New York, I Miss you : photos souvenirs insolites

Voilà maintenant presque un mois que je suis revenue de New York et je suis tout d’un coup prise d’une folle nostalgie. J’ai trop envie d’y retourner, tout de suite, d’y rester, longtemps. Mais bon, comme c’est pas de sitôt, je me replonge dans mes photos et dans mes rêveries pour y être au moins par la pensée. Et je me suis souvenue notamment d’une de mes nombreuses petites lubies là-bas que j’ai forcément immortalisée : les vitrines des magasins. Ce n’était pas encore la période de noël donc je n’ai pas eu droit aux mises en scène festives mais je suis quand même tombée sur des tableaux un peu particuliers. Revue non exhaustive.

Elle c’est la première, celle qui a déclenché ma lubie. Je suis tombée sur elle en me promenant dans le West Village et dans Greenwich (mes quartiers préférés, un vrai coup de foudre). Je n’ai pas pu m’empêcher de la prendre en photo et ça a lancé le truc.

Bergdorf Goodman : comme quoi ils ont de l’humour dans l’Upper East Side et dans ce grand magasin culte qui fait partie des trois B : Blendel (Henri), Barney’s et donc BG.

Louis Vuitton se la joue un peu sado-maso. Si c’est l’image des Français qu’ils ont là-bas on est mal. J’avais justement oublié de mettre mon fouet dans ma valise à l’époque. Quelle honte !

BG toujours mais pour hommes. Serait-ce une allusion ironique que parfois quand il s’agit de mode, nous sommes tous des moutons ?

Il y a aussi des Zara de l’autre côté de l’Atlantique, ils ont vraiment colonisé le monde. Par contre sur les deux continents les vitrines sont les mêmes. Une (pas très) belle image de la mondialisation de la mode.

Ce n’est pas vraiment une vitrine, juste une jolie affiche American Apparel sur laquelle je suis tombée à Harlem et qui a su parler à la beauty addict qui est en moi.

Ah, souvenirs, souvenirs. Je pense que pendant la période des fêtes je vais vous embêter avec plein de notes new yorkaises : photos, bons plans, anecdotes, ce que j’ai aimé ou pas. Je vous avais tellement saoulé pendant que j’y étais que j’ai voulu laisser retomber le soufflé mais là j’ai un petit coup de revenez-y…