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jeudi 20 juin 2013

Mes mésaventures capillaires : ma nouvelle coupe au carré, dépression ou acceptation ?


Vous l’attendiez toutes avec impatience voici la suite du feuilleton « Moi, ma vie, mes cheveux ». Episode 150, c’est ça ? Dimanche, nous avions laissé notre héroïne (c’est-à-dire moi-même) avec l’envie de s’arracher les cheveux à cause de sa nouvelle coupe. Le hic, c’est que des cheveux, elle n’en avait plus ou quasi. D’où le drame. Nous nous étions donc quittées sur un cliffhanger à couper le souffle : cette perte (de cheveux) brutale mènerait-elle à une dépression (capillaire) ou allais-je finalement avaler la pilule et me faire à cette nouvelle coupe au carré très courte. L’heure de la révélation a sonné. Et vous allez me haïr mais encore une fois sans les photos. Je sais que vous avez envie de voir à quoi ça ressemble mais je ne vous infligerais pas une photo auto prise par moi (ou plutôt je ne m’infligerais pas la vue de cette grosse tête démesurée car prise de trop près) et je n’ai pas encore eu le temps de réquisitionner une copine pour qu’elle joue les photographes attitrées. Il faudra donc être patiente sur ce coup-là. Peut-être un jour toutes les conditions seront-elles réunies.


Mais revenons à nos moutons. J’étais donc dubitative sur ce petit carré dégradé/effilé/asymétrique/pas du tout aux épaules mais plutôt sous le menton et donc un poil trop court que m’avait fait le coiffeur. D’un côté, les personnes m’ayant vu avec me disaient que ça m’allait bien, et c’est vrai qu’une partie de moi était d’accord. Mais le reste (la partie la plus bruyante) avait quand même un doute. Je savais que tout se déciderait après mon premier shampooing. Car pour l’instant, avec le brushing coiffeur, les dés étaient pipés. Tu ne voies vraiment si une coupe est réussie qu’une fois que tu as lavés tes cheveux et que tu dois les coiffer toi-même. Car tu sais très bien qu’une personne lambda ne peut reproduire les brushings bien élaborés d’un coiffeur. Sans compter que le brushing en lui-même part souvent dans tous les sens, résultat, tu ne sais que penser. En fait, comme je le disais la dernière fois, j’avais peur que mes cheveux soient devenus incontrôlables et impossible à coiffer à cause de l’effilage intensif qu’ils avaient subi.


J’ai donc lavé et là, première bonne surprise : contrairement à d’habitude, le shampooing ne m’a fait aucun nœud dans les cheveux. Résultat, j’ai zappé l’après-shampooing. Oui, tu as bien lu, moi qui finissait de un à deux flacons d’après-shamppoing par mois tellement mes cheveux s’emmêlaient facilement, là, nada, pas besoin. Je t’avoue que ça ne m’a pas dérangé, du tout. Même si la petite voix de la râleuse qui est en moi me susurrait que si je n’en avais pas besoin c’est que mes cheveux étaient diablement courts. Avec mes autres carrés des dernières années, je continuais à en utiliser. Mais tout de même, j’ai apprécié ce gain de temps et surtout de ne pas retrouver une poignée de cheveux dans ma brosse, arrachés par mes tentatives désespérées pour venir à bout de mes maudits nœuds. Depuis, je n’en utilise toujours pas, yeah ! Bon, je vous rassure, je mets quand même du masque sur le peu de pointes qu’il me reste, hein, je pense à l’avenir et si je ne veux pas des longueurs abîmées quand j’en retrouverais, c’est maintenant que ça se joue.


Après la douche, j’ai en général un rituel assez élaboré (et long) pour avoir de jolis cheveux. Car il faut bien l’avouer, depuis quelques temps, au naturel, mes cheveux c’était pas ça. Normalement, j’ondule. En été, c’est joli. Mais, je pense à cause de ma longueur de cheveux, ça ne bouclait plus du tout. C’était mou du genou. En revanche, qu’est-ce que ça frisottait. Donc en plus du shampooing/après-shampooing/masque/démêlage, fallait compter une petite vingtaine de minute pour les sécher (parce que ces salopiauds en plus retiennent l’humidité et mettent une plombe à sécher) plus encore 20 minutes environ pour le lissage ou le bouclage au fer. Oui, c’est long. Et si souvent j’aime ça, m’occuper de mes cheveux, changer de tête au gré de mes envies, parfois, c’est lourd. Quand t’es pressée, que tu n’as pas le temps, que t’as envie d’aller te coucher, une heure pour avoir une coiffure digne de ce nom, ça peut peser. A un moment, c’était même devenu une private joke avec mes copines. Si elles voulaient sortir avec moi un jour de shampooing, fallait me prévenir bien avant pour que j’ai le temps de me préparer. Certaines trouveront ça dingue je sais mais j’ai prononcé de nombreuses fois la phrase : « je peux pas, je dois me laver les cheveux », sachant que finalement, le problème n’était pas tant le shampooing que ce qui suivant.


Bref, en temps normal, après le shampooing, je me serais donc activée sur ma crinière. Mais là, étant en pleine dépression capillaire à cause de leur (non) longueur, j’avais vraiment pas envie. Et comme je devais juste filer chez ma sœur (donc pas de problème pour y aller en clocharde), j’ai zappé les grandes manœuvres. Tant pis si je ne ressemblais à rien. Bon, pas beauty suicidaire, j’ai quand même appliqué un gel anti-frissotis mais en passant les mains dans mes cheveux et de haut en bas. En gros, le geste qui en temps normal tue mes ondulations et rend mes cheveux mous et moches. Normalement, je dois froisser pas le bas. Pour te dire mon état de je m’en foutisme, me disant que de toute façon le combat était déjà perdu, je ne les ai même pas séchés. Je les ai laissés sans aucune attention. Quelle ne fut donc pas ma surprise de découvrir une fois mes cheveux secs de jolies boucles rebondies et une coiffure bien en place. C’était impressionnant. Je n’avais plus eu de telles ondulations depuis bien longtemps. Et alors il m’avait toujours fallu suivre un rituel spécifique sinon j’avais la boucle raplapla. Là, je n’avais quasi rien fait et c’était bon.


D’ailleurs, deuxième chose qu’à fait ma sœur en me voyant, ça a été de s’extasier sur ces boucles (la première c’était de pousser un cri de stupeur, ou de frayeur je ne sais pas, en voyant ma tête et ma coupe ratiboisée parce qu’elle ne savait pas que j’étais passée chez le coiffeur et donc là « Surprise » y’a plus de cheveux). C’est là que le coiffeur a finalement gagné la bataille. Oui, c’est vrai, c’était un peu court mais en fait je l’aime bien cette coupe. Je me suis réconciliée avec elle et trouve même que l’effilage était (je dois m’incliner) une bonne idée, en tout cas sur mes cheveux et ma masse capillaire. Je pense que c’est ça qui leur permet de boucler si bien. Alors certes, de temps en temps, mes longueurs sur ma nuque me manquent. Quand je bouge la tête, y’a plus rien, c’est pas la même sensation, c’est bizarre. Mais en même temps, les jours où il a fait super lourd, j’étais bien contente d’avoir la nuque à l’air. Ca faisait moins chaud. Je transpirais de partout sauf des cheveux (alors qu’en général, je sais, c’est pas glam mais je sue pas mal du cheveu, mais ça reste entre nous hein).


En fait, cette nouvelle coupe m’a donnée une vraie liberté et ça j’avoue que j’y prends goût. Bon, mon fer à boucler me manque terriblement. Enfin, sauf quand il fait 30 ° degré, là, je suis contente de ne plus avoir à suer dessous 20 minutes pour avoir une coiffure décente, qui ne durera même pas une minute car les bouffées de chaleur que l’opération me donnera provoqueront des frisottis. En même temps, je pourrais tenter de l’utiliser mais je me dis que mes cheveux sont encore un peu courts. Et puis pourquoi se compliquer la vie alors qu’ils bouclent maintenant très bien naturellement. Mon lisseur me manque aussi mais moins. D’ailleurs, là, je les ai lissés juste pour voir. Ca va, ça a du charme, il y a un petit quelque chose. Même à cause de l’effilage, je ne suis pas arrivée à un lissage parfait sur les pointes (mais bon, ça m’arrive aussi quand c’est dégradé). Ca rebique aussi un peu, ça ne reste pas carré.


Je préfère donc quand c’est naturel. En plus, ça prend moins de temps, le pied. Car si j’aime mes accessoires de coiffure, on ne peut nier que parfois je n’avais pas envie d’y passer tout ce temps et que le plaisir de varier se transformait alors en prise de tête. Là, je suis libre et libérée. Après le shampooing, j’applique juste un produit coiffant dessus et je les laisse sécher à l’air libre. Je m’amuse d’ailleurs avec les produits coiffants pour voir lequel me conviendrait le mieux pour des belles boucles bien rebondies et qui tiennent longtemps mais pas cartonnées. Selon le coiffant, les ondulations ne sont pas pareilles, j’aime bien, ça me permet de varier un chouïa. Je me suis lancée dans une série de tests (qui donnera peut-être lieu à un article par ici un jour). J’utilise aussi parfois le sèche-cheveux quand je dois sortir et qu’il fait moche. Je m’attendais à la cata, à un volume ultra gonflé et des frisottis de malade, mais non, ça passe très bien. Les boucles sont juste différentes une fois encore.


Bref, après le traumatisme premier, je valide totalement cette nouvelle coupe qui tient toute seule. Alors certes, je n’en démords pas, c’était peut-être un chouïa trop court ou en tout cas pas la longueur que nous avions convenue. Et même si ça ne se voit pas quand je porte les cheveux naturels, il y a un côté asymétrique/dégradé certes hyper moderne mais qui fait tiquer la vieux jeu que je suis. Mais c’est le positif qui l’emporte finalement. Déjà, j’ai l’impression que ça commence à repousser (ou alors c’est que je l’ai juste accepté). En plus, la coupe est parfaite pour l’été, légère et aérée. Et puis, elle tient toute de seule, elle ne demande pas un entretien de malade. Elle est facile à vivre. Résultat, je gagne un temps monstre. Et ça c’est pas rien. En fait, avant, quand j’allais chez le coiffeur, je trichais, je lissais toujours mes cheveux et eux pensant que c’était leur forme naturelle, me faisaient une coupe en fonction. Là, j’y suis allée le cheveux mousseux, pas coiffée. Il ne ressemblait à rien comme quand je ne m’en occupe pas. Finalement, je pense que le coiffeur a fait en fonction pour que ma crinière ressemble à quelque chose sans que je doive passer une plombe à la coiffer. Voilà comment je me retrouve avec un carré flou comme Karlie Kloss, pile la coiffure du moment donc. Et ça tombe bien, c’est effectivement ce que je voulais (à un demi centimètre près).

(PS : oui, c’est possible, en moins d’une semaine, j’ai réussi à te faire deux tartines sur mes cheveux. Le pire ? J’en ai encore sous le sabot).
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jeudi 22 mars 2012

Bref, j’ai été rousse pendant trois jours

Si tu me suis sur Facebook, tu sais qu’il n’y a pas très longtemps, je suis passée sur le billard. Oups, je voulais dire chez le coiffeur. Ca faisait un an que je n’y avais pas mis les pieds et il était temps. Même si finalement les cheveux n’étaient pas si abîmés que ça mais j’avais envie. Après une année d’abstinence, j’avais plusieurs obsessions. Comme la dernière fois, j’avais bien envie de me refaire une coupe au carré. J’avais mis un peu de temps à m’habituer à un tel changement parce que je portais les cheveux longs depuis trèèèèès longtemps mais finalement, j’avais été séduite. Mais en même temps, depuis que je m’étais faite une frange en décembre, j’avais aussi décidé que ça m’allait plutôt pas mal et donc que je voulais la garder. Le hic : carré + frange, c’est souvent casse-gueule, souvent très premier degré, Crazy Horse pour une blonde et Louise Brooks pour une brune. Donc je me tâtais.

Côté couleur, comme tu l’a compris depuis longtemps, je nourris une obsession pour le roux tout en ayant peur de sauter le pas car je ne sais pas si ça m’irait. Et puis un jour je suis tombée sur une photo de la nouvelle coupe d’Olivia Wilde. Et là coup de foudre : un joli carré avec frange (sur la photo coiffée sur le côté en mèche mais j’ai supposé que c’était une vraie frange). Or pour aller avec ce carré frangé, la belle avait adopté le ombré hair, celle coloration bicolore (ou tye & dye) avec les pointes plus claires que les racines, genre mes cheveux ont éclaircis au soleil. Comme je suis faible, le ombré hair m’attirait déjà pas mal mais là c’était tellement réussi et pile avec la coupe qui me faisait envie que je me suis dit : je veux ça ! J’avais bien envie d’ailleurs de me pointer chez le coiffeur avec une photo d’elle pour qu’on se comprenne bien. Mais finalement mon après-midi coiffeur est tombé pile avant une soirée où il fallait absolument que j’aille. J’ai donc réfléchi en me disant qu’un joli ombré hair prendrait sûrement trop de temps au coiffeur, ce que je ne pouvais pas me permettre. Je me suis donc finalement décidée pour un roux… mais foncé. Juste pour voir dans un premier temps.

J’arrive donc à mon rendez-vous et j’explique ce que je veux. La coloriste n’étant pas dispo, pour ne pas me faire attendre, on décide de me couper les cheveux tout de suite. En 30 minutes chrono, j’ai mon joli carré dégradé de la parfaite longueur (ni trop long, ni trop court) avec frange/mèche sur le côté. Je suis fan. En plus, la coiffeuse m’a fait une coiffure coiffé/décoiffé hyper naturelle et dont je tombe in love tout de suite. Un truc qui a l’air hyper facile à faire. J’ai bien observé et elle n’a fait que sécher mes cheveux en les froissant un peu. Ben, depuis, je ne suis jamais arrivée à reproduire le truc chez moi. C’est toujours moche, plein de frisottis. La rage ! Mais je suis quand même arrivée à les apprivoiser. Ca ressemble un peu à la coupe de Christina Hendricks sur les photos, sauf qu’elle a les cheveux plus fins que moi, et même presque à celle d’Olivia Wilde. Même si je n’arrive pas à reproduire sa coiffure. Je les porte aussi bouclés mais pas les mêmes ondulations. Et apparemment, après sondage auprès des copines, ça me va bien (même si on n’est pas à l’abri de mensonges flatteurs). En tout cas, j’aime.

Mais passons à la couleur. Je tente d’expliquer exactement ce que je veux, ce qui est un peu compliqué parce que déjà les coiffeurs ne parlent pas le même langage que les filles lambda comme nous. En plus, vu que je suis à moitié daltonienne, mon roux n’est pas forcément leur roux. M’enfin, je résume par : « Je veux être rousse mais comme je ne sais pas si un vrai roux m’irait, je veux y aller progressivement en commençant par un roux foncé, si possible avec peu de racines à la repousse. Et surtout, je sais que pour être rousse incendiaire vu que je suis une brune/châtain, il faudrait décolorer et moi je ne veux pas décolorer. »

Ok, donc là la coiffeuse me dit ce qu’elle va faire mais entre son charabia technique et le bruit de tous les sèche-cheveux, j’y comprends pas grand-chose. Je dis donc ok après qu’on se soit mis d’accord sur la couleur à l’extérieur pour la voir à la lumière du jour. En fait, j’ai compris trop tard qu’elle m’avait dit qu’elle allait d’abord m’éclaircir sur une partie des cheveux avant d’appliquer la couleur pour un résultat plus nuancé. J’avoue j’apprécie le principe, c’est tout à son honneur de vouloir faire quelque chose de naturel. Mais moi qui voulais emballer le tout vite fait avec juste une simple coloration à laisser poser 30 minutes, j’en ai été pour mes frais. En même temps, j’aurais peut-être dû préciser que j’étais pressée. Mais en fait, chez le coiffeur, entre tout le bruit qui fait que la communication est quand même compliquée, tous les changements sur ta chevelure et les possibilités de ratage, ça me laisse souvent désarmée. Je perds toute volonté, toute personnalité, tout savoir dire non et je me laisse manipuler du début à la fin quitte à être déçue (voire au bord de la dépression).

Donc me voilà partie pour 20 de pose d’une colo éclaircissante. Mais on est d’accord éclaircissement finalement ça veut dire décoloration ? Sur le coup, ça m’a fait un peu flipper parce que c’est tout ce que je ne voulais pas. Je me voyais déjà blonde avec les cheveux ruinés et super abîmés. Bon, depuis, je ne vois aucune différence sur ma chevelure donc je me dis que je me suis inquiétée pour rien. Après la décolo, passage au bac pour un rinçage et un shampooing puis application de la couleur sur cheveux mouillés. Pour tout dire, cette application sur cheveux mouillés m’a laissée perplexe. C’est la première fois que je voyais ça et je me suis demandée si ça n’allait pas interférer avec la prise de la couleur et la pénétration des pigments dans la fibre capillaire. Surtout qu’en plus, c’était mon deuxième shampooing (le premier était avant la coupe) et que j’étais déjà arrivée avec des cheveux déjà assez propre. On nous dit souvent qu’il faut faire sa colo sur cheveux sales pour qu’elle prenne mieux, mais je crois que c’est surtout parce que comme ça le sébum protège le cheveu de l’agression de la coloration. M’enfin, je me suis quand même questionnée au-dedans de moi-même.

Enfin, après une vingtaine de minutes de pose pendant lesquelles j’ai flippé parce que ma colo était vraiment orange, rinçage enfin. J’étais persuadée de ressortir avec les cheveux carotte vu le flashy de la préparation et ai bien stressé mais heureusement non. Au final, c’était effectivement un joli roux foncé qui m’a bien plu. Mais en rentrant à la maison, ce fut le drame. Déjà, quand j’ai lissé, je me suis aperçue que le carré était dégradé bizarrement et pas du tout de façon symétrique. J’ai d’ailleurs failli me le redégrader toute seule ensuite tellement ça m’a énervé mais je me suis retenue. Depuis je fais avec mais je ne me les lisse plus parce que ça me stresse trop. Mais surtout, mon roux est presque entièrement parti au premier shampooing. C’est simple, mon bac de douche était rouge. J’avais jamais vu ça après avoir fait une teinture. Ok, je sais que ça arrive que les couleurs dégorgent mais là, c’est carrément comme si je l’avais lavée. Sans parler de ma serviette blanche avec laquelle je me suis essuyé les cheveux et qui est totalement ruinée, avec de grosse traces de roux dessus. Alors ok, c’était un roux foncé très discret mais là c’est pire que discret, c’est fantomatique.

Il me reste bien des reflets roux au soleil mais personne ne peut dire en me voyant que j’ai une couleur de cheveux différente qu’avant ma teinture. Bon, ce n’était pas flagrant avant lavage non plus mais au soleil tu voyais quand même bien que j’avais une nouvelle couleur de cheveux. En même temps, la couleur est toujours là puisque tous mes cheveux blancs ont disparus (enfin presque) et sont camouflés, or il y avait du boulot, elle n’est juste plus rousse. Mais maintenant, j’avoue que j’ai peur qu’elle parte un peu plus à chaque lavage. Surtout qu’hier justement, j’en ai trouvé un de cheveux blancs. En gros le rendez-vous de 3h45 (oui, oui, moi aussi j’en suis encore sous le choc de tout ce temps passé là-bas) pour rien. Je me suis demandé même, à un moment, si elle ne m’avait pas fait une coloration temporaire. C’est sur quoi elle était partie au début jusqu’à ce que je comprenne et je lui dise non (tu vas chez le coiffeur, tu veux que le résultat reste plus de 6 semaines).

Tristesse quoi et un peu dégoûtée aussi parce que finalement ce roux foncé me plaisait bien. Alors je me demande d’où ça vient car j’ai déjà fait des couleurs au même endroit et elles avaient tenus. Est-ce parce qu’on me l’a fait sur cheveux propres et mouillés ? Est-ce parce qu’on ne l’a pas laissé posée assez longtemps (j’ai pas chronométré mais j’ai trouvé le temps de pose assez court par rapport à toutes les autres étapes) ? Est-ce parce que mes cheveux n’aiment pas les pigments roux (l’année dernière, en janvier, j’avais teint mes cheveux en acajou mais les reflets rouges n’étaient pas restés longtemps, même si ça c’était fait plus petit à petit, que je n’avais pas tout perdu d’un coup dans le bac de douche) ? Est-ce parce que je suis fatiguée et tout le tintouin (apparemment notre état physique influe sur la prise de la couleur) ? Est-ce aussi parce que j’ai utilisé les mauvais shampooings et donc qu’ils n’ont pas fixé la couleur (j’ai utilisé du Christophe Robin, a priori pas mal mais je les avais en stock depuis une éternité, les actifs de la formule ne sont donc peut-être plus si actifs que ça) ? Peut-être a-t-elle juste fait ce que je lui avais demandé aussi, un roux foncé discret sans repousse ?

En gros, je me voyais en Scarlett Johansson, avec son joli roux foncé, et je me retrouve juste moi avec presque exactement la même couleur. Donc je suis déçue. Surtout qu’il y avait du potentiel. En plus, vu le temps que j’y ai passé pour ça, je regrette presque de ne pas avoir opté pour un ombré hair (quoique là un raté aurait été beaucoup plus catastrophique donc finalement c’est pas plus mal). Pour les photos, je ne suis pas arrivée à vous en faire des potables toute seule. Déjà prendre ses yeux en photo, c’est pas de toute repos mais auto-photographier ses cheveux c’est pire ! Je vais essayer de trouver un photographe attitré un jour où il fait beau pour vous montrer tout ça.

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mercredi 8 février 2012

Je veux le carré avec frange d'Olivia Wilde et son ombré hair

En ce moment, ça me turlupine, j’ai envie d’aller chez le coiffeur. Il faut dire que ça fait un an que je n’y ai pas mis les pieds donc il est temps ! A l’époque, j’avais sauté le pas et cédé à mes envies de coupe au carré. Et finalement ça ne m’allait pas trop mal. En plus, ça me rajeunissait de dix ans, on aurait dit une ado (non, je n’exagère pas). Alors, même si j’aime bien mes cheveux longs actuels, avec peut-être un petit dégradé en plus, je me dis pourquoi pas retenter les cheveux au carré.

Le truc, c’est que depuis que j’ai essayé la frange, je suis accro. Sur cheveux lisses avec la frange devant les yeux, il y a un côté modasse que la snobinarde qui fait plus que sommeiller en moi adore. Et même avec les cheveux ondulés (enfin ondulés avec le Babyliss), il y a un côté sirène hyper sympa. En plus, elle est totalement adaptable. D’un coup de main tu la mets sur le côté et ça te fait une coiffure et une tête totalement différente. Ok, ça demande de l’entretien. Faut la couper régulièrement (là, au bout d’un mois et demi elle est déjà quasi trop longue) mais je crois quand même que je suis une fille à frange. En plus, elle m’a valu plein de compliments. Donc je crois aussi que j’ai un visage à frange.

Le hic, c’est que je trouve la combinaison carré + frange assez périlleuse voire carrément casse-gueule. Sur cheveux blonds ça vire souvent coiffure Crazy Horse et sur cheveux bruns ou noirs Louise Brooks. Ok, c’est un peu plus flatteur mais bon un brin daté. Alors, forcément, je commençais à me dire qu’il allait falloir que je choisisse. Finalement, comme toujours quand j’ai envie de changer de tête, je suis allée surfer sur le net pour scruter les coupes de cheveux des stars. Et je me suis aperçue qu’en fait tout dépendait du carré et de la frange. Pour que l’association soit réussie, il ne fallait pas prendre les deux au premier degré : carré lourd et frange épaisse mais adapter.

Et puis je suis tombée sur la photo de la nouvelle coupe de cheveux d’Olivia Wilde. Et là, coup de foudre capillaire. C’est ça que je veux. J’ai trouvé THE coiffure : un carré long avec une frange mèche juste au dessus du sourcil (un peu comme la mienne finalement avant qu’elle ne repousse). Là, la frange est coiffée sur le côté, c’est superbe, mais je suppose que selon ses envies, elle peut la porter en vraie frange. Par exemple avec des cheveux lisses. Même si j’aime aussi tout particulièrement ses jolies ondulations, pas étonnant venant d’une boucles addict comme moi. Ca lui va trop bien et ça lui rajoute un côté wild(e). Mouhahahaha (je sais, trop nul). Plus étonnant, j’aime aussi sa couleur de cheveux, plus foncée aux racines et plus claire sur la longueur et les pointes. Moi qui me tâtais à devenir rousse à mon prochain passage chez le coiffeur (oui, parce que j’ai l’intention de faire la totale : coupe + coloration), je vais peut-être me laisser tenter par le ombré hair finalement. Parce que j’ai un doute aussi sur la combinaison carré frangé + cheveux roux. Quoique Christina Hendricks…

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mercredi 5 janvier 2011

Envie de me faire la tête au carré

J’en ai marre de mes cheveux. J’en peux plus. Ils ressemblent à rien, je veux tout couper. Pourtant, je n’ai pas l’impression que ça fasse si longtemps que ça depuis ma dernière visite chez le coiffeur. Quoi que, c’était en juin je crois, donc il y a déjà plus de six mois. Ca passe vite, c’est fou. Et, en plus, ça m’énerve parce qu’ils poussent trop vite (mes ongles aussi d’ailleurs, l’enfer). Je sais que beaucoup rêvent de ça mais pour moi c’est plus une malédiction vu mon amour du coiffeur. Mais bon, ne nous plaignons pas d’avoir des cheveux en bonne santé.




Nicole Richie

Naomie Watts




January Jones


En tout cas, en ce moment, je ne supporte plus leur longueur. Pourtant, ils ont déjà été plus longs. Mais là, je les trouve informe, raplapla, ils me pèsent. Ils arrêtent pas de faire des nœuds en plus. Je ne sais pas si c’est le temps ou ma nouvelle routine capillaire. Et puis, je trouve qu’ils donnent l’impression d’être tout le temps sales, alors que non. C’est aussi dû au port du bonnet intensif. Etant étouffés dessous tout le temps, ils ne s’épanouissent pas. Et vu qu’ils sont moches, ça me donne moins envie de m’occuper d’eux. Je les laisse tels quels au lieu de les lisser ou de les boucler. Ca ne fait que stimuler ma paresse en fait.




Anne Hathaway







Jessica Alba


Alors je sais que les cheveux longs sont censés être le symbole de la féminité mais, moi, j’ai de plus en plus envie de tout raccourcir. Je fais tout à l’envers, j’ai le cheveux long en été et je le veux court en hiver. En fait, je ne sais pas si c’est parce que j’ai vu plein de people coiffées comme ça, mais j’ai grave envie d’une coupe au carré. Je trouve qu’une coupe bien structurée est souvent plus jolie qu’un long flou, qu’il soit dégradé ou pas.






Jessica Biel





Taylor Momsen


Preuve à l’appui avec ces quelques photos de stars. Elles sont quand même plus jolies avec leurs cheveux courts non ? Bon, ok, Jessica Biel est belle de toute façon. Mais Taylor Momsen est quand même mieux avec sa coupe déstructurée qu’avec ses longues extensions qui pendouillent.



Katie Holmes

Mon carré, je le veux aussi avec une frange, ou plutôt une frange mèche. Je trouve cette mèche courte sur le côté plus jolie et flatteuse sur moi qu’une frange droite qui me boufferait le front et les yeux. Et puis c’est plus facile à coiffer. Mais je veux quand même pouvoir la transformer en frange si j’ai envie.





Gwyneth Paltrow



Et je le veux bouclé. De jolies ondulations ou bouclettes pour faire vivre la coupe c’est quand même plus seyant qu’un brushing baguette. Comme on peut le voir sur Gwyneth Paltrow, ce raplapla ne la met pas du tout en valeur (ni sur cheveux longs, ni sur coupe courte).






Scarlett Johansson



Et, bien sûr, pour que le carré bouclé soit plus joli, il faut qu’il soit dégradé. Ca permet aux ondulations de mieux se former et de prendre toute leur aise. De donner un peu de volume à la coupe. Oui, je le concède, si c’est dégradé, c’est limite plus un carré mais bon, détail.


Ah la la, tout ça ça va être compliqué à expliquer à un coiffeur.



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