dimanche 28 février 2010

La collection New Impressions de Givenchy

On commence à voir un peu partout des photos de la collection estivale de make-up Givenchy. Mais, comme l’été est encore loin, arrêtons-nous un peu sur New Impressions, la collection printanière de la marque, qui est en vente en ce moment même. Une collection inspirée par l’encre où le violet est à l’honneur sur le regard et les ongles et où les lèvres se teintent de corail ou de rose bonne mine.

La collection est composée d’un vernis purple (testé cette semaine), de deux feutres à lèvres, d’un Pop Gloss Crystal Coral Impression et d’un Gloss Interdit Magenta Impression, d’un rouge à lèvres satiné - Rouge Interdit Rose Impression - et d’un rouge brillant - Rouge Interdit Shine Coral Impression -, d’un mascara allongeant Phenomen’eyes mauve Purple Impression, de deux eyeliners fluide – un mauve et un nude - et de deux Prisme Blush 4 couleurs – un rosé et une orangé. Le tout en édition limitée. Les prix tournent autour de 25 €, sauf les palettes blush qui sont à 40 €.


Dans l’ensemble, j’aime beaucoup cette collection. Mais il faut dire que je suis une fan de Nicolas Degennes, le maquilleur créateur de la marque. Son mascara boule, son gloss noir qui s’adapte à la couleur des lèvres, son fond de teint Photo Perfection… m’ont rendue addict. Mais je vais essayer d’être objective.

Mon chouchou dans cette collection, c’est le Rouge Interdit Shine Coral Impression. Ce n’est pas le produit le plus révolutionnaire, ni le plus trendy de la collection. C’est plutôt un basique. Mais justement, c’est celui qui ne va pas quitter ma trousse de maquillage du printemps car il colore mes lèvres d’un joli corail rosé. Lumineux mais pas tape à l’œil, pas trop orangé (le orange est peut-être la teinte star de la saison mais ça ne va pas à tout le monde), il est parfait pour un make-up de tous les jours.


On trouve également dans cette collection deux gloss. Et ça tombe bien parce que ce printemps, le gloss revient en grande pompe. Délaissé depuis quelque temps au profit du rouge à lèvres, il a fait son grand retour sur les podiums des défilés. Cette saison, toutes les grandes marques de cosmétiques ont donc sorti ou remis en avant leurs gloss. Chez Givenchy, il y en a toujours eu dans les collections saisonnières. Et ces deux petits nouveaux séduiront les gloss addict. Lequel choisir ? Le Pop Gloss Crystal Corail joue sur la transparence et la lumière : légèrement pailleté, il ne colore presque pas les lèvres mais leur apporte une brillance intense. Le Gloss Interdit Magenta est plus coloré et dépose sur les lèvres un rose léger et glossy. Moi, perso, j’ai renoncé au gloss depuis longtemps, trop collant. Et, même si je les trouve très jolis, je resterai fidèle au rouge à lèvres.


On connaît toutes le mascara Phenomen’Eyes. Avec sa forme sphérique, il a révolutionné notre façon de nous maquiller. Cette fois-ci, il se pare d’une teinte mauve dans l’esprit de la collection. N’étant pas une adepte du mascara coloré, je ne pensais pas pouvoir adopter ce mascara, sur le visuel publicitaire sa teinte étant très « purple ». Mais finalement, une fois appliqué, il n’est pas si violet. Il a même l’air totalement noir, enfin pour moi. Donc il peut être porté facilement au quotidien.


Mais les produits qui m’ont le plus intriguée lors de la présentation de la collection, ce sont les feutres à lèvres. La marque n’est pas la première à avoir lancé le concept, mais je n’en avais jamais testé avant, d’où ma curiosité. Je me suis donc empressée de les essayer avec, il faut bien le dire, un résultat mitigé. L’application est assez particulière. On fait le contour des lèvres avec la pointe de la mine puis on remplit avec le plat du feutre. Comme pour le mascara boule, il faut attraper le coup de main. Moi qui suis programmée à l’application de rouge à lèvres, j’ai eu du mal avec cette nouvelle gestuelle. Après, j’avoue avoir été bluffée par le résultat visuel : on a une impression de non matière.


Contrairement aux gloss ou aux rouges qui se voient sur les lèvres même s’ils sont nude, là on a l’impression que la teinte obtenue est la couleur naturelle des lèvres. Bluffant. Peut-être est-ce grâce à leur formule à base d’eau. Par contre, au niveau ressenti, je n’ai pas trouvé ça agréable. Ca laisse une sensation collante sur les lèvres, différente de celle d’un gloss mais très présente. Je ne sais pas si quelqu’un l’a aussi essayé mais dites-moi si c’est aussi le cas. Je suis curieuse. Alors que visuellement on oublie vite qu’on est maquillée (en plus, il n’y a pas de transfert sur les verres ou même sur la peau, c’est un plus, je l’admets), cette petite sensation légèrement désagréable nous le rappelle sans cesse. Elle finit par disparaître après un certain temps, mais je me demande si ce n’est pas parce que j’avais fini par « manger » toute la matière.
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vendredi 26 février 2010

Le parfait gommage pour le corps

Pendant longtemps, je l’ai joué « A la recherche du parfait gommage pour le corps ». J’avais beau en essayer, je ne trouvais pas le produit idéal. Parce que j’ai des désirs très spécifiques. Je voulais un gommage qui gomme vraiment, que tu sentes que ça décape (bon, sans t’arracher la peau quand même). Pourquoi une telle violence ? En fait, après des années d’utilisation d’un épilateur électrique dans ma guerre contre les poils, je me suis retrouvée avec des jambes en piteux état : poils incarnés, peaux mortes, cicatrices et tout le blabla. Pour être précise, des demi-jambes car comme pour l’hydratation, je n’épile à l’épilateur que les demi-jambes et je ne gomme que… les demi-jambes ! Bravo, vous avez deviné.



Donc, il me fallait un gommage assez fort pour faire peau neuve. Mais, à l’usage, je ne tombais que sur des gommages doux. Même s’ils avaient des gros grains, c’était des gommages pour petits joueurs. Qui, en soi, ne sont pas mauvais, certains avec des mini grains sont même indiqués pour les peaux sensibles et la plupart conviendraient aux peaux normales. Mais moi en plus d’être paresseuse, je suis chiante et là, ça n’allait pas du tout. J’ai donc continué ma quête jusqu’à ma découverte d’une délicieuse petite terrine : le gommage Crushed Carbernet de Caudalie (20,80 €). Une merveille.

Qu’est ce qui le rend si spécial ? Et bien, il contient des gros grains de pépins de raisins broyés associés à du sucre brun pour une exfoliation efficace, sans pour autant être agressif pour la peau grâce à un cocktail de miel et d’huile de pépins de raisins. En plus, il a des vertus minceur puisque sa formule combine aussi six huiles essentielles bio anti peau d’orange et drainantes. Bon, moi je m’en fous puisque je ne l’utilise que sur le bas des jambes mais vous, vous n’avez pas toutes ma mini obsession. Au début, j’avoue, je n’étais pas fan du parfum mais le résultat en valait tellement la chandelle que j’ai vite oublié ce détail. Et puis j’adore son petit pot très rustique. Seul bémol : il se finit beaucoup trop vite, on en redemande encore. J’ai aussi testé le gommage en vrai dans un spa Caudalie avec des vrais pépins de raisin : une vraie extase et je pèse mes mots.


Pour mon rituel « gommage en folie », j’alterne avec le Beurre de Sel Exfoliant d’Ahava (29 €), une marque israélienne vendue en exclu chez Sephora, tout aussi efficace. Là, le pot est énorme, donc on fait durer le plaisir. Qu’est ce qu’il y a dedans ? Des algues, de l’eau et du sel de la Mer Morte, des huiles naturelles et du sucre. J’aime beaucoup l’utiliser parce que sa texture est totalement différente de la plupart des gommages. Elle se rapproche plus du baume (un baume avec des grains exfoliants). Je l’applique sur peau sèche pour un gommage plus intense. Au contact de l’eau, le beurre se transformera en lotion hydratante pour une peau toute douce. Il peut aussi être utilisé sur peau humide pour une action plus douce. Le seul bémol : c’est con, mais il a gelé cet hiver. Il est devenu tout dur dans son pot. Bon, on peut encore l’utiliser mais j’utilise mon sèche-cheveux pour réchauffer la matière et pouvoir en extraire la quantité suffisante pour mon gommage. Mais l’efficacité est toujours au rendez-vous.



Je ne dis pas que ce sont les deux meilleurs gommages du monde mais c’est ceux qui me conviennent le mieux pour l’instant et pour la zone que je veux exfolier. Pour le décolleté, j'opterai pour quelque chose de plus doux. Je ne prétends pas non plus avoir testé tous les gommages du marché. Ca parait dingue par exemple mais je n’ai jamais essayé les gommages The Body Shop bien qu’étant une fan de la marque. Faudrait que je vois si je n’en ai pas dans ma réserve. Et puis, il y a ceux que j’ai seulement testés sur la main, qui me paraissaient plutôt pas mal, mais que j’ai fini par donner aux copines puisque j’en avais plusieurs déjà ouverts. Faut pas gâcher. Je pense notamment au Sucre Exfoliant pour le corps d’Officinea (29 €), une petite marque bio fort sympa, ou du Soin Gommant Oriental Aquamondi Maroc, à l’huile d’argan et au rhassoul, de Daniel Jouvance (35 €). Ma sœur en a hérité et elle a l’air plutôt satisfaite. Et vous, c’est quoi votre gommage ? Soft ou intense ?
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jeudi 25 février 2010

Le vernis Purple Impression de Givenchy

Aujourd’hui, inauguration d’une nouvelle rubrique (oui, je me la pète un peu vrai mag, ça devient n’importe quoi) : le vernis de la semaine. Parce qu’il faut bien l’avouer, je suis une véritable collectionneuse, vous avez dû vous en rendre compte quand je vous ai présenté les 10 nouveaux vernis OPI. D’ailleurs, je vous ferai peut-être un jour une présentation générale de tous mes chouchous, il y en a un paquet, c’en est effrayant. Mais ils le valent bien.

Revenons à nos moutons. L’élu de la semaine est le Vernis Please ! Purple Impression de Givenchy (n°168, 15,50 €). Une édition limitée qui fait partie de la collection printemps-été de la marque (je vous reparlerai de cette superbe collection baptisée New Impressions plus tard car il y a beaucoup de jolies choses).



Pour le make-up, je ne suis pas une grande fan du violet. Je n’ai d’ailleurs pas cédé à la purple mania cet hiver, je suis restée dans le clan de l’indigo. Mais j’adore la marque Givenchy et ce vernis me criait « essaie-moi, essaie-moi » depuis quelques mois. Je me suis donc lancée et je suis assez séduite par le résultat. Ce violet issu d’un mélange de nacres bleues et de nacres roses est profond et lumineux. Je trouve même qu’il a un côté doré qui le rend assez unique par rapport aux nombreux violets sortis récemment. Et puis il y a des micro-paillettes dans la formule, quasi invisibles une fois le vernis appliqué mais qui accentuent sa brillance. Avant le test, je me disais que je le donnerais sûrement à une copine une fois essayé. Mais finalement, je crois que je vais le garder. Un nouveau bijou dans ma collection.




(C’est marrant, sur les photos il a l’air bleu alors que pas du tout. Il est violet et bien violet. Ce doit être à cause du flash. Arf.)
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mercredi 24 février 2010

Maquillage : la Blue Collection de Thierry Mugler

Il y a deux ans, la marque Thierry Mugler se lançait dans le maquillage. Une excellente nouvelle pour les aficionadas mais également pour beauty addicts car le make-up Mugler est à la fois luxueux et rare (très peu de points de vente et des prix comparables à ceux de Chanel, Dior ou Armani) mais également révolutionnaire et hautement désirable. Le maître a inventé des produits totalement nouveaux comme la laque à lèvres qui s’adapte à la couleur de nos lèvres, le rouge à lèvres bleu qui devient rose une fois appliqué ou un « top coat » pour les cils qui s’applique au pinceau après le mascara pour un résultat effet vinyle. Et les petits derniers qui agrandiront la famille ce printemps sont à la hauteur de leurs glorieux aînés.


En plus, cette nouvelle collection, baptisée « Blue Collection » et dont voici le visuel, semble avoir été faite pour moi, l’obsessionnelle du fard à paupières bleu et flashy. Elle est composée d’un eyeliner crème, d'une palette de quatre ombres à paupières et d'une laque à lèvres.

Coup de foudre immédiat pour l'eyeliner Eye Sculpt Electric Blue (35 €) dont je vous avais déjà parlé. Grâce à sa texture crème-poudre, il est facile à travailler et, une fois sec, il ne bouge plus. Et sa couleur bleu indigo est totalement envoûtante. On peut l’appliquer comme un eyeliner normal en dessinant un trait précis au ras des cils sur le fard à paupières ou sur paupière nue. Ou on trace un trait un peu plus gros que l’on va ensuite venir flouter au pinceau ou au doigt pour un effet fumé. Moi, j’avoue que, comme d’habitude, je vais l’appliquer en aplat sur l’ensemble de la paupière mobile pour me faire un smoky bleu électrique.



Il y a aussi une palette quatre couleurs, Regard Stellaire Blue Rhapsody (60 €), qui m’a fait pousser des petits cris d’excitation. Elle est composée de trois teintes ultra-pigmentées – un turquoise et deux bleus – et d’une base préparatrice teintée censée préparer la paupière, fixer l’ombre et booster la couleur. Les teintes sont très lumineuses et légèrement pailletées. Je n’ai pas encore testé la palette mais ça ne saurait tarder. Je vous reparlerai du résultat, de l’intensité des couleurs et de leur tenue in vivo. On peut les utiliser les trois en même temps en dégradé sur la paupière mais moi je vais plutôt opter pour la solution monochrome (une couleur à la fois), je trouve que la couleur des ombres est mieux mise en valeur ainsi. Je vais d'ailleurs commencer par le turquoise qui me fait de l'oeil depuis un mois.


Et ce ne serait pas du make-up Mugler sans un objet un peu original. Le dernier produit de la collection, Latex Gloss City Night Blue (29 €), est une laque à lèvres effet vinyle bleue et pailletée à appliquer en top coat sur son rouge à lèvres pour un effet stellaire et irréel. Elle booste la brillance des lèvres et leur donne des reflets bleus violets. C’est difficile à expliquer. Le résultat bientôt en image.



En résumé : une superbe collection qui met le bleu à l’honneur. J’essaie de tester le make-up dans la semaine pour vous montrer ce que ça donne en vrai. Les produits sont déjà en vente sur la boutique en ligne Thierry Mugler. Et si vous voulez les voir en vrai, ils seront disponibles en exclusivité à partir de mars aux Galeries Lafayette Haussmann. (Quand je disais rare, c’est rare).
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mardi 23 février 2010

Pourquoi et pour qui se maquille-t-on ?

Trêve de superficialité, j’ai eu envie de traiter de ce sujet essentiel et dont la réponse pourrait bouleverser le monde tel qu’on le conçoit. Je me sens philosophe aujourd’hui. Bon, d’accord, philosophe de pacotille…

En fait, c’est en réfléchissant à mon attitude paradoxale vis-à-vis du make-up que j’ai voulu avoir votre avis. Pourquoi et pour qui vous maquillez-vous ? Pour vous plaire ? Pour plaire aux autres ? Pour plaire aux hommes ou juste à votre homme ? Pour être dans la tendance ? Vous maquillez-vous tous les jours, juste pour les grandes occasions ou alors dès que vous avez une sale tête. Pour camoufler vos défauts ou mettre en valeur vos points forts ? Beaucoup ou alors juste une touche de mascara ?



Moi, j’ai tendance à me maquiller beaucoup, sinon je me sens toute nue. D’ailleurs, mes amies ont tellement l’habitude de me voir le regard over maquillé que, quand j’ai juste du mascara, elles tiquent immédiatement. Elles me demandent si ça va, si je ne suis pas malade ou me disent que j’ai quelque chose de différent sans qu’elles arrivent à mettre le doigt dessus.

Je me maquille d’abord parce que j’aime ça. C’est un petit plaisir mine de rien. On se sent plus féminine. C’est peut-être bizarre ce que je vais dire mais je me sens plus propre aussi. Donc, c’est d’abord pour me plaire. Et pas pour plaire aux autres (hommes ou femmes), vu les couleurs de fards à paupières que je choisis. Avec mon bleu pétard ou mon vert flashy sur les yeux, on a plutôt tendance à me regarder bizarrement au quotidien. Le nude, c’est mieux pour plaire à la fille ou au mec lambda. En fait, on ne me complimente sur mon make-up que quand j’évolue dans l’univers de la beauté (présentation presse, rencontre avec d’autres journalistes/blogueuses, maquilleuses ou même par des esthéticiennes avant un soin du visage). Alors peut-être que c’est un peu pour les autres finalement, pour marquer une appartenance. Du style, seules celles qui sont comme moi apprécieront et je dédaigne les autres. C’est mon côté snob.


Mais je me maquille aussi pour me cacher, camoufler tous les petits défauts: mon teint terne et blafard, mes imperfections, mes petits yeux les jours où je suis fatiguée (c’est-à-dire tous les jours). Mon make-up, c’est aussi un masque. Ce qui m’amène à une attitude paradoxale. Il m’arrive de sortir sans maquillage pour aller faire des courses, acheter mon pain… En gros quand je ne dois rencontrer personne, ou alors que des inconnus. Bon, je me camoufle le plus possible avec bonnets, chapeaux, lunettes de soleil et je prie pour ne pas tomber nez à nez avec quelqu’un que je connais. En plus, en général, je ne mets pas mes lentilles ces jours-là donc je ne vois pas les gens et j’ai alors l’impression qu’eux non plus ne me voient pas. Impression d’invisibilité très très trompeuse mais qui pour l’instant fait l’affaire.

En revanche, je me maquille toujours pour aller voir mes amis (et forcément aussi pour aller bosser, mais ça c’est une évidence). D’ailleurs, beaucoup d’entre eux, même s’ils me connaissent depuis des années, ne m’ont jamais vu sans maquillage. Paradoxal, je sais. En gros, ce n’est pas grave si des inconnus me voient sans make-up mais impossible pour mes proches et connaissances. Ca peut mener à des situations totalement tirées par les cheveux. Par exemple, même si je suis plus souple sur les règles en été, il m’arrive très souvent de mettre du fond de teint pour aller à la plage, en plus du maquillage des yeux et d’un peu de gloss protecteur, cela va de soi. C’est pas vraiment pratique, je le conçois, mais chacune ses névroses.
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lundi 22 février 2010

Les nails patchs : la fausse bonne idée ?

En tant que beauty paresseuse, je suis constamment à la recherche de nouveaux concepts qui pourraient me faciliter la vie. Alors quand les vernis à ongles sous forme de patch sont sortis chez Sephora, j’ai tout de suite été intriguée. Et puis, toutes mes copines ayant testé l’objet étaient conquises. Selon elles, les patchs étaient super faciles à utiliser, bien plus rapides à appliquer qu’un vernis normal et tenaient beaucoup plus longtemps.

Un concert de louanges qui m’a fait sauter le pas. J’allais donc essayer cette merveille censée révolutionner la pose du vernis. Comme je n’avais pas de Sephora sous la main, j’ai opté pour des Incoco, une marque que je ne connaissais pas mais je les avais à disposition. En plus, c’était un trois en un, le patch étant composé d’une base, du vernis et d’un top coat. Donc c’était parti… pour une bonne demi-heure de prise de tête !


Le mode d’emploi est pourtant simple. On sélectionne la taille de patch adaptée à l’ongle. On enlève le film protecteur et on détache le patch avant de l’appliquer sur l’ongle. On lisse pour que ça adhère bien puis on plie ce qui dépasse autour de la bordure de l’ongle et on lime pour se débarrasser de cet excédent. Et voilà, le tour est joué. Enfin, tout ça, c’est en principe.

En pratique, j’ai dû me battre avec ce satané patch ! Déjà, il refusait d’adhérer à l’ongle. Je m’y prenais peut-être mal, je ne sais pas. Après une dizaine de tentatives et un patch à moitié déchiré (parce qu’attention, c’est fragile ces petites bêtes), j’ai recommencé avec un nouveau patch, toujours sur le même ongle. Là, j’y suis à peu près arrivée. J’attrape donc la lime pour me débarrasser de l’excédent et, effectivement, si j’ai réussi à éliminer tout ce qui dépassait, un bout du vernis est aussi parti avec. Me voici donc avec un trou sur l’ongle. Retour à la case départ. Au bout de 30 minutes (le temps qu’il me faut pour une vraie manucure), j’avais fait un ongle et encore, il était raté. J’ai donc laissé tomber et attrapé mes vernis habituels.



Testé et non approuvé par la beauty paresseuse. C’est vrai, c’est censé nous faciliter la vie et non pas le contraire. Peut-être est-ce parce que je ne suis pas douée de mes mains. Je suis nulle en bricolage donc nulle en pose de patchs. Peut-être aurait-il fallu plus de temps pour apprivoiser ce nouveau geste. Je sais aussi que les Sephora n'ont pas de lime à ongles fournie donc l'application est peut-être différente et le patch moins récalcitrant. Dites-moi si vous avez testé.

En tout cas, je préfère encore me faire une manucure normale, c’est moins prise de tête. Mettre du vernis, c’est devenu automatique pour moi. J’aime bien ça et je le fais assez rapidement. Non, ce qui me prend du temps, c’est me limer les ongles. Faudrait peut-être inventer une machine pour nous faciliter ce geste-là ! Je sais qu’il y a des limes électriques, j’en ai essayé une mais la sensation était trop bizarre, l’efficacité pas optimale et ça prenait autant de temps. Donc une machine plus performante.
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samedi 20 février 2010

Le blush et moi

Je ne suis pas une grande utilisatrice de blush. En général, j’ai tendance à zapper ce geste essentiel pour un make-up réussi. En partie pour des raisons totalement stupides. Je passe déjà un temps fou à me maquiller donc, par gain de temps un peu et surtout par paresse (il faut bien mériter mon titre de beauty paresseuse), j’ai éliminé quelques étapes de mon maquillage quotidien. Le blush donc, et la poudre libre aussi, mais c’est une autre histoire.

J’ai aussi un mal fou avec la symétrie du make-up. Je ne sais pas vous, mais je vois moins bien mon côté gauche que mon côté droit (peut-être parce que je suis complètement miro de l’œil gauche). Et donc, si je maquille le côté droit du visage en deux temps trois mouvements, j’ai plus de mal avec le côté gauche. C’est totalement dingue, je sais.


Mais j’ai aussi une très bonne raison. Ma peau ne supporte pas la poudre. Dans l’ensemble, j’ai une peau normale, voire grasse sur le menton, mais j’ai quelques zones de sècheresse comme les joues. Donc le blush ne se fond pas, il fait des paquets. On voit trop le côté poudreux, ce que je n’aime pas du tout. Je préfère le fini irisé. Alors j’ai pris l’habitude de ne pas mettre de blush. Enfin, la plupart du temps.

Parce qu’il faut bien dire que sans, j’ai parfois l’air fantomatique. Surtout en hiver, où ma couleur de peau approche la transparence. En été, je peux m’en passer, le soleil faisant office de blush naturel vu que je rougis assez facilement. Donc, quand je me sens trop blanchâtre ou que je sors en soirée, je prends tout de même le temps de me mettre le rose aux joues. Et pour contourner le problème de la poudre, j’opte pour des fards crèmes ou liquides. En plus, je les trouve beaucoup plus faciles à appliquer et à doser. Peut-être parce que je suis une inconditionnelle du make-up au doigt. Pour les accros au pinceau, ils peuvent également être utilisés avec un pinceau blush normal ou une éponge. Voici mes trois chouchous :

Rose de Rose, Blush Fluide Eclat lissant, By Terry, 48 €.
J’aime ce blush fluide pour son effet bonne mine naturel grâce à une formule à base d’actifs extraits de la rose (la reine des fleurs pour Terry, la fondatrice de la marque). Et parce qu’il se fond parfaitement dans la peau.


Mini blush, mini Bourjois, 4,95 €.
Parce qu’ils sont tout mini et tout mimi, parce qu’ils ne sont pas chers, parce qu’ils existent en huit teintes (et vu leur prix on peut sans remords en shopper plusieurs selon l’effet désiré), parce qu’avec leur texture crémeuse ils sont hyper faciles à appliquer. Mais surtout parce que le résultat est à la hauteur. Avec eux, le blush c’est dans la poche !


Blush HD, Make Up For Ever, 25 €.
Le petit dernier et non des moindres ! Il vient juste de sortir en exclu chez Sephora et il fait déjà partie de mes chouchous. Une texture fluide facile à travailler qui se fond parfaitement dans la peau, un résultat naturel, un fini satiné comme j’aime et une gamme de dix teintes lumineuses où on va toutes pouvoir trouver notre bonheur. Moi, je suis un rose assez flashy selon la maquilleuse de la marque. Mais une fois appliqué et estompé, le résultat est totalement naturel. Et puis c’est MUFE, on est sûre de ne pas se tromper.
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vendredi 19 février 2010

Fashion Week : Les tendances make-up à piquer aux podiums new-yorkais

Les défilés new yorkais pour l’automne-hiver 2010 viennent de s’achever. Alors qu’on n’a pas encore adopté les tendances printanières, c’est l’occasion de jeter un œil sur ce qui nous attend dans un an. New York oblige, c’est le nude qui a dominé la semaine. Mais, moi, le nude je trouve ça chiant. J’ai donc sélectionné quelques make-ups haut en couleurs à copier l’hiver prochain. Bilan totalement partial et non exhaustif.


Le smoky gras de Zac Posen
J’ai un faible pour les smoky gras. Peut-être parce que je ne suis jamais arrivée à en faire un comme ceux des maquilleurs pro. Donc, je m’en tiens au fard à paupières poudre.


Le vernis gris foncé de Rag & Boone
Mais de quelle marque est ce superbe vernis ? Le it vernis de l’hiver prochain ? sans aucun doute.

Le smoky cuivré d’Oscar de La Renta
De l’or sur les paupières, moi, je dis oui !


Le make-up bonne mine de Michael Kors
Du blush orangé sur le bombé des pommettes, du noir sur le coin externe de la paupière mobile et un baume pour les lèvres transparent : un make-up classique chic qui vise juste. J’aime l’association avec la queue de cheval effet décoiffé.


Le rouge à lèvres orange de Max Azria
L’hiver prochain, on ne met pas son rouge à lèvres orange au placard et on l’assume. Parfait pour booster sa bonne humeur les jours de grand froid.


Le regard stellaire de Jason Wu
Très facile à reproduire toute seule, l’idée du fard à paupières blanc appliqué en halo sur toute la paupière supérieure.


L’hyper smoky de Diane Von Furstenberg
J’adore ! Bon, c’est un peu compliqué à reproduire chez soi, et aussi à assumer dans la vraie vie, mais ça c’est du make-up. Les paillettes ajoutent de la luminosité et le rendent aussi encore plus rock’n’roll. Notons qu’il n’est pas assorti à une bouche rouge mais nude ;) ok, on note.



Le regard bleu de Derek Lam
Je suis une obsessionnelle du fard à paupières bleu, surtout s’il est flashy, donc j’aime, j’adhère, j’adopte. Avec une petite adaptation tout de même. Je m’en tiens à la paupière mobile. Et je préfère un rouge à lèvres plus rosé.


Le regard pourpre de Carolina Herrera
L’hiver prochain, le violet fera encore de la résistance mais en version pourpre. Plus chic et moins connoté 80’s que le violet pur.
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jeudi 18 février 2010

Mes beauty faux pas

On connaît toutes les 10 commandements de la beauté (enfin quand je dis 10, ça approche plutôt les 100). Mais si on veut que prendre soin de soi reste fun, il faut parfois mettre certaines règles trop fastidieuses ou contraignantes de côté. (Oui, toi qui as les yeux bleus, tu peux choisir un fard à paupières bleu. Vas-y rebelle-toi !) A chacune de s’adapter et de trouver de nouveaux gestes, de faire sa petite cuisine beauté en somme (bon, on fait quand même attention à ne pas faire n’importe quoi). De mon côté, comme je l’ai dit à la création de ce blog, j’ai beau être une beauty addict, je ne suis pas toujours le manuel de la parfaite cosméto girl. Petite revue de mes brisages de règles :

- J’applique le mascara avant le fard à paupières : oui, je sais, c’est débile mais j’ai mes raisons. Quand j’applique du mascara, j’ai tendance à déborder et à en mettre un peu partout sur la paupière donc j’utilise ensuite le fard pour camoufler. Je sais qu’il faut normalement l’appliquer après pour éviter les dépôts d’ombre à paupières dessus, mais je m’obstine, c’est comme ça.

- Autre curiosité : je n’applique ma crème hydratante pour le corps que sur les demi-jambes. Le reste n’a pas l’air de souffrir de sécheresse alors je zappe pour gagner du temps. Sauf en été bien sûr où je me tartine en intégrale au moins deux ou trois fois par jour.

- Je n’utilise pas de poudre libre ou même de poudre tout court pour fixer mon fond de teint. Non, une base, le fond de teint et basta. De toute façon, ma peau n’aime pas la poudre (je reviendrais dessus plus tard).



- Si, pour ma manucure, je respecte les trois étapes clés (base, vernis, top coat), sur mes petons, par contre, j’applique directement le vernis en zappant la base et le top coat. Totalement idiot, je le concède. Que ce soit sur les mains ou les pieds, les ongles sont tout aussi perméables aux pigments et donc susceptibles de jaunir. Mais bon, j’ai fait mon calcul temps/bénéfice et j’en suis arrivée au résultat que je n’avais pas envie de passer des heures sur l’application du vernis pour qu’il soit ensuite caché la plupart du temps dans des chaussures.

- Quand je mets du rouge à lèvres très pigmenté, je ne peux m’empêcher de me maquiller les yeux également. Alors que l’une des règles de base nous dit bien de choisir un point fort, yeux ou lèvres, et de ne maquiller que lui. Mais pour moi sortir sans avoir les yeux maquillés, c’est comme sortir à poil. Attention, je n’opte pas non plus pour un make-up totally bitch, juste un peu de fard sable ou doré (mais très léger) et un trait d’eyeliner. Esprit Dita.

- Je me démaquille quotidiennement avec des lingettes. Enfin, pour être honnête, là je suis en voie de guérison et je ne le fais plus que quand fatigue, paresse et heure tardive se conjuguent. Donc je démaquillais…

- Je ne mets presque jamais de blush (vous comprendrez bientôt pourquoi) même si c’est une des étapes indispensables d’un maquillage réussi et même si sans je me trouve parfois un peu fadasse.

- Même si je suis une grande consommatrice de rouges à lèvres, je n’utilise jamais de crayon contour des lèvres. Oui, même quand je choisis une teinte très pigmentée. Enfin, exception qui confirme la règle, j’ai trouvé un super crayon à lèvres lissant Shiseido (RD 305) que j’applique avec mon Rouge Allure Lover Chanel. Mais sinon, c’est niet.

Et voilà, je crois que ma liste confession est complète. Et vous, c’est quoi vos beauty péchés ?
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mardi 16 février 2010

Chanel choisit Martin Scorsese et Gaspard Ulliel

ENORME. Oui, je crois qu’il n’y a pas d’autres mots. Et, oui, ça mérite les lettres capitales. Pour la pub de son prochain parfum masculin, Chanel s’offre Martin Scorsese. Rien que ça ! J’en suis baba et j’ai hâte de voir ça. C’est marrant d’ailleurs l’effet que font les pubs Chanel, peut-être parce qu’elles ressemblent plus à des mini courts métrages qu’à des films publicitaires.

Après l’ambiance Moulin Rouge de la pub pour le N°5 tournée par Baz Luhrmann ou le Train de Nuit de Jean-Pierre Jeunet, je me demande ce que nous réserve Scorsese. Mais quand on sait que Chanel laisse carte blanche aux réalisateurs choisis, que ce soit sur le scénario ou le décor, c’est forcément prometteur. Alors un remake de la scène culte de Taxi Driver avec notre héros clamant un « Are you talking to me » devant son miroir avant de se pschitter un peu de parfum ou une histoire de mafieux ? (Si on peut pas plaisanter !). Non, moi je vois plus un univers glamour à la Aviator.


Quant au héros de la pub justement, pas de Léo, grand copain du cinéaste, mais dans la catégorie beau gosse, je trouve que c’est même mieux. C’est le frenchy Gaspard Ulliel qui sera en effet l’égérie de ce nouveau parfum. Cocorico ! Perso, je préfère notre Gaspard national à un Leonardo Di Caprio qui s’est un peu trop empâté à mon goût. Il était d’ailleurs à croquer dans la pub Longchamp avec Kate Moss. Donc, je valide le choix marketing et artistique.

Rendez-vous à la rentrée 2010 pour voir le résultat.
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lundi 15 février 2010

Les soins Kenzoki : la cosmétique du bonheur

Tout le monde connaît Kenzoki, la gamme de soins de la marque Kenzo. Plus besoin de vous la présenter. Mais avez-vous déjà testé les produits ? Si oui, vous ne pouvez être que totalement addicts, comme moi. En fait, je trouve que tout chez Kenzoki est parfait. Le concept de la marque tout d’abord, celui d’une beauté positive et de produits inspirés de la nature qui donnent envie de se faire belle et dans lesquels se conjugue plaisir d’utilisation et efficacité. Mais aussi les packagings blancs épurés chic-issimes, les noms des soins qui font rêver (Masque Guimauve, Belle de Jour, Riz-au-lait Gommant pour le corps, Crème qui fait belle, Fantasme pour pieds nus… Je pourrais continuer comme ça longtemps !), et surtout les formules et les textures qui font des soins de la marque de vrais doudous de peau. En fait, le seul défaut des produits, c’est leur prix. Difficile de craquer pour l’ensemble de la gamme sans se mettre son banquier à dos. Mais en même temps, je trouve que c’est un prix juste pour ce qui nous est proposé : un moment de zenitude parfait.

Donc, quand un petit nouveau est venu agrandir la ligne Belle de Jour, je me suis immédiatement jetée dessus. Cette gamme hautement concentrée en Lotus Blanc, aux vertus relaxantes et apaisantes, met la peau dans une bulle afin de la préserver des agressions extérieures. Ainsi protégée, elle retrouve son équilibre naturel et son fonctionnement idéal. Les traits se détendent, le teint s’illumine, le visage est reposé. En bref, la peau est plus belle et parait plus jeune. J’utilise déjà quotidiennement le contour des yeux Regard d’Ange (75 €). Et maintenant est venu s’ajouter à mon rituel le Masque au lotus blanc qui vient donc de sortir (87 €). Testé cet après-midi et aussitôt approuvé !

Le petit plus qui fait la différence : le contour des yeux et le masque s’appliquent au pinceau. C’est parfait pour celles qui ont la main un peu lourde, à la fois au niveau du massage que sur le dosage du produit. Le pinceau permet de mieux répartir la crème mais surtout de l’appliquer avec douceur. Moi, j’ai été séduite par la sensation du passage du pinceau sur la peau. C’est définitivement plus agréable que le tartinage à la mano. Et, effectivement, rien que ce geste de rien du tout nous rend plus zen. Et puis la texture douce et fraîche est délicieuse. Je suis une nouvelle fois séduite. Pour le résultat, difficile de juger en une utilisation, on verra. Mais pour l’instant, je lui donne 9,5/10. (10/10, ça fait trop fayotte).
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dimanche 14 février 2010

Note (mal) barrée du dimanche

I have a dream…

Non, pas qu’on soit « free at last », plutôt quelque chose de plus terre à terre, de plus réalisable (quoique) et surtout de beaucoup, mais alors beaucoup, plus superficiel. Bon, on ne se moque pas, mais je rêve parfois d’avoir un dressing à maquillage. What ? Mais oui, les fashion addicts ont bien leur dressing à chaussures, et bien moi je veux le même mais pour les produits de beauté. Attention, pas un truc cheap ! Non, plutôt quelque chose ressemblant à ceux de Mariah Carey ou Eva Longoria, répérés dans les pages des magazines people. Une pièce entière quoi ! Et, bien évidemment, avec une température idéale pour conserver au mieux mes produits chéris. (J’avais lu quelque part que les stars avaient des dressings climatisés, ça m’a marqué).


Pour le moment, le make-up que j’utilise quotidiennement est plutôt disséminé en pagaille sur mon bureau et ma commode voire stocké dans une boîte en fer (elle est mignonne, mais on dirait le triangle des Bermudes. Impossible d’y retrouver quoi que ce soit). Quant à mes stocks, ils sont éparpillés dans différentes armoires, tiroirs ou trousses. Je finis par oublier ce que j’ai et utiliser toujours les mêmes fards, les mêmes rouges à lèvres… D’où l’idée du dressing. Je pourrais ranger mes produits par catégories, mon make-up par couleurs (les fards flashy d’un côté, le nude de l’autre, les crayons dans des pots, les rouges à lèvres en ligne les uns à côté des autres…) Il y aurait aussi des étagères pour exposer mes parfums et les éditions limitées luxueuses ou mignons gadgets que je collectionne même si je ne les utilise jamais. Ca simplifierait vraiment tout.

Oui, je sais, c’est flippant, j’ai l’air d’y avoir beaucoup réfléchi. J’ai même failli mettre mon plan à exécution, en version moins grandiose bien sûr. J’avais juste gardé l’idée des étagères. Et puis, je suis revenue à la réalité. N’habitant pas dans une maison avec une vingtaine de pièce, n’ayant qu’une seule salle de bain et côtoyant des gens normaux qui pourraient être légèrement perturbés par cet étalage de beauté et de superficialité, sans parler du côté scary pour la gent masculine, j’ai préféré rester raisonnable. Non, ne vous inquiétez pas, je n’ai pas diminué mon stock de produit, je l’ai juste planqué. Et de temps en temps, je repense à mon dressing. C’est quand même une idée super. Je vais peut-être déposer le brevet avant qu’on me la pique. Et quand je serais méga riche grâce à elle, je pourrais me le faire ce dressing !
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samedi 13 février 2010

Astuces pour réussir sa manucure

Vous l’avez sûrement constaté sur la note présentant la nouvelle collection de vernis OPI, je suis une handicapée de la manucure. Avec mes mains tremblotantes, j’en mets autant sur les doigts que sur l’ongle. Ce qui fait que je voue une véritable admiration aux vrais pros (non, je n’exagère pas). Après ma première manucure en institut, j’étais sur les fesses. Non seulement, il n’y avait pas une once de vernis autour des ongles mais surtout elle a tenu toute la semaine. Quand c’est moi qui m’y colle, j’ai souvent droit à un premier accroc dans l’heure qui suit. Enfin, ça dépend aussi du vernis. Donc, mes manucures à la maison ressemblent à ça. Oui, je vous l’accorde pas joli, joli.


Il faut dire que je suis presque toutes les règles de base sauf une. Oui, je commence par une base protectrice pour ne pas que les pigments colorés pénètrent dans l’ongle et finissent par le jaunir. J’applique ensuite deux couches de vernis et je termine par un top coat pour booster la brillance, faire tenir le vernis plus longtemps et surtout le faire sécher plus vite.

Par contre, je n’ai jamais le courage de redessiner l’ongle comme les pros. Je sais qu’il ne faut pas s’approcher de la cuticule ni du bord de l’ongle mais si je suivais ces instructions, ma manucure me prendrait encore plus de temps. Là, entre le limage et la pose du vernis, j’en ai pour une demi-heure. Plus, ce serait trop. Donc mon côté paresseuse prend le dessus. C’est qu’il faut les maîtriser mes mains parkinsoniennes ! Même hyper concentrée, impossible de ne pas en mettre partout quand ma main gauche essaie d’appliquer du vernis sur ma main droite. C’est forcément plus facile quand on le fait sur quelqu’un d’autre.


Donc après coup, il faut bien corriger tout ce débordement. Et puisqu’il faut s’adapter ou mourir, j’ai trouvé une technique 100 % efficace. Non, ce n’est pas le stylo dissolvant ou le coton tige imbibé. Après une utilisation, je les ai mis au placard. D’abord, ça n’efface pas correctement le vernis, je trouve que ça étale plutôt la couleur. Et puis, avec mes mains tremblotantes, je finissais par démaquiller mes ongles et non pas leur contour. Donc maintenant, je gratte. WTF ?
Oui, j’ai remarqué qu’après un certain temps, le vernis sur le pourtour des ongles s’en va presque de lui-même, surtout sous l’eau. Donc, je fais ma manucure avant de me coucher. Et le lendemain sous la douche ou en me lavant les mains, je gratte et je frotte le contour de l’ongle pour enlever l’excédent. Ca a l’air débile mais ça marche. Par contre, ça ne fonctionne pas juste après la manucure. Donc, on pense bien à anticiper et à la faire bien avant. C’est un peu contraignant, (si j’ai oublié de faire ma manucure le soir, je sais que le lendemain sera une journée sans vernis ou alors transparent), mais c’est ce que j’ai trouvé de plus efficace, de plus rapide et de plus économique. Cette fois, on a toutes les chances au grattage.
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jeudi 11 février 2010

Du bleu électrique sur les yeux

En début de semaine, Beauté pourrie lançait un défi sur les plus beaux make-up flashy. Ca tombe bien, mon fard à paupières préféré est justement bleu Klein. Ou, pour être plus juste, bleu Yves Saint Laurent, de ce bleu inspiré par les couleurs du jardin Majorelle au Maroc qui était une de ses marques de fabrique. D’ailleurs, ce make-up bleu sur les yeux est aussi devenu ma marque de fabrique. Et à chaque fois que je le porte, j’ai droit à de nombreux compliments. J’adore. J’ai toujours voulu avoir les yeux bleus et bien maintenant c’est le cas.



Mon addiction à ce fard est tellement maladive que j’ai même refusé qu’on me démaquille le regard pendant un soin du visage. Résultat (je pense, à cause de la vapeur diffusée sur mon visage pendant le soin) : le fard s’est carrément incrusté dans mes paupières et il a alors fallu plusieurs jours pour qu’il disparaisse complètement. Sur le coup, même avec un démaquillant waterproof, impossible de le retirer.


Pour le maquillage en lui-même, je n’ai pas opté pour une version compliquée, je vous l’accorde. Pas de dégradé, pas de mélange de couleurs. Je l’applique en aplat sur la paupière mobile. Puis je souligne mon regard d’un trait de crayon khôl sur les paupières supérieures et inférieures. En été, pour accentuer le côté flashy, il m’arrive également d’utiliser un crayon Urban Decay d’un bleu aussi intense pour faire un retour sur la paupière inférieure. Il se mélange alors au khôl et je trouve ça pas mal. Sans le noir du khôl, je trouve le make-up un peu vide.


Son seul défaut (à part qu’il fusionne avec la paupière donc) : comme je l’utilise vraiment beaucoup, il est bientôt fini. Je n’ai qu’à en racheter un me direz-vous ? Pas si simple, puisque ce fard fait partie de la superbe palette Ombres 5 Lumières Ondine d’YSL (c’est celui en bas à gauche sur la photo). 50 € tout de même ! Je me vois mal racheter toute la palette alors que les autres fards eux sont à peine commencés. Ils sont jolis mais pas aussi jolis, donc mon pinceau est inévitablement attiré par le même.

Alors assez flashy ? (Notez que sur la photo, il a l’air légèrement turquoise mais pas du tout, il est bien bleu et même très bleu).
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mercredi 10 février 2010

Pourquoi utiliser une base à paupières ?

Qu’est-ce qu’une base à paupières et à quoi ça sert ? Pour les beauty addicts, qui ont parfaitement intégré le geste, ces questions peuvent sembler absurdes. Mais je me suis dit que s’il n’y avait pas que des pros du maquillage qui passaient par ici, il était essentiel d’y répondre. Car, selon moi, l’application d’une base est justement la base (je sais, trop facile) d’un make-up du regard réussi.

Pour faire simple, une base à paupières est une base de maquillage qui fixe les fards et autres poudres utilisées sur la paupière. Pourquoi est-ce tellement indispensable ? Appliquée avant votre ombre à paupière, la base va non seulement prolonger la tenue du fard (plus besoin de retouche pendant la journée) mais également empêcher qu’il ne migre dans les plis de la paupière (pas très esthétique) tout en intensifiant sa couleur (les pigments accrochant mieux que sur une paupière nue). En gros, au lieu d’avoir un smoky black fadasse qui à midi aura viré œil au beurre noir, on a un magnifique charbonneux lumineux qui tient du matin au soir.



Pour moi qui aime les ombres à paupières très pigmentées, il est donc impensable de me maquiller sans avoir auparavant appliqué une base. Et après avoir tâtonné pendant des années pour trouver le produit idéal, j’ai enfin mis la main sur The BEST : la Primer Potion d’Urban Decay (16 €, chez Sephora), forcément. Pourquoi forcément ? Parce qu’après avoir fait un tour dans la blogosphère beauté, je me suis aperçue que c’était aussi celle de nombreuses blogueuses. Alors pourquoi en parler ici ? Parce que pour une fois qu’un produit tient vraiment ses promesses (contrairement à certaines autres bases fixantes), ça méritait d’être souligné. Dès la première utilisation, j’ai été bluffée. A la fin de la journée, le fard n’avait pas bougé. Toujours aussi intense et toujours à sa place. Alors que, jusqu’ici, avec les autres précédemment utilisées, il avait toujours migré un petit peu dans les plis.

Elle existe en version champagne (Sin) qui rend les fards irisés et vient également de sortir en version mate (Eden). Mais, je préfère l’originale qui ne dénature pas la couleur des fards. Mon bleu pétrole reste bleu pétrole et pas bleu flashy nacré.

Je n’ai bien évidemment pas testé toutes les bases du marché et si vous en connaissez d’aussi efficaces, je suis preneuse. Et pour celles qui ne veulent pas investir, sachez que les crayons à paupières waterproof comme ceux d’Urban Decay ou de Make Up For Ever, appliqués sur toute la paupière, peuvent également servir de base fixante. Apparemment, ça marche aussi avec certains khôl.
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mardi 9 février 2010

Le monde merveilleux de Lolita Lempicka

Impossible de l’oublier, samedi, c’est la Saint Valentin. Que l’on soit pro - on a prévu quelque chose avec son amoureux avec remise de cadeaux bien évidemment - ou anti – à bas cette fête commerciale qui pousse à la consommation -, on n’a pu échapper au battage médiatique et à la prolifération de shoppings spécial cadeaux.

Alors bien sûr, on peut trouver cette profusion de bougies, parfums et autres produits célébrant l’amour un peu too much. Ou, on peut regarder le bon côté de la chose. Comme pour Noël ou la Fête des Mères, les marques de cosmétiques surfent en effet sur cette pseudo fête pour sortir des coffrets en édition limitée. Alors, que l’on soit en couple ou célibataire, on peut en profiter pour s’offrir des produits d’exception. Un vrai bonheur pour les fans de parfums et les collectionneuses.



Moi, j’ai craqué pour Coffret Les Objets du Désir de Lolita Lempicka (42,40 €), qui je pense ravira toutes celles qui aiment l’univers et les parfums de la créatrice. Dans une mignonne petite boîte en carton parme ornée d’un cœur se lovent cinq miniatures, de 5 ml chacune, des fragrances phares de la marque : Le Premier Parfum, L, Fleur de Corail, Fleur Défendue et Si Lolita, le petit dernier. Un cadeau romantique à se faire offrir ou à s’offrir.
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lundi 8 février 2010

Lumière sur le maquillage... lumineux


Que celles qui n’ont pas poussé de petits cris d’émerveillement en découvrant le dernier mascara vibrant ou le bain dissolvant de Sephora dans lequel il suffit de tremper le doigt pour se débarrasser de sont vernis lèvent la main. Moi, je ne m’en cache pas, je suis très bon public pour les beauty gadgets (un peu trop parfois d’ailleurs). A chaque nouvelle innovation, j’applaudis des deux mains et me pâme devant toutes ces idées brillantissimes. Même si, sur le long terme, je finis par me lasser et revenir à mon bon vieux mascara.

Sans surprise, je me suis donc enthousiasmée pour la dernière invention des Géotrouvetou de la beauté : le make-up qui s’allume. Le concept : chaque produit est équipé de mini loupiottes que l’on peut allumer quand on a besoin de se maquiller dans le noir (oui, oui, vous avez bien lu).


Pendant les fêtes de fin d’année, Monoprix avait ainsi lancé en édition limitée un gloss lumineux.



Une brillante idée aujourd’hui perpétuée par Too Faced avec leur nouveau mascara Lashlight (qui a donc rendu l’âme à la deuxième utilisation) et la palette Fun in the Dark (30 €, en exclu chez Sephora). Comme toutes les palettes de la marque, et contrairement au mascara, elle peut-être shoppée les yeux fermés. Elle est composée de quatre fards à paupières, une poudre bronzante, un blush, un gloss et un rouge à lèvres et s’allume quand on l’ouvre.
Bien sûr, on peut se demander quelle est l’utilité de ce maquillage lumineux. Qui peut bien se repoudrer le nez dans l’obscurité ? Mais si voyons, c’est parfait pour les soirées ou les sorties en boîte. Plus besoin de filer aux toilettes (souvent nauséabonds) pour se refaire une beauté. Enfin, ça c’est en théorie, parce qu’en pratique ça donne ça ! Oui, j’ai testé. Un peu d’indulgence, cet éclairage ne me va pas vraiment au teint.




Très Blair Witch Project, je vous le concède. Donc à oublier pour celles qui espèrent repartir avec un homme. Plus sérieusement, s’il m’arrive effectivement de faire des raccords gloss en plein milieu d’un bar – oui, au vu et au su de tous, who cares -, je n’ai jamais remis du mascara en soirée. Je l’applique avant de sortir, ça suffit. Bien sûr, dans l’hypothèse où il y ait une attaque nucléaire qui provoquerait un black-out total, ou tout simplement en cas de panne d’électricité, là je dis oui, ce mascara pourrait sauver la vie des beauty addicts. Si non, permettez-moi de soulever un doute.



Pour la palette, c’est une autre histoire. Une retouche fards à paupières ou blush est parfois indispensable. Mais l’exercice semble assez périlleux dans la semi-luminosité fournie par les loupiottes. Difficile de doser la couleur dans le noir. Gros risque de virer Bozo le clown. Mais comme la palette est vraiment trop mignonne, c’est une objection de principe. Bien sûr qu’elle est indispensable. Eh oui, dans mon monde « cute » bat toujours « utile ». On est une beauty addict ou on ne l’est pas.
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dimanche 7 février 2010

La mésaventure bourvilesque du mascara

Hier, ayant une petite soirée de prévue, je me dis que c’est l’occasion de tester Lashlight, le nouveau mascara de Too Faced, très Saturday night fever (vous comprendrez pourquoi dans ma note de demain). Je l’applique, je prends quelques photos, je pose l’objet sur ma table basse et je m’assois devant mon ordi pour vous commentez le résultat.

Trop tard ma première invitée arrive. Tant pis, j’écrirai ma note demain. J’éteins donc mon ordi. Et là, ma copine, aussi addict au make-up que moi et dont l’œil avait été inévitablement attiré par le mascara, se tourne vers moi avec l’objet ouvert dans la main en me demandant : « C’est quoi ça ? » Question idiote me direz-vous ? Pas vraiment au vu de ce qu’était devenu l’objet en question.



Non, ce n'est pas un nouveau mascara révolutionnaire : "Après la brosse sphérique de Givenchy, la brosse invisible de Too Faced". Et, oui, le goupillon est resté à l’intérieur du tube ! C’est clair, il va beaucoup moins bien marcher comme ça. Pourtant, ma copine, ce n’est pas Hulk. Elle a tiré la brosse normalement hors du tube, mais on sent bien que l’ouverture est trop étroite. Mort au bout de deux utilisations, c’est un record. J’avoue qu’en dix ans d’application de mascaras divers et variés venant d’innombrables marques, ça ne m’était jamais arrivé. Quelqu’un d’autre a-t-il déjà testé celui-ci et a été confronté à la même mésaventure ?

Je vous épargne les détails sur le prix et les points de vente, je me dis que vous n’allez pas vous précipiter pour l’acheter celui-là.
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jeudi 4 février 2010

Du baume au coeur

Dans la catégorie petites obsessions de la beauty paresseuse, je demande les baumes pour les lèvres. Et attention quand je parle de baume, je ne fais pas référence aux sticks hydratants, pfffff trop nul. Non, non, je parle de ces petits pots dans lesquels il faut tremper son doigt (et quand on y réfléchit bien, qui ne sont pas du tout hygiéniques, mais passons, détail, détail). Donc, en plus de mes autres multiples beauty manies, je suis une collectionneuse de baumes et autres beurres à lèvres. La preuve par l’image.


En ce moment, avec le froid, ils ne me quittent donc plus. Mais pourquoi ai-je besoin d’une demi-douzaine de baumes pour les lèvres ? Parce que, s’ils sont tous parfaitement hydratants, ils ont chacun une particularité qui les rend indispensables. Voilà pourquoi je suis accro.

Quince Lip Butter, Korrès Natural Products, 8 €.
J’ai découvert cette petite marque grecque, il y a deux ans. Lors de l’inauguration de leur première boutique parisienne, rue Taitbout, j’avais craqué pour ce beurre pour les lèvres au coing. Et depuis, il me suit presque partout. Je l’aime parce qu’il fait aussi office de make-up. Il n’est en effet pas transparent et laisse sur les lèvres une jolie teinte rose glossy.



Beurre pour les lèvres Noix de Coco, The Body Shop, 7 €.
Un classique. Je lui suis fidèle depuis très longtemps pour son parfum gourmand. Moi, je suis accro à la noix de coco, mais on peut aussi craquer pour la mangue, le beurre de karité ou d’autres délicieux parfums.

Baume Magique Lèvres et Joues, Givenchy, 27 €.
Ce petit baume sorti en septembre dernier est comme son nom l’indique magique. Il adapte sa couleur rosée à celle de nos lèvres (créant ainsi une teinte unique pour chacune d’entre nous) et repulpe les lèvres grâce à sa formule enrichie en acide hyaluronique.


Lip Balm #1, Kiehl’s, 10,50 €.
Parce que quand j’utilise le baume de cette hypissime marque new yorkaise, j’ai l’impression d’être Carrie dans Sex & The City. Les very big fans s’en souviennent sûrement, elle passait son temps à se remettre du baume à lèvres. On n’a jamais su la marque dudit baume (pas de gros plans) mais pour moi, c’était Kiehl’s forcément.


Baume Précieux Or de Rose, By Terry, 49 €.
Un baume anti-âge composé d’or rose pur et d’extraits d’actifs de rose. Dans l’absolu, je n’ai pas vraiment besoin d’un baume anti-âge mais impossible de résister à son packaging chic et luxueux et à sa formule, véritable concentré de technologie. Et puis il laisse sur les lèvres des nacres d’or, de discrètes paillettes qui reflètent la lumière.

Et puis, il y a un petit nouveau qui, je pense, rejoindra bientôt ma collection. C’est le Baume Lèvres Bi Mât Cây (6,50 €). On a beaucoup parlé de cette nouvelle marque française inspirée des recettes de beauté vietnamienne. Et quand j’ai vu ce petit baume dans son packaging traditionnel rose très girly, je me suis tout de suite dit : « JE LE VEUX ! » (Désolée, c’est l’accro qui parle).

Quelqu’un l’a déjà testé ? Il est comment alors ?
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