Oops I Dit it again… le smoky eye noir pailleté

En ce moment, je fais un peu ma vampire, je ne sors qu’après le coucher du soleil. Et forcément, quand tu sors de nuit, tes envies make-up ne sont pas les mêmes que quand tu mets le nez dehors en journée. Si à midi, j’ai des envies de flashy, le soir, je vois la vie en noir (quelle poète, je sais). Enfin, surtout en noir pailleté. Je l’évoquais il y a peu, en ce moment, j’ai développé une sorte d’obsession pour les smoky foncés et pailletés si possible. Mes copines qui ne me voient que le soir doivent d’ailleurs penser que je me maquille tout le temps pareil.

Mais que nenni ! Car je varie les plaisirs en fait. Même si ça a tout le temps l’air noir, je jongle entre noir, gris foncé ou moyen, bleu nuit et même parfois kaki profond ou pourpre. Il m’arrive même de ne pas la jouer pailleté. Il faut dire que ma collection de fards intenses est assez riche, j’ai donc de quoi m’amuser et je change évidemment d’ombre à chaque maquillage. Et en ce moment, pas une semaine ne passe sans que je me fasse un petit smoky pailleté. Le dernier en date m’a permis de re-découvrir les deux palettes de fards de la collection Diamantissime de L’Oréal Paris.

Comme avec les autres palettes de fêtes, je ne les avais pas assez exploitées à mon goût car leur lancement avait coïncidé avec une période où je ne me maquillais quasi plus les yeux (ou toujours de la même façon). Jusqu’ici, je n’avais utilisé que le kaki dans la foncée et un des blancs de la claire. Alors qu’avec toutes ces teintes, il y a vraiment de quoi faire. Cette fois, encore, j’ai utilisé les deux palettes ensemble, je trouve qu’elles ont besoin l’une de l’autre. Seule il va manquer une touche lumière à la palette de foncés et de l’intensité à la palette de clairs. Après le kaki, j’ai utilisé le noir pailleté (celui du milieu), obsession du moment oblige, en halo sur la paupière mobile et en ras de cil inférieur (j’appelle ça smoky mais comme toujours, je ne mets pas de base grasse en dessous). J’ai ensuite utilisé le blanc irisé qui se trouve en haut à gauche pour estomper les contours et dans le coin interne de l’œil en touche lumière.

Les deux teintes sont très sympas et j’ai bien accroché au résultat (à tel point que je me suis refait le même make-up quelques jours plus tard). Le noir pailleté a l’air gris foncé dans la palette mais sur les yeux, je trouve qu’il ressort noir. Mais pas un noir qui plombe, un joli noir intense rendu un peu lumineux par les paillettes. Même si pareil, elles ne ressortent pas comme dans la palette. Dans la palette, elles ont l’air ultra nombreuses, le fard fait bien glitter, mais posé, il calme le jeu et les paillettes se font plus discrètes. Résultat, je les ai boostées avec mon blanc irisé qui lui envoie bien du glitter. En plus, elles ses paillettes sont bleues, ce qui donne des reflets au fard noir sur les contours, j’adore. Seul, je pense que ce fard blanc ne serait vraiment pas possible mais en touche lumière ou en ombre pour estomper les contours, je l’aime beaucoup.

Et voilà comment se faire un maquillage du regard habillé, à la fois dramatique, festif et définitivement waouh, en quasi seulement deux coups de pinceaux. Car les fards sont assez faciles à manœuvrer. Bon, il y a pas mal de chutes de paillettes à l’application (forcément, c’est le lot de tous les fards pailletés) mais niveau pigment, ça reste raisonnable, même pour le noir. Côté tenue, ça roule aussi, même si ce ne sont pas les fards Color Infaillible (que je continue toujours à préférer même si ces palettes Color Riche me séduisent petit à petit).