Mais vendredi, j’ai eu un peu plus de temps donc j’en ai profité pour ressortir cette palette et utiliser les fards humides, voir si ça changeait quelque chose. Je n’ai pas fait tout à fait le même make up que la dernière fois mais la variante n’est pas non plus énorme. Cette fois, je n’ai mis le violet moyen que sur la moitié interne de la paupière mobile pour laisser un peu plus de place au violet foncé dans le coin externe. Comme la dernière fois, le rose m’a servi à estomper les contours et le blanc diamant à illuminer le coin interne posé juste en touche. En revanche, je crois que pour une fois je me suis un peu trop laissée aller sur le « blendage » parce qu’au final je trouve qu’on dirait qu’il n’y a qu’une seule couleur. Pour une fois que je ne floute pas vite fait, j’y vais un peu trop fort. Décidément c’est mon point faible.
Alors au début, j’étais un peu dubitative. Je trouvais que le maquillage me plombait, que j’avais limite l’air d’un zombie hyper crevé (ça ne faisait qu’accentuer la fatigue sur mon visage). Mais une fois que j’ai mis du rouge à lèvres et du blush ça allait mieux et ce maquillage s’est même plutôt fait remarquer. Il m’a valu quelques compliments en tout cas et quand, dubitative, j’ai posé la question sur la sale mine (à des beauty addicts confirmées), elle m’ont dit que non il ne me plombait pas le teint au contraire. C’était mon préjugé contre le violet qui m’avait encore joué des tours. Par contre, je sais pas vous mais, moi, niveau résultat, je ne vois aucune différence entre le fini sec (ICI) ou mouillé. Pour moi, les deux sont tout aussi intense. Vous trouvez pas ? Après effectivement, utilisé mouillé le fard chute moins (même pas du tout). Mais, il ne chutait pas non plus beaucoup sec. Disons que le maquillage est juste un chouïa plus rapide. Mais même comme ça la différence, d’utilisation ou de fini, n’est pas énorme. Vous voyez quelque chose vous ?
Effectivement, la différence est mince.
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