Ma manucure avec un vernis Touring America d'OPI en avant-première

Petite exception à ma règle de ne pas parler d’un produit des années lumière avant sa sortie pour vous montrer un des nouveaux vernis de la collection automne OPI que j’ai la chance de porter en ce moment. Je me suis dit que c’était dommage de ne pas le partager avec vous. Cette semaine, cette collection qui s’appelle Touring America a été présentée en avant première et on a pu se faire poser l’une des nouveautés en exclu. J’avoue que ça a été difficile de choisir car, sans vouloir en faire trop, ce nouveau cru est assez exceptionnel. Vraiment très différent des collections passées, très fashion et totalement dans l’air du temps. Mais je n’en dirais pas plus, c’est trop tôt pour cette exploration de l’Amérique alors qu’on est encore en plein Texas avant d’aller faire un tour du côté des Caraïbes. Le choix a donc été difficile mais vu le temps estival dehors, je n’avais pas très envie de couleurs automnales, même si je les trouvais très belles. J’ai donc opté pour une des teintes un peu plus pepsy, un superbe corail pêche. D’ailleurs, il a eu beaucoup de succès ce jour-là, on est quasi toutes reparties avec la même manucure. Il faut dire que la teinte est superbe et totalement de saison. Cet hiver, c’est sûr, elle mettra des couleurs dans notre déprime de rentrée. J’ai aussi craqué sur son nom : I Eat Mainely Lobster. So snob, c’est tout moi, même si en vrai, je n’en mange pas du homard. Le vernis est légèrement pailleté/irisé mais ça ne se voit pas de loin. Il faut vraiment se coller l’ongle aux yeux pour voir les micro paillettes. Je préfère comme ça d’ailleurs. Il me rappelle un vernis Dior Bubble Gum que j’adorais mais qui est mort sous le coup de la chaleur.

Evidemment, comme c’est du OPI et qu’il a été posé par une pro, il va tenir du feu de Dieu. Pour l’instant, il a vaillamment résisté à la vaisselle, au rangement, au bricolage et au lavage de cheveux. Pour la pose, deux couches et on a une superbe opacité. Mais là encore, c’est du travail de pro. En tout cas, je sens que je ne vais pas attendre la rentrée pour en profiter et qu’il risque d’être un de mes vernis de l’été.

Car, oui, nous avons eu la chance de repartir avec quelques spécimens. Malheureusement, comme je suis une vraie poissarde (oui, en plus d’être paresseuse, tête en l’air et maladroite, je sais, ça fait beaucoup pour une seule personne, que voulez-vous les mauvaises bonnes fées se sont penchées sur mon berceau), les miens ne sont pas arrivés chez moi entiers. J’avais déjà une victime dans le lot. Ô rage, ô désespoir, ô vernis ennemi…