Après le web 2.0, le papier 2.0 ?
Vous connaissez ma relation ambivalente avec la presse féminine. Je suis à la fois une lectrice qui dévore tout ce qui lui passe sous la main comme des bonbons et qui adore la presse féminine et une lectrice insatisfaite qui trouve qu’on la prend parfois pour une gogo avec certains papiers et donc une lectrice lassée. Je continue à lire certains magazines mais beaucoup moins qu’avant (mais c’est surtout par manque de temps). Et puis de toute façon, parfois t’as l’impression que si t’en lis un, tu les as tous lus : mêmes articles, mêmes produits, parfois aussi mêmes signatures. C’est pour ça que je me suis tournée vers les blogs, pour avoir un petit peu d’air frais. Et puis dans le Biba du mois, quelque chose a changé. Il n’est pas devenu interactif comme les blogs mais la rubrique beauté n’était plus non plus une rubrique beauté d’un magazine féminin classique. Enfin, surtout un article sur les tendances maquillage du moment.
Cet article présente 9 tendances make-up et pour chacune de ces tendances, il y a un échantillon de maquillage à tester. Tu as envie de tester la tendance rouge à lèvres rouge, bouche beige ou gloss candy ? Il suffit de soulever la languette placée sur la photo d’une « trace » du produit sélectionné pour le shopping pour l’essayer. Pareil pour les fards à paupières ou les produits teint. Voilà une idée qu’elle est bonne ! C’est vrai quand tu regardes un shopping dans un magazine féminin, finalement tu zappes très vite. Tout ces produits les uns à côté des autres, c’est trop pour le cerveau qui passe à autre chose sans avoir vraiment tilté sur aucun (sauf miracle). Là, ça arrête l’œil et la main qui ne tourne pas la page aussi vite. On se pose, on lit, on teste, on se souvient. On peut même aimer et déclencher l’acte d’achat plus rapidement. Et puis surtout, c’est un vrai petit plaisir pour la beauty addict, on peut enfin mettre les doigts et pas seulement regarder. Finalement, il y a bien une interaction qui se crée.
Petit bémol tout de même, le partenariat avec Sephora. Certes, il est signalé clairement en haut de chaque page et dans le chapo, difficile de le manquer. Mais ça fait presque ressembler ce papier 2.0 à un publi-reportage mais qui ne serait pas signalé. Surtout que sur 9 produits présentés dans ce shopping nouvelle génération 6 sont des Sephora, les 3 autres étant des Make Up For Ever (en vente quasi en exclu chez Sephora). Donc ça fait un peu pages de pub. Après, je comprends aussi qu’une telle opération doit être assez difficile à mettre en place. Demandez à chaque marque de fournir des « échantillons languettes » en milliers d’exemplaires pour chaque produit dans le shopping, vive le casse-tête : pour la journaliste, le mag et les marques. D’où sûrement le besoin de s’appuyer sur un seul et même partenaire de grande envergure.
Mais avec la page de fin qui indique qu’on peut shopper tous les produits présentés chez Sephora et sur leur site, ça fait vraiment trop détournement d’une idée très sympa en concept commercial signalé qu’à moitié. Sachant quand même pour clarifier un peu que pour qu’il y ait publi-reportage, il faut que la marque paye pour disposer d’une parution dans tant de page. Et à ce moment-là, il y a obligation légale de le signaler. Là, je pense qu’ils ont dû imaginer l’idée avec ou sans Sephora mais se reposer sur l’enseigne après qui lui a fourni les échantillons, d’où le mot partenariat. Mais il n’y a pas eu vente d’espace publicitaire. Dans les faits, tout est donc légal, c’est juste l’impression que ça donne qui me dérange. Il y a déjà une méfiance presque généralisée pour la presse féminine (qui personnellement me dérange d’ailleurs. Même si elle est parfois justifiée et que certaines pratiques sont limites, ce n’est pas le cas dans tous les titres et toutes les journalistes ne sont heureusement pas vendues, c’est donc dommage de jeter le bébé avec l’eau du bain), c’est comme ça, alors autant ne pas nourrir l’incendie, la rumeur, enfin le tintouin.
Donc je suis à fond pour ce genre d’idées très sympas qui rajeunissent la presse féminine et donnent clairement envie d’acheter le magazine mais sans mettre en avant une enseigne ou une marque. Car là on retourne dans les travers qu’on reproche justement à la presse féminine, d’être plus faite pour les marques que pour les lectrices. Alors que cette idée de base est justement un petit plaisir pour les lectrices, mais avec plus de diversité disons.
D’ailleurs, quand j’avais reçu l’info sur mon mail, je n’avais qu’une hâte, acheter le journal pour voir ce que ça donnait en vrai et tester tout ça. J’avais applaudi des deux mains. Mais ce manque de diversité, je ne peux le cacher, a amené un petite déception. Je trouve toujours le concept intelligent et d’un point de vue journalistique innovant mais la lectrice que je suis aurait aimé tester plus de marques différentes, peut-être aussi des marques haut de gamme ou de niche auxquelles je n’ai pas forcément les moyens d’accéder alors que si je veux du Sephora, il me suffit d’aller au coin de la rue. Donc je suis à fond pour qu’ils recommencent mais avec plus de variété.
Et vous, vous en pensez quoi de ce nouveau concept d’article : révolutionnaire, bonne idée pervertie ou encore une opération commerciale déguisée ? J’ai l’impression aussi qu’il y avait déjà eu un truc dans le même genre mais avec des échantillons basiques qui étaient collés sur les photos des produits dans le shopping et pas des languettes, mais je n’en suis pas sûre. Ca vous dit quelque chose à vous ?
ça me paraît plutôt futé, même s'il y a un côté pub !
RépondreSupprimerDisons qu'ils tiennent le bon bout :)
SupprimerCoucou, en effet une diversité des marques aurait été plus judicieux. C'est un premier test plutôt innovant je trouve et peut-être que par la suite on pourrait retrouver beaucoup plus d'enseignes.
RépondreSupprimerMais je suis comme toi, je trouve cela un peu "maquillé" ! Tu es sure qu'il n'y a pas écrit "publi-reportage" ?
Bibis, Fandelolita
Non, j'ai bien regardé justement parce que ça m'intriguait mais il n'y a pas publi-reportage. En revanche, il y a bien marqué partenariat partout. Ce qui d'un certain côté est quand même preuve d'honnêteté. Il y a bien eu échange entre Sephora et Biba, mais pas échange d'argent, d'où la différence entre publi-reportage (où là, il y a un achat d'espace) et partenariat par exemple (comme ici où c'est plus un échange de service. la marque est mise en avant et elle fournit les échantillons). près la mention bien clair de partenariat est honnête au moins, plus honnête que ces papiers ou ces séries photos où il ne mettent en avant qu'une marque mais les présentent comme un papier normal.
SupprimerJe pense que tu as tout résumé, rien à ajouter pour ma part. Une bonne idée mais qui tombe un peu à plat sous le coup d'un partenariat Sephora... Mais on peut saluer l'envie de se ré-inventer, Biba restait d'ailleurs jusqu'à récemment une de mes lectures féminines préférées. Je parle au passé parce que je n'achète plus un seul mag féminin depuis la rentrée, je fais une espèce de rejet :D Ou un sevrage, tout dépend si je craquerai de nouveau un jour ou pas ^^
RépondreSupprimerMoi aussi j'aime bien Biba :) même si certains articles m'insupportent mais c'est plus ceux de "développement personnel" que ceux de beauté. Après comme toi, je suis dans une phase où j'achète moins. Moi qui avait besoin de mon Grazia toutes les semaines, ça fait un bail que je le lis plus. Après je suis quand même obligée de plonger le nez dedans pour le boulot.
SupprimerJ'étais sure que c'était une pub séphora et comme pub je trouvais ça super.
RépondreSupprimerComme quoi, tout ça n'était pas clair...
SupprimerMais si, c'est bien un "vrai" papier, signé par la rédac chef beauté du mag même.
Même si il y a un côté pub (on a rien sans rien) je trouve ça vraiment super pare que ça permet de tester tout en restant chez soi.....
RépondreSupprimerC'est vrai que pour développer un truc comme ça, il faut un peu de donnant donnant, la logistique ne devant pas être simple. Si prochaine fois il y a, il faudrait diversifier les partenaires.
SupprimerSi l'on pouvait faire la même chose avec des échantillons de crèmes, ce serait encore mieux :D
RépondreSupprimerEn tout cas, c'est une vraie bonne idée, il y a matière à développer pour rendre le truc plus vivant et donner encore plus envie d'acheter !
Les crèmes, ça doit être un peu plus compliqué mais c'est vrai que ce papier ouvre des portes qu'il serait sympa de pousser. Malgré mes bémols, c'est clair que j'aimerais qu'ils renouvellebt l'opération. En gris, encouragements du jury ;)
SupprimerL'idée est bonne mais ça serait encore mieux avec différents types de produits et surtout une diversité des marques. Là on peut flasher sur un produit mais difficile de comparer par rapport à d'autres marques.
RépondreSupprimerEn tout cas c'est un bon début.
Et avec des nouveautés surtout, genre des trucs en exclu qui sont pas encore sortis. Ca ce serait cool. Parce que finalement, tous les produits présentés, c'est des vieux trucs.
SupprimerJ'ai envie de dire que les magazines sont blindés de publicités... je ne vois pas où est le problème, du coup. Dès qu'un produit est cité, c'est de la publicité. Pour moi ça ne change rien. C'est sûr que le concept aurait été plus intéressant avec un plus large choix de marques, mais c'est déjà pas mal ! Ça s'améliorera certainement avec le temps.
RépondreSupprimerJ'espère effectivement que ce n'est pas un one shot et qu'il y en aura d'autres comme ça.
SupprimerPas révolutionnaire mais sympa :)
RépondreSupprimerY'a de l'effort en gros :)
SupprimerIl y a un côté pub, c'est sûr, mais ça nous arrange bien en même temps :)
RépondreSupprimerC'est vrai que de toute façon pour qu'on les ait ces échantillons, faut bien que la marque aussi y trouve son compte.
SupprimerJe trouve l'idée vraiment sympa !
RépondreSupprimerDans les magasins où je vais, les vendeuses sont souvent radines sur les échantillons, même quand on demande gentiment.
Là je trouve que c'est une façon sympa de tester les produits avant de les acheter, d'en découvrir auxquels on n'aurait pas songé...
Parce que le moindre fard à paupières, ça coûte cher en soit, alors, on n'a pas envie de se tromper, on investit dans des valeurs sûres... là, ça autorise un côté aventurier !
Après je suis d'accord, le concept devrait être élargi à plus de marques en tout genre. Mais qui c'est, si ça marche, peut-être qu'ils le feront ?
Bon, faut arriver à leur transmettre le message alors, qu'on aime, qu'on aimera qu'ils le refasse souvent mais qu'on en veut plus et de marques différentes.
SupprimerParce que bon, tester les produits de chez soi, sans avoir à bouger de son canapé et à aller jusqu'à la boutique, c'est cool quand même :)
J'adore!!! Je suis en Belgique, donc Sephora c'est uniquement via internet et si je pouvais tester chez moi les produits ce serait merveilleux. Je me demande si ce magasine avec cette version echantillons est en vente en Belgique....
RépondreSupprimerOui, normalement, biba est bien vendu en Belgique, sur le côté, y'a le prix belge même. Après souvent à l'étranger les numéros arrivent beaucoup plus tard, genre un moi plus tard. celui-ci est daté de mai si tu veux aller checker à ton kiosque.
SupprimerJe vais etre vigilante ;)...
SupprimerPas de chance! Je l'ai acheté hier (sans avoir lu ton article) et malheureusement, le magazine ne contient pas d'échantillons. C'est bien compréhensible puisque Sephora n'a pas d'enseigne en Belgique, mais cela reste assez décevant quand on sait que j'ai payé ce numéro 2,50€...
SupprimerC'est clair pour 1 € de plus, t'en a moins :/
SupprimerMais effectivement si Sephora n'existe pas en Belgique, c'est aussi logique.
D'où l'intérêt de le faire avec d'autres marques.
ah ben merci de l'info :s. Mais Sephora devrait savoir que pas mal de belges commandent par internet sur leur site, donc ils auraient quand meme pu faire un effort et augmenter leurs ventes online du coup!!! Mauvaise stratégie commerciale :D!
SupprimerMais oui, alors ils pourraient faire les marques en fonction du pays, au lieu de vendre leur magasine au meme prix pour moins!
Je trouve l'idée intéressante : tester des produits tranquillement et de façon safe, ça me plaît bien. C'est mon côté testeuse qui parle, là !
RépondreSupprimeren plus, là au moins, on sait que personne n'y a mis les doigts avant :)
Supprimerc'est super intéressant je trouve, très interactif
RépondreSupprimerAu moins, ce mag là, on ne va pas le jeter aussitôt lu.
Supprimerune chouette idée biba est un des rares mag que j'aime bcp
RépondreSupprimerSans les pages de développement personnel du milieu vraiment chiantes et très bullshit, il serait quasi parfait.
SupprimerAvec un peu plus de beauté aussi peut-être.
Je pense que tu as bien résumé les opportunités et les contraintes de chaque partie (support / marques). L'idée est vraiment excellente, et ne peut être financée que par des partenariats. Si l'opé est un succès, la diversité viendra. C'est assez étonnant que cela vienne de Biba d'ailleurs...j'aurais bien vu Glamour ou Cosmo. Alors chapeau Biba, c'est une VBI !
RépondreSupprimerLe mag est en pleine évolution depuis quelques mois. Ils viennent de changer la formule aussi. Ils sont en train de se moderniser/trendyser. Ca bouge et tant mieux pour nous si il y a d'autres bonnes idées comme ça qui suivent.
SupprimerJe rejoins l'avis global. Très bonne idée, toutefois je regrette la pub doucement dissimulée (quoique pas du tout) pour sephora. Moi cette marque ne me vends pas du rêve, ça ne me dit rien de tester leur fond de teint ou leurs fards à paupières sortis depuis des lustres en magasin.
RépondreSupprimerComme vous, j'aurais préféré une diversité dans les échantillons :/
En fait, t'as l'impression effectivement que c'est doucement dissimulé mais pas du tout parce que c'est annoncé partout. Après, ça n'empêche pas le malaise du point de vue de la consommatrice qui elle a l'impression qu'on lui impose un produit et une marque et qui si effectivement elle ne lit pas bien le truc croira à de la pub.
SupprimerSurtout que le papier utilisé n'est pas le même que dans le reste du mag, il est plus épais, un peu comme les papiers des inserts pubs. C'est sûrement une contrainte technique pour le support des languettes mais ça accentue l'impression que c'est de la pub.
Après, peut-être que s'ils avaient fait ça avec que des échantillons Chanel, ça nous aurait moins dérangé ;)
Mais c'est une pub sauf qu'elle n'a pas l'aspect habituel, c'est courant ce genre de trucs, mais pas aussi poussé.
Supprimerha ben moi j'adore l'idée !!! et vu que chez moi on n'a pas de sephora, au moins ça permet d'avoir une idée - quelle que soit la marque d'ailleurs - du rendu que peut avoir le produit sur moi avant d'acheter et donc, m'éviter des achats inutiles, je dis bravo !!
RépondreSupprimerHonte à moi, c'est vrai qu'on n'est pas toutes parisiennes avec des Sephora à chaque coin de rue.
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimertu te trompe lorsque tu dis "
maginer l’idée avec ou sans Sephora mais se reposer sur l’enseigne après qui lui a fourni les échantillons, d’où le mot partenariat. Mais il n’y a pas eu vente d’espace publicitaire".
bien sûr qu´il y a eu ventre d´espace publicitaire! c´est juste une façon différente de faire de la pub! La mention "partenariat" indique d´ailleurs bien cela. mettons que Sephora n´ait pas payé en EUros les pages de pub 8ce doont je doute fort) ils ont au moins fourni les échantillons, ce qui revient au même!
Quand je dis qu'il n'y a pas eu vente d'espace publicitaire, je voulais dire pas d'échange d'argent, sinon, ils auraient été obligés d'indiquer "publi-reportage" (enfin, je crois, je ne suis pas familière avec la loi non plus). Là, c'est un "vrai" article en "partenariat" avec Sephora. Enfin, je suppose bien évidemment. Après, je ne sais pas ce qui se passe en coulisses mais c'est la conclusion à laquelle je suis arrivée selon les termes employées.
SupprimerAprès, je trouve cette mise en avant signalée de la marque, même si peut-être dérangeante, honnête au moins. On a déjà vu dans certains magazines des dizaines de pages de texte + shopping également sur une seule marque mais qui elles se faisaient passer pour du rédactionnel pur et simple. mais oui, bien sûr...
Là, on a quand même quasi cartes sur table.
Après, c'est une question de point de vue sur ce qui est de la pub ou pas dans les mag féminins, où est la limite. Je suis peut-être un peu de parti pris parce que comme je bosse dans le milieu mais en marge, j'ose croire que c'est pas pourri à tous les étages ou j'ai ce fol espoir au moins.
Ah mais c'est top ! C'est l'avenir de la pub dans les magazines je pense, c'est ce qui fait un "plus" par rapport à internet. L'échantillon produit est une belle idée je trouve.
RépondreSupprimerSauf que c'est pas de la pub. Comme quoi, le concept est quand même un peu à revoir.
SupprimerCoucou,
RépondreSupprimerJe poste de temps en temps :) et je voudrais savoir à quelle page se trouve les échantillons , car j'ai le biba sous la main mais je trouve pas :/
Et tu pourrais regarderais si ce n'est pas seulement limité à Paris comme parfois ^^
Merci Beaucoup et continue à écrire :)
Ton commentaire m'a fait découvrir un truc. Je suis allée vérifier la page pour toi et j'ai découvert qu'en fait sous cet article, il n'y a pas de numéro de page. Mais il commence après la page 202. Donc logiquement, ce devrait être la page 203, et ben non, la page 203 puis 204 sont après l'article. Qui est donc un insert qui ne fait pas vraiment partie du magazine puisque ses pages ne sont pas numérotées, comme les pages de pub en papier cartonnée parfois insérées dans les mags.
SupprimerD'ailleurs cet article est aussi sur des pages cartonnées. Normalement, si tu les avais tu ne devrais pas les manquer. Tu as bien le numéro de mai. Normalement, c'est bien une opé nationale, par contre les numéros vendus à l'étranger ne l'ont pas eux.
Merci d'avoir était vérifié pour moi :) mais non, je ne l'ai vraiment pas alors les seuls pages cartonnés que j'ai c'est une pub pour esprit il me semble :/ Pourtant j'habite en france et je suis abonnée .. c'est dommage
SupprimerJ'avais lu ton article hier, et ça m'a tenté d'acheter le magasine. Et je peux confirmer que c'est un geste totalement sponsorisé, parce que ces pages n'apparaissent pas dans la version belge du mag. Dommage.
RépondreSupprimerJe viens aussi de découvrir que ces pages ne sont aussi pas paginées dans le mag français comme je l'explique dans mon com' du dessus. Donc là effectivement, ça ressemble de plus en plus à une opé et de moins en moins à un article journalistique avec un truc en plus; Dommage effectivement.
SupprimerLa mention Publi-Reportage aurait peut-être finalement mieux convenu que partenariat.
Va falloir travailler le concept.
Si c'est un publi reportage j'ai peur que ce soit le seul. Ayant travaillé dans la presse ils sont obligés de signaler que ca vient de la marque et non d'eux. Peu de chance qu'il y ait de la diversité sauf si des accords sont crées avec les marques. J'en doute un peu quand même. C'est un moyen détourné de Séphora de faire une pub autre que celle dont on à l'habitude de voir, point barre. Aussi pour remettre les choses en place, un publi c'est une pub qui a un autre aspect. Vous en loupez surement dans d'autres mags, car on dirait des mises en pages plus ou moins intégrée plutot qu'une packshot beauté avec un produit. :/
RépondreSupprimerJe trouve l'idée sympa, mais je pense en parler sur mon blog que si ce geste continue dans sa lancée c'est-à-dire que le magazine continu ce genre de partenariat !
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