime beaucoup l'association. Un sans faute je te dis. 


Son seul défaut, c’est que ce soit une édition limitée pour les fêtes, qui sont donc déjà passées (depuis un bail). Je ne sais pas si on peut encore trouver ce fard chez Sephora ou si la nouvelle collection a déjà remplacé la Guy Bourdin. Il est toutefois toujours en vente sur le site de la marque. Je me suis donc dit qu’il n’était pas totalement trop tard pour vous en parler. J’aurai regretté si je n’avais pas partagé ce joli coup de cœur avec vous. Et puis pour me faire pardonner mon retard, j’ai aussi une petite surprise. Le hasard a fait que j’ai finalement eu ce fard en double. Et j’ai beau aimer le bleu et utiliser celui-là régulièrement, je ne viendrais jamais à bout d’un, alors deux ! Je me suis donc dit que ce serait sympa de vous gâter. Aujourd’hui, justement, le blog a quatre ans (que le temps passe vite !). Je sais qu’il est de coutume en général sur la blogo beauté de faire des big concours avec tout plein de lots à gagner. Mais entre le boulot, les vacances à Madrid et la préparation du séjour à Cuba, le temps a manqué pour organiser tout ça. Pas de grosses dotations donc mais je voulais tout de même vous faire un petit cadeau. Une petite Ombre à Paupières Cinematic Wishful Thinking de Nars ça vous dit ? (la pas utilisée bien évidemment). Pour participer, c’est simple, il suffit de me laisser un commentaire pour dire que ça vous intéresse. Pas besoin de relayer, ni rien, chut, ça reste entre nous. Le but, c’est que ça récompense une fidèle lectrice. Vous avez jusque vendredi 23h59 pour participer, j’annoncerais l’heureuse gagnante samedi.
Rendez-vous sur Hellocoton !

samedi 18 janvier 2014

La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram #30


Oh my God, je viens de réaliser que ça fait plus d’un mois que je n’ai pas fait de résumé de ma semaine sur Instagram. Notre rendez-vous hebdomadaire est devenu un rendez-vous mensuel, ça va pas du tout. Le dernier date du 16 décembre, hum, hum, shame on me. Il s’en est passé des choses depuis. Et même si j’ai disparu par ici, je suis restée active de ce côté-là, continuant à poster des photos (bon, à part ces 15 derniers jours où j’ai aussi disparu mais j’étais malade et bon, du fond de mon canapé, je n’avais forcément pas grand-chose à vous montrer). Bref, j’aime de plus en plus Instagram, c’est un moyen sympa de rester en contact avec vous, même quand je n’ai pas le temps d’écrire régulièrement ici. Et voici donc ce qu’il s’est passé le mois dernier (excepté mes photos de Madrid, je vous en reparlerais dans un post à part). 


Avant les vacances, j'ai eu la chance d'être invitée chez Rochas pour découvrir les éditions limitées de leurs trois Eaux pour les fêtes. Au-delà de cette découverte, ça a été une soirée très intéressante et instructive puisqu'on nous a raconté l'histoire passionnante de la marque et de ses parfums. Il faudra d'ailleurs que je vous en parle. Bientôt... (j'ai l'impression que c'est un peu mon leitmotiv ces temps-ci, il faut vraiment que je m'y mette car j'ai plein de trucs à vous raconter).


Ca a été l'occasion de découvrir les anciens parfums de la marque dans leurs flacons d'époque. Vu mes petites obsessions, j'ai évidemment tout de suite repéré le premier parfum masculin de la maison : Moustache. Il y a plus de 50 ans, la moustache était donc déjà tendance. Evidemment, j'ai mis ma petite touche sur la photo avec une des bagues 'stache que je portais justement ce jour-là.


 En allant acheter mes guides pour Madrid, je suis tombée sur le livre Paris Vs New York composé d'illustrations de clichés parisiens et new-yorkais. Il est vraiment top, très drôle. Si vous aimez ces deux villes, vous l'apprécierez je pense. Je n'ai pas craqué ce jour-là (n'ayant pas trouvé mes guides dans cette Fnac là, je n'avais pas envie de faire la queue à la caisse) mais depuis il me trotte dans la tête et je pense retourner l'acheter bientôt. Avant mon prochain voyage à New York (en avril, j'ai trop hâte...)


Je ne prends presque jamais mes plats en photo car ayant des goûts hyper simples, ils ne sont pas extraordinaires visuellement. Mais ce soir-là, j'ai eu envie de partager l'énorme Mi-Cuit au chocolat et le Tiramisu au Nutella de restaurant Sans Gêne au Batignolles.


 Entretemps, Noël est passé par là. Je n'aime pas trop cette période en général mais j'avoue cette année, entre Londres et Madrid, mon mois de décembre m'a laissé pour une fois un très bon souvenir. Même si ces 6 derniers mois sont passés à une vitesse folle, et j'ai été pas mal sous l'eau, ils m'ont laissé un très bon souvenir. En espérant continuer sur ma lancée en 2014 (c'est bien parti).


Après noël, direction l'Espagne donc et Madrid. L'occasion de découvrir les spécialités locales, les churros, toussa toussa. Et puis aussi ce gâteau Oreo géant. Je ne suis pas forcément fan des Oreo, je n'ai jamais goûté mais ça m'a l'air bien gras et cette crème au milieu ne m'attire pas des masses, mais cet Oreo géant m'a fait sourire.


Comme pour Stockholm et Londres, à Madrid, nous avions loué un appartement. C'est pratique et moins cher que l’hôtel. Cette fois, c'était un peu une petite maison de poupée mais la proprio était un peu mon double côté goûts. Photographe, elle avait pas mal de bouquins de photographes que j'aime beaucoup et des bouquins de mode (je t'avais déjà dis qu'un temps, plus jeune, je rêvais justement d'être photographe de mode jusqu'à ce que je m'aperçoive que je n'avais ni l'oeil ni le talent ?). Elle avait aussi une passion pour la moustache qui était partout dans son appart' : en aimants sur le frigo, sur la sonnette de son vélo, le savon pour les mains, des clips pour les livres et des tampons. Mon double je te dis.


Evidemment, comme à chaque fois que je pars à l'étranger, j'ai fait une razzia côté shopping. J'ai même dû acheter une nouvelle valise, mes achats ne rentrant pas dans le sac de voyage que j'avais emporté. Il faut dire que je me suis bien lâchée. Et je suis plutôt fière de mes trouvailles. Beauty addict jusqu'au bout, j'ai ainsi shoppé une blouse et des chaussettes avec un motif rouge à lèvres. J'adore ! J'ai aussi shoppé des trucs avec un motif bouche, trop beau. Il faut que je vous montre ça itou.


Mais les vacances, c'est fini. J'ai repris le boulot et, avec la rentrée, les présentations des futures nouveautés beauté. Et là, ô joie, j'ai découvert que la gamme Douceurs d'Enfance de Dop que j'aime temps, avec ces gels douche gourmands qui sentent trop bon (madeleine, tartelette à la fraise, caramel) va accueillir très bientôt de nouveaux parfums. Clap, clap, applaudissements d’excitation. Bientôt on va pouvoir se régaler de guimauve, de pain d'épices, de coca et de pomme d'amour.


Question de goûts, mon préféré à moi, c'est Pomme d'Amour. Il sent trop bon, j'adore. mais bon, il va falloir attendre jusqu'à mars pour les découvrir en vrai. Ca va être long. En même temps, ça me donnera le temps de vider ma salle de bains qui déborde de gels douche.


En attendant de profiter de ces gourmandises pour la douche, j'ai fait ma gourmande en goûtant du Milka au Tuc. Une association un peu contre-nature. Trop bizarre pour moi. N'étant pas fan du sucré-salé, je mange donc le chocolat et le Tuc séparément. Et comme ça, c'est très bon.


Pas de résumé d'Instagram évidemment sans quelques photos de Paris. Evidemment, comme j'ai aps mal bougé, il y en a peut-être un peu moins que d'habitude. Mais j'ai beau découvrir de superbe ville ailleurs, my heart belongs toujours to Paris. Ici, l'Eglise Saint Augustin, la nuit.


J'ai beau connaître certaines rues par coeur, les avoir vues mille fois, elles continuent de m'émerveiller. Comme ici, les Champs-Elysées, la nuit avec les illuminations de noël. Certes, elles ne sont pas très belles et elles font un peu pitié par rapport à celles de Londres ou de Madrid, bien plus festives, mais on ne peut nier que ça a quand même de la gueule !


Enfin, la bouche du métro Palais Royal me fait toujours sourire. Oui, le métro, c'est moche, mais parfois c'est aussi une oeuvre d'art.

A la semaine prochaine (promis) pour un nouveau résumé Instagramien et Facebookien. Et si vous voulez me suivre en direct, c'est par ici :
Facebook : Journal d'une Beauty Paresseuse
Instagram : LABEAUTYPARESSEUSE  
Rendez-vous sur Hellocoton !