La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram et facebook #4

Comme chaque samedi désormais, c’est l’heure de notre petit rendez-vous Instagram et Facebook. Parce que La Beauty Paresseuse ne traîne plus uniquement par ici. Mais comme vous n’êtes pas forcément toutes sur les réseaux sociaux et que parfois pour comprendre ce qu’il se passe ici, il faut savoir ce que je raconte là-bas, voici un petit résumé de la semaine qui vient de s’achever.

Dimanche dernier, le Parisien est devenu fou. La raison de cette démence généralisée : il faisait enfin soleil. Mi avril, le printemps serait-il enfin arrivé ? Let’spray (oui, le Parisien voit tellement peu le soleil qu’à chaque fois que ça arrive, il pète un plomb).

Sauf que le Parisien sait qu’une journée ensoleillée sur sa ville est aussi rare qu’une éclipse solaire, donc quand ça arrive, il dégaine l’artillerie lourde. En général, les rares parcs de la ville sont alors plus bondés que le métro à l’heure de pointe. De mon côté, j’ai préféré fuir la foule mais j’ai quand même dégainé lunettes de soleil et crèmes solaires pour la première fois depuis août dernier. Enfin les crèmes solaires de l’année dernière. En beauty addict raisonnable, je me suis donnée pour mission de finir celles-là avant de commencer à en tester d’autres.

Mardi, journée de travail en bureau. Pour faire passer la pilule, j’ai sorti les grands moyens et descendu la boîte de Kinder Maxi. Ca faisait longtemps que je n’en avais pas mangé. Le hic : j’y ai repris goût et maintenant j’en veux encore et encore (c’est que le début d’accord d’accord).

 Jeudi, direction Marseille pour le boulot. Pour l’occasion, je sors mon vernis de cagole pour me fondre dans la masse et passer pour une autochtone. Plus sérieusement, ce rose de Mavala est en fait très sympa et je vous en reparle bientôt (après 4 jours, il est encore intact donc je pousse le test au bout du bout pour voir combien de jours il tiendra).

Après être tombée sur Bernard Tapie dans le hall de notre hôtel (bienvenue à Marseille), découverte de la vue de la terrasse du restaurant et de ma chambre au Sofitel Vieux Port : soleil, mer, du bleu et encore du bleu. #jaimemonboulot

Après un déjeuner boulot (hum, hum), je file enfiler mon maillot de bain direction la piscine aperçue le matin de la fenêtre de ma chambre. Ma mission « finir mes crèmes solaires » a encore un peu avancé. Et en bonne modasse, mon bikini est dépareillé, forcément.

The piscine. Je ne plonge jamais (faudrait pas bousiller ma coiffure, c’est que ce parfait lissage ou bouclage, ça ne me vient pas naturellement) mais il y a un truc avec ce turquoise qui me fait quelque chose à tous les coups. Mon trip c’est plutôt de me prélasser au bord de la piscine dans mon petit bikini marine (et turquoise). Et victoire, j’ai un peu bronzé. Je suis toujours blanche mais moins aspirine.

Après un détour par le spa (pour le travail of course), retour dans la chambre pour profiter de ma douche avec vue sur la fenêtre de la chambre qui a vue sur le mer (en résumé la douche à vue sur la mer). Je vous aurais bien invitées car on rentrait bien à 10 dedans.

Finalement, j’en ai profité seule. C’est que les miniatures Hermès n’auraient pas suffit pour tout le monde. Bref, j’aurais pu vite m’habituer à tout ça.

Comme au petit chocolat et à la miniature Hermès qui m’attendaient sur mon oreiller en rentrant dans la chambre le soir. So chic. Mais il a fallu revenir à la réalité dès le lendemain et au ciel un peu trop souvent gris parisien.

Mais avant j’en ai quand même profité pour faire un peu de tourisme avec une petite virée à Notre Dame de la Garde avant de déjeuner sur le Vieux-Port avec les plus top des Marseillaises. <3>

A la semaine prochaine pour un nouveau résumé Instagramien et Facebookien. Et si vous voulez me suivre en direct, c'est par ici :
Facebook : Journal d'une Beauty Paresseuse
Instagram : LABEAUTYPARESSEUSE

PS Giveaway Leona Lewis : je n'ai pas encore tiré au sort pour la palette, j'ai le cerveau un peu fatigué après les deux derniers jours mais c'est au programme ce week-end, je ne vous ai pas oubliées.