samedi 26 octobre 2013

La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram #26


J’ai de nouveau disparu cette semaine. J’essaie de retrouver la régularité perdue depuis l’été mais à chaque fois que je tiens le bon bout, le boulot (ou la vie) reprend le dessus. Cette semaine, j’ai de nouveau été enchaînée à mon ordi. Sauf jeudi, où je me suis accordée une petite pause. D’ailleurs mon résumé de la semaine de la Beauty Paresseuse est en fait un résumé du jeudi, c’est pour dire.


La journée a commencé tôt le matin, c’est-à-dire à midi pour moi (maudit soit mon cerveau qui ne se sent productif qu’après minuit en ce moment), avec un rendez-vous à l’endermospa LPG Paris 8 pour une séance de Cellu M6. Le but : faire la peau à ma cellulite, mon ventre de femme enceinte de trois/quatre mois (alors que je ne le suis pas) et mes bras/ailes de Batman. Oui, je te vends du glamour là je sais.


D’ailleurs, j’étais au top du glam pendant la séance avec mon petit collant blanc (qui est en fait une combinaison). Mais je t’en reparle bientôt.


Après ma petite séance de palper-rouler, j’ai filé au Centre Pompidou pour voir l’exposition sur Roy Lichtenstein. J’ai depuis longtemps une véritable fascination pour le pop art (enfin, certains artistes et certaines œuvres). Je vénère bien évidemment Andy Warhol et ses sérigraphies comme je l’avais mentionné l’année dernière lors de la collection spéciale de Nars. Je n’avais d’ailleurs pas manqué il y a quelques années la rétrospective sur ses œuvres au Grand Palais. Sublime. Forcément, quand j’ai vu que Roy s’exposait à Beaubourg, j’étais folle. Impossible de manquer ça. Et même si ça m’a pris un certain temps, j’y suis arrivée. La date de fin approchant, ça m’a motivée.


J’adore l’artiste avec, évidemment, une préférence pour ses tableaux détournant l’imagerie des bandes dessinées américaines de l’époque. C’est d’ailleurs pour ça qu’il est surtout connu même si son œuvre ne se limite pas du tout à ça. Cette expo permet ainsi de découvrir toutes l’étendue de son talent (il sculptait aussi) et l’évolution de son travail (si la culture populaire tient une grande place dans son travail, il n’a pas fait que du pop art). Et bien que j’ai apprécié de découvrir ces différentes facettes de l’artiste, c’est toujours ses scènes inspirées des comics que je préfère.


Mon préféré, je crois, est celui-ci. Parce que pour une fois, la femme est brune peut-être (il a en général un faible pour les blondes), parce que j’aime l’illustration, parce que le texte dans la bulle me fait sourire, mais aussi parce qu’il me rappelle de très bons souvenirs. J’avais complètement oublié mais ce tableau est apparemment au MoMA à New York, donc je l’avais déjà vu en vrai. Mais en fait, dans ma tête, je me souviens surtout que l’une des coloc’ de l’appart’ où nous vivions lorsque j’avais passé deux semaines là-bas (il y a bientôt deux ans, snif) en avait une reproduction sur la porte de sa chambre. Donc je voyais cette image tous les jours. Ainsi, ce tableau me fait à la fois sourire et m’emplit de nostalgie (tellement envie de retourner à New York).


Voir nombre de ses tableaux côte à côte m’a fait réaliser que Lichtenstein a un faible pour les femmes qui pleurent. Et si j’aime beaucoup l’illustration utilisée pour l’affiche de l’expo, celle-ci me touche aussi. Ce sont ces (grands) yeux je pense. Bref, une très belle expo que je vous recommande (elle se finit vers le 4 novembre donc si ça vous dit, courez-y vite).


Après ce début d’après-midi culturel, puisque j’étais dans le quartier, je suis allée faire un tour au nouveau Forever 21 qui vient d’ouvrir rue de Rivoli et qu’on attendait quand même depuis plus d’un an. En tout cas moi, j’attendais qu’il y en ait un qui ouvre à Paris depuis que la marque s’était installée à Vélizy. Là encore c’était séquence nostalgie pour moi. J’ai découvert Forever 21 lors de mon séjour à New York (décidément, c’était ma journée retour vers le passé). J’y avais alors fait une véritable razzia. J’aurais d’ailleurs pu encore plus dévaliser le magasin tellement je trouvais tout sympa, mais je n’avais plus de sous. J’avais donc hâte d’y aller. Mais j’ai été franchement déçue. A part au rayon bijou, qui lui vaut vraiment le coup avec beaucoup de choix pour des prix très raisonnables, ça ne vaut pas le détour je trouve. Les fringues sont bof (j’ai quand même acheté deux/trois petits trucs mais rien de fou) et les accessoires quasi inexistants. Moi qui avais le plein de headbands et de bonnets à New York pour des prix ridicules, là rien à me mettre sous la dent. Bref, mon addiction à H&M ne risque pas d’être remplacée.


Après cette journée bien remplie, je méritais bien d’aller m’effondrer sur mon canapé mater une bonne série. Mais non, j’avais rendez-vous à la salle de sport pour découvrir les compléments alimentaires Juvamine pour nous redonner de l’énergie (et j’en ai bien besoin en ce moment, je suis à plat, besoin de vacances). Pour l’occasion, j’étais invitée avec d’autres victimes innocentes à une séance de torture à L’Usine, le club de sport trendy de la capitale (parait même que c’est celui de Marc Jacobs). J’ai failli mourir sur mon vélo mais j’ai survécu (même si j’étais un peu dissipée pendant le cours, on ne se refait pas).


Enfin, on termine cette semaine instagramienne avec la traditionnelle photo de Paris. Cette fois, on s’arrête dans le 9ème arrondissement, entre Pigalle et le quartier des Grands magasins, devant la jolie église de la Sainte Trinité, by night.
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1 commentaire:

  1. J'aimerai tellement aller voir son expo !! Forever 21 un grand classique ! Une journée au top quoi ;)
    http://prettylounge.blogspot.fr/

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